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[RP] Maison close de la rose noire

Baile
[Toujours devant la porte, puis hors de la Rose]

Pendant quelques secondes, elle avait contemplé la brune comme on contemple un oasis dans un désert, en s'en fichant, avec la lucidité qui reste, de savoir si c'est un mirage ou pas. Cependant, elle revint rapidement à la réalité de l'instant lorsque la voix agacée de Baudouin parvint à ses oreilles. Elle maugréa, se retournant pour le regarder.

Oui, non, je sais bien que ce n'est pas une auberge, hein? M'enfin si j'paie, j'vois pas où est le problème.

Elle n'aimait pas qu'on s'adressât à elle comme à une gamine ou une intruse, et ses yeux en disaient long sur toutes les réparties qui s'amoncelaient dans sa tête en attendant que la bonne s'en dégage. Le naturel s'était calmé, la brune était redevenue simple forme humaine et l'espèce de transe mentale dans laquelle avait baigné la jeune capitaine avait disparut également.

Elle prit le temps de détailler encore une fois le gardien. L'embryon de fantasme multiformes qui était né dans son esprit avait laissé place à une curiosité réelle. Cet homme, bourru à souhait, semblait porter de multiples facettes également. Une pointe d'envie de simplement discuter avec lui lui vrilla les entrailles, et elle s'en libéra en bougeant son corps vers la porte. Elle savait qu'il n'en serait rien ce soir, et elle refusait d'essuyer un refus poli de sa part.

Très bien, je m'en vais voir ailleurs si j'trouve réponse à ma faim. Ma virilité, s'il vous plait.


Tendant les mains, elle attendit qu'il lui remît braquemart et couillette, puis se tourna vers la brune.

Bon appétit m'dame!

Avant de sortir définitivement de cette Rose dont elle n'avait fait qu'effleurer le parfum, elle déposa un furtif baiser sur les lèvres du gardien, sourire en coin et pure provoc dans le regard.

A bientôt, mon alter ego masculin.

Revêtue de nouveau de ses armes, elle sortit du bordel et se jeta dans la nuit. L'air froid la cueillit brutalement, mais, avançant jusqu'au coin de la rue, elle resta immobile quelques temps, laissant la fraicheur nocturne lui remettre les idées en place. Elle avait eu tort de venir ici, ses réponses se trouvaient ailleurs. Mais convaincue qu'on ne faisait rien par hasard, et que le destin est souvent au bout des impulsions que l'on suit, elle ne s'en voulait pas. Elle était simplement déçue de n'avoir pas trouvé ce qu'elle cherchait.

Contournant la bâtisse, elle imprima un mouvement plus rapide à ses jambes. Elle commençait à ressentir vraiment les morsures du froid cette fois, et avait hâte de retrouver la petite chaleur de l'auberge. Perdue dans ses réflexions, elle lâcha soudain un juron. Elle avait encore sauté à pieds joints dans une flaque sale. 'Tain ce qu'elle pouvait être gourde des fois. Regardant avec dégoût ses cuisses dégoulinantes, elle regretta le torchon qu'elle avait balancé tantôt.

La grimace affichée sur son visage se transforma en plissage en règle des yeux quand ces derniers accrochèrent l'éclat d'une lame au sol. Se penchant légèrement, elle ramassa la dague humide et la soupesa. Joli boulot. Ce fut sa première pensée. Je n'aimerais pas perdre ça, moi. Ce fut sa deuxième. La troisième, elle se la fit en levant les yeux et en remarquant une silhouette sombre qui disparaissait à l'autre bout de la rue.

Potentiel proprio de la dague? Suivre? Pas suivre? Tueur à gages? Simple quidam? Elle décida de suivre. Oublié, le froid de la nuit. L'adrénaline de la filature avait remplacé celle de la libido, et son corps avait devancé l'ordre du cerveau. En quelques enjambées silencieuses, elle cassa la distance qui la séparait de l'ombre. De là, elle reconnut des formes féminines. Le danger diminua immédiatement, et assez arbitrairement il faut le dire, de moitié dans sa tête. Elle lança un cri dans la nuit.

Hé !


[Suite et fin du rp de sad et baile dans le rp "les fleurs du mal ne poussent pas dans un jardin"]
_________________
Marcello.
[ Chambre 5...Attachée, aveuglée, la proie est prête à être chassée ]

Je suis à vous Amore mio ...

