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[RP] Maison close de la rose noire

Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : Amour sans amour, amour sans amour, Sans illusion, sans orage*]

Mon bel étalon, te feras tu soumis ou indomptable ?

Elle prend son visage dans ses mains et pose ses lèvres sur les siennes. Il est contre le baquet totalement prisonnier de son corps et de ses désirs. Elle frisonne quand il lui dérobe une caresse. Tendrement, doucement, comme avec un étalon craintif elle le caresse posant des baisers sur les parties immergées de son corps. Tandis qu'une de ses mains s'occupe de la partie émergée, l'autre se glisse dans la toison blonde semblable à la sienne. Étaient ils fait pour se rencontrer ? Si semblant mais si différents. Son corps se colle au sien provoquant un mouvement d'eau qui telle la marée de l'océan vint caresser à nouveau le corps des amants.

Elle est douce, elle qui est toujours directe et froide se fait apaisante, ses gestes sont lents comme pour gouter chaque partie de son corps. Pour le découvrir. Sa bouche est gourmande et aventureuse, ses mains sont délicates et attentives. Se laissant porter par l'eau, elle se soulève, s'installant sur sa virilité avec la même attention qu'elle a prise pour ses caresses. Plus tard ils joueront, comme il lui avait dit, ils passeront beaucoup de temps ensemble. Pour le moment elle savoure.

Son corps commence un long vas et vient, provoquant des remous dans le bain, elle devrait faire attention sinon il risqueraient de vider le baquet. Ses cuisses sont toujours très serrées autour de lui comme pour lui faire comprendre que quelqu'un est là pour lui, elle ne lâche la pression à aucun moment. Elle le guide, comme s'il en avait besoin, non elle pensait qu'il en avait envie, erreur ? Elle verra bien. La blonde prends les mains de l'homme pour en poser une sur ses fesses et une sur un sein sans à aucun moment arrêter son ballet.


Cela te plait il ?


*Faut il encore le dire ?
Baudouin
[Un ballet, devant la porte]

Le cerbère regarde le gamin. Il doit avoir quatorze ou quinze ans tout au plus et son côté gauche l'amuse. Ainsi, on vient à la Rose pour se faire dépuceler!

Il hoche la tête en regardant sa bourse.


Entrez donc, messire, vous avez ce qu'il vous faut pour vous ouvrir les portes de la volupté. Gardez précieusement votre or, lorsque vous aurez consommé et éprouvé du plaisir, il vous sera utile! En attendant, installez-vous au comptoir et prenez donc un verre. L'une de nos dames va s'occuper de vous.

Un sourire amusé sur le bout des lèvres, il lui indique la salle au delà du sas après avoir vérifié qu'il ne portait pas d'armes.

Il se tourne alors vers la soldate alors que le gosse s'éloigne déjà vers le comptoir. Elle avait quelque chose d'attirant, quelque chose de différent, il n'aurait su dire quoi. Peut-être parce que c'était une soeur d'armes et qu'il y avait re-connaissance entre eux...

Il la regarda avec insistance en lui tendant ses armes, pour lui c'était ses maîtresses pour elle, sa virilité... Un sourire au coin des lèvres et surpris par sa vivacité, il n'eut pas le temps de la repousser qu'elle déposait un baiser sur ses lèvres. Etrange souvenir qu'elle lui laissait. Il la regarda prendre la porte, posant un doigt sur ses lèvres, encore interloqué par ses réactions et cette dernière phrase.

Etrange femme... étrange attirance, incompréhensible.

Déjà la porte se ferme derrière ce tourbillon étonnant. Il se retourne et prend le bras de Cerdanne.


Allez viens, petit chardon, allons à la cuisine, tu dois avoir bien faim.
--Marigold.
[Chambre 5 - Moi j'ai besoin d'amour, des bisous, des calins j'en veux tous les jours!!!... Serg.. euh Non Lorie... chacun ses références *sifflote* ]

Attachée, ficelée , aveuglée, comme si elle était enlevée. Mais rien de tel, juste garder précieusement prisonnière par un amant avide de chair et de plaisir, toujours plus pervers, mais toujours plus tendre et attentif aussi.
Marcello a pris soin de ne pas lui serrer trop les poignets pour ne pas la blesser, il l'a embrassée avec fougue et l'a caressée et goûtée de partout.

