Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 15, 16, 17, ..., 153, 154, 155   >   >>

[RP] Maison close de la rose noire

Marcello.
Cabré au dessus d'elle, Marcello laissa les va-et-vient de ses reins se régler sur les battements irréguliers de son coeur, alors que Marigold vérouillait autour de sa taille le cadenas imprenable de ses jambes, et venait plaquer son ventre contre le sien.
Un long frisson parcourut l'échine et contracta les muscles du soldat qui brusquement accéléra le rythme, puis le stoppa, et reprit, lentement, puis accéléra de nouveau, et stoppa, une fois de plus, cédant aux plaisirs un rien masochiste de faire durer le plaisir, pour lui comme pour elle, le plus longtemps possible.
La chaleur dans la piéce montait et montait encore. Sous leurs corps enlacés, les draps de satins ondulaient. Frôlant de ses lèvres la peau d'albâtre de Luce, il passa un bras sous son dos cambré, et avec un ultime coup de rein, roula avec elle jusqu'au centre du lit.
L'espace d'une minute, Marigold fut au dessus de lui, et les mains puissantes du soldat emprisonnait sa poitrine. La minute suivante, il la soulevait à bout de bras, et inversait une nouvelle fois les rôles, accélérant à nouveau les va-et-vient, et explorant de la langue les lèvres bouillonnantes de Luce...
_________________
Cymoril
[De la chambre avec..vue…pas vue… au salon]


Alors c’est ça ?

Elle allait payer pour avoir vu…ça ! Ou en résumé que dalle !

Perplexe la Fourmi pour le coup. A peine avait-elle eu le temps de trouver l’endroit, se mettre à l’aise que déjà c’était terminé et la donzelle s’était barrée. Un couple d’adolescents boutonneux jouant à touche pipi dans une meule de foin aurait fait mieux.

Assise sur le coin du lit, la voilà plongée dans un profond questionnement. Ce qu’elle venait de voir la consternait. Comment les hommes pouvaient-ils payer pour une chose qu’ils pouvaient aisément trouver dans les tavernes en fin de soirée et pour pas un rond ? Payer pour une prestation de qualité elle aurait pu comprendre, mais là… Ils avaient passé plus de temps à se sucer les doigts en bouffant leurs fruits qu’en culbute.

Une chose était certaine, elle n’avait vu nulle pratique particulièrement d’exception, rien qui ne puisse justifier l’intérêt en tout cas. L’homme était-il timoré, trop rapide ? Ou la donzelle était-elle usée comme une vieille mécanique sans imagination ni entrain.
Elle pouvait comprendre que la carrière de catin n’était pas forcément très reluisante, mais il lui semblait que ce genre d’établissement n’employait que des volontaires et prétendait à une certaine image. Allez comprendre. En tout cas, elle n’y pipait goutte et toute cette affaire avait finalement soulevé encore plus de questions qu’elle n’en avait au départ.

Et le regard de se porter sur le bout de ses bottes, fixement, et le temps qui s’arrête, comme suspendu.

Combien de temps reste-t-elle là ? Sans doute guère plus que quelques minutes, envolées. Un clignement d’yeux, un regard qui reprend pied et parcourt la pièce, inquiet. De longues inspirations pour contrer la quinte de cette vilaine toux qu’elle traine, mains crispées sur le tissu de ses braies. Il faut qu’elle redescende et boive quelque chose. De toute façon, il n’y a plus rien à voir ici. Affaires récupérées et elle se dirige vers la porte, avisant en la passant la bougie qui brûle toujours à l’extérieur.

Direction l’escalier. Passant devant certaines portes au long du couloir, gémissements étouffés qui parviennent à son oreille. Décidément il doit être écrit quelque part que la luxure lui a fermé sa porte. Même de loin. Elle ronchonne, affichant une moue désappointée sur son minois pâle alors qu’elle redescend.

_________________
Nicolas.df
[Chambre grand 8]

Celle qu'il croyait ? Sauf que s'il lui posait la question, c'est qu'il ne savait plus, justement. S'il ne l'avait pas sue Italienne, il aurait pu la prendre pour une Normande, à fournir des réponses pareilles. Son attitude était autrement plus significative... soit elle était une des meilleures comédiennes qu'il connaisse, soit elle était sincère et le malentendu, quel qu'il ait pu être, avait été dissipé. Elle se libéra de toute façon pendant qu'il l'évaluait du regard, et le contourna prestement pour se révéler à lui dans toute sa nudité. Indéniablement, elle était désirable. Son corps était celui d'une femme qui n'a d'autre occupation que de plaire, et elle plaisait, en tout cas à Nicolas. Elle le savait, et cela se voyait dans ses yeux... sûre de son emprise sur lui, en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, elle l'avait lui aussi mis à nu.

