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[RP] Maison close de la rose noire

La_dame_rouge
[Entrée]

Rouge prit congé du jeune androgyne, passant inévitablement devant l'entrée. Elle aperçut le Cerbère et le Mirandole, s'approcha pour échanger quelques mots. Une main caressante parcouru le dos du Gardien, tandis que les yeux se firent charmeurs au Noble.

Bonjour messire... Contente de vous revoir en nos murs. Helas j'ai peu de temps, je dois préparer la maison pour l'ouverture, vous pouvez restez ici en attendant que tout le monde soit prêt, les alcôves vous accueilleront.


Une petite révérence, elle frappa dans ses mains pour alerter tous les travailleurs du lupanar.

Nous ouvrons bientôt! Que tout le monde se tienne prêt et que celles qui le sont viennent tenir compagnie à nos hôtes!
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Un rôle à la Rose Noire?
--Enzo


[ les bains : un peu trop détendu ]

Ah oui, cela fait un grand bien de fermer les yeux, de se laisser aller. Déjà pas de mémoire immédiate au naturel, pas de notion temporelle. Mélanger le tout, et cela vous donne Enzo, à moitié somnolant dans l’eau qui sursaute à la voix de la Rouge qui appelle à prendre son poste ou du moins à vite se préparer. Bon sang. Patauge dans son empressement, se rattrape à la margelle comme il peut, s’enroule la serviette en sarong autour de sa taille. Déambule aussi discrétement que possible dans sa tenue d’Adam un peu plus étoffée. Fait de son mieux. Ne remarque rien ni personne, un seul objectif, rejoindre sa chambre. Le reste, s’en moque un peu.

[ Chambre d’Enzo : sur le qui vive ]

Dans le calme absolu, ne se laisse pas déborder. Balance se serviette à sécher sur le rebord de sa fenêtre, jette un œil un peu en retrait dans la rue pour ne laisser à la vue de tout le monde son corps nu. S’habille comme à son accoutumée : chemise blanche, pantalon noir, bretelles, bottes…Rien de bien particulier ni de plus que les autres soirs. Se regarde dans le miroir, une main dans ses cheveux comme il se doit. Range bien la chambre. La prépare en prévision. Et vient s’asseoir un peu sur le rebord de la fenêtre qui donne sur l’entrée de la maison close et la rue. Prend quelques minutes pour se poser, prendre l’air.

Alejandra
[Dans les rues pour un moment de répit.]

Le petit était chez la mère et même si j’avoue ne pas être tranquille à l’idée de le laisser avec elle, j’ai autre chose à faire pour le moment. Il me faut réfléchir. Il a donc six ans, l’âge où je me suis retrouvée vendue à perfide pédophile, amateur de jeune fille encore vierge et immaculée. La pire soirée de ma vie…L’homme était si vieux qu’il aurait pu être mon grand-père…Mais, cela avait permis à ma mère d’obtenir quelques robes venues d’Italie. Drôle de vie…

Je ne veux pas qu’il vive cela, qu’il se retrouve vendu à un homme et qu’il perde sa virginité, son innocence et puis surtout qu’un mâle vienne à le souiller de l’intérieur. Rien que l’idée me rend malade.

Je m’approche de la rue des putains et m’assois sur une margelle. Là, je reprends mon souffle et inspire profondément. A ce moment je retire mon chapeau et relâche ma chevelure.
Ma main se glisse dans cette dernière et je dégage ma nuque pour sentir la morsure de l’hiver. Un coup de froid qui m’apaise et soulage cette inquiétude.
Que faire désormais ? …M’entretenir avec ma mère, demander plus d’informations et surtout venir récupérer le petit avant qu’il ne soit vendu…Si cela n’était pas déjà fait. Je dois le sauver de ce dessein. Encore une fois, j’allais devoir m’occuper de ce mioche mais heureusement…Il n’avait plus l’âge de se faire dessus et puis, je dois me l'avouer, je commence surtout à m'y attacher.

Alors que je retrouve des couleurs, je lorgne les putains, les clients dont l’un me regarde de travers. Il me veut quoi lui ? Il s’approche et me tends une bourse. Je souris et accepte l’argent tout en lui donnant rendez-vous dans la ruelle d’à côté.