Puis tout à coup il l'abandonne, il a soif dit-il chaud aussi. Elle aussi elle a chaud, son corps est luisant de sueur. Des gouttelettes de transpiration perlant entre ses seins et glissant jusque dans son nombril, joli petit réceptacle des perles salées. Elle se tortille sur ses draps de satin, son corps le réclame , son corps l'appelle... Seules ses oreilles sont attentives au moindre son. Tout d'un coup , un tintement suivi d'un léger "glouglou". La blondine sourit, Amore est toujours là tout prêt, il se sert à boire.

Quelques secondes après il est là tout prêt d'elle, le sursaut du matelas et les baisers langoureux qui s'en suivirent ne laisser point de place au doute. Il était là et bien là , sa langue traçant un chemin divin sur la peau de Marigold qui soupira et frissonna de désir. Puis un doigt sur ses lèvres, les frottant l'une contre l'autre elle gouta le vin fort en tanin. Pas le temps de grimacer n'appréciant que très peu cette boisson alcoolisée que le soldat italien vint récupérer la goutte pourpre sur ses lèvres, en un baiser fiévreux. TOut son être le réclamait alors qu'il se frottait contre son bassin, elle n'attendait que lui , elle n'espérait que lui, elle voulait qu'il la prenne , encore et encore jusqu'à la faire crier, râler de plaisir.
________
--Tibere.
[Chambre 3:Demain lorsque la lune se couchera, n'existera au monde que toi et moi*]

Il la contemple, des lueurs brillants dans ses yeux alors qu'elle ondule sur lui. Ses baisers sont un douce blessure, brûlante, sur sa peau claire, ses mains font couler la lave en lui. Il est surpris le blond, son rapport avec les femmes a toujours été un rapport de force où il était dominant, les forçant, les pliant à ses désirs, jubilant du pouvoir qu'il pouvait avoir sur elles. Mais là, c'est différent. Elle est cliente, il est là pour son service, il ne doit ni la contraindre, ni la forcer, et qui plus est, elle se montre amante tendre et fougueuse à la fois.

Il aime la sentir si proche, puis lorsque la fusion se fait et qu'elle s’empale lentement sur lui, il lâche un gémissement de plaisir, sentant qu'il coulisse en son antre. Elle resserre ses cuisses, fermement, il est son prisonnier, son objet, son jouet et lui qui n'est pas habitué à cette situation, apprécie, malgré tout. Il sait qu'il aura sa revanche à un moment où à un autre. Elle mène la danse et il savoure la situation qui, pour lui, est insolite. Il la laisse faire, posant une main sur son fessier, le caressant lentement, l'autre sur son sein, le malaxant avec un peu plus de fougue. Il ne la quitte pas des yeux et sourit.


Hmm... si ça me plaît? Mais Cherry, tu ne le sens pas?

Et posant ses mains sur ses hanches, il lui donne un petit coup de rein sec, pour lui faire sentir qu'il aime ça. Lentement, il repose sa main sur son sein, la caressant de plus belle, jouant avec son téton, de l'autre il masse son fessier, glissant de temps à autre un doigt entre ses monts. Penché vers elle, il happe ses lèvres, fougueusement, il la sent lentement frotter contre lui dans son mouvement de va et vient, l'excitant de plus belle et le faisant gonfler encore au creux de son intimité. Le feu est en eux contenu par la sensualité de leur étreinte. Délice.

*Again

Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : A s'aimer comme des dingues, Comme deux fous à lier*]

Elle étouffe un gémissement quand il lui prouve qu'il aime le moment. Autant elle adore la douceur, autant qu'elle lui prends les hanches, elle l'imagine reprendre le dessus et cette idée lui titille les sens. Elle l'imaginait l'enlacer et l'allonger dans l'eau pour la prendre. Au lieu de cela il la laisse faire, l'excitant par des caresses divines.

