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[RP] Maison close de la rose noire

Jeffeson
[Chambre de Desiree]


Il ne put s’empêcher de sourire à ces dernières paroles … peur ? Mais pour qui elle le prenait. En temps normal, il se serait rapidement offusqué et se serait contenter d’en terminer très rapidement avec une insolente. Mais finalement, le petit jeu du jeune innocent lui plaisait pas mal bizarrement. Combien de fois avait il changer de personnalité dans les besoins de son travail ? Il ne les comptait plus et décida d’entrer dans le jeu à cent pour cent. Nue devant lui, son corps n’avait presque aucun défaut : une grande mais légère cicatrice sur quasiment tout le bas ventre … Il laissa son doigt glisser le long de cette marque et laissa ses lèvres y déposer des baisers tout le long en souriant.

Oui … Vous m’intimidez mais je pense que ce sentiment va vite disparaitre … Voila une belle et grande blessure … J’espère qu’elle ne vous ai plus douloureuse.

Il effleura du bout des doigts sa peau si douce et remonta lentement vers sa poitrine généreuse qu’il commença à caresser avec passion. Il en profita pour glisser sa propre main dans l’intimité de sa douce, juste quelque doigt qu’il glisse lentement avant de les retirer quasiment desuite … puis continu la manœuvre plusieurs fois. Finit par glisser son regard vers le fruit interdis et y pose ses lèvres dessus délicatement pour commencer. Lui écarte délicatement son intimité en y glissant sa langue à plusieurs reprise. Lui attrape délicatement le joyau qu’il suçote avec douceur avant de lui relâcher pour de recommencer. En découvrant par petites touches le goût de ce fruit fraichement découvert ... Il lui fait de petits titillements de la pointe de la langue, bisous intermittents ...

Gardant le joyau dans la bouche, le blondinet utilise toujours sa langue pour lui apporter du plaisir. Il finit par remplacer sa langue par plusieurs doigts qu’il laisse glisser généreusement sans retenu. Il releva la tête, ses doigts toujours au chaud en plein travail, et déposa ses lèvres sur la pointe de ses seins qu’il suçote et mordille légèrement avant de remonter vers sa lèvre inférieure pour y gouter passionnément.

Finalement cette soirée se passait plutôt bien et était même agréable. La femme était de toute beauté et le prenait pour une jeune premier, quoi demander de mieux ? Rien, d’ailleurs, il garda le silence …



[Désolé, j'espère que c'est mieux ainsi]


Parfait !

M.
--Achim_al_quasim



[Encore et toujours dans la chambre avec une blonde incendiaire...]


Il besogne avec ardeur, mains appuyées autour d’elle, se redresse par moment pour donner plus d’ampleur à son geste, puis revient se poser sur elle, mordre cette nuque rosie par la soirée, comme d’autres endroits de l’anatomie ravissante de la blonde. Il souffle à son oreille des choses que la morale ne saurait tolérer, tout à son excitation, et il sent qu’elle est prise de la même folie passagère, que seul compte ce qui se passe sur ce lit. Il veut plus, que la peur lui fasse perdre pied, qu’elle soit complètement confondue et que le moment venu elle ne contrôle plus rien et se laisse aller comme jamais avant ça.


Si tu étais une vraie catin, Nina… Il parle avec lenteur, d’une voix raucie par ce que son bas ventre continue de faire, délibérément vague et inquiétant…Je ne crois même pas que nous serions là…


Puis il se redresse complètement, l’entrainant avec lui en tirant sur l’étoffe qui la retient prisonnière, la maintenant à genoux sur le lit. Il marque une pause, toujours en elle, et laisse courir ses doigts sur la colonne vertébrale de la fille, de la nuque à ses reins, s’amusant des perles de sueur, les repoussant vers le bas, qu’elles se perdent jusqu’à leur point de rencontre, comme une averse sénile sur un volcan. Puis il va effleurer les traces que ses mains ont laissé sur la croupe blanche, la sent frémir quand il remue un peu, quand elle arque ses reins encore plus. Sourire carnassier aux lèvres, il l’imagine, paniquée et enivrée, voulant fuir mais aussi rester. Inquiète mais crevant de désir…

Fin de la pause.