Physiquement d'abord, et rapidement, mentalement. Aucune femme ne l'avait touché depuis l'entrée au couvent d'Adelinda, et si sa résolution n'avait pas faibli, son corps, lui n'était que trop heureux d'en finir avec cette longue abstinence. Son oeil se ferma de lui-même dès les premières caresses, et un long soupir lui échappa. Une ou deux courtisanes florentines qu'il avait connues quelques années plus tôt auraient assurément été estomaquées de le voir si sensible à des préliminaires aussi basiques ! Seulement elles n'étaient pas là... Rosa si.

La belle réussit même à le surprendre, tout occupé qu'il était à refaire connaissance avec des sensations non ressenties depuis trop longtemps. Une bouche vorace fit son chemin... et le borgne se retrouva allongé sur le lit à gémir et à trembler. Une partie de lui-même lui susurra qu'il avait à l'origine plutôt prévu ce programme pour sa compatriote, mais il y avait des limites à la résistance qu'un homme pouvait opposer dans ce genre de situation. Et elles étaient dépassées. Seules importaient les ondes brûlantes qui remontaient son corps fébrile...

_________________
--Achim_al_quasim



[Dans la chambre avec Nina...]


Il serre les mâchoires quand elle se met à onduler, réclamant qu’il s’active à éteindre le feu en elle. Il la laisse faire, marquer son rythme lent, sa main droite accrochée à un sein qu’il pétrit à presque le malmener, alors que la gauche continue d’exacerber le bouton et qu’elle tressaille lorsqu’il souffle sur sa nuque, les yeux rivés sur le miroir, désireux de cueillir le premier rictus synonyme qu’elle aurait atteint l’état dans lequel il veut la mener.

La droite lâche le téton et vient se poser sur la hanche laiteuse de la blonde, ferme sur ses rondeurs. Il ralentit la cadence faisant mine de cesser, guettant un regard, une supplique, avant de replonger dans la fournaise d’un profond coup de reins, imprimant dès lors son rythme à lui. Puissant, plus rapide, plus animal… Comme le feu étincelant qui illumine ses yeux et le grondement dans sa gorge.

La gauche aussi s’active plus, la blonde défaille par moment, il sent ses jambes céder alors qu’il la retient. Dominateur mais aussi protecteur. Il sait le feu qui habite son ventre, il est animé du même. Il veut l’entendre gémir encore, qu’elle se laisse aller une fois, plusieurs, que ses cris emplissent la pièce…Il abandonne le bouton d’or, laisse remonter sa main lentement sur le petit ventre tendu, y imprime ses doigts avant de poursuite la remontée, glisse entre les monts où quelques perles de sueur ont fait leur apparition, pour s’arrêter sur la gorge.


N’aies crainte…

Souffle-t-il à son oreille, lorsque la main se serre doucement sur le cou fragile et qu’il continue de marteler, mordant la nuque en grognant de plaisir et appuyant plus fort sur la hanche pour forcer la cambrure…Avant de revenir à un rythme plus lent, travail de profondeur et de longue haleine, et que ses doigts glissent doucement de la hanche en quête de la nacre humide qu’ils agacent, accompagnant le va et vient langoureux un moment, avant de l’abandonner encore, et d’entreprendre d’ouvrir la voie d’un nouveau sentier de perdition. A la cour des sultans, l’on aime à s’adonner à cette pratique sur des adolescents tout juste pubères, mais il aime trop les femmes et n’y goûte qu’avec elles. Et la croupe opalescente qui s’agite sous ses coups de boutoirs l’inspire.

Le miroir renvoie le reflet du Maure se passant une langue gourmande sur ses lèvres sèches, et d’une gorge pâle tenue dans sa main. Et cette nouvelle envie, primaire… alors qu’il continue d’honorer la blonde avec une vigueur infaillible…
--Lady.


