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[RP] Maison close de la rose noire

--Mme_red
[ Chambre 1]

Il choisit la danse et elle suit ses pas. Sans en être réellement surprise, elle demeure quelque peu étonné qu’il n’ai pas choisit la chemin de la chair. Quand elle sera prête? Léger rouge qui colore ses joues d’albâtres. Dis comme cela on dirait qu’elle est une jouvencelle qui n’arrive pas à faire le premier pour plonger dans son dépucelage. Bien qu’elle ne se vente pas d’être une gourgandine, il est loin le temps ou elle était innocente. Elle met vite fin à cette réflexion inutile, elle ne peu s’en prendre qu’à elle-même, l’homme ne faisant que lui répondre.

Un léger sursaut la fait tressauter son fauteuil. Le bruit étouffé de voix , semblant venir de quelque pièce du rez-de-chaussée parvient à se glisser jusqu’à leur chambre. Pas besoin de comprendre les paroles pour comprendre qu’il ne s’agit pas de réjouissance, le ton semblant bien sac. Instinctivement, son regard se pose à ses pieds, sur le plancher. Une chose de sur, elle ne voudrait pas être en bas.

Il lui fait quelque instant avant de se replonger dans la conversation. Que disait il déjà? Ah oui!

_ Il est vrai que la Dame Rouge semble tenir son établissent avec goût, autant du côté purement esthétique de la demeure que pour les choix de ses pensionnaires.


La Red se remet à l’aise, callant son menton sur la main dont le coude demeure posé sur l’accoudoir. A elle de questionner une encore.

_ Vous semblez en effet vivre dans un certain confort mais… n’avez-vous jamais ressentit ce besoin de liberté? Cette envie de vous délier de tout devoir?

Par réflexe, son regard métallique se pose sur la fenêtre à demi voilé par des rideaux rougeâtre. Sa tour à elle est faite d’ivoire, la sienne est faite de luxure. Tous un jour, malgré le bien être dans lequel l’on se complaint, nous éprouvons l’envie de nous évader l’espace d’un instant… rien qu’un instant.
Elle se demande, seulement, si Tadzio a des ambitions, des rêves aussi absurdes et irréalisables soient ils où s’il s’est résolument enfermé dans le conforme qu’offre la rose noir.

Il fois de plus, elle cherche à comprendre celui qu’elle avait eu bien du mal à cerner… Patience, Patience.


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--Julio_le_geux



[Contre la peau de Désirée]


Elle le caresse, le touche, le parcours sous sa chemise. Il frémit. Essaye même d'esquiver ses doigts mais se retrouve encore plus serré contre elle. Son cou brûle alors qu'il lève le visage au ciel, gêné par ses lèvres... Il a envie de s'enfuir. Envie de s'arrêter là. Envie de ne plus bouger. Envie de...


"Seulement si tu en as envie."

En fait, oui, il en a envie. Il a juste peur de l'inconnu, mais il ne veut pas partir. Il aime trop ça. Lentement il y prend goût. Et au fut et à mesure qu'il se détend sous ses mains, il ressent un goût de trop peu. Il veut la sentir tout contre lui, vraiment, et ses mains sur son corps le convainquent qu'il ne veut plus reculer.


''Je vais... Je vais enlever ma chemise...''

Joignant le geste à la parole, Il se recule à peine d'elle pour attraper le bas de son vêtement et l'ôter prestement par dessus la tête. La chaleur de la pièce l'entoure mais il vient plutôt rechercher celle de la demoiselle nue qui reprend ses caresses. Il pose délicatement une main sur les cheveux clairs pour en apprécier la douceur. Ses doigts s'emmêlent sur la nuque de la jeune fille pour lui caresser la peau du bout des doigts.
Il n'est plus qu'un frisson quand son corps se trouve pressé contre elle...
--Rosadeiventi


[Chambre 8 et que le combat commence!]

La catin laisse son bel Italien prendre le dessus et s'allonge sous son poids. Inconsciemment elle s'assure que son salaire est toujours sur la table de chevet et satisfaite se concentre sur lui.

Que vais-je bien pouvoir faire de toi, bella mia ?

Dans un air de défi elle caresse ses épaules et lui lance un sourire amusé accroché au visage

"Fais de moi ta reine bello mio si tu ne veux pas t'attirer mon courroux."


En prononçant ses paroles ellel'attire vers elle et le rapproche de son visage. Elle dépose sur ses lèvres un baiser fougueux et lui mordille le menton. Elle remonte sa bouche jusqu'à son oreille et lui souffle


"Oseras-tu braver certains interdits?
Mon corps réclame beaucoup d'imagination..."


