--Isabeault
(Dans la chambre............ Oui, encore !)
" - Tu mas ma petite catin Ne me sens-tu donc pas ? "
Elle devrait soffusquer, elle nen na plus la force,ni lenvie. Au contraire, ses mots lexcitent encore plus, elle nest plus quune femme avide de plaisir. Quil lui parle encore, que sa voix la caresse aussi , tant pis sil la traite de catin ou de reine, elle est femme avant tout, avide de jouissance. Peu importe , tant quil continue à aller et venir en elle.
- Humm !! Si ! Oooh ...........Si !
Il alterne caresses et morsures alors que ses ongles à elle senfoncent dans sa nuque, griffent sa peau. Animale, elle se tord entre ses bras, tente de lui échapper pour mieux se cambrer et le sentir plus fort, plus loin.
Amant attentif, il guette son plaisir, le devance, le provoque. Il lempale sans ménagement, la faisant hurler à chaque mouvement quil lui impose. Et linstant daprès, il ralentit et se fait tendre et caressant. Elle se perd dans ce tumulte de sensations, ne le quitte plus des yeux, promène ses mains sur lui, le touche et glisse sur sa peau sombre, où luit la sueur .
"- Tu me lavais dit pourtant que tu me ferais entrevoir des paradis insoupçonnés "
Le paradis, lenfer, elle sen fout. Comme elle se fiche de ce parchemin, de sa mission. De tout. De tout ce qui nest pas lui et ce plaisir quil lui procure. Encore, elle le veut encore et encore et encore .
Il lentoure de ses bras, et sourire triomphant aux lèvres, la dépose sur la couche. Dans ces yeux , elle peut lire la même folie qui lhabite. Lui aussi, la veut. Lui aussi goûte à linstant. Elle imagine des palais dOrient, des parfums dailleurs, des peaux brulées par le soleil, des marbres et des fontaines . Elle aime ce contraste quils offrent , sa peau claire et fragile à elle, et ces yeux noirs qui la sondent et la prennent , qui réclament son âme. Ses yeux clairs assombris de plaisir, caressent du regard, les joues sombres, les épaules et le torse de son amant de passage.
Humm !!!!!!!!! Cet homme est dangereux, trop beau, trop mâle. Trop sur de lui. Mais , que cest bon de sabandonner à lui, de devenir rivière , torrent entre ses mains.
Femme, elle est femme comme jamais.
Il gémit lui aussi, grogne pour exprimer son plaisir alors quil la besogne sans faiblir, la quittant juste pour revenir la prendre là, où elle est douce et chaude, humide. Infatigable, il prend son temps, fait durer , la fait attendre et la reprend , alors quelle souvre . Il la rend folle. Mais chose étrange, qui la bouleverse, il ne prend pas son plaisir égoistement. Il la cherche, lattend, la mène à ses limites .
Il veut quelle jouisse de lui .avec lui.
Lorsquil se penche sur sa poitrine, lui mordillant les seins, elle ne peut sempêcher de glisser sa main dans la chevelure sombre, de sy attarder dans un geste tendre, pour revenir à la nuque et le garder contre elle. Elle respire sa peau, écoute son souffle court, cherche elle aussi à reprendre sa respiration, puis se perd à nouveau dans un cri venu du plus profond delle quand son membre cogne en elle. Cabrée à sa rencontre, elle resserre ses muscles intimes autour de lui, pour le prendre à son tour, le capturer , le garder .
Le plaisir est si fort quil en devient souffrance.Elle nen peut plus, elle espère juste que lui aussi est fou. Quil noubliera jamais cet instant. Elle le regarde, admire la bouche entrouverte sur ses râles et implore :
- Pitié !
Viens ..Viens !
" - Tu mas ma petite catin Ne me sens-tu donc pas ? "
Elle devrait soffusquer, elle nen na plus la force,ni lenvie. Au contraire, ses mots lexcitent encore plus, elle nest plus quune femme avide de plaisir. Quil lui parle encore, que sa voix la caresse aussi , tant pis sil la traite de catin ou de reine, elle est femme avant tout, avide de jouissance. Peu importe , tant quil continue à aller et venir en elle.
- Humm !! Si ! Oooh ...........Si !
Il alterne caresses et morsures alors que ses ongles à elle senfoncent dans sa nuque, griffent sa peau. Animale, elle se tord entre ses bras, tente de lui échapper pour mieux se cambrer et le sentir plus fort, plus loin.
Amant attentif, il guette son plaisir, le devance, le provoque. Il lempale sans ménagement, la faisant hurler à chaque mouvement quil lui impose. Et linstant daprès, il ralentit et se fait tendre et caressant. Elle se perd dans ce tumulte de sensations, ne le quitte plus des yeux, promène ses mains sur lui, le touche et glisse sur sa peau sombre, où luit la sueur .
"- Tu me lavais dit pourtant que tu me ferais entrevoir des paradis insoupçonnés "
Le paradis, lenfer, elle sen fout. Comme elle se fiche de ce parchemin, de sa mission. De tout. De tout ce qui nest pas lui et ce plaisir quil lui procure. Encore, elle le veut encore et encore et encore .
Il lentoure de ses bras, et sourire triomphant aux lèvres, la dépose sur la couche. Dans ces yeux , elle peut lire la même folie qui lhabite. Lui aussi, la veut. Lui aussi goûte à linstant. Elle imagine des palais dOrient, des parfums dailleurs, des peaux brulées par le soleil, des marbres et des fontaines . Elle aime ce contraste quils offrent , sa peau claire et fragile à elle, et ces yeux noirs qui la sondent et la prennent , qui réclament son âme. Ses yeux clairs assombris de plaisir, caressent du regard, les joues sombres, les épaules et le torse de son amant de passage.
Humm !!!!!!!!! Cet homme est dangereux, trop beau, trop mâle. Trop sur de lui. Mais , que cest bon de sabandonner à lui, de devenir rivière , torrent entre ses mains.
Femme, elle est femme comme jamais.
Il gémit lui aussi, grogne pour exprimer son plaisir alors quil la besogne sans faiblir, la quittant juste pour revenir la prendre là, où elle est douce et chaude, humide. Infatigable, il prend son temps, fait durer , la fait attendre et la reprend , alors quelle souvre . Il la rend folle. Mais chose étrange, qui la bouleverse, il ne prend pas son plaisir égoistement. Il la cherche, lattend, la mène à ses limites .
Il veut quelle jouisse de lui .avec lui.
Lorsquil se penche sur sa poitrine, lui mordillant les seins, elle ne peut sempêcher de glisser sa main dans la chevelure sombre, de sy attarder dans un geste tendre, pour revenir à la nuque et le garder contre elle. Elle respire sa peau, écoute son souffle court, cherche elle aussi à reprendre sa respiration, puis se perd à nouveau dans un cri venu du plus profond delle quand son membre cogne en elle. Cabrée à sa rencontre, elle resserre ses muscles intimes autour de lui, pour le prendre à son tour, le capturer , le garder .
Le plaisir est si fort quil en devient souffrance.Elle nen peut plus, elle espère juste que lui aussi est fou. Quil noubliera jamais cet instant. Elle le regarde, admire la bouche entrouverte sur ses râles et implore :
- Pitié !
Viens ..Viens !