La main retrouve la chevelure et l’empoigne, comme le cavalier se saisit des rênes pour mener sa monture, tandis que l’autre s’empare d’un mont blanc, le pétrit, en agace le sommet durci, et que la chevauchée reprend. Intense, il ne ménage plus son effort, ni sa compagne de jeu, la mène en bout de course jusqu’à ce qu’elle en perde son souffle à force de gémir. Un grognement plus profond le submerge et le rappelle à l’ordre, il temporise, toujours ancré en elle. Le maure libère le sein malmené puis va dénouer le foulard, mais conserve ses mains prisonnières et l’attire en arrière, qu’elle se colle, dos contre son ventre, , et que son souffle rafraichisse la nuque trempée… Il grogne à nouveau et la retourne, ferme mais sans violence, la plaque de nouveau sur le lit en retenant ses mains au dessus de sa tête. Libre.. mais pas tout à fait. Il se pose, retrouve sa place, entre les cuisses humides de sueur et de sucs, et se penche sur elle, alors qu’il se présente à l’entrée de l’antre réprouvé…



je vais venir … là… mais je veux t’entendre le demander…


Ebènes plongées dans l’azur troublé, il attend, et lui libère même les mains. Espérant peut-être qu’en plus de le dire, elle le guide. Déjà, il lui remonte les jambes et prépare le final, en grondant de désir impatient.
--Isabeault
(Encore et toujours .................Pitié !)




Il la prend sans relâche, active le rythme, lui arrachant des soupirs, des cris. Le souffle court, elle se donne. Il l’excite de mots crus , de mots fous qui l’entrainent encore plus loin dans l’extase. Sa voix est chaude , enrouée par le plaisir qu’il semble prendre en elle. Ses dents laissent leur empreinte sur sa nuque, la faisant frissonner.

"- Si tu étais une vraie catin, Nina…
…Je ne crois même pas que nous serions là…"


Il a deviné. Il sait. Elle n’est pas assez experte, c’est bien ce qu’elle craignait. Il est trop bon amant, il connait trop bien les femmes.
Elle qui sait manipuler, tricher et mentir comme personne, elle n’a pu le tromper. Son corps l’a trahie. Elle s’en fiche, encore une fois. Elle n’est plus qu’une femelle en chaleur. Elle l’imagine , penché sur elle, ce corps souple et sombre qui vient se fondre en elle.
Il l’attire à lui encore plus fort, tirant sur ses liens, la forçant à s’agenouiller. Sa bouche frôle son cou, soufflant son haleine brulante. Empalée par ce membre qui la pénètre, qui la fouille, elle crie à nouveau, toute pudeur envolée. Il marque une pause et ses mains s’emparent d’elle, glissent sur sa peau claire, l’effleurent, la secouent d’ondes de plaisir qu’elle ne peut retenir. Elle tremble et se plaint.


Il la chevauche, aggripant sa longue chevelure, s’accrochant à un sein qu’il agace et fait durcir.Elle n’en peut plus , elle va mourir de plaisir, là, à cet instant. Elle halète, gorge sèche et souffle coupé.
Lui aussi, est fou. Elle le sent. A ses mouvements qui se font plus sauvages, plus rapides. A ses grognements de fauve , il va jouir en elle, l’apaiser……………enfin.
Il libère ses poignets du foulard mais lui immobilise à nouveau les mains qu’ils maintient fermement entre les siennes. Il la veut impuissante, abandonnée. Et elle aime ce sentiment de ne plus rien contrôler, de s’en remettre à lui, d’attendre son bon vouloir, de le subir. C’est bon.
Et puis, il la retourne, se couche sur elle, lui maintenant les bras au dessus de la tête d’une poigne de fer. Déjà en manque de lui, elle le sent , dur, prêt à la pénètrer à nouveau. Instinctivement, elle ondule du bassin, le cherche, vient à sa rencontre. Elle le veut.


