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[RP] Maison close de la rose noire

Jeffeson
[Toujours dans la Chambre de Desiree]


Un cri … mais pourquoi, lui avait il fait mal à ce point pour l’effrayer ? Il la regarda un instant un peu perplexe et desserra ses mains sans pour autant lui lâcher les mains. Il avait pu enfin voir un regard sincère en elle mais ce regard lui déplu fortement. Ce regard que certaines victimes lui laissaient avant de s’effondrer sur le chemin lui cédant leur bourse bien pleine. Il chassa rapidement cette triste et refoulée pensée au plus profond de lui pour reporter son attention sur Desiree.

Il sentit son bas ventre gonfler de plus en plus lorsqu’elle commençait à s frotter à lui. Des caresses légères mais tout de même appréciable. De plus, il sentit un rictus se dessiner sur ses lèvres lorsqu’elle le complimenta sur sa soi-disante beauté. Compliment qu’elle devait lancer à toutes ces conquêtes nocturnes certes mais … Il s’avança de nouveau vers elle lui volant cette fois un doux baiser qu’il prolongea quelques minutes pour se décrocher de ses lèvres si désirables
.

J’aimerais vous avoir rien qu’à moi … vous rendre heureuse et vous délivrer de vostre prison. Vous estes différente des autres, je le ressens au plus profond de moi.

Il décida de se jouer d’elle … jouant à un petit jeu sadique qui lui était venu en tête quelques instant plus tôt. Il lui relâcha une main et lui caressa la joue avant de la glisser dans son cou et de la maintenir comme s’il allait l’étrangler. Il n’éprouvait aucune satisfaction de faire cela surtout envers elle mais il voulait voir si elle lui faisait confiance ou pas du tout …

Vous avez peur ? Vous devriez, les armes sont retirées à l’entrée mais il y a plus grande arme qu’un glaive.

Puis finalement, il ne put soutenir son regard plus longuement en gardant son sérieux, sa petite moue le faisait craquer et donc, il relâcha rapidement l’étreinte de son cou pour lui prendre la main et la dirigea dans ces braies, gardant sa main sur la sienne.
Elisabeth_stilton
[Chambre 3, les petits plaisirs commencent]

Il sourit certes légèrement mais il sourit. Faut dire que la blonde n'a ps l'habitude de ce genre de situation. Comment doit elle réagir. Finalement lui aurait mérité la robe de Breiz. Oui mais bon ça lui dit pas comment faire avec l'homme.


Je serais ravie de partager pleins de moments avec vous. Si ça se trouve nous avons des centres d'intérêts communs autre que ...


Elle a le souffle court quand il parcourt son corps. Dire qu'elle est encore habillée et qu'elle commence déjà à frissonner à ses caresses. Beau prélude au reste de la nuit. Les saphirs sont comme irrémédiablement liés aux aciers, impossible de s'en défaire. Être hypnotisé par un homme comme celui là est dangereux et enivrant en même temps. Elle se laissait guider par lui, par ses gestes, par ses mots, par son regard. Elle espérait une suite, une suite qu'elle avait imaginée d'après des discussion de bonnes femmes et qu'elle espérait différente de sa nuit avec son mari.


Cherry me vas comme surnom.

Elle ne lâche pas son regard, elle réfléchit, elle hésite et finalement préfère le dire, on ne sait jamais peut être que ça fera une différence pour lui. Peut être qu'il sera plus tendre et doux, quoi que plus qu'il ne l'est déjà ça risque d'être difficile. Peut être que ça change quelque chose ... ou pas. Mais une chose est sur, c'est que si c'est le cas il faut bien lui dire avant qu'il se retrouve sous ses jupes.


J'ai un aveu à faire.

Elle le regarde gênée.

Je ... c'est ... comment dire ... en fait ...

Donc comment tourner autour du pot en cherchant ses mots. Au lieu de continuer elle sort tout d'un coup sans prendre la peine de respirer entre deux mots.

Je suis mariée depuis deux mois, mon mari ne m'a touché qu'une seule fois et ça s'est mal passé. Je n'y connais rien.

Et là silence ... que va t-il faire ? Que va t-il dire ?
--L_araignee.


[Dans la mansarde & en musique sivouplé]

Il n’y a plus de bordel, il n’y en a jamais eu. Il y a une place, un éclat furtif sanglant, une fuite amusée, et un échange de regards. Il y a deux tueurs qui jouent de leurs corps comme ils joueraient de leurs lames. Ballet argenté entre la lame du poinçon et les lacets de la chemise, quand les ongles de l’italienne viennent labourer le dos déjà abimé, les pans de la chemise sont arrachés, et le visage taillé à la serpe vient se nicher contre son sein. Trop calme le cœur qui bat, il n’a pas l’habitude de l’apathie et de la sérénité, une vie à courir, à craindre, à rire.

