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[RP] Maison close de la rose noire

--Desiree


[Chambre de Désirée]

Elle sourit alors qu’il l’entraine vers le lit, victorieuse. Elle a réussi à lui plaire assez pour qu’il veuille s’engouffrer en elle.
Mais que faisait-il, cet individu là ? Que lui prenait-il, de l’agacer ainsi ? Hein ?

Elle passe les bras sous sa tête, tirant sa poitrine vers la main qui la caresse, le laissant faire un moment, réagissant comme il le fallait, soufflant et se tortillant sous lui. A chacun de ses mouvements, elle se cambrait, l’invitant à donner plus d’amplitude à ses mouvements, à la visiter toute entière. Et à chaque fois, il refusait, reculant.

Elle se redressa sur ses coudes, amusée.


Eh bien, mon doux sire… êtes vous déjà fatigué ?

Elle lui sourit, et se rallongea, le laissant encore un peu jouer à son petit jeu, amusée. La caresse n’était pas désagréable, aussi se cambra-t-elle encore à sa rencontre, brusquement cette fois, l’attirant vivement en elle, les deux bras passés à sa taille, l’entrainant sur le lit avec elle.

Allons, faites quelques efforts pour satisfaire la femme rompue à ce genre d’exercice que je suis ! Mon doux sire…

Elle glissa à nouveau les doigts d’une main sur sa nuque, la massant doucement, jouant avec ses cheveux. De l’autre, elle le maintenant toujours étroitement pressé contre elle. Sourire joueur plaqué au visage, elle lui offrit un baiser, du bout des lèvres, avant de se rallonger à nouveau sous lui, amusée.
____________
--Tibere.
[Chambre 3: volupté quand tu nous tiens]

Elle est malicieuse, la belle anglaise et elle le fait sourire encore... Et elle se dévoile. La jeune fille n'a peut-être pas beaucoup d'expérience mais elle apprend vite et semble apprivoisée. Il la regarde soulever ses jupons et dénuder sa jambe, du bout des doigts, il effleure son genou. Son regard se fait braise tout comme son corps qui s'embrase. Il l'attire contre lui, fourrant sa tête entre ses cuisses, respirant son odeur, s'en abreuvant les sens. Sa chaleur, son odeur, il la regarde et glisse sa main entre ses cuisses, frôlant sa fleur à peine... furtivement.

Il lui sourit malicieusement.

L'élève sait être sensuelle, mais sait-elle se faire désirer? Patienter jusqu'à n'en plus pouvoir, faire monter le désir jusqu'à son paradoxe? Jusqu'à n'en plus pouvoir? Ce serait la leçon numéro trois.

Il se relève et l'enlace, la tenant fermement par la taille.

Elisabeth, j'aimerais pouvoir vous aider. Les hommes aiment deux types de femmes: les tigresses et celles qui savent se faire désirer. Celles qui cachent leur savoir faire sous leur froideur et celles qui brûlent d'une chaleur torride. Vous êtes capables d'être les deux mais ce sera à vous de savoir comment vous adapter en fonction de l'homme que vous voulez séduire.

Mais qu'est-ce qui lui prenait. Le voilà à faire un cours à une femme sur comment séduire un homme! C'était un comble! Lui le séducteur, carnassier, prédateur, violeur, assassin, il badinait et faisait un cours à une jeune donzelle qui ne trouve pas son plaisir avec son époux! Il avait presque envie d'en rire. Il prend son bras et l'entraîne vers la couche.

Allons venez Cherry, nous avons beaucoup à faire encore, la nuit ne fait que commencer.

Il la laisse s'asseoir sur le lit et lentement, devant elle, il ôte sa chemise, dénudant son torse d'albâtre. Il fait rouler ses muscles pour qu'elle le contemple, pour qu'elle le désire. Il s'approche d'elle et gentiment lui caresse la joue.

Que préférez-vous? Que nous nous concentrions sur votre plaisir tout d'abord où que nous voyons ensemble comment vous pourriez exceller à rendre un homme fou de désir et de plaisir une fois que vous l'ayez séduit?

Etrange sensation. Il prenait plaisir à ainsi ouvrir les portes. Peut-être qu'à trop ouvrir la boîte de Pandore, il finirait par s'y brûler mais il n'était pas homme à s'inquiéter des conséquences de ses actes. Il agissait selon son instinct et selon ses désirs et ses pulsions. Et là, son instinct lui disait de ne rien laisser au hasard.