"- je vais venir … là… mais je veux t’entendre le demander…"

Son regard noir plonge en elle, la fouille. Sourire carnassier, que dément le trouble qu’elle lit en lui. Il lache ses poignets. Un instant, elle reste là, à le regarder. Caressant des yeux, la ligne de ses sourcils, son front, l’arête de son nez, sa bouche , revenant se noyer dans les prunelles de jais. Offerte comme jamais, les cuisses ouvertes alors qu’elle tente de le prendre, de l’attirer dans sa moiteur, dans une danse lascive de ses hanches qui se collent à lui.

Il s’empare de ses jambes, les remonte, l’ouvrant encore plus . Alors, elle se rend dans une longue plainte, juste quelques mots qu’elle reprend inlassablement, mendiante et affamée, dans une litanie. Sans le quitter des yeux, elle pose sa main gauche sur son épaule, s’aggripe à lui. Elle supplie alors que la main droite descend entre ses cuisses, trouve la hampe de chair humide de son désir à elle et la guide en elle, trempée et brulante :


- Viens ! Viens ! Je t’en supplie, viens ! Oh viens , pitié !


--Sucre
[Encore dans la chambre]
-Pas mal, pas mal Lady...
En réalité ce qu'il disait était loin d'être la réalité, c'était plutôt un bon début mais il en faudra beaucoup plus pour l'avoir. Il la remonta vers lui et l'embrassa follement la culbutant pour rester au-dessus.
-Mais je crois que je ne t'ai pas encore donné assez de désirs pour passer au niveau suivant...
Nu comme un vers, il caressa son bout en efferversence sur ses pointes hérissées et entreprit de descendre de plus en plus sur son corps à la recherche de l'antre de toutes les convoitises. Traversant les frêles parois une nouvelle fois de sa langue humide et chaude, il écarta grand ses cuisses se délectant de l'antre qui s'humidifiait de plus en plus. Suçottant son clitoris afin d'attiser le brasier vivant en elle, l'exictant, l'affolant sous ses soins. La Lady devenue rivière et lui s'y abreuvait, trempant ses lèvres comme s'il trempait ses lèvres dans un vin exquis. En parlant de vin, elle avait apporté deux belles bouteilles, peut-être les utilisera-t-il plus tard. Il se reconcentra sur Lady, affolée et affolante. Une reine dans toute sa splendeur, gracieuse et en même temps aiguicheuse.
Trempant ses doigts afin de calmer le flot continu de la rivière, il la fouilla aiguisant ses envies, il voulait voir ressortir toutes ses envies, même les plus interdites. Elle allait voir comment il pouvait la traiter. Ressortant ses doigts qui la fouiller sans autorisation, il entreprit de les lécher et sucer le divin suc de la Lady en la défiant du regard.
-Ma Lady, prenez ce qui vous plaît que je puisse vous amener au Paradis...
Divine promesse mais réelle, il savait qu'il en était capable, elle n'aura d'autre choix que de voir cette réalité. Allait-elle relever le défi?
Il le saurait bien vite...
Son membre viril frissonnait d'extase contre la tonsure. S'engouffrant dans son regard azuré, il tenta de vérifier son plaisir mais en réalité il se sentait fasciné par ses yeux d'un bleu si pure. Une noble qui voulait un ex noble ce n'était que plus tentateur. Il ne passerait pas au prochain niveau sans qu'elle ne veuille se battre. Il la voulait femme dont le désir devenait insoutenable, il la voulait féline prête à sortir ses griffes...
Elisabeth_stilton
[Chambre 3, enfin seuls pour de nouvelles aventures]