La blonde continue à jouer du bassin, les conséquences se font vite sentir, son amant a un corps réceptif à ses intentions. Elle hésite, elle a envie de le laisser reprendre la main, mais d'un autre côté elle aime le dominer. Elle ne sait pas trop quoi faire, elle en apprend tout le temps avec lui. Qu'est ce qui pourrait lui plaire alors qu'elle est sur lui. Elle sait ! Elle lui attrape les cheveux, les tire en arrière et l'embrasse avec fougue, frottant ses seins contre son torse. Elle se lâche d'un coup pour accélérer ses mouvements de bassin, ondulant d'arrière en avant. Tenant toujours la chevelure, les saphirs ne lâchent pas les aciers et lui murmure ...


Alors mon étalon tu es dompté ?

Provocation ? A votre avis ?



*And Again
--Julio_le_geux


[Dans le salon]

Ca y est. Voilà Jules dans la maison. Il est bien content qu'on lui ait permis de franchir cette fichu porte! Il croyait ne jamais réussir. Peste soit de sa timidité!
Il découvre alors le décors luxurieux qui s'impose à lui. Des tentures aux couleurs chaudes, lourdes. Des odeurs suaves qui donnent le tourni, des coussins moelleux invitant quiconque y posait les yeux à s'y installer. Des femmes aux formes plus rondes et plus douces à chaque caresses, caresses prodiguées par des mains viriles sur des peaux si peu vêtues qu'il ne sert à rien d'imaginer, il suffit de ne pas fermer les paupières. Aux oreilles, des sons de soupirs proches, des cris au loin, des gémissements au milieu pour laisser imaginer à quel rythme on atteint le ciel....

Il est perturbé de découvrir tout cela d'un coup le petit Jules! Toutes ses sens sont en alerte. Il ne sait plus comment réagir maintenant. Alors comme à son habitude dans ce genre de situation, il se frotte le coude gauche de la main droite alors que ses pieds jouent à qui marchera sur l'autre le premier.
Prendre un verre au bar ne sera pas de trop! Il demande un jus de raisin. Ça ressemble au vin que produit son père, mais en plus doux. Et puis il n'aime pas trop le vin rouge. C'est acre et épais.

Mais voilà qu'on se moque de lui parce qu'il n'y a pas de jus de raisin ici! Alors on lui sert du vin sans vraiment lui demander son avis. Il hésite un peu à tremper les lèvres dedans et préfère fixer de ses grands yeux sombres le liquide couleur de sang. Sang qui lui tape aux tempes aussi fort que son cœur frappe dans sa poitrine. Il s'assoit sur un tabouret et commence à tripoter la lanière de son sac où le bric-à-brac recommence à tinter. Toute son inquiétude rassemblée, il réfléchit à ce qu'il pourrait bien faire maintenant.

Un coup d'œil discret sur le coté lui apprend que quelques personnes se trouvent aussi au bord du comptoir et bavardent doucement. Le jeune garçon ne sais pas faire la différence entre un client et un employé dans ce lieu. Peut-être ne sait-il même pas comment cela fonctionne entre les personnes et quel genre de choses on peut acheter ici. A vrai dire, il commence à peine à comprendre où il est. Observant quelques hommes approcher de femmes légèrement vêtues, et les voir disparaître vers l'escalier il se dit qu'il devrait peut-être essayer d'en faire autant, mais ne pense pas avoir le courage nécessaire. Toutes ses personnes l'impressionnent. Et malgré qu'on ait tendance à le trouver plus grand que la moyenne des garçons de son age, ici il se sent minuscule. Ridicule...

Alors encore une fois, ses pensées le poussent à rougir mais l'empêchent d'agir...
--Tibere.
[Chambre 3: L'amour physique est sans issue, je vais et je viens entre tes reins; je vais et je viens et je me retiens*]

Faire durer... toujours et encore, lui faire croire qu'il est dompté malgré le regard malicieux qui croise les saphirs de la belle. Divine et garce... une association délicieuse qu'elle mélange à merveille. Ses mains la parcourent, la re-découvrant à nouveau mais la voilà qui se fait sauvage. Elle l'embrasse, un baiser à couper le souffle, il se perd dans la fougue de son amante. Il voudrait s'y noyer. Son corps frissonne en sentant la caresse de ses seins contre lui. Il la regarde alors qu'elle le domine, il est à elle à cet instant, mais pour combien de temps... Un râle rauque s'échappe de ses lèvres.