J’arrive…Déshabille toi et je viens…soulager ta virilité…Tu verras ma bouche…est délicieuse…

J’en profite pour caresser rapidement son entrejambe, histoire de valider la transaction et il se dirige dans la ruelle, coupe-gorge.
Bien, un pigeon en moins. Je range mes écus dans le corsage et relève les yeux comme pour montrer au Très Haut, combien les hommes me dépitent mais aussi combien j’ai besoin de lui, pour mon frère.

Là, mon regard croise autre chose d’étrange. Un homme à la fenêtre d’une bâtisse que l’on connait tous ici, la Rose Noire. Mes iris sombres le scrutent. Il est brun…Un bon point. Il est bien habillé pour ce que j’en vois et surtout il a un beau minois, seul point négatif, s’il est là c’est qu’il est un courtisan et qu’elle devra payer…

[Sous la fenêtre d'Enzo]

Je m’approche de la Rose Noire, jusqu’à me placer sous la fenêtre.

Hola hombre…Dites-moi…C’est assez pour vous ? Je sors la bourse de mon corsage et la lui montre. Ma voix de se faire un peu plus forte que d'habitude pour arriver à l'atteindre...Je me retrouve contrainte à avouer mon accent...

Je ne désire que m’entretenir avec vous…Je jette un dernier regard vers la ruelle et l’homme n’en sort toujours pas. Soulagement, il devait être mort ou attendre patiemment que la fausse putain le soulage.

Ou…me faut-il absolument consommer ? La question pourrait paraitre tranchante, mais heureusement, son accent plutôt doux avait le don, parfois, d’apaiser la piqure de la curiosité.

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Enjoy
    [Dans la rue...]

    La solitude n'est qu'une longue errance. Un chemin de croix menant à l'irréversible sentence. Celle d'une vie froide et triste. Pourtant, elle n'a pas été toujours ainsi. Des milliers de pas, des pas perdus, un lieu. Celui d'une maison close et c'est une essence aux exquises senteurs qui se profile. Un condensé d'enfance complexe mais heureuse. D'une adolescence emplie de présence. Puis l'âge adulte, la dernière ligne droite, le sentier le plus tortueux. Après tout, une existence, une vie n'aurait-elle rien d'autre pour personnification qu'une femme ? On la croise, on hume son parfum aux effluves entrainantes, désarmantes. On se laisse porter par ses appas et ses charmes. On mord à l'appât et on goute le fruit défendu, celui de nos futurs drames. On ôte ses jupons avec précipitation et on oublie que les préliminaires ne sont que les enfants de la passion. Et qu'une fois prise, rongée, usée, la vie au palpitant, jadis emballé à l'image d'une vague de chevaux sauvages, n'est plus. Il s'étiole, il perd haleine et c'est le souffle court qu'il rend les armes. Et c'est ainsi qu'une existence, hier si enjouée, rend l'âme.

    Avec ces maux nous pourrions définir l'état d'esprit, l'émotion la trahissant. Alors qu'elle se déhanche dans une rue où les seules, à avoir une croupe à la portée si populaire, sont les filles aux mœurs légères. En quelque sorte, ses consœurs de joie, les amantes frivoles ou les compagnes des déshérités. Un regard ébène se promène et scrute les moindres faits et gestes des personnes présentes. Une réunion aux origines sociales très hétéroclites. A la porte, un homme au visage façonné par le temps. A la manière d'un rocher sous les doigts agiles du vent. La barbe d'un gris rappelant les nuances d'un ciel teinté de gris. Mais à la vigueur toujours présente, à en juger la façon dont il saisit l'importun. Un jeune homme ? Une jeune femme ?

    Enjoy se trouvait qu'à quelques mètres d'eux et malgré les détails qu'elle pouvait capter au travers de la faible lumière. Elle n'aurait pu identifier avec certitude la tendance, de celui que nous nommerons désormais, l'androgyne. S'avançant encore un peu, sentant qu'elle s'approche d'une limite à ne pas franchir. Mais pourquoi pas tenter le diable, s'il ne fait que passer ? Si seulement elle avait plus d'assurance...
Eusaias
[bureau]


Catin….