Les lèvres glissent sur le corps que d’aucun diraient passé, et qui lui trouve mûr à point, comme un fruit qu’on a laissé sur l’arbre pour qu’il soit sucré au plus haut point. Alors que la bouche remonte vers le cou qui se tend, les dents viennent mordre dedans sauvagement, les mains glissent, se repaissent de ce qu’on leur offre, jusqu’à atteindre l’entrejambe, recouverte à son grand damne par des braies qui n’ont rien à faire là. Les doigts caressent, pincent l’intérieur de la cuisse, le tissu grossier et d’un bruit étouffé par le corps collé contre les jambes, l’étoffe se déchire ouvrant la boite de Pandore où les mains s’immiscent, prenant possession de ce qui est offert. Alors qu’en haut, les lèvres font leur office, mordillant les seins d’une sainte, les mains s’agitent à réveiller le saint des saints. Mains qui se retirent pour détacher ses propres braies qui glissent à ses chevilles.

Et de se laisser glisser sur elle, les mains remontent lentement, au même rythme que son corps qui se frotte à elle, entre en elle, son corps qui l’emplit, les mains remontent et viennent glisser sur sa gorge qu’il enserre avec tendresse, qu’il tient fermement au fur et à mesure qu’il la remplit. Les doigts compriment le cou marbré de mèches brunes, les lèvres se perdent dans la chevelure de l’italienne alors qu’il enchaîne les coups de reins. Lentement, les mains se desserrent et viennent caresser les traces laissées comme pour en apaiser la chaleur, les lèvres quittent l’abri soyeux pour attraper les siennes, les goûter avec précaution. Ce n’est pas un pardon, c’est un aveu, un remerciement. Et enfin, le paroxysme qui le gagne quand son bassin vient se coller au sien dans un dernier mouvement qui le secoue plus qu’il ne voudrait le montrer.

En temps normal, il se serait retiré. En temps normal, il se serait rhabillé et aurait jeté quelques pièces, mais alors que l’idée de quitter le cocon humide lui vient, voilà que le désir revient. Mu par sa propre vie, le corps revient à la charge doucement, comme une danse, des caresses intimes d’un corps à l’autre. Les dents viennent délicatement attraper le lobe de l’oreille.


_ Bella ?

C’est un appel au secours, une malédiction, la chevelure brune l’entoure, l’enlace.

_ Crève moi..

Il n’y a plus de retour en arrière, que le va-et-vient langoureux et insistant.
___________________
Judas
[Mansarde - Mon Dieu, préservez-moi des douleurs morales . Je m'arrangerai avec les douleurs physiques...]


...Car de morale elle est exempte et elle en s'en accommode un peu mieux chaque jour . La Belladone ne joue plus, arrimée au divin instinct bestial le calice reçoit le corps du risque, entre le plaisir et le mépris. Il y a ceux qui gagnent toujours, assis sur leurs petits fantasmes désuets et ceux qui perdent tout dans les travers de l'illimitée perversité humaine. La cécité du coeur vaut bien le gout cuivré de l'ichor.

Les mains se veulent oppressantes, suffoquent la jouissance dérangeante que peut faire naitre leur douce pression. Les courbes et les lignes deviennent le théatre de ces échanges primaires, pour le pire du meilleur. C'est ça aimer, déchirer les idées bien pensantes dans l'insolence d'un moment éclatant d'intensité.

Ambivalence de désir de bien et de mal, elle exulte sous l'assaut dévastateur de ce corps transi d'envie. Il est entré comme les vandales franchissent les remparts des hautes cités, avec cette folie au corps , ce besoin de détruire et le plaisir qui en découle. Quelle tendresse? L'invasion brute du plaisir ne s'écrit pas en lettres de velours mais se grave sur les chairs échaudées, épitaphe écarlate à naitre sous les doigts fébriles. Seule la dévorante morsure peint les lèvres du plus beau rouge, le rouge qui attire l'oeil et l'envie, plus encore que les mille corsets de la Dame.

Etre femme est une douleur. Devenir jeune fille fait mal. devenir amante fait mal. Devenir mère fait mal. Mais le plus intolérable, c'est d'être une femme qui n'a pas connu toutes ces douleurs. Elles sont nos seules vérités et il n'est pas si fou de ne chercher à les consoler. Les fesses fermes de l'intrus se lacèrent, piquantes couleurs nées sous les doigts d'une Belladone concupiscente.