La phrase tout juste murmurée décupla encore le désir déjà bien présent du soldat. Avec douceur, il saisit alors la taille de Luce, et la fit se tourner vers lui.
Puis, il lui prit les poignets et, l'un aprés l'autre, les attacha aux barreaux du lit, avant de poser sur ses yeux d'émeraudes le bandeau de satin qu'il noua rapidement à l'arrière de sa tête, laissant ainsi Marigold sans défense, soumise à lui sans aucune possibilité de lui échapper.
D'un rapide coup d'oeil circulaire, le soldat fit le tour de la pièce, et avisa les verres et la carafe encore pleine de ce vin lumineux et coloré auquel ils avaient à peine touché. Dans un demi sourire il se pencha vers Luce, et les lèvres à quelques millimètres des siennes lui murmura:
- Par cette chaleur, je crois qu'un rafraîchissement s'impose...pas toi?
A son tour, il disparut un instant de la couche aux draps de soie, et revint avec à la main un verre à demi rempli du nectar écarlate. Il y trempa l'index, et vint déposer quelques gouttes aux creux des lèvres de Luce, qu'il goûta presque aussitôt d'un baiser appliqué.
A nouveau il trempa le doigt dans le vin, et traça ensuite un chemin imaginaire et ô combien tortueux sur le torse de la belle qu'il sentait frissonner.
Posant le verre sur le guéridon et les mains de chaque côté de son corps, Marcello descendit alors lentement le long du corps de Marigold qu'il caressa de son souffle. Puis, du bout de la langue le parcourut en sens inverse depuis le contour de son nombril, jusqu'à ses lèvres dont il s'empara violemment. Son membre en fusion caressait le bas ventre de sa prisonnière consentante, frôlait furtivement l'intérieur de ses cuisses ouvertes, et pénétrant finalement la caverne aux plaisirs d'un brusque coup de rein.
_________________
--Tibere.
[Chambre 3: Un poison violent, c'est ça l'amour!*]

Il râle le fauve, écumant de plaisir. Son corps est lave. Il vibre au creux de ses reins, plongé, noyé, disparaissant entre les deux monts à chaque coup de rein. Ses mains prennent possession des hanches de sa belle pour mieux la posséder. Elle frissonne, tremble, il jubile en entendant ses gémissements, ses cris étouffés.

Souffles courts, coeurs battants, corps enflammés, passion dévorante, ils ne font plus qu'un. La langue du blond goûte les petites perles dans le cou de la belle d'une nuit, il ne retient plus rien, ne contrôle plus rien, s'abandonne. Divin délice du plaisir qui vrille le ventre et se diffuse jusqu'au bout de sa virilité, jusqu'à exploser en elle, l'habitant pleinement.

Sa main droite se saisit de la blonde chevelure, redressant le corps svelte de la femelle et, le mâle, dans un râle rendu rauque par le plaisir se perd au fond d'elle, l'honorant de sa jouissance.

Sa main gauche se crispe sur la croupe nacrée de son amante, tout comme son visage qui se contracte sous les délicieux spasmes du plaisir.

Il pousse un soupire de satisfaction, la maintenant par les hanches et se vautrant sur le lit, tout contre elle, sans pour autant se retirer de son fessier charmant. Il l'enlace. Pas vraiment par tendresse. Il ne sait pas vraiment être tendre après avoir possédé une femme, il aurait même tendance à être humiliant et à rabrouer celle qui peu avant lui a donné du plaisir. Il l'enlace pour reprendre sa respiration et puis, elle est cliente... il n'est pas là pour l'humilier.

Rester en elle, savourer encore, glisser sa langue dans son cou, la goûter jusqu'au bout. Il lui murmure à l'oreille:


La luxure te va si bien, Cherry... j'espère m'y perdre encore nombre de fois, avec toi...

* Standing ovation pour Serge!

Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : Et dans des bras inconnus, Je veux trouver l'oubli*]

Ultime cri, ultime jouissance, incendie dans ses reins, elle se cambre. La jouissance est à la limite de la douleur. La blonde n'en peut plus quand il se repend en elle, quand il la redresse, quand il la prend.
Moment calme par la suite, elle a tout oublié, Ulrich et Nicolas, deux déceptions. Elle vient de connaître le plaisir, elle vient de connaître la jouissance. La blonde se blotti dans ses bras, profitant du moment calme, de détente. Il est toujours en elle, là, comme une présence, comme pour lui signaler qu'il existe bien, qu'elle ne rêve pas. Elle sourit quand sa langue vient la caresser encore, comme s'il en avait pas assez.