Episode clos, elle préféra oubliée ce qui venait de ce passer pour se laisser guider par Tibère. Le couple entra dans la chambre 5, la blonde se demanda s'il avait pensé à la bougie au devant de la chambre. Elle ne voulait pas qu'ils soient dérangés. Non parce que la blonde avait vraiment passé une mauvaise soirée : un faux gigolo, qu'elle connaissait qui plus est et un ancien amant/ami, à qui elle ne parlerait plus sauf pour le travail. Elle commençait à douter que sa soirée se finisse bien. Elle regarda la chambre sans la regarder, elle en avait déjà vu une, qui d'ailleurs avait une tache de vin sur son tapis. Non elle préféra le regarder lui, il était beau, bien habillé, il devait avoir l'habitude de ce genre de choses tant il était à l'aise. Elle n'arrivait pas à percer l'homme qui était avec elle, pourtant elle avait l'habitude d'analyser les gens. Il leur servait à boire, là la blonde se demanda ce qu'elle allait faire. Commença elle panique ? Oh juste un peu, elle n'a pas l'habitude de payer pour la compagnie d'un homme.

C'est la première fois que je viens ici pourtant, mais j'ai loué la mansarde pour une durée indéterminée.

Elle le regarde façon de lui dire qu'il la croisera souvent surtout si ses qualités au lits sont à la hauteur de sa beauté et ses manières.


Cherry, est un surnom que personne ne m'a donné encore. Chez moi on m'appelle Pussycat. J'ai eu le droit à bien des choses ... notamment par ... Nicolas, l'homme que nous avons croisé.

Pourquoi lui racontait elle tout cela ? Elle était captivée par les yeux de l'homme. Ils se ressemblaient beaucoup physiquement, l'acier rencontra les saphirs, s'approchant d'elle un verre à la main, effleurant son front, sa bouche, elle frissonne. Des gestes doux qui firent leur effet, ces derniers personnes n'avait été comme cela avec elle. La blonde ne lâche pas l'homme du regard, elle prend une gorgée du liquide pour se donner du courage et passer outre toute son éducation pour poser une main sur son torse, caressant la douceur de la chemise, imaginant la peau d'albâtre en dessous de la soie et la chaleur de son corps, elle ferme les yeux en imaginant Tibère nu.
--Marigold.
[Retour à la chambre 5 où Luce se ceint d'ombre]

Du miel... Amore, non ce n'est pas du miel, mais l'onguent en contient.
Ce n'était qu'un intermède, afin que votre corps soit prêt à subir mes tortures...


Elle l'embrassa alors et laissa glisser ensuite sa langue depuis la commissure jusqu'au membre avide, goûtant le sucre laissait par l'huile. Elle vint d'une main saisir la plume, qu'elle commença à à faire danser sur le torse de Marcello. Une danse suave , presque une caresse , alternant de légers mouvements de la tige comme si elle lui écrivait de doux poèmes, et de longs effleurements des rémiges.
Elle agaçait de cet instrument si doux et dur à la fois chaque parcelle de son corps s'attardant sur la plante de ses pieds , partant d'un grand éclat de rire lorsque Amore se tortilla.
_______________

--Desiree


[Chambre de Désirée]