Tais toi pour mieux m'entendre, ma complainte est l'écrin de notre violence, mes suppliques le berceau de notre besoin.


La paume s'abat sur les enivrantes lèvres, baillon de chair flottant aux vent de son souffle chaud et froid à la fois. Attiser les braises de l'étreinte furtive pour mieux le recevoir de nouveau est un jeu dangereux, faut-il en avoir vu d'autres pour s'y jeter bras en croix. Quelle raison? La raison du plus fort est toujours la meilleure.

Toi qui entre en ma demeure, laisse à la porte ta retenue. Viens en moi petite ordure, redessinons l'art de la luxure.


Les insolentes viennent agripper les cheveux pour mieux laisser les canines se délecter de la gorge où l'appelle le palpitant. S'abreuvant de sa moitié de l'instant, les yeux s'ouvrent enfin sur l'arachnide invitée. Qu'il est beau sous ses défauts, qu'il est bon sous sa peau. L'effet opiacé se dissipe de manière diffuse, sublimant les sensations de la Corleone. Le voilà chevauché, le cuisant de la dextre s'étalant sur ses flancs moites. Crève l'envie, crève la faim de lui.

Quel beau cadeau tu me fais là Aleanore. A moi, à nous, c'est toi qui trinque.


Et la cadence revient, danse transitoire qui arrache un pauvre râle à la menée...Se courbent les reins, chaloupent les maux, glissants et presque comblés.
_________________
--Achim_al_quasim



Il la contemple d’un air hautement satisfait, gémissante de désir, criante d’épuisement et en voulant encore plus. Il la contemple et en grogne de plaisir lorsque sa main le guide, et qu’il replonge dans la lave brulante du coquillage, puissant et méthodique. Sans faiblir, toujours désireux de la voir ainsi révélée, livrée sans honte. Il renforce la pose, en lui relevant encore plus les genoux, et vient glisser à son oreille, suave, et haletant :

On dirait que tu n’as eu jusqu’à maintenant que des petits garçons dans ton lit, Nina…

De ceux qui besognent vite et finissent en grognant quelques mots d’excuses rapides et honteux. Il n’est pas de ce genre, il aime les choses bien faites. Il continue avec vigueur, jusqu’à ce que la chaleur s’intensifie dans ses reins. Là, il s’arrête, laisse glisser une main sur la poitrine de la blonde tandis que de l’autre il se guide vers le chemin le plus étroit et l’investit d’un coup de reins plein, en la regardant suffoquer de plaisir surpris. Avec lenteur, la main finit son parcours sur la gorge blanche qu’elle enserre. Va-t-elle ruer, inquiète ? Ou saura-t-elle s’abandonner à la confiance et à cette pratique ? Il ne rassure pas, se contentant de commenter :

Tu ne m’en voudras pas.. mais ma famille n’apprécierait guère si je prenais le risque de laisser des bâtards de çi de là…

Le maure reprend le mouvement, souriant quand elle vient s’agiter, que son bassin réclame et vient à sa rencontre encore plus. Comme si la pose n’était déjà pas presque insoutenable. Il grogne de plus en plus, la regardant gémir sous ses coups de boutoirs, maintenant la pression de sa main sur la gorge, il veut la mener à des limites encore inconnues d’elle, et lorsqu’il la sent enfin prête, proche du paroxysme il la relâche et saisit ses hanches avec violence pour achever la chevauchée dans un rythme infernal. Un dernier coup de rein et l’onde vient les délivrer dans un cri. Et il s’allonge sur elle, sans la quitter, laissant faire les choses naturellement. L’effleurant du bout des doigts, alors qu’elle tressaille encore, vibrante.

Achim temporise, laisse son souffle et les battements de son coeur revenir à la normale, se donne le temps avant de se lever et de rejoindre le broc d’eau posé sur un chevet. Il en verse un peu dans la bassine, et se rafraichit le visage, avant de prendre un carré de linge posé là, le pain de savon et d’effectuer un brin de toilette. Chose faite, il renfile ses vêtements les ajuste avec soin, sourire au coin du bec. Pas mécontent d’avoir fait ce détour. Une main est glissée dans une bourse extraite de la poche alors qu’il revient vers Nina. Avec douceur il lui saisit une cheville, et y accroche un bracelet d’or finement ciselé d’une main caressante.
Puis il achève de s’habiller et se dirige vers la porte.


Je m’appelle Achim al Qasim… et je veux te revoir, douce Nina. Il ponctue d’un sourire ambigu avant de finir. Aux mêmes conditions…

Il a apprécié le jeu dans lequel ils se sont fondus pour quelques heures, loin des tracasseries du dehors, exempts de tout poids.