Dompté... peut-être, mais même dompté un étalon peut se cabrer à tout moment, ma belle.

Il l'enlace fermement, la laissant le chevaucher mais reprenant les rennes, mains posées sur ses hanches, il la regarde se déhancher, l'eau s'agite, les petits vagues prennent de l'ampleur, il sent qu'il la possède un peu plus profondément, lui donnant des coups de reins sans cesser d'accentuer les mouvements de sa belle, elle frotte contre son pubis, son nectar se mêlant à l'eau de leur bain.

Il la soulève un peu pour l'empaler de plus belle sur son membre, il l'enlace toujours plus fort, happe ses lèvres, les dévore fougueusement, sa langue glisse sur son cou, aspire les petites gouttes de sueur et d'eau qui descendent le long de la peau d'albâtre. La goûter, encore, la savourer, encore, la dévorer... Il ne s'en lasse plus. Non, elle, il ne la tuera pas, il n'aura pas à faillir à sa promesse faite à la Rouge, c'est certain, il usera et abusera de son corps jusqu'à satiété, il prendra plaisir à être son amant, à la fois dominé et dominateur. Il sera l'objet de ses caprices et la rendra dépendante de son désir. Sa quête continue, sa langue désormais le long de sa gorge, glissant jusqu'à ses seins qu'il mord avec rage, marquant la chair blanche.

Fougueux, le feu dévorant tout son corps, il la pousse dans l'eau, l'allongeant à moitié, soulevant ses jambes et se mettant à l'assaillir avec rage. A lui de la soumettre. A chaque coup de rein, il râle de plaisir, s'enfonçant toujours plus profond, la possédant toujours plus intensément. Son regard d'acier ne la quitte plus, malgré les gouttelettes de sueurs qui ruissellent sur sa peau et parfois embrument sa vue. Plus rien ne compte si ce n'est l'union de leurs deux êtres. Au diable le bordel, au diable le mari, au diable sa rouquine qui lui titille le coeur, au diable l'argent que la belle blonde devra débourser, au diable le monde entier. Il n'y a qu'eux, il n'y a que ce plaisir qui monte bouillonnant dans leurs êtres, il n'y a que leurs deux corps qui s'abandonnent délicieusement à la luxure, délicieux péché que de posséder la femme d'un autre.

Il agrippe ses cuisses et lui lance un regard de braise contrastant avec l'acier de ses iris
.

Alors, Cherry... l'étalon est-il dompté? Tu sembles fatiguée!

Si elle sait provoquer, il sait riposter, trouver le mot qui froisse, qui chiffonne et parfois même qui blesse, pour mieux faire réagir encore. Il se penche vers le corps offert qu'il lutine avec fougue.

En veux-tu encore, Poussycat? N'en as-tu pas assez d'être besognée comme une fille de joie?

Il l'insulte, sciemment, ne va-t-il pas trop loin? Et si elle se sent blessée et qu'elle le repousse, saura-t-il obéir alors qu'il a la force pour lui et qu'il peut la contraindre, même si elle ne veut pas?

Mais le blond ne pense plus, il est tout à ses assauts fougueux, vibrant à chaque saillie au creux de son intimité. Peu importe... les dés sont jetés.


*Ben, je vous dirai pas qui a écrit ça! c'est un secret!

Marcello.
[ Chambre 5...Envolés les préliminaires, place à l'acte...]

