--Achim_al_quasim
[Dans la chambre.. pour un moment encore.]
Ses mains le touchent, le cherchent et le regard dans le miroir est brillant Il sourit de plaisir. Elle a enfin rompu les chaines de la morale pour se livrer à celles, bien plus intéressantes, de lamour physique. Peu à peu, ses gémissements changent, de doucement plaintifs ils se font demandeurs, sans un mot, au début.
Mains toujours fermes sur les splendides blancheurs, il conserve la maitrise alors quelle se cambre de plus belle, que son corps réclame. Jusquà ce que de plaisir elle ne commence à crier, sans retenue, livrée à ses sensations inédites.
Lidée de lavoir convertie à ce plaisir si particulier, de la voir ainsi, ses cris qui résonnent dans la chambre, tout cela éveille en lui un instinct quasi animal. Trop longtemps quil na tenu de femme dans ses bras. Un regard à la scène et il cède, se laissant prendre à un rythme frénétique, à la frontière dune violence bestiale.
Elle est belle et elle est à lui à cet instant. Soumise à sa volupté. Et lorsque sa voix se fait entendre, alors il ne résiste plus, laissant la chaleur qui irradie ses reins envahir son ventre et exploser en elle en un puissant coup de reins, la rejoignant dans un râle sonore.
Fin du premier acte.
Ses mains crispées sur les hanches il la maintient, conserve la pose au plus profond delle, plaqué contre son dos, le souffle saccadé alors quil lui mord la nuque pour marquer lintensité de son plaisir. Il ne la pas lâchée des yeux, mais le miroir est incertain. A peine a-t-il repris son souffle quil reprend, sur une cadence mesurée, lui soufflant à loreille :
Je nen ai pas fini avec toi ma douce Nina
Lentement il se retire, et la retourne, renversant lalanguie sur le lit, ne lui laissant aucun répit. Un genou posé à côté delle, fier comme Artaban, le mât dressé et luisant de leurs sucs mélangés, il la contemple. Sa poitrine dont le lait est parsemé de traces de ses mains avides qui se soulève en saccade, son petit ventre perlé de sueur.. il laisse ses doigts courir de la gorge au nombril. Avant de se pencher sur elle, prenant tout juste sa main pour se glisser dedans, quelle constate quil na que son désir na que peu faibli. Il accepte un instant quelle joue alors quil prend appui dune main sur le lit, lautre délaisse les gouttelettes de sueur pour aller en quête dautres perles.
Et maintenant vais-je réclamer ta bouche ?susurre-t-il à loreille de la blonde, sa voix lourde de désir. Il se redresse, plante ses yeux dans lazur, sourit, laisse courir un souffle chaud dans le cou le la fille frémissante, alors que ses doigts sinfiltrent dans le coquillage humide, fouillent et sagitent et que du pouce il en agace le bouton. Ou bien vais-je revenir à ton petit con si accueillant ? Il emploie délibérément des termes crus, lexcitation quils ressentent le permet. Dans sa main est-ce lui qui ondule ou bien elle qui exalte son ardeur et laccroit de plus belle. Tu sens dans quel état tu me mets Dominateur par nature, il sait quil lui impose sa volonté, ses choix, et nen ressent que plus denvie de continuer. Elle ondule, il soupire, ils sont sous le joug de la même emprise luxurieuse.
Il se redresse lentement, la main qui était posée sur le lit se glisse sous la taille de la blonde, son regard se pose sur la toison blonde agitée par les remous de ses doigts. Il lâche un nouveau grognement et un spasme léger le saisit aux tripes, virilité qui tressaute prête à lassaut. Il abandonne coquillage et bouton, leur offrant une pause, la regarde encore, visage essoufflé et cheveux collés au front, il suçote le nectar sur le bout de ses doigts avant daccompagner, contre toute attente, le rubicond roide vers le passage étroit quil a déjà si bien servi.
Il ne la quitte plus des yeux, impossible quelle ignore où son désir le mène à nouveau. Il veut lire sur son visage lenvie, la voir rougir daimer ça et de le réclamer, voir la langue passer sur ses lèvres le miroir ne suffit plus. Debout au bord du lit, il soulève ses fesses pour mieux accompagner le coup de reins qui reprend possession delle, dans un grognement satisfait. Nouvelle danse, elle est écartelée sous ses yeux et il aime la vue. Toison brillante, seins qui se soulèvent à chaque coup de reins, le plaisir fait femme
Tu es belle
Il ne peut sempêcher de lui dire, ni de faire rouler le bouton à nouveau entre ses doigts. Il veut quelle lui crie encore son plaisir Il poursuit un moment, se délectant chaque seconde un peu plus, avant de lui saisir un bras pour la soulever complètement entre ses bras, la calant ensuite contre le montant vacillant du baldaquin. Il coulisse en elle comme jamais, mains la soutenant sous les fesses, il grogne encore à son oreille, lui mordille entre deux souffles, il la possède encore et encore Lui glissant à loreille quelle serait une reine dans son pays, que les hommes se damneraient pour elle, pour ça, pour le plaisir quelle offre