J'ai trouvée ton surnom, ça sera Asmodée.

Doucement, elle le retire d'en elle afin de pouvoir se retourner et lui faire face. Elle reste contre lui, posant une de ses mains sur sa hanche et appuyant sa tête sur sa main. Elle lui lance un regard en coin tout en souriant.

J'ai une proposition a te faire. J'aime être avec toi et j'ai tendance à ne pas aimer partager. Je paierai et cher pour avoir ton exclusivité. Cela te plairait il ?

Elle passe un doigt sur son torse avant de lui prendre un baiser. Elle est un peu gênée, enfin bon, après ce qui venait de se passer elle était plus à ça près.

Dis, tu m'a prise comme ça pour quelle raison ? Parce que si c'est pour éviter un bâtard c'est pas le problème je suis déjà enceinte de mon mari.

*je vous dis pas qui l'a écrit ^^
--Lucrece


[Dans le moelleux des coussins, Grand Salon]

Pas même le temps de se détendre assez que la revoilà sur le qui vive lorsqu'elle entends la voix féminine qui s'adresse à elle. La putain se redresse aussi sec, poitrine en avant, jambes qui se déplient avec grâce pour venir se remettre sur le bord du siège, dévoilant leur musculature. Le visage se tourne alors vers l'endroit d'où provient la voix ...Tiens! La brune avait faussé compagnie à Rosa, surprenant! L'italienne devait sûrement avoir trouvé un autre client...Haussement d'épaules qui la sort de sa légère réflexion et la réponse se fait d'une voix qui se veut tendre, presque sensuelle:

Bonsoir Dame! Un verre! Si cela vous fait plaisir, j'aurais également un immense plaisir à le boire avec vous!

Le mot immense lui traîne en bouche comme un bonbon qu'on ferait fondre lentement sur sa langue pour en savourer tout le parfum, sucré. Et le sourire se fait mutin alors qu'elle invite la brune à s'installer à ses côtés sur les coussins. Un claquement de doigt en direction de la servante au bar pour qu'elle apporte un liquide adéquat au genre d'échange qui s'installe doucement, séducteur. Le regard vient ensuite se poser sur la cliente qu'elle détaille des pieds à la tête. Le teint hâlé, les yeux bleus foncés, des cheveux longs...un corps bien fait visiblement, par ce qu'on en distingue. Belle femme songe la catin! Les consommations arrivent promptement quelques secondes plus tard, la blonde adresse un sourire à la donzelle qu'elle renvoie avec douceur à son bar, n'oubliant pas de noter qu'elle devra faire payer cela à la cliente dans le tarif qu'elles conviendront.

Alors dites moi belle dame, que venez vous cherchez à la Rose Noire?

Le regard se veut complice alors qu'elle fait mine de boire le liquide alcoolisé de son verre et qu'en réalité elle n'y trempe que ses lèvres...Ne pas se saouler, règle de base d'une professionnelle...On trouverait bien le temps pour toute autre ivresse...plus tard!

--Tibere.
[Chambre 3: Cette nuit, près de moi, tu viendras t'étendre; oui, je serai calme, je saurai t'attendre et, pour que tu ne t'effarouches, vois, je ne prends que ta bouche.*]

Quel délice de sentir une femme s'abandonner totalement. A cet instant, il n'y a plus rien qu'une rivière de plaisir, un torrent de luxure qui coule en leurs veines. Et le plaisir la rend femme, plus belle que jamais, plus désirable qu'elle n'a jamais été.

Il la laisse se glisser entre ses bras, frissonnant lorsqu'il sent qu'elle se retire de lui. Il la regarde et lui sourit. Asmodée... certes il ne peut pas nier que le surnom lui plaît. Le Sans Nom ne l'a jamais intimidé et il serait bien du genre à faire pacte avec lui, alors devenir le démon de la luxure! Avec plaisir!

Il caresse sa joue, amusé de ce qu'elle dit.


Va pour Asmodée, Cherry. J'ai toujours eu une affection particulière pour ce démon! Quand au reste...