Ce qui est compliqué quand on est une catin professionnelle, c’est de détecter exactement ce que le client souhaite. Tout le reste, c’est de la petite bière à coté. Alors certes on gagne en précision avec le temps, mais il existe parfois des moments d’incertitudes.
La blondinette avait fermé les yeux, laissant pour l’instant son client l’investir, fouillant son intimité, la goutant même parfois. Les bras passés sous sa tête, elle offrait pleinement son corps, genoux écartés.
Elle avait fermé les yeux pour mieux réfléchir. Son corps répondait instinctivement aux caresses de l’homme, elle gémissait et geignait quand il le fallait, et pendant ce temps dans sa caboche, ça marchait à plein régime. Le client d’avant avait été si traditionnel et expéditif qu’elle avait du relâcher trop son attention. Celui-ci, qui s’attaquait maintenant à sa poitrine, que voulait-il ? Il n’en était surement pas réellement à sa première femme, ni probablement à sa première catin, bien qu’il suggère le contraire. La manière qu’il avait de la toucher, de s’approprier l’origine du monde, son comportement tout entier avec elle laissait entendre qu’il connaissait les femmes.
Elle répondit à son baiser avec une avidité ne lui laissant aucun doute sur son envie de lui – comme toute bonne catin, elle savait même faire mentir son regard, faut-il le préciser ? – et glissa une main vers le col du jeune homme, commençant à défaire ses habits, sans pour autant les lui ôter. Certains hommes n’aiment pas dévoiler leur nudité, et défaire le haut de leurs braies leur suffisait pour besogner une femme. Si son homme était de ceux là, elle ne voulait pas le froisser par une action malvenue. Elle se contenta donc de caresser son cou, du bout des doigts, lui offrant un sourire radieux alors que lui l’explorait encore, poussant un petit soupir avide pour l’encourager.

Ressentait-elle un quelconque plaisir ? Pas vraiment, mais elle ne ressentait ni douleur ni gène, la caresse était douce et agréable, dénuée de toute violence, aussi s’appliquait-elle à montrer à son client un désir factice mais si bien imité qu’il était impossible d’en déceler la fausseté. Cet homme là était assez bon pour vouloir s’occuper d’elle avant lui-même, elle ne lui ferait certainement pas l’affront de lui laisser voir qu’elle ne ressentait rien.

Elle lui sourit à nouveau, poussant un petit gémissement avant de se relever sur un coude, l’autre main caressant la nuque du jeune homme, avant de l’attirer à elle pour l’embrasser, mordillant légèrement ses lèvres, jouant à la gourmande.

Oui, définitivement, elle avait connu nuit plus désagréable. Beaucoup d’argent et pas de choses tordues à pratiquer.
De la bouche, elle glissa à l’oreille de son client, en suçotant un instant le lobe, avant de susurrer :


N’avez-vous point chaud, mon doux sire ?
_____________
--Laptiote


[Lorsque la poudre se fait... escampette!]

Mince alors, Crèce voulait pas être sa maman... mais bon "amie" c'était déjà pas mal. Peut-être qu'elle voulait pas être sa maman à cause des éclaboussures partout dans la salle d'eau? Il faudrait que Lap'tiote soit bien sage à l'avenir, p'têtre qu'un jour Crèce voudrait bien être sa maman!

La robe est sacrément grande quand même mais elle est si belle! La plus belle robe qu'elle a jamais portée! Et puis Crèce est si gentille, même qu'elle lui met un ruban à elle comme ceinture! Bon c'est sûr, elle ressemble à une meringue qui aurait trop gonflé mais ça, Lap'tiote ne s'en rend pas compte.

Couché? être parée pour le couché? Ah mais non!!! Pas de couché! il est trop tôt! et puis ya plein de choses à voir encore et à découvrir dans la maison!! Ya plein de monde en bas et tout!

Grognant, tout autant que son ventre, la gamine prend la main de Lucrèce et la suit dans le couloir.


Dis Crèce? Ze pourrais avoir un p'tit morcheau de pain? parce que tu sais... zé un p'tit peu faim!

Petit sourire de gosse affamée, elle resserre sa menotte sur celle de la belle Lucrèce, prenant le chemin des cuisines.

Un moment d'inattention et hop, v'la la gosse qui lâche la main et qui se faufile. Tant de choses à découvrir...
Jeffeson
[Chambre de Desiree]


C’était étrange, faisait il quelque chose de mal à ce point ? Elle semblait bien lointaine et cette attitude ne le dérangeait pas en somme. Elle devait avoir l’habitude de ce genre de soirée, à force de gouter à un plaisir, finit on par ne plus l’apprécier ? Expérience assez frustrante pour être franc. Elle semblait pourtant apprécier les attentions du blond sans pour autant …uhm enfin. Il se laissa faire sans pour autant lui laisser le contrôle lorsqu’elle entreprit de lui défaire ses habits.