Sous la caresse de ses mains, Marcello pouvait sentir la peau frémissante de Marigold brûler d'impatience, et sous ses lèvres, il sentait les siennes se faire plus gourmandes encore, alors qu'insidieusement, il bougeait en elle à un rythme tantôt rapide, tantôt plus lent. Il voulait ressentir chaque instant de ce plaisir si longtemps promis, et répondre à chaque soupir de Luce par un autre. Malgré l'incendie qu'elle avait allumé en lui, Marcello s'obligeait à conserver un rythme soutenu, s'écartant parfois pour aller goûter un instant les pointes dressées des seins de sa prisonnière qui tremblait sous l'effet du frôlement.
Répondant au bouillonnement de son sang, ses muscles se gonflaient, ses veines se faisaient apparentes, et son coeur cognait contre son torse.
Dans un demi il observa alors le visage de Marigold, à demi dissimulé par le bandeau de satin, et le souffle court il murmura, tout en dénouant les liens qui entravaient ses poignets.
- Chez moi, Luce, on n'attache pas les libéllules par les ailes.
Il n'avait pas encore achevé sa phrase que les rubans cédérent entre ses doigts, au même titre que le bandeau qui aveuglait la belle. Unissant à nouveau son corps au sien par un brusque mouvement du bassin, Marcello saisit Luce par la taille, roula sur le côté, et bascula sur le dos, de telle sorte qu'à cet instant, Marigold se trouvait au dessus de lui.
Les yeux clos, la respiration saccadée, le soldat laissa ses mains glisser des hanches de la belle jusqu'à sa poitrine, ce pendant qu'il imprimait en elle une série de profonds et puissants va-et-vient.
_________________
--Rafail
[Ouvert à qui veut.. Si quelqu'un veut.]

Certains humains croient pouvoir choisir là où le vent les porte. Pure fantaisie. Nous naissons et vivons emmenés par l'inexpugnable courant du destin, qui nous berce à droite, à gauche, accélère et ralentit, et parsème sur notre route des obstacles souvent néfaste, parfois même funestes. C'est notre rôle de tenter de dériver plus ou moins adroitement pour ne pas s'empaler sur les récifs de la fatalité qui pourrait considérablement réduire notre espérance de vie. Voilà, au fond, ce à quoi est réduit le déplorable rôle de l'homme dans sa vie.

Ainsi, l'Assassin avait fini là par pur hasard. Enfin.. Oui et non. L'adresse lui était connue depuis bien longtemps, mais jamais il ne s'y était aventuré. Se hâtant de remonter une à une les rues de la ville, il s'était finalement souvenu de la localisation de ce lieu apparemment "accueillant", et il n'était pas si loin que ça. Il changea de cap dans sa course-poursuite, se disant que se réfugier dans cette maison close serait une bonne idée pour semer définitivement ses tenaces traqueurs et écourter pour de bon la quête vengeresse des hommes à ses talons.

Il aura usé de tout ses talents pour grimper un mur et, le premier étage atteint, s'était engouffré dans par une fenêtre entrouverte. Le voilà alors à l'intérieur. Une fois dedans, sa première préoccupation sera de coller le regard contre l'ntrée qu'il vient de clore pour tenter d'entendre ce qui se passait au-dehors. Des bruits de pas, lui semble-t-il. Ils n'entrent pas ? Ils n'ont rien vu ?Parfait. Ainsi donc, Rafail venait de se tirer une énième fois d'un pétrin qui aurait pu être fort préjudiciable pour sa propre vie.
...
Oh, il y a du monde. Un demoiselle uniquement -mais c'est déjà du monde- qui doit sûrement voir en la personne du Sombre un guerrier plutôt qu'un fleuriste. Gagné, ma fille. L'Assassin a la carrure d'un mercenaire professionnel, emmitouflé dans divers vêtements noires formant un uniforme de marche discrète et de course rapide, qui grossisse l'allure de son physique, lui donnant un petit quelque chose d'impressionnant. C'est Lui, l'Amant qui se faufile par une lucarne pour visiter les songes éveillés de ces dames, c'est Lui, celui qui surprend les haïs pour leur trancher la gorge dans le silence d'une nuit des plus noires, c'est Lui, enfin, que l'on voit fureter comme un spectre hantant les bas-fonds des quartiers mal fréquentés, et qui disparaît aussi vite à la vue que dans les pensées.
Il ne sait pas son nom, mais elle, assit sur son lit, dans une tenue fort légère, doit balancer entre l'envie de crier et.. l'envie de crier.
Protestation.


Non, non. Chuuut. Je me cache. Je ne vous ferais pas de mal.


Elle est toujours effrayée, mais semble se radoucir un peu. Elle rabat un drap contre elle, pour masquer ce qu'il eut pu voir d'elle. Le Noir Seigneur, en preuve de bonne volonté, baisse l'ample capuche qui répand une zone d'ombre sur sa face, et baisse le lourd morceau de tissu enroulé autour de son bas de visage. Voilà son souffle libre. Il a les traits plus doux que ce que l'on pourrait croire de prime abord, en le voyant dans son costume de tueur professionnel.