Son regard redevient froid, ne la quittant pas des yeux.

Je veux bien être ton seul client. Je fais ça pour l'argent et parce que j'aime les femmes et les hommes aussi. Mais ensuite, je suis libre et je couche avec qui me plaît. En ce lieu, je peux me consacrer exclusivement à toi, à l'extérieur c'est ma vie et ça me regarde.

Un peu surpris, il reçoit le baiser qu'elle lui donne, azurs de glace plongés dans les saphirs, la serrant plus fort contre son torse.

Je t'ai prise ainsi parce que j'en avais envie, mais si tu portes l'enfant de ton mari, je me ferai une joie à l'avenir, si tu le veux aussi, de te prendre et de jouir en ton intimité.

La regarde, esquissant un sourire pervers.

Sauf exception rare, les femmes en qui je jouis ainsi, je les tue.

Il la regarde encore, laissant un flottement, lard ou cochon?... Puis, il éclate de rire et l'embrasse furieusement à pleine bouche.

Cherry, tu as soif peut-être?

*Je dis pas non plus!

Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : L'amour en privé *]

Comment résumer ce qui se passe dans cette chambre ? L'amour c'est c'qu'on peut faire de mieux, alors pourquoi s'en priver, il s'en passe des choses à deux, lorsqu'on s'retrouve en privé, tirés les verrous, finis les tabous, commence la vie privée*. Oui c'était ça. Elle lui avait proposé un marché, le résultat n'était pas celui escompté mais il fallait faire avec. Elle se doutait qu'il n'était pas homme d'une femme. Elle s'en tirait pas trop mal.

Je ne vais pas te dire que je suis ravie mais ça me va. Je pense qu'on peut être honnête l'un envers l'autre.

Elle lève les yeux au ciel quand il lui parle de la tuer après la jouissance.

Alors je mourrais heureuse, n'est ce pas la plus belle mort ?

Elle ne savait pas que sa mère était morte tuée par un amant éconduit dans une écurie de Sémur. L'enlaçant elle lui rend son baiser avec la même fougue. Elle se rapproche de lui, frottant son bassin contre le sien.

J'ai soif de toi ... soif d'eau ... le cherry ne rafraichit pas et surtout ...

Sourire mutin et saphirs qui brillent.

... soif d'un bain ... à deux ...

*Alors de qui c'est ?
--Tibere.
[Chambre 3: Je pense queue, j'adore les cadors, les petites chiennes en calor*]

Les femmes... il suffit qu'elles couchent avec une homme pour croire qu'elles le connaissent... Mais, la belle ne se doute pas que le blond est le premier des menteurs?! Et elle parle d'honnêté!

Un fin sourire étire ses lèvres. Cette femme est belle, désirable, il prend plaisir à faire l'amour avec elle et en plus c'est la poule aux oeufs d'or! Elle a décidément tout pour plaire!

Il sourit en l'entendant parler de la plus belle mort... pas certain que les filles qu'il a pris plaisir à étrangler après avoir abusé d'elles soient du même avis! Mais bon... pourquoi pas! Il est vrai que mourir après avoir jouis, dans l'absolu, peut être une belle mort. Quoiqu'il en soit, soit elle a pris ce qu'il disait au second degré, soit elle n'a pas peur de lui et ça lui plaît. Certes, il aime entendre le frissonnement dans la voix d'une femme lorsqu'il la force où lui fait peur. Un instant, il repense à Swan, au désir et à la peur qu'elle ressentait la première fois qu'elle fut sienne. Etrangement, son coeur bat plus vite.

Pourquoi penser toujours à elle, pourquoi revenir toujours à cette gamine rousse qu'il se forçe à ranger dans la case des insignifiantes, en vain...

Mais bien vite, la blonde le rappelle à la réalité, elle se frotte contre lui, langoureusement et en entendant ses mots, il frissonne... Elle en veut encore et déjà, elle fait renaître le feu en lui.

Il hoche la tête et se détache d'elle à regret.


Bien, ma belle Cherry, en ce cas, je vais quémander un baquet et de l'eau chaude pour que nous puissions en profiter...

Il la regarde ainsi allanguie sur le lit, caresse un sein qui doucement se dresse sous sa main. Se penche et dépose un baiser entre les deux monts. La jouissance se lit sur son visage et la rend plus belle encore.