Il ne refusa pas le baiser qu’elle lui offrit, non de la, il passa sa main sur sa joue pour le prolonger un instant avant de sourire lorsqu’elle fit allusion à une certaine chaleur. Il lui sourit tendrement, son doigt lui passant sur ses douces lèvres. Il garda une main dans la sienne en lui caressant lentement l’intérieur.

Une fois le murmure reçu, il se redresse … comme si elle avait fait quelque chose de mal alors que point. Une réaction surement bien démesurée. Il la regarda mi-allongée et prit plaisir de la voir ainsi : nue, vulnérable, belle et attirante. Son regard était absorbé par elle … rien que elle, comme une attirance à sens unique ou une obsession.


Je ne vous plait point ?

Devant ce spectacle qu’elle lui offrait, il ne restait pas insensible à ses formes, ses braies gonflées, en était la preuve intangible. Il la parcourait du regard en se mordant la lèvre inférieure de désir. Son odeur était encore sur lui et il s’en délectait comme un affamé à qui on refuse un bout de pain. Il finit par sourire et se cala contre le mur en face du lit, une main disparaissant complètement dans ses braies bouillantes de désirs. Peut être serait elle vexée ou frustrée de ne pas participer directement à son plaisir personnel.
--Umbre


[Entrée dans le salon]

Eh bien... en voilà deux qui en étaient quittes pour trouver un établissement moins huppé ou se résigner à dormir seuls. Ravi de n'avoir pas fait les frais de l'intransigeance du portier, Umbre le remercia d'un hochement de tête et suivit les instructions. Le fait que le coffre soit plein était une bonne chose, car il avait des frissons rien qu'à l'idée de mettre ses précieuses lames en tas parmi d'autres... non mais franchement.

Dès qu'elles furent installées dans un écrin qui leur convenait bien mieux, à savoir le râtelier, il glissa quelques pièces dans la main de l'homme -de toute façon, c'était Nicolas qui payait- et rejoignit le comptoir en se fiant à ses indications. Il avait un petit doute quant à l'intérêt que son patron pouvait trouver à un verre s'il était avec une belle jeune femme, mais il n'avait guère le choix, car il était hors de question de faire la tournée des chambres.


Je vais faire comme vous me le conseillez, merci.

Heureusement, après une dizaine de minutes et un verre à peine entamé, de Firenze apparut dans l'escalier, une charmante créature au bras. Selon toutes les apparences elle était du même sang que lui, et le vieil espion sourit sans s'en rendre compte, imaginant l'ardeur dont faisait probablement preuve le jeune homme avec une partenaire aussi désirable. Quoi qu'à y mieux regarder, on pouvait se demander qui était le plus ardent, voire même qui était le client... l'Italienne ne portait guère qu'un voile et se déplaçait pourtant avec toute l'assurance d'une femme de la cour arborant une parure particulièrement somptueuse. Et c'était elle qui les entraînait vers le bar, pas lui. Oh, à n'en pas douter, leurs ébats devaient être des plus intéressants ! Et pourtant, le borgne tenait sans nul doute davantage à l'information qu'Umbre possédait qu'à une nuit de délices. Un raclement de gorge se chargea donc d'attirer son attention.
--Desiree


[Chambre de Désirée… si mal nommée]

Elle se redresse sur un coude et l’observe alors qu’il s’éloigne. A-t-elle fait quelque chose de mal ? Diable, voila un client bien compliqué ! Il faut bien admettre que cela rendait la soirée bien plus distrayante que les moments passés plus tôt, ou rien ne se passe d’autre qu’un léger va et vient.
Elle le regarde, suçotant son index, moue boudeuse revenue sur son visage alors qu’il semble vouloir trouver son plaisir sans elle.