Voilà le seul et unique mot qui franchir la barrière des lèvres du Balbuzard. Oui il s’était fait un peu rouler, du moins, il allait devoir patienter, mais de gré de force bientôt la rouge sera brisée sous les assauts du bassin bourguignon.

Ma foi nous remettrons cette partie fine à plus tard.

La dextre délia la bourse qui balançait à sa ceinture et la jeta sur la table.

Voilà un acompte, le reste viendra quand la maquerelle se sera montrée coquine. Il n’y aura pas mieux même si cela vous chagrine, il fallait mieux me courtiser la pi..

Et bien nous allons pouvoir ya aller. Trancha Sulpice qui n’avait visiblement pas envie d’entendre la rime.

Ouais, tu gagnes cette fois, nous rentrons.
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--Geoffroi



[A la porte encore, l'ego touché]


Oui touché. En plein centre. Parce que la Rouge l'avait tout simplement ignoré. Pas même remarqué son existence. Pas même lancé un de ces regards méprisants ou assassins dont elle a le secret. Rien du tout. Le néant de reconnaissance. Et ça, pour Geoffroi, c'est le comble.

Ahhh tu me le paieras, la Rouge! Comme j'ai fait payer Désirée, tiens! Les yeux fixent un moment la maquerelle qui rameute ses troupes. Puis lâchent prise, se reportant sur Baudouin.


Et non, le vieux, je ne suis pas mort. Il en faut plus pour se débarrasser d'un fléau comme moi.

Oui bon, ne pas trop en faire non plus, pas la peine que Baudouin se méfie de lui dès son retour. Et Geoffroi n'ayant pas changé d'un iota, il lui fallait retrouver un travail à la Rose, et ses activités personnelles en parallèle...

Je reviens, oui. Du moins si la Rouge veut toujours de mes sev.. services hein? J'peux garder la porte de nouveau mais je n'veux pas te retirer le pain de la bouche, tu vois? Comme je peux faire n'importe quoi d'autre hein?

Il hésite un moment avant de réagir à l'information quand même principale lancée par le vieux militaire.

Comme ça Désirée est partie...

Le visage se fait pensif.

Et.. hmm.. la Rouge a recruté d'autres catins alors?

Parce que les "affaires" doivent continuer, et Geoff se faire enfin un nom.

Flex
Enguerrand de la Mirandole accueillit chaleureusement la bienvenue de la Dame Rouge. D'ailleurs il lui déposa un baise-main Mirandolien et se voulut être galant.

« - Le plaisir est partagé Dame Rouge. En fait, vous connaissez mes habitudes, je ne suis point venu pour partir avec vos gens.. »

Dit-il à voix basse sur le ton de la confidence. Le borgne avait dit ' vos gens', c'est dire combien il donnait du crédit à cet établissement. Puis, la maquerelle savait certainement à quoi voulait-il faire référence, mais il ne voulait pas être un bâton de la roue d'ouverture du bordel. De manière polie, Enguerrand de la Mirandole fit mine de s'intéresser à l'imminente arrivée des ouvriers, alors que son esprit était en fait occupé.
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Télécharger le pdf en milieu de page de Mes étoiles obscures.
Oscar_w.
[Dans la rue...]



Oscar vit s'approcher une femme...
Superbe, aux forts beaux appâts sous son visage d'ange.
Son trouble transparaissait dans son regard;
Sans doute, comme tant d'autre, se demandait elle si cette créature était il ou elle...à moins que ce ne soit les deux, un savant mélange prêtant à la luxure.
il s'approcha d'elle, le sourire aux lèvres, maquillé-e ?- de noir comme à son habitude, jouant se son ambiguïté à laquelle peu résistaient.

Sa voix était grave, féminine cependant, ses gestes maniérés tandis qu'il caressa son visage.

Enchanté de vous connaitre belle dame...
Nous attendons tous les deux l'ouverture de ce saint lieux je vois.
Peut-être pourrions nous faire plus ample connaissance ?
Mais permettez moi de me présenter...Oscar Wellington, à votre service...