Le blond enfile sa chemise et remet ses cheveux en ordre. Pas question d'apparaître trop négligé s'il doit quitter la pièce un instant. Il sonne un valet afin de disposer de tout ce dont ils ont besoin, sur place.

Très vite le valet arrive et s'enquiert de leurs besoins, il se sauve aussi rapidement pour mener à bien la requête du jeune homme. Lentement, il s'approche d'Elisabeth caressant doucement une de ses cuisses légèrement ouverte.


Bientôt, vous serez dans un bon bain chaud et... je passerai avec vous tout le temps et toutes les nuits qu'il vous plaira...

Langoureusement, il glisse sa langue sur ses lèvres, jouant du bout des doigts sur la peau diaphane. Pourquoi se priver alors qu'il a tout à sa disposition: la beauté, la luxure et le luxe, et très bientôt... l'argent.

*By Serge Gainsbourg

Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : La femme des uns, Sous l'corps des autres, A des soupirs, De volupté*]

Pourquoi aurait elle peur de lui, pouvait il être sérieux ? Même s'il l'était que risquait elle ? Rien. Pas que la blonde puisse faire changer un homme, non mais ayant un peu cerné la Rouge, elle se doutait bien qu'elle ne permettrait pas à son personnel de tuer ses clientes surtout celles qui payent bien et pour longtemps. Tout comme pour lui, pourquoi la tuerait elle alors qu'elle va le payer rubis sur ongle pour avoir une exclusivité, il serait fou de tuer son filon. Et puis bon faut quand même dire, il est pas à plaindre, elle est belle, bien éduquée, bâtarde certes mais pas sans un certain standing, elle est enceinte donc pas de soucis de faire attention et en plus elle est riche. Elle a même pu se payer une robe noire** c'est pour dire. Donc non elle n'avait pas peur, il pouvait faire toutes les menaces qu'il voulait, elle savait qu'elle ne craignait rien. Sans compter que la blonde a tellement confiance en elle et en Dieu qu'elle ne s'imagine même pas qu'on puisse en prendre à sa vie, sauf petit bémol pour le VGG, qui rappelons le est pour elle le responsable de son poutrage à Rouen.

Revenons à nos moutons et donc à notre blond. C'est vrai que les blonds étaient de meilleurs amants pour le moment. Elle avait toujours eu envie de tester l'amour dans l'eau depuis qu'elle avait surprit Ulrich avec sa bonne Fanchon dans le baquet chez elle en Bourgogne. il s'occupe de tout. Allongée sur le lit elle profite de ce moment calme pour l'observer. Il était beau, d'une musculature parfaite et on vous passe les détails sur son membre qu'il savait très bien utiliser.

Une fois la "commande" faite, il la caresse doucement, heureusement qu'elle est consentante sinon elle serait trahie par ses cuisses qui s'ouvrent toutes seules sous l'effet de la délicatesse de ses gestes. Autant profiter de la tendresse du moment, elle goutte ses lèvres avec délice et s'abandonne le temps d'attendre le bain.


Vous ... tu ne me tutoie plus ?

Elle lui lance un regard perplexe puis fait la moue.

*Always Gainsbourg
**La teinture noire était très rare à l'époque d'où le prix des robes exorbitants
--Tibere.
[Chambre 3: Il m'suffirait de la voir pour savoir, il lui suffirait de me voir, pour m'avoir.]

Il la regarde, perdu dans ses pensées. Concentré sur ce corps dont il aime se délecter et dont il va encore abuser. Il ne peut s'empêcher de la toucher, même du bout des doigts, l'envie d'elle toujours présente. Il serait presque heureux de n'être qu'à elle dans cette maison de la volupté. N'appartenir qu'à elle, se dévouer à elle, corps et âme. Lui, le Tibère, l'inaccessible, l'insatiable, qui n'a de cesse de se repaître du corps des femmes et parfois des hommes qui le séduisent. La beauté a toujours été une obsession chez lui, son idéal de beauté féminin étant feu sa chère mère. Or, il se trouve que la blonde allongée là, celle qu'il vient de prendre avec délice, ressemble étrangement à sa défunte mère. Même blondeur, même regard déterminé, même traits fins, et ce corps... aux courbes alléchantes, elle n'est ni maigre, ni ronde, ses formes parfaitement mises en valeurs.