Je suis.. Je suis..

On s'attend à ce qu'il donne son prénom ?


.. désolé de faire ainsi irruption chez vous.
Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : tu es la vague, moi l'île nue, tu va et tu viens, entre mes reins, et je te rejoins*]

Sourire franc quand il se rebelle à mot couvert. Elle lui caresse les cheveux ... Elle allait ... Il lui attrape les hanches, elle fond, elle gémit, elle aime quand il la guide, quand il la force en douceur, quand ils se battent pour la domination, guerre sans issue ...

Rebelle toi autant que tu veux, chaque fois que je tombe je remonte.

Elle ne domine plus rien, tant par son désir à lui que par le sien à elle. Son amant la dévore, il profite de son corps, Dieu que c'est bon quand un homme prends soin de vous. Il est payé pour et alors ? Le principal est le résultat et quel résultat. A chaque coup de langue, à chaque caresse et à chaque coup de rein elle a envie de gémir et de se jeter sur lui. Sur lui elle l'est déjà, son bassin accélère, ses seins se dressent lors du contact prolongé de leur corps, sa bouche cherche la sienne pour une fusion complète.

Elle est souriante, car une chose est sur personne dans cette maison n'aura le droit à lui, il est malgré tout à elle. Quel sentiment de puissance que de savoir qu'elle l'aura, quel jouissance que de savoir qu'elle seule profitera de ce corps, de cette bouche, de ce ... Elle ferme les yeux ... Oui, il est à elle, en acceptant son offre, il s'est lié plus qu'il ne le pensait, car elle le pousserait à ne désirer qu'elle. Peur de le perdre, non, juste avoir la satisfaction d'être dans ses pensées les plus folles et les plus secrètes, et surtout d'être la seule.

Ses mains agrippent les rebords du baquets quand il se révèle ... enfin pensa la blonde ... elle aime l'amour sauvage. Peu osent lui faire face mais lui non. Lui la prend comme il l'entend, lui, ne lui demande pas son avis, lui, décide pour elle. Et bizarrement elle apprécie et se sent émoustillé par cette situation. Ses aciers accrochent les saphirs, ils ne les lâchent pas non plus, pourquoi tourner le regard ? La honte ? Non elle n'en a pas, elle n'a plus de limites, il a brisé ses dernières réticences, rien ne lui fait plus peur. Elle se laisse envahir par le plaisir, acceptant ce qu'il lui donne sans retenue ses jambes entourant son amant, son bassin suivant le sien dans une communion parfaite des deux corps.


Fatiguée ? Laisse moi rire ... je suis habitué aux efforts intenses qui durent dans le temps. Chercherais tu une excuse pour arrêter ?


La blonde est avocate ne l'oublions pas, elle sait aussi riposter, et surtout elle adore ça. C'est une de ses raisons de vivre. Elle étouffe un cri, cambrant les reins, laissant pointer ses seins hors de l'eau.

A ton avis ? Je suis là pour le plaisir, et j'ai un gros défaut la gourmandise. Quand à être catin, si prendre du plaisir avec toi c'est en être une alors j'assume, et je te dis que je suis comme elle. Et que j'aime ça en plus.

S'il essayait de l'énerver c'était loupé, il lui en fallait plus que ça à la blonde. Au contraire, il l'amusait ... Elle lui sourit de plus belle, l'embrassant tendrement tandis qu'il la faisait grimper au paradis solaire.


*Et ça continue
--Lady.


[Dans la chambre du premier, alors qu'une ombre entre par la fenetre]

Le blond s'était finalement enfui, incapable de supporter le spectacle d'avantage. Aurait-il fait mieux ? Avait-il prévu de revenir ? Nul ne le saurait.

Mon deuxième client avait fini rapidement la besogne malgré ses dires, trop rapidement pour moi, je restais sur ma faim. Je m'étais assise sur le lit, incapable de penser, frustrée de n'avoir pas atteint le plaisir que j'espèrais.