Elle se relève, extirpe de ses jupons un chaton grognon, qu’elle avait oublié dans sa poche lorsqu’elle ôtait ses vêtement, et va le déposer dans un couffin d’osier près du feu ronflant. Elle se tourne ensuite vers l’homme, le regardant intensément avant de d’en rapprocher, assez pour qu’il puisse la toucher d’un geste, trop peu pour que leurs peaux n’entrent en contact sans sa volonté à lui. Après tout, des hommes qui n’aiment que regarder le corps des femmes, ça existe aussi. Elle avait déjà assouvi tant de désirs étranges, que, foi de catin, se laisser regarder par un homme qui prenait son plaisir seul, c’était somme toute assez courant.

Hum, sauf que celui là l’avait touchée, fouillée, même, et que la caresse n’avait pas été déplaisante. Elle risqua un léger pas de plus vers l’avant, effleura du bout des doigts les braies gonflées de l’homme, et tenta un sourire, histoire de l’amadouer si jamais il était en colère.


Ai-je fais quelque chose qui vous a déplu, mon seigneur ?

____________
--Tibere.
[Chambre 3: Lorsque travail rime avec plaisir]

L'instant s'annonçait savoureux. La bougie les protégeant de toute intrusion - précision utile effectivement - ils s'observaient. C'était donc sa première expérience en maison de tolérance, pour lui aussi, enfin de ce côté là. Il lui sourit pour la rassurer.

Je vous avoue que c'est la première fois moi aussi que je vis ce genre d'expérience, il m'arrive plus souvent d'être à votre place qu'à la mienne, jusqu'à présent.

Il lui parle d'une voix chaude contrastant avec la froideur de son regard et de son être. Il sait que les femmes sont sensibles aux confidences, le plus souvent et il veut la rassurer. Tout pour son plaisir. C'est son maître-mot de cette nuitée.

Je serai ravi de vous revoir en ce cas, quoiqu'il en soit. M'est avis que la maison est plaisante et que nous prendrons plaisir à nos rencontres, quelles qu'elles soient.

Elle est belle ainsi à lui parler, la tigresse farouche du couloir a laissé la place à une femme vulnérable et impressionnable. Ses yeux ne la quittent pas, plongés dans ses saphirs. Elle pose sa main sur son torse, une ébauche de sourire éclaire un peu son visage froid. Il ne relève pas ce qu'elle dit sur l'homme du couloir. A quoi bon. Il ne doit pas être curieux, elle lui parlera si elle le souhaite. Sa main frôle sa joue, descend lentement le long de son cou, caresse sa gorge, il imagine déjà sa langue sur sa peau nacrée, ses dents marquant sa chair, il glisse jusqu'à la naissance de ses seins. L'écrin est sublime et la vue qu'il a est imprenable, monts délicieusement offerts mis en valeur par les atours de sa robe. Il retient l'envie de mordre la chair et se plaît à la caresser de ses mains chaudes. Prémices...

Il s'agenouille lentement devant elle. Ses yeux rivés aux siens. Sa main a continué son voyage, s'aventurant sur le tissu de sa robe, suivant le galbe de ses seins puis son ventre plat, enserré dans son corsage. Il pose ses deux mains sur sa taille, lui souriant et passant légèrement sa langue sur ses lèvres.


Pussycat... hum oui... ça pourrait vous aller mais je préfère Cherry... il manque une certaine noblesse dans le terme de Pussycat. Quoique vous pourriez être un mélange de Cherry et de panthère!

Un sourire malicieux fait briller ses yeux tandis que ses mains se pausent sur ses cuisses, les caressant doucement.

Jeffeson
[Chambre de Desiree]


La voila qu’elle se rapproche … il ne peut s’empêcher de prendre une mine triste et râleur. Visage qu’il n’arriva pas à garder lorsqu’il sentit une très légère sensation qu’elle l’avait effleuré. Il ne pouvait faire un pas en arrière … il aurait du prévoir ce cas. Il aurait plutôt pensé qu’elle se ferrait désirer mais en vain. En y pensant, il aurait du se douter qu’elle essayerai de venir voir ce qu’il n’allait pas … après tout une nuit loupée était une nuit non payée. Il s’était attachée à cette petite moue et surtout à cette femme, allez savoir pourquoi.