Enfin le Sucre perdait son enveloppe de bienséance et il m'attira d'un geste brusque vers lui. Mon dos collé à sa poitrine, je sentis l'enflement de son entrejambe contre mes fesses et je le caressais d'une main, tout en jetant un regard langoureux à Kufo. Je voulais qu'il se rapproche de moi, de nous ......

A la sensation d'une morsure dans le cou, je jetais la tete en arrière, j'émis un petit cri plaintif et sentis ses mains glisser partout sur la dentelle qui recouvrait sommairement ma peau. L'excitation montait en moi, encore plus lorsque j'imaginais ce que je pouvais obtenir de deux hommes à la fois.

La temperature du corps du masseur se prodigua au mien et je me frottais contre lui, telle une chienne en chaleur
.

Vous allez bien ma Lady ?

Oh oui.....continue ..... repondis-je dans un murmure et ne quittant pas Kufo des yeux, je lui tendis la main pour l'attirer à moi.
--Sucre
[Dans une chambre, une mystérieuse enflammée, un brun ténébreux et torride et un blond]

Sucre commençait à s'enflammer, pour si peu il fonderait, heureusement non. Il continuait à parcourir le corps satiné de la divine en de furtifs caresses. Elle répondait favorablement à ses élans, il souriait lorsqu'elle lui demandait de continuer, c'est qu'elle lui plaisait de bas en haut. Elle n'était pas sa chose juste une femme à qui il amait prodiguer ses soins. Lapant le grain de peau de son cou à la manière d'un chat, ensuite il lui mordilla le lobe de l'oreille et entreprit de la déshabiller entièrement la cachant sa nudité du regard du blond. Il caressa certains endroits plus sensibles que d'autres allant et revenant sans cesse sur sa peau. L'allongeant doucement contre le lit, il s'allongea lentement sur son corps nu et embrassa sensuellement ses lèvres fines les léchant coquinement afin d'attiser ses sens. Il espérait juste que son excitation ne soit dicté par la présence de deux hommes dans la chambre mais bien à ses talents.

-J'ai pour but de vous faire monter au septième ciel ma beauté, lui avoua-t-il d'un petit sourire carnassier.

Il prit sa chemise et lui lia les mains aux barreaux. Son souffle s'était accéléré en pensant à la suite du programme, elle allait sûrement aimer d'ailleurs. Il commença par calmer le sang qui bouillonnait en lui, les battements de son coeur retrouvant la normale puis caressa ses pics fièrement dressés, il en prit un et le malaxa du bout des doigts puis de sa main libre fit de même avec l'autre pic, se frottant à elle comme un chat en manque d'amour, il en profita pour frotter son entre-jambe à l'entre-cuisse de Lady pour lui donner des frissons. Soumise par lui, elle n'aura qu'une envie qu'il continue sans arrêter, mais avec la présence du blond il ne pourrait pas utiliser toutes ses techniques. Le comprenait-elle ? Il était sûr que non... Lâchant ses mamellons, il couvrit le galbe parfait de sa poitrine de ses mains et entreprit de les malaxer et de les pétrir avec douceur mais fermeté. Il en goba donnant de petits coups de langue sur son sein gauche tandis qu'il le suçottait raffermissant sa prise. Il continuait et continuait tandis que sa main se rapprochait dangeureusement du carré de peau. Lâchant enfin son sein, il donna des coups de langue humides entre les monts et embrassa chaque parcelle de sa peau tandis que sa main voguait et effleurait l'intimité de Lady. Il restait un chasseur, sûrement voudra-t-elle changer de rôle. A cette pensée, il sourit s'imaginant déjà mille et une choses...
--Lucrece


[Il était un petit mariiiiiiin qui ne voulait pas pas pas entrer..., Grand Salon]

Lucrèce toujours non loin des rideaux de l'entrée décida d'aller s'avachir dans les coussins à son tour, non pas que son petit tour l'avait épuisée mais, elle était lasse de ne pas avoir de client et de ne pas voir entrer celui qu'elle avait repéré.

Se dirigeant à l'endroit où se trouvait Tadzio un instant plus tôt puisqu'à présent il était non loin de la blonde cliente qui était redescendue...Redescendue...mais pourquoi? Haussement d'épaules alors qu'elle s'installe dans le moelleux du fauteuil. Tiens d'ailleurs en parlant de retour, Désirée aussi est revenue...rapide besogne...un client empressé sans doute!