--Mme_red
[ Bar ]

Mme Red se laisse conduire vers le comptoir où l’alcool est servit et elle prend place avec Tadzio. Se saisissant du verre, qui sera payé plus tard, elle observe un instant d’un œil critique le liquide rougeâtre, laisse à son odorat le plaisir d’en savourer l’odeur avant d’y plonger ses lèvres pour ravir ses papilles.

L’homme semble l’analyser comme cherchant à percer ses pensées. Néanmoins, il semble ne pas témoigner beaucoup d’enthousiasme, seul un bien faible sourire fiché aux coins de ses lèvres pourrait trahir un léger intérêt.

Dégustant l’hypocras -fort agréable, il faut le dire- la Red écoute les paroles doucereuses de Tadzio. Un sourire amusé se dessine faiblement sur sa bouche. Compliment classique, certainement suffisant pour emballer les gueuses, ou les dames en mal d’affection, mais pas assez pour faire frémir la blonde. Doux bruissement des étoffes qui s‘effleurent. Un frôlement contre sa jambe. L’homme se met subtilement au travail. L’angélique ne cille pas. C’est alors que d’un geste calme, mais décidé, il lui dérobe son précieux breuvage. Elle suit son verre d’un air surpris avant que son regard métallique ne se braque sur une goutte qui suinte à la commissure de ses lèvres, telle une perle de sang qui s’écoule lentement d’une lèvre glacée. Un coup de langue met fin à sa contemplation.

C’est un sourire espiègle qui étirent alors les lèvres de la blonde. Ses yeux se plissent légèrement et ses narines se dilatent de manière quasiment imperceptible. Elle se penche doucement, approchant son visage de l’homme bien sur de lui.

_ Laissez la douce caresse de la langue pour les mots… Il existe bien des abeilles habiles mais ceux qui butinent n’ont que trop rarement les crocs acérés. Laissez la tendresse aux amants, elle ne m'est que trop famillière. A moins que vous ne sachiez allier morsure et caresse… Dans ce cas, c’est tout à votre honneur.


D’un geste habile, sa main vient à son tour dérober le verre qui lui fut volé. Elle se recule puis elle passe lentement une jambe par-dessus l’autre, mettant un terme au contact fraichement créé. Repousser l’homme pour mieux le voir revenir. Ses prunelles se rivent dans celle de Tadzio cherchant à y découvrir la moindre expression.

Un fois de plus ses lèvres viennent gouter à la saveur de l’hypocras. Le jeu commence seulement.


_____________________
Elisabeth_stilton
[Chambre 3: Le choix dans la leçon ... qui va être excité ?]

Elle l'écoute, elle sourit, elle profite, elle le cherche du regard, ses mains se pose sur la tête de cet homme quand il fouille entre ses cuisses. La sensation est agréable, différente de ce que Nicolas lui avait montré. Il la caresse intimement, juste histoire de la faire réagir, ce qui réussit.
Après maintes caresses, il la mène sur le lit, non sans avoir au préalable expliqué ce qu'aimait les hommes. Oui elle savait faire les deux, oui elle pouvait être froide mais bouillonner également, d'ailleurs sa devise n'était elle pas "Attention je brûle".
Il se dénude, elle le regarde, elle l'observe, elle a envie de le caresser, elle a envie de faire passer sa langue sur ses épaules. Les épaules, le torse, le ventre, le ... ah non ça elle le devine juste. La blonde se mord la lèvre quand il pose une main sur elle. Mon dieu qu'il est désirable.


Je veux rendre un homme fou de désir. Fou de moi.
Je veux savoir comment je peux faire en sorte qu'un homme soit à mes pieds par désire pour moi.
Je veux savoir comment te rendre fou.


Un sourire mutin apparait à la fin de la phrase. Elle se lève, approche doucement du corps à demi nu et commence des caresses. Ses mains se posent sur les épaules, caressant, découvrant les muscles, la peau, l'odeur de son amant. Elle les descend doucement sur son torse, puis son ventre. Elle découvre le corps de cet homme. Mais elle a envie de plus, les mains sur ses hanches, sa langue se fait aventureuse et commence à frôler le cou de son compagnon de la nuit.
Jeffeson
[Chambre de Desiree]


Non point fatigué … je n’ai point commencé encore. Mais peut être, estes vous las, femme rompue que vous estes ?