Continuant à sourire ses lèvres effleurèrent les sienes en une tendre promesse.
--Enzo



[ Sous sa fenêtre, une apparition inattendue ]

Perdu dans ses pensées. Aucune appréhension pour l’ouverture de la Rose. Cela semble déjà bien mouvementé à la porte de la maison close et cela laisse présager une nuit pleine de promesses. Assit sur le rebord de la fenêtre de sa chambre, dos bien calé contre la fenêtre, la rue ne laisse rien voir de particulier.Peut-être l’esprit ailleurs, la tête dans les nuages ou qui sait quoi d’autre de possible, il ne voit rien ni personne avoir une attitude qui aurait pu porter à préjudice ou à curiosité.Tout va bien ou mieux. Rien de palpitant à priori qui puisse sortir de l’ordinaire. Se suffira de la routine, se souvient encore ce que lui a valu de vouloir mettre un peu de sel dans son existence. Jette un regard en oblique sur sa chambre. En ordre. Quand sorti de nulle part, une voix attire son attention :

Hola hombre…Dites-moi…C’est assez pour vous ?

Tête baissée vers la jeune femme rousse en contre-bas dans la rue. Elle joint à ses paroles un geste très guindé dans son corsage pour en extirper une bourse d’écus à priori, du moins, le déduit-il. Non point qu’il fasse un défilé à sa fenêtre pour aguicher dans le rue la clientèle, mais, la Rose Noire avait solide réputation et une notoriété bien établit depuis belle lurette. La jeune femme en question doit pertinament savoir qu’elle s’adresse à un courtisan. Ne le tarauderait pas avec une question d’argent. Comment savoir si c’est assez. Dans tous les cas, l’offre s’adresse à lui. Il se penche un peu plus pour mieux détailler la jeune femme, ses mains posées à plat sur le rebord de la fenêtre. Doit pas être du coin vu sa tenue vestimentaire. Puis le Hola hombre lui dit vaguement quelque chose comme de l’espagnol.

Je ne désire que m’entretenir avec vous…

S’entretenir avec lui ? Evite d’écarquiller les yeux de peur qu’elle prenne ses jambes à son cou si elle s’en aperçoit pour marquer sa surprise. Que veut-elle lui dire, lui annoncer ? Ne la connaît pas du tout à priori. La regarde bien. Non pourtant. Des écus juste pour lui parler ? Se passe la main sur son menton, perplexe Avant il n’aurait pas réfléchit. La curiosité aurait prit le dessus, serait déjà en bas à ouvrir la porte d’entrée de la Rose pour vite s’enquérir de cette nouvelle aventure. Un peu sur la défensive, le jeune homme l’aperçoit jeter un œil vers une ruelle. Fait de même et pivote sa tête pour regarder dans la même direction. La ruelle. Ne voit rien d’anormal.

Ou…me faut-il absolument consommer ?

Elle tient juste à lui parler. Le reste sert juste à dissuader de sa mauvaise volonté de vouloir s’offrir un homme, mais dans quel but précis ? Que pourrait-on avoir à dire à un parfait inconnu à une fenêtre de maison close ? Bien étrange tout cela. La seule chose qu’il puisse accorder à la jeune femme est donc de bien vouloir la rencontrer mais ce, dans le cadre de sa vocation. Il ne peut se permettre de prendre un risque à la vue de la tension palpable actuelle au tout le monde est encore plus sur les gardes, à l’affût. Un cerbére sur les dents à ne pas trop titiller, cela doit en normalité vous refroidir, et vous intimer de ne pas commettre d’impair. Comme réponse à cette soudaine proposition, Enzo lui fait un signe de la main de l’attendre, qu’il revient. Il disparaît de la fenêtre, le temps de prendre un bout de papier, de griffonner dessus. Laisse sécher un peu puis le plie pour lui donner une forme longitudinale, une pointe, deux espéces d’ailes repliées sur chaque côté. Réapparait à la fenêtre, et jette dans les airs ce bout de papier qui virevolte vers le sol comme un oiseau, porteur d’un message destiné à la jeune femme espagnole :




« Si vous souhaitez vous entretenir avec moi, je vous conseille de patienter jusqu’à l’ouverture de la Rose Noire, et de me choisir comme courtisan pour pouvoir parler de ce qui vous tient tant à cœur. Pour l’argent, et le fait de « consommer », c’est à vous de voir si votre superfuge demande autant de sacrifice de votre personne pour aboutir à vos fins »


Enjoy
    [Dans la rue...]