A son tour, elle le voit arriver de la cage d'escalier et se diriger vers la sortie, sourire visible aux lèvres...repu peut être! Léger baillement vite caché derrière la main, si la Rouge se rends compte que le sommeil commence à la prendre, elle risque de prendre une remontrance du tonnerre...Enfin, ce sera jamais pire que les corrections de son père dans son enfance! Une rosse ça fait jamais de mal...enfin si ça fait mal mais parfois...

Les pensées s'envolent vers des souvenirs de clients "spéciaux" comme elle se plaît à les surnommer alors que le sourire s'épanouit sur les lèvres avec mutinerie. Tiens! Elle l'avait pas remarqué celui là...le sire accoudé au bar qui visiblement attends quelqu'un. Serait elle partie si loin dans ses brumes de souvenirs qu'elle aurait loupé quelque chose...Retour à la réalité!

Les coussins sont là moelleux, l'oeil redevient vif et la main qui réprimait un baillement l'instant d'avant se pose doucement sur la peau de la cuisse découverte...Attendre...


Lucrèce? Viens par ici...

La voix de la Rouge s'échappe de son bureau non loin... Oups!Elle n'a pas été assez discrète apparement, le "viens par ici" ne semble pas courroucé...Qu'attends-t-on d'elle?
Elle se relève promptement, et d'un pas assuré se dirige vers l'antre de la matrone, arrivée sur le seuil, elle s'arrête apercevant alors une môme crasseuse qui visiblement n'a rien à faire là...


Oui ma Dame?

Elle s'attends à se faire redresser le corset...mais surtout pas à s'occuper d'une mioche...elle risque de pas être déçue la blondine!

--La_dame_rouge


[Bureau]

Le jeune femme s'est approché à son appel, et la présence de la fillette l'interpelle visiblement. Naturellement. Levant les yeux vers la Luce, elle lui demanda d'un ton neutre:

Lucrèce, tu n'as rien à faire?

Sans attendre sa réponse, la Dame lui indiqua l'enfant pres de Baudouin.

Occupes-toi de cette petite veux-tu... Pour ce soir elle dormira dans une chambre, regarde, on ne voit même plus la couleur de sa peau.

Il y avait une seule pièce dotée de deux bacs à eau pour se laver et faire ses ablutions dans la maison. En fin de journée - ou plutôt de soirée - les filles se disputaient fréquemment l'entrée de la pièce, pour ne pas être la dernière à sentir la sueur... Le rituel était toujours le même, la dame veillait après le lever à la bonne propreté de ses petites têtes blondes. Car il fallait bien l'admettre, mis à par la Rose italienne, les crinières d'or étaient majoritaire à la Rose Noire... Affligée, la dame fit un signe de main vague pour faire sortir tout ce beau monde de son bureau. Le bordel n'était pas un orphelinat, ni ses filles des nourrices.

--Lucrece
[Seuil du bureau]

S'occuper de...comment ça s'appelle déjà?L'instinct maternel c'est pas ce qui prime chez l'itinérante, elle a pas aimé son enfance avec sa mère qui déjà avant elle faisait le plus vieux métier du monde, alors c'est pas pour devenir la maman d'un marmot qui en bavera tout autant qu'elle...surtout sans père! Cela dit au vue du sien de père, ça vaudrait peut être mieux! Enfin, ça risque pas d'arriver, parce qu'elle se traite avec les plantes dont elle a le secret! La vieille recette de grand mère de la Dangerosa en réserve est bien utile et avant qu'elle ponde quoi que ce soit, les poules auront les dents longues!

Décidément c'est vraiment pas sa nuit tout de même! Entre les clients qui se font rare et ça... Elle regarde la petite avec un oeil perçant, c'est vrai qu'elle est pas de la toute première propreté mais, ça doit être une enfant des ruelles! La mioche la reluque sans gêne, elle semble vive! Alors à ce moment là, la blonde décide qu'elle lui plaît bien, le caractère semble franc, c'est pas un mal! Elle obéit donc à la tenancière, et d'un signe de menton, elle grogne entre ses dents à la gamine sans pour autant être désagréable:


Allez!Suis moi!