Son regard parcourant le corps de sa compagne … il dégageait quelque chose de spécial ce soir … Il se rendit rapidement compte qu’en jouant à ce petit jeu, lui-même ressentait quelques frustrations, il venait de se bruler à son propre jeu. Il ressortit son membre du sien, agrippa d’une main sa hanche et s'immiça en elle véritablement avec ardeur pour la première fois de la soirée.

Il s’allongea légèrement sur elle, prenant appuis sur le côté du lit. Il releva les jambes de sa compagne afin qu’elle soit légèrement pliées. Cherchant à lui offrir le meilleur contact : il prend soin de lui donner des coups réguliers de reins rapide et efficace. Continuant de pénétrer avec vigueur, ses lèvres vont se loger sur celle de sa Blonde. Les yeux fermés, il lui prit la lèvre inférieure puis commença à laisser libre court à sa langue qui s’emballe pour un baiser langoureux et passionné. Son souffle commençant à se faire beaucoup plus rapide. Il décide de soulever sa compagne du lit, restant toujours en elle, pour la porter contre un mur. Ne lâchant pas ses lèvres pour autant, il lui cale les jambes sur ces hanches et continue ses douces manœuvres.

Une fois bien calé contre le mur, il y déposa une main en appuis afin de rendre coups de reins plus violent et plus profond, essayant toujours de donner plaisir à sa compagne plus qu’à lui. Ses lèvres quittent enfin celle de sa blonde et se glisse dans son cou … y déposant plusieurs petits bisous coupé par un soufflement de plaisir. Termine son périple langoureux sur les tétons de sa belle, qu’il prend en bouche généreusement.

Le blondinet souriait de plaisir et s’amusait à sortir son membre pour l’y réinséré encore plus fort, donnant une nouvelle sensation à sa partenaire qu’il continue de gratifier de doux mordillement sur ses attributs. Il remonta ses lèvres vers son oreille puis lui chuchotait entre deux respirations saccadées :


Peut estre que cela est trop pour vous ma bel’ … Dites moi ce que vous voulez … je suis à vous.
--Lucrece


[Elle court, elle court la petiote...elle est passée par ici...ou pas!]

Ah ba oui forcément, faut en plus de les laver les nourrir les enfants! Bon alors, elle veut un morceau de pain, il doit bien y avoir ça en cuisine!
Alors les voilà parties direction les fourneaux! La petiote serre la main fine et blanche de la catin comme si elle allait la perdre et continue de gazouiller sur le chemin de la cuisine.L'étage se traverse dans un couloir désert où des râles extatiques laisse deviner les activités des pensionnaires des chambres! Et voilà qu'elle embarque la môme dans l'escalier de service, mieux vaut ne pas troubler la clientèle de la Rose Noire en faisant débouler dans le Grand Salon une enfant et qui plus est vêtue de la sorte!!!Une fois arrivées, Lucrèce lâcha la menotte désignant un banc à la gamine!


Installes toi là, je vais te trouver un peu de pain et du fromage! On doit aussi avoir un jus d'orgeat pour que tu étanches ta soif...et après le repas! Au lit!!!

Et le temps de lui tourner le dos pour attraper les dits mets et la boisson..et pfiout...plus d'enfant...La blonde ouvrit grand la bouche sans qu'aucun son n'en sorte pendant un temps relativement court ...et finalement, elle jura, d'une langue sèche!

Foutredieu! Elle m'a eu la saleté!

Et voilà l'itinérante qui pose ce qu'elle avait dans les mains, et qui se met à fouiller la pièce, le dessous de table, le coin de l'âtre... Pas trace de la mioche...la mini meringue serait elle partie dans la grande salle? Catastrophe, les clients voyant débarquer le petit monstre seraient juste...Non, non, elle ne pouvait penser à cette éventualité! La dame Rouge risquait de lui passer un savon...c'était le cas de le dire!

--Laptiote


[Un peu partout... en route pour l'aventure!]