Elle le tire de sa contemplation, avec une exquise moue boudeuse. Il la regarde, amusé. Oui, le "vous" a repris le dessus, mais le "tu" reviendra, il le sait. Souriant, il se couche contre elle, sa main entre les cuisses de la belle, il pique son cou de petits baisers fougueux.


Hum... Cherry, tu es divine en petite boudeuse, mais... je suis à votre service, ne l'oubliez pas!

Le valet revient avec tout l'attirail, bien évidemment, il n'est pas seul. Un baquet, ça prend de la place! Il est installé au centre de la pièce, un drap de bain posé à l'intérieur, puis les serviteurs versent de l'eau bien chaude dont exhale une vapeur enivrante.

Tibère remonte sa main entre les cuisses de la belle et dévore son cou, happe ses lèvres, il devrait s'arrêter sachant pertinemment que les valets s'en donnent à coeur joie pour se rincer l'oeil mais, au contraire, l'excitation monte. Il sait qu'on les regarde et il aime cette sensation impudique, sa main caresse le ventre de son amante, attrapant un sein au passage. Qu'ils les regardent et qu'ils s'en mettent plein la vue, lui, la savoure, la dévore, son goût sur ses lèvres, la chaleur de son sein sous sa main. Sera-t-elle choquée, la pudeur est vertu dans l'éducation des jeunes filles de la haute société, comment va-t-elle réagir à cette démonstration de son désir? Il se colle contre sa hanche, sa hampe saillante caressant la chair de la jeune femme, il susurre doucement:


Viens... ton bain nous attend... et il me tarde de te frotter toute entière, Cherry.

*Serge Gainsbourg, l'illustre... pour changer!

--Mme_red
[Bar puis Chambre]

Elle pince l’arête de son nez entre son pouce et son index fermant les yeux. Perdre son sang froid aussi facilement n’est vraiment pas dans ses habitudes. Mais cette fillette.. Soupir exaspéré de la jeune femme. Elle est venu ici pour s’amuser et non pour ressassé son amertume. Une grande inspiration pour se remettre ses idées aux clair, puis l’angélique saisit le bras tendu par l’homme, se laissant guider.

Ils empruntent alors les escaliers. Le regard de la Red se pose sur les portes des chambres qui défilent aux chandelles allumées, qui témoignant de leur occupations. La Rose Noir semble mener un bon train de vie. Suivant Tadzio en silence, elle s’engouffre dans une chambre.

La porte se referme. Les perles grises caressent la pièce, glissant sur les murs, le mobilier, le lit… Une grimace lui tord les lèvres. Combien se sont déjà ébattu sur cette couche? Elle préfère ne pas y penser. Elle qui a toujours préféré le plaisir des mots avant celui de la chair avant elle-même écourter le jeu dans lequel elle se perdait si souvent. Jamais, pourtant, elle n’a nié son gout pour la luxure ni l’ennuie ressentit auprès des hommes de son rang.

Elle arpente la pièce lentement avant de jeter son dévolu sur une petite table. Un rose rouge repose dans son écrin de verre. Elle se saisit de la tige, ne prenant pas garde aux épines qui s’enfoncent dans la pulpe de ses doigts. Une larme vermeil s’échappe de la blessure. Aucune douleur… Elle porte la fleur à son nez, laissant son odorat savourer le parfum si singulier qui s’en dégage.

Une question vient alors effleurer sa curiosité.

_ Quelles raisons peuvent pousser un homme à pratiquer un tel métier?


_____________________
Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : Que tu es, soit dit entre nous, Un peu voyeur, un peu voyou, Pourtant si je suis tout nue, Je garde mon âme ingénue*]

Sourire en coin, regard pas loin du même.


Méfie toi je risquerai de bouder à chaque vous que j'entendrai. Et quand je boude on ne me touche plus.


Qui a dit qu'être parfois encore un peu gamine ne pourrait pas être un avantage. Sa phrase laisse présager des jeux et amusements durant leur ébats, ou avant aussi. Pour faire l'amour simplement et vite fait, il lui suffit d'aller voir son mari. Avec Asmodée© n°2 de la Blondinette© n°2, elle veut de l'amusement, du plaisir, de la détente, elle est là pour vivre pleinement sa sexualité. Peut être qu'un jour Ulrich pourra lui donner cela, mais en l'état non.