Faut pas perdre de temps parce qu'à ce rythme là, les filles qui sont montées avec leurs proies risquent d'en finir, de leur voler la place pour laver la môme et en plus, Lucrèce a pas envie de s'attarder dans les étages, elle aimerait bien travailler autre chose que le corps de cette marmaille qui semble-t-il va devenir une employée à son tour...Drôle de place pour une petite fille!

--Isabeault
(Dans la chambre, encore, encore et encore )



Elle n’est plus que sensations pures. Et pensées impures. Dans une chambre inconnue avec cet homme dont elle ne sait rien, recherchée et traquée, Isabeault s’abandonne au plaisir sous les assauts répétés de cet étranger dont elle ignore même le nom.

Abandonnant toute pudeur, elle se cambre et s’offre, une main crispée sur la cuisse ferme de son amant de passage. Elle qui n’a toujours fait l’amour que par amour, s’étonne des cris qui sortent à présent de ses lèvres. Cris qu’elle tente de retenir, le dos de sa main droite plaqué sur sa bouche .


- Hummmmmmmm !

Douce et souple, chaude et humide, elle se love contre lui, épousant son torse de son dos.
Aucun mot entre eux.
Leurs respirations saccadées troublent le silence de la pièce. Quelques grognements rauques de sa part attestent , que lui aussi trouve plaisir à la besogner sans relâche. Elle alterne gémissements et petits cris. Elle se laisse aller à son rythme, reprenant son souffle lorsqu’il ralentit un peu , et s’affolant à nouveau quand à nouveau, il revient plus fort en elle, lui arrachant à chaque fois un cri .
Elle gémit encore et encore , se tord entre ses bras. Son orgueil seul, la retient de quémander, de réclamer qu’il la prenne encore, plus fort, encore. Elle vacille et ne tient debout que par sa force à lui, qui la cloue contre le lit, ses bras autour d’elle qui la maintiennent et la guident.

Ses yeux se ferment pour laisser son esprit et ses autres sens s’exahlter. Une odeur de sexe , et de sueur mêlée aux parfums de leurs peaux, et cette fragrance d’eau de rose dont elle aime imprègner ses poignets et son cou. Lorsque ses yeux se rouvrent, c’est pour croiser dans le miroir, l’image d’un couple enlacé, qui se meut dans une danse sensuelle et folle. Image qui la trouble et la bouleverse encore plus.


Son souffle chaud à son oreille et sa main qui caresse la peau de son ventre, remonte jusqu’à son cou, soudain, le serre doucement . Elle déglutit. Se crispe. Sa main se pose sur le bras de l’homme.


" - N’aies crainte…"

Sa voix douce, presque tendre, la calme et la rassure. Elle se détend, et puis resserre ses muscles intimes autour de son membre insolent et dur.

Mais tout à coup, les doigts du bel arabe, cessent d’agacer son bourgeon érigé et sensible, viennent caresser ses fesses, et………………..
Elle se raidit. Se cabre , telle une pouliche affolée .
Non………… pas ça. Pas comme ça.

Elle connait cette pratique. Mais l’église l’ interdit . Il ne faut pas. Elle se dégage doucement, proteste :


- Non, pas ça !
Pitié !
Seules les catins…………Non !


--Achim_al_quasim



Voilà qu’elle invoque des prétextes erronés pour le contrarier et tenter de se dégager. Lui qui la croyait libérée de ces considérations oiseuses et prête à le suivre dans le plaisir. Un grognement lui échappe. Sourd. Et sa main se raffermit sur la hanche. Possible qu’elle en conserve la marque quelques jours. Et il répare la position d’un violent coup de reins en fixant le visage de la blonde dans le miroir, enfoncé au plus profond d’elle avant de lui répondre d’une voix raucie par le plaisir.


De grâce ma belle.. laisse l’église et ses peine-à-jouir là où ils sont… prodiguer leurs conseils aux benêts… si le Créateur était contre, il aurait fait de sorte que ce plaisir nous fut impossible…


Il parle avec lenteur, alors qu’en elle il vibre et s’enfle encore plus, et que ses doigts après un détour d’un instant sur la fleur ont repris leur quête.


Tu serais surprise du nombre de femmes honnêtes réclamant qu’on les honore de la sorte…


Il mordille sa nuque, provoquant des frissons, alors que soumise à ses interdits implantés par des hommes frustrés elle gémit en tentant de se dégager. Ce qui ne fait que le renforcer, chaque tentative de dégagement engendrant un retour plus présent, en douceur.