Une lumière au fond des prunelles, la gosse gambade. Elle découvre la vie, la vraie! Pas celle des bas-fonds où elle se faisait rabrouer, frapper, ou elle se gelait les miches à grelotter de froids l'hiver, à trimer pour rien l'été, à avoir faim tout le temps. Pas non plus celle dans les champs où il faut s'abîmer les mains, le dos, pour trois écus six sous. Non, là, c'est...

Un petit soupire de plaisir s'échappe de sa bouche. Elle ouvre de grands yeux, elle a déjà inspecté les couloirs, repéré la cuisine c'est sûr et puis la lingerie et d'autres pièces secondaire mais la voilà, elle y est! Le lieu qu'elle convoite par dessus tout: Le salon.

Elle y pénètre majestueusement, se prenant pour la nouvelle Reyne. Oui parce qu'il paraît qu'il y a une nouvelle Reyne et qu'elle a les oreilles qui traîne Lap'tiote!

C'est beau, il fait chaud, ya des gens qui sont beaux aussi. Elle va se fourrer dans un canapé, se perdant dans les coussins. Hmmm comme c'est moelleux! Elle frotte son bout de nez sur le velours, elle respire comme ça sent bon. Et puis elle ouvre des grands yeux. Elle regarde le portier au comptoir qui sert une dame. Ah non! C'est SONNNN Portier! pas question que la vilaine lui pique!

Elle s'approche donc, essayant de grimper tel un petit singe, sur le haut tabouret, si elle pouvait elle grimperait même sur le comptoir!

Dis? ze peux zavoir à boire? Pis t'as vu? ze sens bon? Même que Crèce elle m'a donné une belle robe!

Regard en coin à la brune à côté. On lui pique pas SA Crèce, on lui pique pas SON portier non plus! Sourire d'ange à l'appui, elle papillonne des yeux. Dieu que c'est beau la vie!
Baile
[Dehors, je suis dehors]

Etait-ce le fait d'avoir rencontré la Rouquine et de l'avoir intégrée à sa vie qui avait semé en elle la graine de l'envie "bordélique"? Etait-ce le fait de prouver au monde entier, le sien en l'occurrence, qu'elle n'avait pas de coeur d'artichaut et qu'elle pouvait coucher avec une femme, même catin, sans s'attacher à elle? Ou était-ce simplement son refus indécrottable d'être considérée comme blanche, de pattes, maintenant qu'elle était capitaine d'un Ordre royal? Toujours est-il qu'un bordel au nom de Rose ne pouvait que l'attirer, et qu'entre la Pourpre ou la Noire, il valait encore mieux pour elle choisir la Noire, comme un moindre mal, pour que la Cour des Miracles ne lui colle pas de nouveau à la peau.

L'AAP avait dit que l'établissement se trouvait à Paris, l'AAP ne pouvait pas se tromper... Hmm... C'est donc lors d'un séjour dans la Capitale, avant le sacre de la Reine ou sa visite à l'Hôtel Volpone, qu'elle prit la décision de faire une virée par là-bas. Elle avait hésité à amener la Rouquine avec elle, mais elle avait renoncé à cette idée à la dernière minute, se disant que ça n'était pas très subtil ni plein de tact de proposer à une catin, même si, ou surtout si, on ne la considérait plus ainsi, de l'emmener dans un bordel parce qu'on avait envie d'assouvir un désir quelconque. Avant de quitter l'auberge où elle résidait, elle fit la seule chose sensée dans toute cette entreprise: elle ôta tout signe distinctif de son appartenance à l'Ecu vert et rangea le tout soigneusement dans sa besace. Elle s'en fichait de rencontrer du monde qu'elle connaissait, l'arme serait à double tranchant alors, mais il était hors de question que le premier quidam venu reconnût les symboles et cherchât à nuire d'une manière ou d'une autre à "son" Ordre.

Nue maintenant, enfin tout comme parce qu'elle avait gardé ses armes, sans oublier sa bourse pleine pour une fois, elle était fin prête pour l'aventure. L'excitation était à son comble, c'est que cette escapade lui rappelait à quel point elle aimait contrevenir aux règles bien établies de la société, même si ça n'était plus par la force. Et si elle avait cherché à analyser son ressenti en cet instant, elle aurait peut-être eu un début de réponse aux questions qu'elle se posait tantôt. M'enfin des fois, elle aimait bien se voiler la face le temps de se faire plaisir. Elle n'avait pas cherché à se vêtir différemment pour l'occasion. Elle portait sa tenue habituelle "d'amazone", héritée du temps où elle avait croisé une rebelle Franche-Comtoise en taverne dauphinoise, c'est-à-dire simplement ses bottes, sa longue chemise et son col qui la protégeait du froid. Mais elle avait oublié qu'en ce climat encore hivernal, les rues de Paris regorgeaient de flaques boueuses.