Je vais payer la chambre pour la nuit, tu peux rester ici si tu le veux… Je descends me désaltérer avant de partir.

Il ne l’invite pas à se joindre à lui, elle fera comme elle voudra. Tout comme elle décidera si elle veut poursuivre une autre fois ce parcours de délices.
--Tibere.
[Chambre 3: lorsque sensualité prend le pas sur vérité]

C'était donc cela... Touchante de sincérité. Elle avoue! Et quel aveu! Il aurait pu rire. Non pas pour se moquer, mais devant tant de candeur, de fraîcheur, de pureté. Il pensait tomber sur des femmes friandes de volupté, éprises de luxure et avides de sensations et le voilà devant une "presque" vierge.

Ce qu'elle venait de révéler ne l'offusquait pas le moins du monde, au contraire. Ainsi donc, la jolie jeune femme qui se trouvait là était totalement inexpérimentée ou presque et n'avait visiblement pris aucun plaisir à se donner à son époux.

C'était du pain béni! Et quel joli pain! Lui donner du plaisir et lui apprendre la luxure! Oh joie! Non pas qu'il se sente l'âme de professeur, mais qui a-t-il de plus agréable que de dévergonder une jolie blonde en mal de saveurs! Elle en aurait pour son argent et qui sait, les conseils qu'il lui prodiguerait serviraient peut-être à ce qu'elle prenne du plaisir avec son époux. Quel fléau tout de même d'être mariée à un homme sans savourer de se donner à lui! N'était-ce pas la moindre des choses!

Tendre, toujours agenouillé à ses pieds, il garde une main sur sa cuisse et de l'autre caresse sa joue, les yeux levés vers elle.


Cherry... n'ayez crainte. Je vous apprendrai, je vous montrerai, nous avons tout notre temps et il y a beaucoup à apprendre et j'espère, sincèrement, que vous y prendrez du plaisir! La luxure est un art, je peux vous l'enseigner, ensuite, libre à vous de le partager avec votre époux. Il arrive que luxure et amour fassent bon ménage. Parfois... Même si je pense qu'ils devraient toujours faire bon ménage, bien que n'ayant pas grande expérience en amour! M'enfin c'est sans doute pour ça qu'il y a tant de couples malheureux!

Et voilà qu'il parlait trop! Un éclat de rire juvénile sortit de sa gorge pâle et se relevant quelque peu, il glissa sa langue sur les lèvres vermeilles de la belle.

Leçon numéro un: la sensualité. Elle vous habite, à vous d'en jouer et de la mettre en valeur. Elle fait naître le désir et l'entretient.

Un éclair traverse ses yeux, alors qu'il se penche vers son décolleté. Ses lèvres frôlent la peau, sa langue caresse légèrement les monts généreusement offerts. Il respire la fragrance qui émane d'elle... si délicieuse. Très doucement, il ouvre son corsage, un peu, pour mieux se repaître de ces merveilles, le visage entre ses seins, découvrant chaque parcelle chaude de sa peau, le tissu libérant la poitrine, la laissant jaillir toute à sa guise. Ses mains se crispent un peu sur le tissu de la jupe, continuant de caresser ses cuisses. Il n'est pas encore temps de dévorer... l'heure est au désir qui monte lentement, sourdement, qui réveille les sens.

Marcello.
[Retour à la chambre 5, où la soirée prend un tour inattendu]

Ce n'était qu'un intermède, afin que votre corps soit prêt à subir mes tortures...
Subir ses tortures...voilà qui promettait une nuit des plus agitées, et alors qu'à nouveau il échangeait avec elle un baiser rapide, Marcello sentit l'impatience grandir en lui, sous le charme enivrant de cet onguent que Luce avait posé sur sa peau.
Aprés celle de ses lèvres, se fut une autre forme de caresse qui vint le frôler lentement, pareil à un furtif battement cil, qui instantanément déclencha en lui des vagues de frissons ininterrompus.
Le coeur au bord de l'implosion, le soldat sentait le mystérieux instrument aller et venir sur lui, tandis qu'au même rythme Luce ondulait, et descendait méthodiquement depuis son cou jusqu'à ses pieds, où la caresse se poursuivit, provoquant au Sicilien une sensation pas désagréable en soi, mais qui eut le malheureux effet de couper toute ardeur aux sens du soldat, le désir cédant la place a un irrésistible éclat de rire qui le fit par réfléxe repousser légérement Marigold d'un mouvement du thorax.
Respirant profondément afin de retrouver son calme, il entendit alors l'adorable rire cristallin de Luce, et ne put empêcher un sourire amusé d'étirer ses lèvres. Décidément, cette fille avait de quoi surprendre.
- Ma douce, je doute sincérement que ce genre de pratique parvienne à provoquer en moi la réaction attendue...
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Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : A la découverte des sens]