    L'imprévue. Ne rien attendre de particulier, n'avoir que pour seul but de passer. Se faufiler comme une anguille dans les méandres d'une populace au goût prononcé pour le volage. Et aux relations non pas larmoyantes mais ondoyantes. Et nous voici en présence d'une jeune femme, hier chrysalide. Aujourd'hui, fragile papillon volant trop près des lanternes et se brulant les ailes. Son périple s'achève dans un piège tendu par une arachnide. Orfèvre aux doigts d'argent tissant une toile de soie, sans merci pour ses pauvres victimes.

    L'androgyne n'est point un nuisible. Opportuniste dans le pire des cas. Il, elle porte le Calice des délices et du vice aux lèvres de l'enfant de l'innocence, désireuse d'y boire jusqu'à la lie. Quelle terrible souffrance... Mais la coupe d'or sertie de diamants a beau être une grande tentatrice. Elle ne pourrait la faire succomber aussi facilement. Il faudra user de bien de stratagèmes et de patience.

    Elle ferme les yeux quand les lèvres s'entrecroisent. S'en suit un soupir de désir, puis une pointe d'ire avec un zeste de rire. Nervosité, à ne pas en douter. Elle reste interdite, figée telle une statue de sel. Pour celui ou celle qui la courtise avec malice et zèle. Le geste se fait invitation. La main de la jeune femme caresse sa gorge se perdant en sa poitrine, offerte sur un plateau, celui d'un décolleté plantureux. Et soudain, on se demande bien qui attise la flamme de la passion.

    La brune se reprend et se présente calmement. Peut être se laissera-t-elle tentée ? Comme Eve dans le jardin d'Eden. Sa voix sensuelle se fait messagère de doléances face à ces cruelles promesses...


    Enjoy, enchantée... Plus ample connaissance, dîtes-vous ? Cela dépend. Qu'avez-vous à m'offrir ?

Oscar_w.


[Dans la rue...]

Un soupir lorsque ses lèvres frôlent celles de la belle.
Un frisson le, la parcoure. Son désir rejoint celui de l'inconnue, déjà perceptible.
Il, elle sourit, mord la lèvre convoitée, doucement, juste un peu... susciter son désir, un peu plus.

Il la regarde caresser sa poitrine, en souriant, promesse de délices...
Comme deux fruits bien murs à croquer.
Ecartant sa main délicatement il, elle en baise les tétons avec douceur puis referme le corsage qu'il venait d'écarter.

Un sourire de nouveau, enchanteur...

Ce que j'ai à vous offrir...?
ce que vous souhaitez...au masculin, au féminin...ou bien les deux tours à tours ou simultanément.
Ce soir, je m'offre à vos désirs.
Xjade
[Perdue dans des abysses incertains]

La brune ne disait plus rien, la assise sur ce fauteuil ou on la forcée à rester, corps plongé dans un état presque catatonique, elle observe tout mais en dit rien, le contrat semble conclut, elle n’écoute même plus les mots au final, seuls les gestes on leur importance à ses yeux...la menace est la palpable..si proche...

La Rouge finie par se lever, suivie de prés par l'ordure , ils montent, rassurée la brune poussera un soupir de soulagement, enfin seule, enfin plus pour très longtemps...le passage se fait dans le salon elle y prête à peine attention, sauf cet homme qui attirera ses prunelles de jade, une peau aussi pale que la sienne, des yeux clairs, une allure presque féminine...elle le trouve pour le moins étrange mais se gardera bien de lui parler...

Quelques coups donnés à la porte, curieuse elle se lèvera, souplement, corps gracieux qui glisse jusqu’à la porte, les voiles blancs de sa robe la suivant dans un sillon vaporeux...elle se cale contre le mur adressant un bref sourire à Baudouin, son sauveur...