Oublie tes doutes, tes peurs…


Il s’est retiré d’elle, luisant de plaisir, et se présente à l’endroit défendu, rendu plus détendu par ses caresses. Il la regarde, la main la serrant de désir sur la hanche et l’autre accompagnant sa virilité glissante alors qu’il pénètre en elle.


Ouvre toi au plaisir…

Un peu… Sa voix gronde alors qu’il pose la main sur sa croupe blanche, lâche le miroir pour regarder la scène et se sentir durcir d’excitation. Le va et vient s’installe, doucement, facilité par cette eau divine dont elle a paré son membre auparavant, recul léger et progression toujours plus avancée, jusqu’à ce qu’enfin il soit au plus profond d’elle. Il râle de plaisir, chaque main ayant pris place sur une jumelle blanche qui encadre la splendide lune, accroché à elle, en elle comme jamais, il alterne regard au miroir, la voir, la lire, qu’elle lise aussi… Il n’est là que pour ça… Le plaisir… qu’ils vont prendre… si elle lâche enfin prise… regard sur les fesses blanches, ses mains sombres, et lui qui coulisse en elle en rythme maitrisé…
--Rosadeiventi


[Chaleur... Heu chambre 8]

La Rosa n'a peut-être pas un esprit aussi vivace que son client mais dans son métier elle excelle. Il suffit de voir à quel point son bel Italien se perd dans les abysses du plaisir sous les caresses expertes. La catin prend elle aussi du plaisir en entendant les gémissements, en sentant le corps onduler au rythme du coulissement de sa bouche sur l'objet défendu. Elle aspire, elle lèche, elle mordille pendant que les mains pétrissent avec habilité les valseuses de son arrogant.
Jugeant que sa tâche se termine là, elle retire avec précaution sa bouche humide et s'essuie d'un coup de langue. Elle se relève et le guette avec amusement. Il n'est plus en mesure de combattre, il a rendu les armes. Avec sensualité elle grimpe à son tour sur le lit et le chevauche sans pour autant se laisser pénétrer. Non seul son mont de Vénus a le privilège de se frotter contre le mont dressé. En petits mouvements circulaires du bassin la Bella sent l'extase monter et sa féminité se gonfler d'envie. Sans pudeurs elle gémit, elle se mord les lèvres en fermant les yeux pour mieux apprécier le contact. Son antre du désir s'humidifie alors que la cadence s'accélère. En totale communion les deux amants sont prêts pour le grand saut et la Rosa le dit clairement à son bel Italien dans un souffle saccadé


"Je te veux là tout de suite!"

Nicolas.df
[Chambre ]

Paradoxe du plaisir buccal masculin : lorsqu'il cessait avant la fin, la frustration intense de l'extase refusée le disputait toujours au soulagement de pouvoir enchaîner sur d'autres activités... l'Italienne était de toute évidence du même avis. Elle s'empressa de profiter de sa vulnérabilité pour le chevaucher, et si elle ne lui permit pas immédiatement de la posséder, elle fit en sorte de ne pas perdre le bénéfice de ses efforts. Comment pouvait-il ne pas demeurer aussi tendu qu'un arc, alors que la désirable jeune femme semblait décidée à utiliser sa virilité comme un jouet pour se mettre en conditions ? Encore une fois, il se rappela qu'il avait projeté de mettre lui-même ce délicat processus en oeuvre... puisque la belle gagnait tous les rounds de la première manche, il lui offrirait une revanche impitoyable. Pour l'heure, il était tellement plus facile de la laisser faire...

Puis elle fut mûre, il le sentit -avec une acuité presque cruelle- quelques secondes avant qu'elle ne l'avoue. Il ne serait pas utile de lui répéter deux fois ! Le borgne, trop heureux de récupérer une initiative trop longtemps concédée, lui saisit fermement les fesses et accomplit sa requête si poliment formulée. Enfin, il était en elle... pour quelques temps, ils ne seraient plus qu'un. Puis ils se sépareraient et s'uniraient à nouveau sans doute plusieurs fois jusqu'au matin.