Même si elle ne le dit pas c'est un soulagement intense qui habite la blonde. Soulagement et excitation. Elle commence à entrevoir ce qu'elle aurait pu connaître avec Nicolas ou avec Ulrich ce que ni l'un ni l'autre ne lui avait donné pour diverses raisons. Son regard la captive, elle est telle une proie prise au piège ne pouvant fuir devant son prédateur. L'acier si froid si lointain se veut rassurant. Elle le laisse faire autant à cause de son inexpérience que par envie de savoir ce qu'il va faire d'elle. Elle sait que la précipitation ne mène à rien de bon, elle a déjà connu et sait ce qu'il ne faut pas faire. Elle sent la main de l'homme à travers le tissus, elle l'imagine sous ses jupons, caressant son corps de jeune fille. Elle tressaille quand la main vient lui caresser la joue. Un sourire nait sur ses lèvres ... à quoi bon se protéger de lui après tout ce qu'il sait ... Un sourire peut être désarmant pour un homme tout autant que la froideur dont elle faisait preuve pour se défendre. C'est donc souriante qu'elle lui parle.

Apprenez moi, je serais une élève assidus moi qui suit tout le temps le professeur je me soumettrais à vous.


Elisabeth se soumettre ... hum curieuse idée ... tombera t-il dans le panneau ? L'avenir nous le dira. Pour le moment elle passe ses doigts fins sur ses propres lèvres là où son professeur est passé. Elle sourit en coin.

Professeur ... voilà un surnom qui vous irait bien. Il a un quelque chose d'interdit.

A peine sa phrase finie, que sa poitrine est prise d'assaut par son amant du soir. Loin d'être brusque, il savoure le corps présenté devant lui, corps qui réagit à ses caresses, corps qui au fur et à mesure s'offre et accepte le plaisir des sens, corps qui est sur la voie de l'abandon à l'autre. Mais pour le moment la blonde a encore toutes ses facultés, elle apprécie la caresse à sa juste valeur. Séduction, a t-il dit, il l'a séduite comment peut elle le faire. Tout cela ressemble à un jeu, un jeu à deux où le but est de plaire à l'autre et de l'exciter. Doucement sa main se pose sur sa chevelure, descend sur sa nuque. Elle apprécie le contacte de sa peau sur ses seins, elle le lui montre par une légère pression sur sa nuque, lui faisant comprendre qu'elle aime ce qu'il lui fait. Son autre main vient caresser la sienne, doucement. Elle met la tête en arrière comme pour s'offrir d'avantage.
--Desiree


[Chambre de Désirée]

Différente des autres ? Pas vraiment, non. Mais elle se garde bien de le dire. S’il la trouve différente, grand bien lui fasse. Il reviendra la voir et son salaire sera régulier. Elle aurait bien besoin d’une nouvelle robe, et la soie, c’est fort cher.

Une lueur passe dans ses yeux quand il vient enserrer sa gorge. De la peur ? Un peu, peut être. Du désir, aussi, surtout. La mort serait si douce. Se perdre lentement dans les limbes pendant qu’il se perdait en elle. Voila qui serait fortement intéressant. Oui, c’est du désir qui luit dans ses yeux. Serre, serre, et prends moi, semblent-ils dire.
Mais elle sait qu’il ne la tuera pas. Les catins de la Rose Noire sont des objets bien protégés. La Dame n’ignore rien, jamais, de ce qu’il se passe dans les chambrées, et le blondinet serait lui-même abattu avant d’avoir pu quitter l’établissement, si jamais il la tuait.

Elle sourit donc, quand il la relâche et guide sa main vers ses braies, caressant légèrement son désir, pour le sentir gonfler et grandir.


Eh bien, oui… l’on dirait que votre arme est plus grande qu’un glaive en effet, mon doux sire !