Elle pesta fort quand une charrette mal contrôlée lui éclaboussa les jambes, et perdit quelques précieuses minutes dans l'assouvissement de son envie, à chercher un chiffonnier. Elle acheta finalement un torchon propre - elle l'a senti avant, dans un excès de coquetterie - et attendit d'être à quelques mètres de la Rose Noire pour s'essuyer méthodiquement les cuisses et les bottes, avant de jeter le chiffon un peu plus loin. Ne lui restait plus qu'à toquer à la porte de l'établissement, ce qu'elle fit, et fermement.

_________________
--Asteria


[Dans le salon]

Asteria était assise au bar et sirotait un Hypocras, elle semblait triste et désemparée. Elle regardait autour d'elle mais pas grand monde, la plupart des filles étaient montées à l'étage aussi n'avait-elle pas encore fait son choix. Une question d'abord se posait, qu'elle fille accepterait d'assouvir son fantasme, il y en avait-il une?

Elle était pourtant très belle; les yeux bleus marines,une chevelure brune qui lui descendait jusqu'au bas du dos, elle avait un visage fin et doux à la peau mate. Asteria était vêtue d'une chemise transparente qui ressemblait plus à un voile qu'à un vêtement, laissant voir la rondeur et la tenue d'une belle poitrine, une jupe fendue jusqu'à la taille laissait voir ses jambes fines et interminables.

Elle n'était pas triste mais seulement désabusée......Son corps trop longtemps délaissé..... son corps qui s enflamme , rêves de caresses audacieuses , de souffles chauds , rêves de milles baisers passionnés....
Ses envies sont si présentes qu'elle sent son coeur s'affoler, de doux frissons l'envahir, son corps brûler, ses seins darder les pointes tendues sous le voile du tissu. Prisonniers , ne rêvant qu'a être libérés , savourés.

L envie de caresses se fait cruelle , son intimité la plus secrète s'ouvre sur quelques perles de rosées prêtes a être cueillies , aimées , dégustées , son esprit ne contrôle plus rien. Elle veux seulement sentir des mains qui parcourent son corps, une langue de femme curieuse et gourmande.........
--Tibere.
[Chambre 3: lorsque la folie s'empare des sens]

Elle veut apprendre, mais elle sait déjà. Il la sent vibrer, elle a soif de luxure et un sourire étire ses lèvres à son tour lorsqu'il entend sa dernière phrase. Elle s'approche, féline, ses mains, légèrement fraîches, sont sur lui. Elle prend les rennes en main, caressant son torse, le faisant frissonner. Sa peau et son corps se tendent au contact de la belle. Il sent ses seins, dévoilés par le corsage entre-ouvert, frotter contre son poitrail. Divine sensation qu'une poitrine juvénile qui se durcit et les boutons de chair qui pointent contre lui.

Il l'enlace, ses mains se glissent sous le corsage, caressant les hanches, le dos, il plaque son bassin contre elle, lui faisant sentir comme il la désire, elle ne peut négliger sa virilité tendue dans ses braies trop étroites.

A cet instant précis, il la veut et il tuerait pour l'avoir. Son regard s'enflamme et croise le sien alors qu'il frissonne de plus belle sous la langue de la douce blonde. Un soupire s'échappe de ses lèvres et il murmure à son oreille après avoir happé son lobe pour le goûter langoureusement.


Tu as déjà la connaissance en toi... montre-moi, laisse ton imagination s'envoler, ressent le plaisir qui fait battre ton coeur et tu me rendras fou. Tu me rends déjà fou, Cherry...

Doucement, il se frotte contre elle, maudissant l'odieux tissu qui les sépare, il voudrait tout arracher et la prendre sauvagement, mais il savoure le plaisir de faire durer encore et encore. L'explosion des sens n'en sera que plus grande et si elle veut le rendre fou, lui aussi veut la rendre folle. Il veut qu'elle n'en puisse plus, qu'elle gémisse de plaisir et qu'en repartant elle n'ait qu'un désir: revenir.