Les valets entrent pour apporter le bain. Hummm .... tout cela présage des délices surtout avec un amant tel que lui. Sauf qu'il ne remet même pas un drap sur eux le temps que les serviteurs sont là. Elle allait le repousser pour le faire quand elle réfléchit à la situation. Elle avait loué une chambre et un homme pour une durée indéterminée. Forcément elle allait les recroiser, ils sauraient forcément qui elle était. Ensuite elle n'était pas là pour faire du crochet, sachant qu'elle n'en faisait déjà pas à la base. Malgré les valets, elle répond à ses baisers, volant ses lèvres autant qu'il prend les siennes, son bassin se colle au sien, elle l'enlace pour l'emprisonner dans ces bras. Elle se rend compte que si certain se drogue avec des opiacés ou d'autres plantes, elle sa drogue c'est le sexe et elle compte bien devenir accro avec son démon de la luxure.

Il veut se faire regarder, elle va le provoquer. Doucement et sans gêne aucune, la blonde se lève avec un sourire devant les yeux agrandi des valets. Qu'est ce qu'un valet de toute façon, s'il parle il sera fouetté. Elle lui tend la main alors qu'elle est debout, nue au milieu de la chambre, sa chevelure blonde retombant comme une cascade d'or sur ses reins.

Elle se tourne vers les dit valets tout en attendant que son amant la rejoigne.

Il est temps de retourner au travail ! Remontez dans 30 min avec deux nouveaux seaux d'eau chaude.

*Vous inquiétez pas on a encore du Serge en réserve.
--Tibere.
[Chambre 3: Je t'en prie ne sois pas farouche, quand me vient l'eau à la bouche.*]

Il sourit de son jeu enfantin. Même quand elle boude, il serait bien à même de la toucher et la faire quémander. Elle a goûté à la luxure; le vice, le désir et le plaisir sont en elle, ils font battre son coeur, ils la font se déhancher, féline, il la rendent encore plus désirable et consciente de l'être. Le stupre et la volupté ont un parfum de gourmandise et quand on les a dans la peau... on ne s'en passe plus. Or, Elisabeth respirait cela, par tous les pores de sa peau.

Le fait même qu'elle prenne plaisir à être regardée, dévorée des yeux, contemplée, nue, sans pudeur, en était la preuve. Ils étaient faits du même bois.

Elle se lève, elle chaloupe. Il sent le feu s'emparer de lui encore, regardant les valets ahuris, bouche ouverte et yeux brillants. Oui, elle est belle et il va en profiter, se perdre en elle. Il se retient de rire lorsqu'elle les congédie et se lève à son tour. Ses yeux ne la quittent pas. Ses seins dressés, ses cheveux dorés pour toute vêture, la courbe de ses hanches, le cambré de ses reins, ses jambes fines et élancées. Il s'approche, enserrant fermement sa taille et la fait basculer, glissant son autre bras sous ses genoux, la soulevant du sol.


Alors, je ne te vouvoierai plus jamais afin que jamais tu ne boudes, juste pour le plaisir d'être à toi, encore...

Il lui sourit, les yeux malicieux, entre dans l'eau bien chaude, sa nymphe dans les bras. Il laisse la chaleur les baigner, le liquide glisser sur leur peau pâle. Ils sont seuls, à nouveau. Il relâche un peu son bras droit, faisant glisser ses genoux contre lui, se frottant contre elle, sa virilité dressée. Les vapeurs d'eau chaude et l'odeur des onguents versés dans le baquet sont enchanteurs... ivresse... aphrodisiaques... Il se cambre contre elle, bassin contre bassin, ondulant légèrement, l'entraînant avec lui, les remous de l'eau exhalant une odeur un peu plus forte. Leurs lèvres à nouveau s'appartiennent, leurs langues s'unissent et encore... cette envie d'assouvir le désir qu'il a d'elle.

Il la regarde, les yeux brillants: s'il est le démon de la luxure, elle en est la déesse. Il s'assied dans le baquet et savoure la vue, les bougies dansent sur les murs, le clapotis de l'eau, les bercent. Tout concoure au plaisir retrouvé. Il lui tend sa main, un sourire sur les lèvres.


Viens... viens sur moi Cherry...

*Pour ceux qui n'ont toujours pas compris, c'est de Serge Gainsbourg!

Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : Au présent, Et l'on s'étreinte, Hors du temps*]

Dommage que tu cède si vite, j'aurais pensé qu'un peu de sport t'aurais plus.
Il ne faudrait pas tomber dans la routine.


Non mais vous y croyez vous ? C'est la seconde fois qu'un homme la touche, c'est la première fois qu'elle connait le plaisir et là voilà qui parle comme une femme expérimentée. Elle est culottée la blonde, elle a toujours eu cette impression de tout savoir dès qu'elle avait abordé un sujet. En même temps cela était souvent vrai. Aussi elle ne déroge pas à la règle cette fois ci.
Blottie dans les bras de son blond, elle trace des sillons avec sa langue dans le cou de celui ci. Doucement elle se retrouve contre lui,son corps glissant contre le sien, glissant contre son désir bien avancé. Leurs lèvres se cherchent ... le blond si indépendant, si inaccessible semble avoir une drogue lui aussi, l'Elisabeth c'est son nom, elle sent bien qu'elle est plus qu'une simple cliente et cette idée excite encore plus la jeune femme. Qu'il y a t-il de plus beau que d'être la préférée d'un homme ?

Il s'assoit ... Elle le regarde encore debout ... Elle le laisse admirer sa plastique, son corps encore parfait, qui a quand même été légèrement modifié par sa grossesse. Des hanches à peine plus large et surtout une poitrine plus abondante. En même temps elle n'avait pas grand chose au moins là elle pouvait avoir de beaux décolletés.

Elle prend la main tendu, descend doucement vers lui, le monte comme un étalon. Elle connait bien cette position, Maître du Haras Royal, ça passe une partie de sa journée à dresser les bêtes qui serviront à la royauté. Et pour dresser un étalon c'est pas en jupette qu'on le fait. Oui elle a l'habitude d'avoir du muscle entre les jambes, de la puissance mais aussi de l'obéissance. Est ce que cet étalon se laissera faire ? Elle a un doute. Cela la dérange t-elle ? Pas le moins du monde. Elle aime les animaux farouches. Une fois installée, laissant l'eau lécher leurs peaux, les caresses reprennent, tout comme le jeu du chat et de la souris à savoir qui excitera l'autre en premier et comment ?



*Serge, forever
--Tibere.
[Chambre 3: Zig zig avec toi, et lorsque ton corps zigzague, zig zig toi et moi; zig zig hum ! quel émoi!*]

Et le voilà qui éclate de rire. Il la regarde, amusé. L'élève deviendrait presque professeur. Chassez le naturel... il revient au galop! Il frissonne sous sa langue. Elle intègre vite, la petite boucle d'or. Elle l'excite et elle sait le pouvoir qu'elle a sur lui, il le sent. Il savoure de la voir prendre plaisir à séduire, à faire monter le désir de l'autre. Il aime le jeu qu'elle joue, diabolique, démone enivrante, ensorceleuse, quel homme résisterait à une telle femme.

Elle sait qu'elle lui plaît et elle accentue son jeu, l'espace d'un instant, il maudit son mari, cette femme devrait jouir à chaque étreinte, son époux devrait s'y évertuer! Puis, il se ravise. au moins lui, il en profite!

Elle se glisse sur lui, à califourchon, il serre un peu plus sa main, ressentant la prise de ses cuisses, les muscles qui l'enserrent. Chevaucherait-elle à merveille. Il se laisse faire, pour l'instant, savourant de la savoir contre lui, bercés pas l'eau, entre chaleur du liquide et celle de leurs corps. Son désir pointe contre elle, si proche et encore si loin... mais il joue au soumis, la laissant maîtresse du jeu. Elle aime se faire chatte, il sera encore un peu souris, juste pour lui donner l'illusion...

Pourtant, gourmand, il se penche vers la poitrine dressée, happant un bouton rosé, le suçant, jouant du bout de sa langue, caressant les contours de ses seins. Divine chevauchée. Sa main libre caresse sa hanche, enduisant sa peau d'eau mêlée aux onguents préparés. Il mordille son oreille et susurre, langoureux.


Mais je ne suis pas pressé ma belle... nous avons toute la nuit et nous ferons tout le sport que tu voudras! De routine, jamais... surtout avec une cavalière comme toi, Cherry...

*Blop, Serge!

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