Elle lui adresse un regard mutin, avant de sa main libre, défaire un peu plus le haut de sa chemise, caressant son cou au passage, glissant sa main dans le col pour frôler sa peau, avant de se glisser au sol, s’agenouillant devant lui pour ouvrir ses braies plus avant. Puis, du bout de la langue, elle entreprit de découvrir ce désir qui grandissait, de le goûter lentement, prenant le temps de bien faire. Ce client là était gentil, il l’aimait bien. Il méritait qu’elle mette tout son cœur à l’ouvrage. Aussi, c’est ce qu’elle fit. S’aidant de ses doigts graciles, caressants, elle guida la virilité de l’homme dans sa bouche, et entama le langoureux ballet. Levant de temps en temps les yeux pour vérifier que le client appréciait le traitement auquel elle le soumettait.
_____________
--Tibere.
[Chambre 3: sens... sensation-elle]

Elle lui parle de se soumettre... Elle joue et elle joue bien... Sait-elle l'effet que cette idée a sur un homme? Il est là pour son plaisir, ce serait plutôt à lui de se soumettre mais la donzelle parle de se soumettre et Tibère, plus que tout autre, aime le pouvoir. C'est pour cette raison qu'il aime tant les femmes. Il aime les posséder, les sentir à sa merci. Une lumière vive éclaire son regard. Malgré sa candeur, cette femme est une diablesse, il le sent et un nouveau sourire est échangé avec la belle.

Professeur, un interdit... Les interdits sont tentants, toujours, même pour les gens les plus vertueux. Le tout est de savoir s'y prendre. Il relève la tête de l'écrin de chair et la regarde encore, ne se lassant pas de sa beauté, de sa fraîcheur.


Mais ma belle Cherry, j'espère goûter avec vous nombre d'interdits...

Malice, insolence, désir, plaisir. Jouer avec les mots, jouer avec leurs envies, avec leurs corps... Elle se prend au jeu, il frissonne sous ses doigts contre sa nuque. Il la regarde à nouveau, la contemple, si belle, ainsi offerte, ses seins blancs dressés. Sa langue continue de la découvrir, il y prend un savant plaisir, la main posée sur ses cuisses descend lentement, caressant la fine cheville. Il goûte encore se seins, mordillant très légèrement le petit bouton de chair rosée qui se tend sous ses dents nacrées, sous sa langue qui le darde un peu plus. A nouveau, sa tête se relève, son regard croisant le sien. Il laisse la les monts, il y reviendra plus tard pour mieux les savourer encore.

La main qui enserre la cheville fine, défait doucement le soulier qui recouvre son pied, lentement ses doigts remontent, soulevant jupe et jupons, juste ce qu'il faut, sans dévoiler son genou. Il reste pudique tout en étant sensuel. Les doigts remontent toujours plus haut alors que le regard se perd dans les tissus, les cuisses chaudes, la naissance de son bas. Il le défait doucement le faisant glisser jusqu'à son pied, autant le tissu fin qui comprimait sa jambe. Lui lançant un regard qui n'a plus rien de froid, il se penche encore plus bas, déposant un baiser sur la cheville qu'il tient entre ses doigts.


Leçon numéro deux: la découverte du corps. Elle se mêle à la sensualité. Découvrir chaque parcelle, savamment, chercher ce qui fait frissonner l'autre. Elle fait monter le désir encore plus fort.

Il la regarde à nouveau et glisse sa langue sur sa cheville, remontant le long de son mollet, suivant la courbe, parvenant jusqu'au genoux, le seuil de l'inconvenance prêt à être franchi, il soulève un peu plus le tissu et du bout de sa langue chaude et humide goûte à la chair de ses cuisses. Délice...

Cerdanne
[ Dans le salon...Coussins moelleux...]

Aplatie, ça elle est la brune.
L’opium peu à peu se dissipe pour ne laisser affleurer que les volutes légères qui exacerbent et inhibent.
Les pupilles marines s’ouvrent sur un monde nouveau, enfin presque.

Plus grand monde dans le salon.
Une petite brune, tête plongée dans son gobelet et qui toussote sec.
Ptet bien elle avec ses raclements de malade qui la arrachait à sa douce torpeur.

Elle lui en veut même pas, tellement elle baigne dans le « Je vais bien, tout va bien … ».

Cerdanne réprime une envie de lui adresser la parole, et préfère étirer ses gambettes et ses bras longuement tout en la lorgnant du coin de l’œil.
Que peut bien faire ici en position coquille malade, un petit bout de femme pareil…
Penche un peu la tête et regarde vers l’entrée, grimaces qui un instant plissent le visage au regard flou.
Le cerbère est toujours là, raide comme un piquet.

Nouveau regard vers la buveuse silencieuse.
Cerdanne finit par se lever et se plante face à l’escalier.
Ne se rappelant plus très bien si elle est restée longtemps absente de la mansarde, elle hausse les épaules et se dirige vers le bar d’un pas décidé.
Négligeamment appuyée contre le comptoir de bois, elle fixe les bouteilles qui la narguent et interpelle le gardien..


Holà Cerbère tavernier!
Une assoifée a besoin de tes services .


Ses yeux se posent sur lui, brillants et malicieux.