Lentement, il fait glisser le corsage au sol, la contemplant de plus belle. Sa peau pâle, ses petites épaules bien droites, ses bras fins, le galbe de sa poitrine, son ventre fertile. N'y tenant plus, il glisse ses mains dans ses jupons et caresse son fessier, ferme et chaud. Il la laisse encore mener la danse... Pour combien de temps?


Baudouin
[Porte, comptoir, porte... Porte!]

A peine a-t-il sorti les bouteilles afin de servir la brune que voilà la gosse qui revient à la charge. Froncement de sourcils du cerbère. Comment cela elle veut à boire la petite!

Hum... oui je vois tu es propre et c'est une bonne chose et tu as une très jolie robe mais il est temps d'aller au lit mademoiselle. Où donc est Lucrèce!

Grognement d'ours qui la choppe par le col alors qu'à la porte, on frappe.

Erf, le devoir m'appelle. Bien. Cerdanne rends-toi utile tu veux? Occupe-toi de la gosse, il faut trouver Lucrèce qu'elle la mette au lit. Et d'ailleurs même si tu veux pas, ma belle, c'est pareil! Et attends moi, je reviens m'occuper de toi dès que j'en ai fini avec cette porte!

Il lui sourit et s'éloigne en laissant la provençale avec la mioche dans les pattes. Un instant il se retourne pour les regarder et son coeur se serre. Il voit ce qui ne sera jamais et ce qui aurait pu être, bref aperçu d'un rêve étouffé dans les tumultes de l'océan... Tristesse... douleur...

Il chasse vite les nuages qui pleurent sur son coeur ainsi que la barre qui a marqué son front. L'huis s'ouvre et il s'incline.


Bonsoir Dame, bienvenue à la Rose. Pénétrez dans l'antre des plaisirs mais je vous prie confiez moi vos armes pour la sécurité de la maison. J'en prendrai grand soin.

Il se recule pour la laisser entrer, fermant la porte derrière elle. Il l'inspecte de haut en bas. Soldate sans doute, fière allure, un visage sûr de lui, et diablement jolie à regarder malgré son allure martiale. A croire que la maison se plaît à lui mettre l'eau à la bouche ce soir!
--Lady.


A nouveau je me retrouvais la proie, le chasseur usait de caresses de plus en plus vives et je ne retenait plus le flot de désir qui m'ennivrait. Il se délectait de tout ce que j'offrais mais moi, je brulais de le sentir me prendre, de le sentir me forcer et brutaliser les tendres chairs, en manque de plaisir depuis si longtemps.

Je murmurais entre deux soupirs et gémissements
.

En enfer .....entraine moi en enfer ......

Alors qu'il se perdait dans mon regard, je glissais ma main entre ses jambes et empoignais l'objet de ma convoitise, le caressant longuement, de plus en plus vite, tentant meme de l'inciter à s'introduire en moi, me contorsionnant furieusement.

Je n'étais pas là pour du sentiment mais pour découvrir mille et une manières d'accéder au plaisir supreme, peu m'importait avec qui et de quelle facon. Dans un sursaut, je jetais un coup d'oeil vers le blond mais je fus incapable de voir si il était toujours là.

Je reportais mon attention sur Sucre et lui souris, passant ma langue sur mes lèvres de facon langoureuse
.

Allez ..... fais moi chavirer ..... fais moi crier .....

J'enfoncais mes ongles dans sa peau et il me tardait d'en faire de meme avec mes dents.
--La_dame_rouge



[ Hantant la maison, étage, salon, bureau...]

Sa petite inspection s'achève, l'observation muette prend fin. Errant comme un spectre, la Dame continue son chemin, redescendant au salon. Ses mains gantées de rouge effleurent la rampe sinueuse du grand escalier et s'en détachent pour venir trouver le sein chaud contre son corset. Les bras croisés, elle retourne dans son antre, son repaire, son seul endroit de répit. Ou presque. L'absence du Duc parti entre temps la rassérène, et son air détaché ne trahit pas son inquiétude.

Si ses filles venaient à avoir des ennuis, il lui faudrait montrer les dents...