D'une main, il imprima férocement la marque de ses ongles dans le délicieux fondement qu'il refusait de lâcher... l'autre, comme une concession, agrippa une hanche pour donner le rythme de leurs saccades. La nuit commençait tout juste, et le jeune Italien était encore fringant, se laisser bêtement chevaucher était hors de question. Il se cambrait par à-coups en poussant sur ses jambes, au moins autant que sa cavalière allait et venait sur lui. Les dents refermés sur sa lèvre inférieure mise au supplice, Nicolas laissa son oeil remonter le ventre plat de Rosa, passer sur sa poitrine tressautante, et accrocher son regard.


Profites-en tant que tu peux me regarder de haut... je ne me laisserai pas avoir aussi facilement quand nous recommencerons !

Ayant pu expérimenter son caractère susceptible, il prit soin de ne laisser aucun doute quant au ton provocant de ses propos. Il s'agissait d'un défi, pas d'une menace.
_________________
--Rosadeiventi


[Moment intense - chambre 8]


Le moment tant attendu arrive enfin. Après des heures de lutte, de dispute, d'incompréhension le couple s'unit en une danse voluptueuse et sensuellement rythmée.
L'amazone chevauche avec maitrise son étalon fougueux en menant le bal. Pénétration profonde qui lui arrache un petit grognement alors que son bel Italien se contorsionne pour lui procurait des plaisirs différents et ô combien jouissifs. Elle sourit intérieurement en comprenant qu'il ne souhaite pas lui donner la maîtrise totale de l'acte.


Profites-en tant que tu peux me regarder de haut... je ne me laisserai pas avoir aussi facilement quand nous recommencerons !

Elle laisse échapper un petit rire, honorée de sentir que son client n'est pas rassasié et en redemande avant même d'avoir fini le premier round.
Elle ne répond pas bien trop emportée par ce flot de bien être qui envahit son corps. Elle attrape seulement sa nuque d'un geste sec et plante ses noisettes enflammées dans son œil enfiévré en ondulant. Sa main se pose sur la sienne et dans une parfaite harmonie le couple s'enivre de ce contact charnel. Sa respiration se fait courte, des gouttes de sueur coulent entre ses seins durcis et fermes. Elle se redresse sur son ventre tandis que tout son corps se cabre en une danse langoureuse. Elle lui offre un hymne au plaisir sans pudeur et sans retenue. Quel bon choix ce de Firenze!


--Isabeault
(Dans la chambre, toujours !)



Elle crie quand il la pénètre à sa guise. Il la force sans violence. Comme un amant amoureux et attentif, il prend son temps. Il est fort, elle est étroite et crispée . Elle gémit et se plaint.

- Non !!!!!!!!!!!

Mais il lui impose sa loi. Patiemment, il se fraye un chemin au plus profond de son corps. Son membre gonflé et dur l’envahit peu à peu , la prend . De sa voix rauque, il la guide vers sa reddition.

"- Oublie tes doutes, tes peurs…"

Douleur et plaisir se mélangent alors qu’elle croise dans le miroir, ses yeux couleur d’ébène qui la fouillent, la devinent.

"- Ouvre toi au plaisir…"

Elle finit par céder, se soumet à lui et se cabre à présent, gémissant , et criant à chaque fois qu’il vient . Ses mains la maintiennent fermement, puissantes et fermes, l’attirent et la retiennent.

Alors, elle s’abandonne totalement à lui , oublie toute pudeur et se donne. Ses bras remontent, cherchent la nuque du Maure, s’y accrochent , la menant par ce geste à se cambrer encore plus contre lui. Elle veut sa peau. Dans son cou, son souffle court , ses grognements la remplissent d’aise. Qu’il jouisse d’elle comme elle de lui . Que pour un instant, ils ne soient qu’un seul corps avide de sensations.
Vivants, ils sont vivants, tous leurs sens exacerbés. Un homme, une femme que le plaisir réunit pour un instant.


La chambre résonne des cris qu’elle ne tente plus de retenir. Vaincue , elle se moule à lui, lascive. La sueur perle entre ses seins dressés. Elle supplie et quémande, sa puissance et sa force en elle. Qu’il calme ce feu qui la dévore ! Le retenant de ses mains, de sa chair qui l’enserre, de ses mots qui s’échappent de sa bouche, elle l’attire, à son tour, l’emprisonne de sa douceur . Ses yeux noyés dans ceux de l’homme, dans le miroir, témoin de leurs ébats, elle l’implore.

- Oui ! Oh , Oui !! Hum !!!!!


See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 15, 16, 17, ..., 153, 154, 155   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)