On dirait que tu t'ennuies tout seul dans ton coin, viens donc servir ta vieille copine.
Baudouin
[Retour à la Salle... petit chardon en berne]

Le temps s'écoulait et lui accordait du répit. Il en profita pour ranger les armes, les bichonner, tirer les rideaux qui devaient les cacher des curieux. Il profite de ce temps précieux. Blondie l'angloise est monté à l'étage, en bonne compagnie. Il espère qu'elle passera un bon moment et qu'elle ne sera pas déçue cette fois.

Un regard porté sur la salle, protecteur. Il regarde d'un air sceptique la petite brune qui tousse au comptoir jusqu'à ce que... Crénom de nom! Elle... elle le hèle! et en plus elle le prend pour son larbin! Diablesse!

Il la regarde, sans un sourire, et se dirige vers le comptoir.


Est-ce moi qui m'ennuie? ou toi, petit chardon? Alors qu'y a-t-il pour ton service? Hypocras, hydromel, liqueur quelconque? Dis-moi tout! ça me changera un peu!

Tu n'as donc pas trouvé ton bonheur ma belle? et ton marin a définitivement déserté le navire!


Il la regarde, ses yeux noirs plongés dans les saphirs. Elle le prenait pour son larbin mais il n'était pas dit qu'il jouerait à son petit jeu. Il était hors de question qu'il fasse un faux pas et se fasse virer par la Rouge à cause d'un petit chardon capricieux.
Jeffeson
[Chambre de Desiree … si bien nommée]


Complètement sous le charme pourrait il dire si quelqu’un venait lui demander ce qu’il en avait pensé. Il commença à frissonner sous ses caresses qui commençaient à être beaucoup plus ciblée. Il la laissa lui ouvrir d’avantage la chemise mais ne s’en débarrassa pas. Il ne voulait point lui montrer son corps meurtri par de nombreuses blessures, c’est pourquoi, il la laissa juste entre ouverte, laissant à peine percevoir la peau de son torse.

Et voila … elle était déjà agenouillée devant lui à commencer ce doux va et vient. Au départ, il se crispa légèrement. Puis au fil du temps, il se lassa aller à ce plaisir qu’il appréciait fortement. Il gesticula à peine pour faire glisser ses braies en bas des chevilles, écartant d’avantage les jambes, la laissant complètement maitre de son anatomie. Il prit appuis sur le mur, d’une main, en face de lui et commença quelques petits mouvements de bassin. Son autre main vint se réfugier dans la chevelure de la demoiselle, s’agrippant au fur et à mesure que le plaisir monté.


Ne vous arrestez pas …

En même temps qu’il disait cela, son regard venait de se plonger dans le sien. Un regard rempli de désir, d’envie et d’impatience aussi. Lui-même dans un état second, il décida de pimenter d’avantage la chose … Il la releva et l’embrassa langoureusement tout en l’attirant vers le lit avec lui. Il l’allongea sur le rebord et resta debout devant elle, il inséra son membre gonflé en toute tranquillité. Il commença par des petites pénétrations, puis il ressortit, entra et ressortant en veillant à ne faire rentrer que le bout de son membre, ceci jusqu’à ce qu’elle en vienne à le supplier.

Continuant son petit jeu sadique de « je donne du plaisir en le reprenant desuite ». Une main vint l’a tenir par les hanches et de son autre main, il la remonta vers ses seins et plus particulièrement ses tétons. Il commença à lui effleurer du bout des doigts à plusieurs reprise avant de s’attarder dessus. Il prit en main l’un deux et le pinça légèrement avant de passer à l’autre, faisant de même … tout en continuer son petit jeu de bassin qui se faisait de plus en plus rapide sans pour autant l’envahir complètement.
Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : le début de l'abandon]

Les regards se font complices, la mauvaise soirée changeait bien de visage et devenait de plus en plus agréable. Sans savoir il la provoque ... Elisabeth a un défaut, elle ne sait pas dire non quand on lui lance un défi, et cette phrase a pour elle des accents de défi. Elle se mort la lèvre ...

J'espère que ce ne sont pas que des promesses, je serais très déçue d'écourter des leçons qui m'ont l'air très intéressantes.


La main caresse les cheveux blonds quand ils sont à sa portée, l'autre main reste contre sa propre cuisse. Il part à la découverte de son corps, elle ferme les yeux profitant des moindres sensations qu'il lui donne. Elle savait que la perte de la vue entrainait une augmentation des autres sens. Il caresse sa cheville, prend son temps, remonte vers ses seins libérés de toute emprise vestimentaire. Quand il mordille sa poitrine elle pousse un petit cri de surprise, sa main se contracte sur sa nuque, poussant sa tête contre les deux monts. Son dos se cabre légèrement pour approcher encore plus la poitrine offerte à la source du plaisir. Son corps décide pour elle de ce qu'il veut faire, depuis qu'il ressent du plaisir. Quand il abandonne ses seins elle fait la moue mais son regard est plein de malice.