Mais pour l'heure, tout allait bien sous le toit de la Rose noire. De là où elle était, elle pouvait couver du regard son cerbère à loisir... Il se trouvait face à une nouvelle femme, qui devait avoir bien froid par le climat hivernal qui régnait derrière la lourde porte... Fallait-il être gaillarde pour supporter d'y être si peu vêtue.

Elle se perdit en pensées, éludant les rumeurs du salon et tordant une mèche de ses cheveux épais autour de son index.


--Lucrece


[En passant par la cuisine avec...puis sans la gamine...Retour au grand salon!]

Elle devait bien se résoudre à l'évidence après avoir fouillé le lieu de fond en comble...la mioche avait filé au grand salon! Misère!
Après une grande respiration, voilà la blondine qui reparaît, un peu échevelée dans le Grand Salon!

Un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche et elle aperçoit le petit minois enfantin dans les jupons d'une brune inconnue...pas vrai que les clients vont aussi servir de nourrice si on se rends compte de celà...la réputation de l'établissement va en pâtir un coup... Lucrèce réajuste en un éclair coiffure et corset et prends sa démarche la plus rapide mais toujours chaloupée pour rejoindre la mini meringue! Légère révérence devant Cerdanne avant de lui dire d'un air détaché:


Veuillez m'excusez m'dame, je vous soulage de la petite merveille!

Et là de se retourner avec des gros yeux vers l'enfant, poing sur la hanche et index pointé sous le nez!

Dis donc toi! Tu croyais pouvoir me fausser compagnie! Pour la peine, j'ai bien envie d' t'envoyer au lit sans manger!!!

Et là v'là qui cramponne la môme par le bras, d'autant plus que de nouveaux clients viennent d'arriver...elle a peut être encore une chance de récolter son dû pour ce soir... et ce serait dommage de s'afficher! Mais en même temps...pas dit que la petiote se laisse faire et mener par le bout du nez...Que faire? Une idée passe dans la tête de l'itinérante, et si elle l'amenait à la Rouge? Ne serait ce que pour lui montrer le travail effectué...Oui tiens! Et voilà notre catin qui pousse la gamine vers le bureau qu'elle espère...relativement accueillant! Et après une légère frappe de main sur le montant de porte, de pousser la mioche devant elle!

Voilà ma dame! Propre comme un sou neuf!

--Laptiote


[Lorsqu'une gosse devient une sorte de... paquet qu'on se refile!]

Elle serait bien monté au cou du cerbère pour lui faire un bisou, vrai que c'était un papa gâteau! Enfin sauf quand il fronçait les sourcils et qu'il parlait d'aller la coucher. Elle fit une petite moue boudeuse et en deux temps trois mouvements, elle se retrouva dans les jupons de la brune-qui-lui-piquait-son-gardien. Erf, erf, erf! Elle la renifle un peu, ça sent l'iode tout ça! Ah mais c'est bien la mer! c'est chouette!

Vous êtes d'où vous?

La gosse toise la grande brune du haut de ses deux pommes de hauteur. Pas le temps d'attendre la réponse. Voilà la maman-nounou-amie-Crèce qui se ramène.

Lap'tiote ne s'est jamais fait aussi p'tite! Quoi dormir sans manger! Et voilà l'estomac qui s'y remet. GROUAOU, GROUAAAOU!


Dormir sans manger! Mais Crèce... promis ze serai zentille et tout et tout!

Petit regard larmoyant.

Steuplé sois zentille!

Mais au lieu d'aller vers les chambres ou vers les cuisines, Lucrèce l'entraîne vers le bureau de la Rouge. Elle déglutit Lap'tiote. Oui, c'est sûr, si Lucrèce l'emmène là, c'est pour se faire gronder, ou qui sait fouetter, ou qui sait... virer! A la rue la gosse! dans le froid et la famine!

Le bureau s'ouvre et elle regarde avec ses prunelles écarquillées la Dame Rouge qui trône avec prestance. Triomphante, Lucrèce la pousse devant elle. Que faire...


Voilà ma dame! Propre comme un sou neuf!

Et là... oui! C'est le moment! Et la gosse de se jeter dans les jupons de la Rouge en faisant mine de pleurer.

M'a* Rouze! Crèce est pô zentille, elle veut m'envoyer couSSer sans souper!

Et v'là qu'on en rajoute un peu une larme par ci, une larme par là... et on s'essuie au doux jupon! Heureusement que les joues sont propres!

*Maman
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