Le.jules
[ Chambrée de Jules: se laisser faire, pour une fois...]
Tendres, exploratrices, les mains et les lèvres de la balafrées parcouraient son corps méticuleusement, muscle par muscle, tendon par tendon, et la peau frissonait naturellement en réponse, tandis que les mains du courtisan se calquaient sur l'exemple de leurs jumelles, frôlant sans hâte le corps à leur portée.
Elle se crispa momentanément sous ses doigts, le temps pour lui d'hésiter, mais bien vite elle l'encouragea de ses frôlements devenus caresses. Artistes impromptus sur la toile de son torse, les doigts légers attisaient son désir, savamment, alors que les lèvres le quittaient pour mieux le narguer, immobiles, toutes proches des siennes... Entremêlé ainsi à celui de l'hérétique, le souffle du soldat se fit plus rauque.
Alors qu'il commencait à se crisper de désir contenu, elle s'approcha, enfin... Deux orbes vinrent se plaquer à son torse, encore innatteignables sous le tissu soudain détestable, et le bassin tout proche lui arracha un léger soupir. Les mains de Jules, impatientes d'entrer dans la danse, desendirent le long des braies cherchant la chaleur d'une cheville, d'un mollet, frustrées de ne rencontrer que le cuir des bottes....et lorsque les reins entamèrent une vague impudique contre ses braies tendues à craquer, il ne put qu'à peine retenir le grognement animal qui s'échappait de ses lèvres.
Femme, elle se servait. Le bassin du soldat se tendit vers elle en réponse, alors qu'il glissait lentement, inexorablement en arrière, tout prêt à se laisser consumer, consommer. Habitué aux clientes timides ou inexpérimentées qui attendaient de lui initiatives et décisions, il savourait d'être ainsi entrepri, découvert, par ce corps qui savait ce qu'il voulait et venait le chercher. Remontant le long des jambes, ses larges mains glissaient lentement le long des cuisses, cherchant à palper cette croupe qui ondulait contre lui.
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Retrouvez Jules au Boudoir des Sens.
Tendres, exploratrices, les mains et les lèvres de la balafrées parcouraient son corps méticuleusement, muscle par muscle, tendon par tendon, et la peau frissonait naturellement en réponse, tandis que les mains du courtisan se calquaient sur l'exemple de leurs jumelles, frôlant sans hâte le corps à leur portée.
Elle se crispa momentanément sous ses doigts, le temps pour lui d'hésiter, mais bien vite elle l'encouragea de ses frôlements devenus caresses. Artistes impromptus sur la toile de son torse, les doigts légers attisaient son désir, savamment, alors que les lèvres le quittaient pour mieux le narguer, immobiles, toutes proches des siennes... Entremêlé ainsi à celui de l'hérétique, le souffle du soldat se fit plus rauque.
Alors qu'il commencait à se crisper de désir contenu, elle s'approcha, enfin... Deux orbes vinrent se plaquer à son torse, encore innatteignables sous le tissu soudain détestable, et le bassin tout proche lui arracha un léger soupir. Les mains de Jules, impatientes d'entrer dans la danse, desendirent le long des braies cherchant la chaleur d'une cheville, d'un mollet, frustrées de ne rencontrer que le cuir des bottes....et lorsque les reins entamèrent une vague impudique contre ses braies tendues à craquer, il ne put qu'à peine retenir le grognement animal qui s'échappait de ses lèvres.
Femme, elle se servait. Le bassin du soldat se tendit vers elle en réponse, alors qu'il glissait lentement, inexorablement en arrière, tout prêt à se laisser consumer, consommer. Habitué aux clientes timides ou inexpérimentées qui attendaient de lui initiatives et décisions, il savourait d'être ainsi entrepri, découvert, par ce corps qui savait ce qu'il voulait et venait le chercher. Remontant le long des jambes, ses larges mains glissaient lentement le long des cuisses, cherchant à palper cette croupe qui ondulait contre lui.
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