Vilain garçon ... tu commences et ne finis pas ... tu sera obligé de recommencer.

Soulier ôté c'est une main chaude qui effleure la jeune femme. La main n'a pas lâché la tête de l'homme et prends plaisir à caresser la blonde chevelure. Elle frissonne sans cesse, début du plaisir, début de l'éveil au plaisir. Il est doux, patient, joue son rôle de professeur mais aussi de connaisseur dégustant la blonde. Elle l'écoute, elle profite de ses caresses, elle sent sa cuisse respirer une fois libérée de ses si infernaux mais indispensables rubans. Il continue son petit jeu et elle le laisse faire. Il énonce la leçon deux avant de venir gouter de sa langue la cuisse défendue.

Voyons si j'ai bien compris les premières leçon cher professeur.


La blonde attrape jupe et jupons, elle recule d'un pas pour présenter son autre jambe, celle qui est encore chaussée. Elle fait retomber le tout sur la dite jambe, la tend en pointant le pied, doucement elle remonte ses frou-frou jusqu'au ruban jumeau, découvrant sa jambe lentement.
--Marigold.
[Chambre 5, douce comme une plume piquante comme une épine]

- Ma douce, je doute sincèrement que ce genre de pratique parvienne à provoquer en moi la réaction attendue...

Je suis désolée je n'ai pas pu m'en empêcher...


Elle rit encore, puis reprit le tuyau de la plume en main et commença à écrire les quelques mots qu'elle connaissait en italien sur le torse de Marcello, griffant plus ou moins délicatement la peau scarifiée par endroit. Voyant que les chatouilles avaient démoralisé le petit oiseau d'amour, elle décida tout en poursuivant son exercice d'écriture de reprendre ses caresses.

Elle s'amusait à se faire parfois absente parfois très présente, Marcello ne pouvait pas savoir lorsqu'elle s'interrompait où elle allait décider de réapparaître. La blondine se délectait de voir un sourire surpris ou impatient se dessiner tour à tour sur les lèvres de son amant, qu'elle s'empressait alors de goûter. Elle fit ensuite basculer la plume faisant à nouveau danser les rémiges sur la peau frémissante de son Amore. Elle dessina le contour de son visage s'attardant sur sa bouche puis glissant dans son cou, plongeant jusqu'à son torse puissant, puis prenant le chemin dessiné par une ligne de poils bruns elle rejoignit de la plume la main qui s'affairait toujours sur le sucre d'orge gonflé d'envie. La jeune femme cessa un instant déposant un baiser sur le gland brûlant dont elle vint chatouiller l'orifice grâce à la douce plume. Tout en poursuivant ce supplice digne des grands inquisiteurs, de sa main libre elle récupéra à nouveau l'huile essentielle qu'elle fit glisser sur le pic.

Du doigt elle humecta l'ensemble s'attarda sur le haut du mont qu'elle agaçait toujours à l'aide du duvet. Parfois elle le laissait glisser jusqu'à la base en profitant pour le remplacer par un rapide coup de langue ou un suçotement habile grâce auquel elle goutait l'onguent sucré.

Puis tout à coup elle s'interrompit, et revint vers sa bouche, en parcourant des lèvres un chemin imaginaire.


Mon cher Amore, cette pratique-ci vous a-t-elle plus emporté loin de vos soucis et toujours plus prêt du paradis?

A dire vrai, Marie savait que les hommes avaient du mal à supporter longuement ce genre de traitement, elle lui offrait donc une pause salvatrice afin que leurs jeux puissent se poursuivre. Jamais elle n'aurait joué à Pandore avec un jeune homme, car ceux-ci ne parviennent jamais à dépasser le premier secret. Marcello était un homme un vrai... et à présent il allait connaitre le côté piquant de sa Luce.

Je suis sûre que vous aurez reconnu le premier trésor de la boîte... voici à présent le suivant...

La blonde "dame de compagnie" se délesta de la plume enduite de suc et d'onguent et glissa sa main à nouveau dans le coffret d'où elle sortit la rose fraiche. Elle fit glisser la fleur sous le nez de son amant qui ne put faire autrement que de reconnaître son parfum si particulier. Puis elle commença à faire virevolter le bouton sur le corps du soldat répandant dans l'air son 'arôme suave et capiteux.

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