--Tibere.
[Chambre 3: 1459, année érotique...*]
Le serpent s'enroule autour du tronc, il la sent se coller contre lui, l'appeler, son déhanché, le mouvement de son bassin, Tibère ne s'y trompe point. Un sourire est lancé à son amante d'une nuit alors qu'elle le réclame. Langoureusement, savoureusement, il se laisse glisser entre ses cuisses, simmisçant à la naissance de sa fleur. Il ne la quitte pas des yeux, guettant le moindre rictus, la moindre crispation sur son visage, ses mains posées sur ses hanches, un éclair au fond des yeux et d'un léger coup de rein la pénètre. Délicieux instant de la pénétration où chair contre chair leurs deux corps ne font plus qu'un.
Il commence un lent va et vient, se penchant un peu plus vers elle, ses seins chauds et tendus frottent contre son torse, il happe ses lèvres, les dévorant. La danse de leurs corps devient plus intense, il la lutine avec délice, savoureuse sensation d'être en elle, de la posséder, encore et encore, la passion l'embrase tout comme le feu qui vrille ses reins jusqu'au bout de sa virilité vibrante en elle. L'assaut devient plus fougueux, les coups de boutoirs plus profonds, il se redresse un peu pour la contempler, sublime, son corps se fait lave, moite de leur étreinte. Il se penche à son oreille et murmure, la voix rauque de désir:
Tu es faites pour faire l'amour, Elisabeth, ne l'oublie jamais... et j'adore te prendre...
Un sourire malicieux adressé à sa compagne d'un soir, il se redresse et relève ses jambes pour mieux la sentir, afin de venir buter au fond d'elle, il devient plus ardent, plus fougueux, amant passionné, besognant sa belle avidement. Elle est belle et en cet instant, elle est sienne.
*Et on continue... Serge!!!!!
Le serpent s'enroule autour du tronc, il la sent se coller contre lui, l'appeler, son déhanché, le mouvement de son bassin, Tibère ne s'y trompe point. Un sourire est lancé à son amante d'une nuit alors qu'elle le réclame. Langoureusement, savoureusement, il se laisse glisser entre ses cuisses, simmisçant à la naissance de sa fleur. Il ne la quitte pas des yeux, guettant le moindre rictus, la moindre crispation sur son visage, ses mains posées sur ses hanches, un éclair au fond des yeux et d'un léger coup de rein la pénètre. Délicieux instant de la pénétration où chair contre chair leurs deux corps ne font plus qu'un.
Il commence un lent va et vient, se penchant un peu plus vers elle, ses seins chauds et tendus frottent contre son torse, il happe ses lèvres, les dévorant. La danse de leurs corps devient plus intense, il la lutine avec délice, savoureuse sensation d'être en elle, de la posséder, encore et encore, la passion l'embrase tout comme le feu qui vrille ses reins jusqu'au bout de sa virilité vibrante en elle. L'assaut devient plus fougueux, les coups de boutoirs plus profonds, il se redresse un peu pour la contempler, sublime, son corps se fait lave, moite de leur étreinte. Il se penche à son oreille et murmure, la voix rauque de désir:
Tu es faites pour faire l'amour, Elisabeth, ne l'oublie jamais... et j'adore te prendre...
Un sourire malicieux adressé à sa compagne d'un soir, il se redresse et relève ses jambes pour mieux la sentir, afin de venir buter au fond d'elle, il devient plus ardent, plus fougueux, amant passionné, besognant sa belle avidement. Elle est belle et en cet instant, elle est sienne.
*Et on continue... Serge!!!!!