Soudain du bruit surgit de la fenetre, le vent qui s'engouffra éteignit la bougie et me plongea dans le noir. Une ombre se faufilait dans ma chambre et je retint mon souffle. Assise là, sur le lit, j'en oubliais que j'étais nue comme un ver.

La lune brillante vint éclairer la chambre et je distinguais un homme. M'appretant à hurler, il me stoppa dans mon élan
.

Non, non. Chuuut. Je me cache. Je ne vous ferais pas de mal.

Sa voix n'était pas si désagréable et je décidais de ne pas crier, il changerait surement d'idée pour me faire taire et de facon radicale. Je hochais la tete, puis voyant qu'il reluquais mon corps dénudé, je rapportais la couverture sur moi. J'avais perdu mon masque dans l'accouplement et j'étais maintenant reconnaissable.

Je souris malgre moi lorsqu'il dit etre désolé. Apres tout, il était peut-etre envoyé du ciel et je laissais tombé ma couverture pour me lever
.

Ne soyez pas désolé, je veux bien que vous restiez caché ici à une condition ......
--Rafail
[Miam, une chambre avec une demoiselle nue !]

Une règle d'or parmi tant d'autre : Ne jamais avoir d'obligation, de créance envers une femme.
Bon, le propos paraît un peu machiste. Surtout que la plastique de la demoiselle est tout à fait admirable. De plus, elle venait de faire tomber le rempart de tissu qu'elle avait dressé, et se présentait à lui, sans la moindre notion désormais de pudeur. Agréable. Lui aussi a un problème avec la pudeur. Ils sont fait pour s'entendre, sans aucun doute.

Dédaignant ses principes moraux qui lui ordonne d'habitude d'adopter une tenue et une attitude irréprochable quand il est ainsi vêtu, le Sombre toise plutôt sévèrement l'intriguante avant de finalement lui faire complètement face, puis sourit. Il a mit un pied sur le piège, il n'a plus qu'à faire pression dessus pour se retrouver entravé par l'étreinte cruelle du désir. Celui qui t'entraîne sans plus te laisser partir avant de t'avoir définitivement vidé de ta substance, celui qui, par un prodigieux miracle dépassant la compréhension humaine, te fait exécuter des choses dont jamais tu ne te serais cru capable. Ha.. Le désir.. Qui dénigre la douleur, qui oublie la mort. Oui, le désir le prend soudain dans son giron, et a manifestement décidé de ne pas le lâcher.


Proposé avec tant de charme.. Considérez que j'ai déjà accepté.

Hésiter ? Il aurait pu. Il aurait pu tenter de jauger si il ne vaudrait mieux pas repartir par la fenêtre. Il aurait pu sortir de la chambre par la porte (ça lui changerait !) pour aller camper dans un salon en attendant paisiblement que le temps passe. Mais c'eut été vain. Pas de s'enfuir comme un rat, non ! Mais de penser qu'il eut mieux valu s'extirper du lieu plutôt que de rester dans cette chambre, avec cette féline nue à portée de main.

Mais.. Il y a une autre solution. D'ailleurs, le plus discrètement du monde, sa main gauche, masquée par l'obscurité, fait lentement glisser le manche de la fine lame cachée dans la manche. La Catin ne verra rien, pour le moment. Non, il ne compte pas la tuer. Il envisage simplement le recours à la force. Envisager, ce n'est pas faire !


À quoi viens-je de me condamner ?
--Lady.


[Dans une chambre où l'adrénaline se mélange aux hormones]

Il était toujours couvert de la tete aux pieds et dans la pénombre, je ne distinguais rien de lui. Je décidais alors de m'approcher de lui, en laissant glisser mes mains le long de mon corps, de mes cotes à mes cuisses, pour souligner ce que je pouvais lui offrir. Doucement, comme si le temps passait au ralenti, je fais un pas après l'autre et me retrouve à quelques centimètres de lui. Je relève la tete, il est plus grand que moi, et porte mon regard sur son visage. Un visage dont je ne vois que les contours ! Maudite chandelle qui s'est éteinte. Est-il laid ou beau ? Est-il humain ou un de ces monstres qui viennent abuser les femmes dans leurs pechés ?

Je porte lentement ma main à sa figure. Si je ne peux le voir avec les yeux, je le verrais avec les doigts
.