Il garda longuement sa main dans ses braies en évitant de toucher sa partenaire, lui lançant un défi visuel. Il soutenu son regard longuement puis le détacha pour se poser discrètement sur son corps nu qu’elle lui offrait. Il aurait eu envie de lui sauter dessus … là desuite mais il n’en fit et garda la tête froide encore un moment. Il se rapprocha d’elle et lui effleura l’oreille pour lui chuchoter quelque mots.


N’ayez crainte, je ne suis point contrarié … Je vous observe juste, essayant de vous satisfaire et vous faire découvrir d’autre plaisir. Une impression que vous avez déjà gouté à tout et pourtant … vous me semblez encore jeune et naïve.

Sur ces paroles, il ressortit rapidement sa main qui était bien au chaud et se saisit des poignets de la jeune femme qu’il cala contre le mur, inversant la situation. Il se retrouva donc devant elle, jambes écartés, les poignets de Desiree bien en main et callait au dessus de sa tête contre le mur. Il rapprocha son bassin contre le sien en faisant de léger mouvement, lui montrant qu’il n’était pas du tout contrarié au contraire. Tout en continuant ce petit jeu d’excitation, il frôla ses lèvres des siennes en prenant garde ne rien lui donner véritablement mais bien de paraître inaccessible … pour le moment.

Vous êstes belle et vous me plaisez ... j'aurais aimé plus de réaction de vostre part mais soit ...
--Desiree

Chambre de Désirée]

Un cri lui échappe, involontaire, alors que les rôles s’inversent, qu’il la maintient avec force, adossée au mur. Un instant, la peur luit dans son regard, vite chassée par le professionnalisme, qui ramène un joli sourire sur son visage, un air mutin, un regard empli de malice.

Plus de réaction ? Mon doux sire, il vous faudra être un peu plus actif que cela en ce cas !

Elle rit doucement, se cambrant contre lui afin que son bassin se colle au sien, ne trouvant pas désagréable la caresse. Arquée aussi pour que sa maigre poitrine se trouve juste sous son nez, aguicheuse, petite mais ferme, prouvant que Désirée jamais n’avait enfanté.
Ses bras sont immobilisés, mais de la jambe elle entour les reins de son client, l’attirant plus près d’elle. Elle se cabre contre le mur, assez pour que sa poitrine frôle son torse, avant de glisser un baiser au coin de ses lèvres, ayant juste le temps de glisser à son cou avant de devoir se laisser aller à nouveau contre le mur, cherchant son équilibre.


Vous êtes beau, vous savez ?

Elle lui sourit à nouveau, mutine, et se cambre à sa rencontre, tordant ses poignets dans un simulacre de fuite, cherchant à savoir s’il la préfère soumise et passive ou active et se débattant.
Et se faisant, elle tend à nouveau sa petite poitrine contre son torse, tentatrice.

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Cymoril
Et pendant ce temps là, une brune pâlotte vêtue en spadassin s'oublie au bar... Où sont passées les deux blondes, elle ne saurait le dire. Une nouvelle absence, à peine subie, entre deux verres d'alcool fort.

Elle passe un regard discret sur la salle, l'homme installé en coin qui avait l'air de goûter aussi peu qu'elle aux plaisirs dispensés, et un couple qui achevait de descendre l'escalier, les yeux encore brillants. Sans doute leur joute avait-elle été plus riche que celle dont elle avait été le témoin ; l'homme présentait une lèvre meurtrie et en semblait ravi.

Un haussement d'épaules plus loin, elle revient à son gobelet d'étain, et dans un souffle sifflant demande à être resservie.


Un autre..s'il vous plaît...

Un dernier et alors elle aurait la force de repartir, alors qu'elle réprime une quinte de toux, dos de la main posé sur ses lèvres blêmes.
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