Prunelles émeraude qui fixe alors l'homme à la porte, apparemment un ancien, elle entend le nom de Désirée et ce dit que celle ci fut bien nommé pour travailler dans ce genre d'endroit...au moment ou l'homme inconnu parle de nouvelles arrivées, elle rougie, prend sur elle, c'est une vrai épreuve, une bataille interne entre sa peur viscérale et son envie de connaitre les gens...

Les lèvres s’entrouvriront difficilement, voix de velours se faisant alors entendre, douce, au timbre presque apaisant, alors qu'elle offrira ce qui s'apparentera à un sourire :

- Bonjour , je suis Jade...une nouvelle, je m'occupe du comptoir...
*soufflant pour elle même avec rancœur* pour l'instant...
_________________
La_dame_rouge
[Pres de Flex, puis de Geoff]

Baise-main et confidence, Rouge fait les yeux doux au désirs Mirandoliens, chassant tant bien que mal ceux du Balbuzard.

Je vois... Je vous ferai porter tout cela ce soir en ce cas...

Car pour l'heure, c'était l'arrivée de Geoffroi qui la préoccupait. La voix jeune et masculine l'avait interpellée, semblable à nulle autre, plus douce et chaude que celle de son vieux cerbère. Un sourcil haussé semblait dire " tiens, le retour de l'enfant prodigue" tandis qu'un sourire exauçait toutes les exigences du Mirandole. Il était là pour les drogues, soigneusement rangées dans le coffre de son bureau. Seconde visite pour le sieur, c'est que la première fois il n'avait pas dû être déçu. Seulement, de drogues il ne restait que peu de chose, la Corleone qui s'occupait de la réapprovisionner ayant selon les dires et son absence, passé l'arme à gauche. Elle laissa ses pensées opiacées à plus tard pour se tourner vers le jeune homme.

Ainsi Geof était de retour. La Rouge désigna le confort des alcôves pour faire patienter le noble seigneur tandis que de quelques froissements de jupons elle vint près du jeune gardien.


Bonjour, toi. Tu m'expliqueras la raison de ta visite ce soir, en attendant tu peux rester dans les parages. Mais évite de reluquer les nouvelles.


Regard à Jade, la maquerelle esquisse un faux sourire étrange et s'en retourne. Un peu froid comme accueil... Mais au vu de sa journée, elle avait de quoi se justifier.
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Un rôle à la Rose Noire?
La_dame_rouge
[ A l' ouverture des portes, début de la nuit ]

l'huis avait donc été tiré, et bien que la porte soit close , la Rose Noire était ouverte aux clients, curieux, passants esseulés, et surtout aux nobles à la bourse bien garnie. En théorie tout le petit monde de la Noire et de la Rouge était prêt, attendant sagement ou moins sagement le client qui fera leur fortune de la nuit. Les bains étaient chauds, les tentures tirées, et Rouge regonflée d'un souffle vigoureux.


Il se jouerait beaucoup de choses ce soir, beaucoup de choses... Rouge s'y était préparée.


Elle grimpa sur son tabouret haut, perchée en silence , l'oeil de velours observant les allées et venues de son univers. Son fils était là, quelque part, et elle ne le surveillait pas. La maison toute entière s'en occupait pour elle... Elle fit signe à Jade de lui servir quelque chose à boire, un hypocras, bien épicé.

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Un rôle à la Rose Noire?
Oscar_w.


[Dans la rue...]

Le bruit de l'huis que l'on ouvrait attira l'attention d'Oscar.
La Rose Noire semblait ouvrir ses portes, et les délices qu'elle offrait étaient renommés dans tout le Royaume.

Son désir s'accrut à la pensée des plaisirs qu'il pourrait partager avec Enjoy, compagne de hasard, troublante...
Il avait envie de s'offrir ce soir...
Se faire le jouet docile de cette femme, en compagnie de...il verrait.
Une amante ou un amant ? Les deux peut-être.
Sa bourse était suffisamment garnie pour s'offrir tous les services proposés par l'établissement.
Effleurant la main de Enjoy, il lui murmura :

M'accompagnerez-vous dans mes luxurieux plaisirs... ?
dardant son regard noir, souligné par son maquillage de même couleur, dans le sien.

sans attendre de réponse il frappa à la porte, attendant qu'on lui ouvrit.
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