Si vous avez déjà accepté sans meme savoir, vous devez etre plus que ce que je crois. Un Dieu ou un Diable ?

Je suis de plus en plus partagée entre l'inquiétude de me retrouver avec lui, personne ne sait qu'il est là, il pourrait me tuer et se sauver, ni vu ni connu, et ce désir inassouvi qui me brule le bas-ventre.

Dans un souffle que je veux emplit d'érotisme, je lui murmure
:

Apprenez moi, montrez moi, tout ce qu'un homme peut faire avec une femme comme moi. Voici ma sentence .......
Cerdanne
[ Entrée... Cuisine...]


Faites donc comme il vous plaira.

La faim la tenaillait vraiment et les grognements de l’ours, elle en avait entendu d’autres..
Il paraissait pourtant de bonne humeur y a pas cinq secondes..
Cinq secondes ou ..plus ?

La provençale grommela et secoua sa tignasse..
La notion du temps n’avait jamais éte son fort, mais là, elle battait tout les records..
La brune qui la regardait comme une chatte regarde un bol de lait, lui arracha une drôle de chaleur au creux du ventre et Cerdanne se mit à sourire…
Aux anges.
Elle voulait croquer du pain et se goinfrer de miel coulant.

Alors les hésitations des unes et des autres, les couinements et autres grognements lui passaient largement au dessus de la crinière.


Bon appétit m'dame!

Rappel à l’ordre pour l’affamée.
Sa tête disparut de l’entrebâillement des tentures et ô mystère de la mémoire sélective, le chemin de la cuisine

« La cuisine c'est au fond de la salle, dans le couloir, une porte sur ta droite, mais sois discrète et ne dis rien, ce n'est pas un lieu pour les clients. » Éclairèrent sa route, son chemin, sa bataille…
Manger !

Le regard bleu toujours aussi dilaté, elle entra dans la pièce tel un fantôme.
Courant d’air qui dans les minutes qui suivirent, découvre soulève, ouvre, sent, se penche, se relève, regard toujours aussi fou et se prépare « Le Casse croute du Siècle ».
En silence, en plus !

Le lui avait murmuré au creux de l’oreille hein…Lui avait dit et elle l’écoute le cerbère…
Discrète, soit discrète c’est pas un lieu pour les clients..
La bouche pleine, doigts collés par le miel dégoulinant…la brune souriait à la porte close.
Retrouvant peu à peu le sol sous ses pieds…

Bon sang que ça fait du bien…
Manque plus qu’un bon vin chaud bien épicé..


Affalée, repue, elle recollait les morceaux de la soirée et s'en sortait pas trop mal.. Ptet pas dans l'ordre mais la mémoire lui revenait...
--Desiree


[au bar]

Les gens au bar sont allés et venus, et la blondinette souffle un peu après avoir enchainé deux clients pour la soirée. Elle souffle, et somnole presque. Il doit être vraiment tard maintenant, si elle trouve encore un partenaire, ça sera le dernier de la nuit, c’est certain. Et ainsi, elle pourra aller voir la dame dans son bureau et aura assez de sous pour s’offrir la nouvelle robe.

Elle s’extirpe alors lentement de sa torpeur quand la porte se referme à nouveau, levant le nez de son verre. Un enfant vient d’entrer. Un enfant à peine plus jeune qu’elle, un garçon qui doit friser la majorité de peu, surement. Elle le regarde arriver au bar, demander du jus de raisin et se faire gentiment rabrouer. Oui, définitivement, quel que soit son âge, il est ici pour se faire déniaiser. Du pain béni pour la blondinette. Physique pas trop plantureux, les seins n’existent que par la magie du corset qui rehausse joliment le tout, les hanches sont soulignées par le jupon serré à la taille, froufroutant en corolle autour d’elle. Un physique presque enfantin, et pourtant femme.

Elle s’approche du garçon, son verre à la main, et le fait tinter contre le sien. Souriant d’un air qu’elle veut à la fois rassurant et séduisant.


A votre santé, messire !

Elle se hisse à nouveau sur un tabouret, découvrant impudiquement ses chevilles, agitant légèrement les pieds.

Je me nomme Désirée, pour vous servir.
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