Elle le scrute de ses noisettes enflammées en passant un bout de langue rosé sur sa bouche pulpeuse pour y recueillir un reste de salive.
Il est temps de passer aux choses sérieuses et de faire sortir la bête qui sommeille...


--Tadzio
[Chambre 1]

Au moins n'était-elle pas la seule à pouvoir s'amuser des réactions déclenchées par ses propos. Voilà qu'il l'avait faite rougir ! Cela le fit sourire, même s'il eut l'élégance de ne pas relever, tandis que sa cliente trouvait dans des bruits au rez de chaussée une échappatoire à son trouble. Vint alors un compliment sur la qualité des pensionnaires, dont il la remercia d'un ironique salut de la tête, assez peu perceptible du fait de sa position allongée.

En effet à ma connaissance, personne ne se plaint de ses compétences de... gestionnaire.

C'était plus respectueux que "mère maquerelle", même si au fond il pensait que la Rouge ne reculait pas devant les mots. Elle était trop fière pour ne pas assumer son état, qui n'avait par ailleurs rien de dégradant si on le considérait objectivement. Elle s'attachait à combler un besoin contre de l'argent, comme n'importe quel respectable marchand. C'était cela, la liberté du commerce ! Et en parlant de liberté, la Raide mettait le sujet sur le tapis.

Qu'est-ce que la liberté ? Je considère que le confort est ma priorité, et je me donne les moyens de l'atteindre... personne ne m'a forcé à venir ici. Personne ne me force à y rester. Le mot devoir devient donc tout relatif...
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Homme de plaisirs à la Rose Noire
--Desiree


[Chambre de Désirée]

Elle lui sourit lorsqu’il recule, pour ôter sa chemise, et revient immédiatement contre elle. Elle presse sa poitrine aux cimes durcie de froid contre son torse, ses mains poursuivant toujours les caresses dans son dos.
Serrée contre lui, du bout des lèvres elle s’aventure dans son cou, sur ses épaules, glissant un peu le long de son bras avant de remonter à son cou. Ne pas être trop aventureuse maintenant, elle le sent encore fébrile sous ses doigts, elle masse, elle effleure, elle apaise.

Lentement, quand elle le sent plus détendu, elle laisse une main glisser le long de son dos, l’index se glissant parfois furtivement sous la ceinture des braies. Et, tout aussi lentement, ses baisers glissent le long du torse juvénile, goutent la peau fine, orgueilleusement ravie de provoquer toutes ces sensations pour la première fois chez le jeune homme. Si Désirée ne ressent pas de plaisir physique, elle en trouve tout de même parfois dans son métier. Ce client là était de ces cas particuliers.

Avec mille précautions, elle découvre, elle erre, échappant progressivement à son étreinte, jusqu’à s’agenouiller, mains caressant le creux de son dos alors que la bouche s’égare sur la peau fine du ventre, y traçant parfois une arabesque du bout de la langue.
Les doigts frôlent les flancs, se glissent à leur tour sur le ventre, jusqu’aux liens des braies.

Elle s’arrête, lève son visage vers lui, souriante, et murmure :


Dois-je continuer, mon doux sire ?
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--Mme_red
[ Chambre 1]

Ses sourcils se froncent légèrement témoignant de sa réflexion. Le confort est la priorité de l’homme? Un regard embrasse la pièce. L’objectif semble être atteint. Ce qu’elle ne comprend pas néanmoins, c’est pourquoi il semble aussi désabusé, de tout. Il a le confort qu’il désir et il se prétend libre. Rien ne semble entraver ses gestes, ses envies, comme tous, une fois le devoir accomplit il garde le droit à sa liberté. Pourquoi ne pas s’échapper alors? Il n’a donc aucune envie? Pourquoi se complaire dans cette attitude morose?

Une chose de sur, çà chauffe sérieusement sous la chevelure blonde. Elle tourne autour de l‘homme, comme un avare autour d’un coffre qu’il ne parviendrait pas à ouvrir. Désireuse de trouver la solution à ce casse tête allongé près d’elle, elle se perd un moment dans un mutisme empli de pensées et d’hypothèses plus sinueuse les unes que les autres. Tadzio n’est peut être pas si difficile à comprendre, peut être que la Red se pose des problèmes là où il n’y en a pas. Fort probable, mais d’autant plus frustrant.

La blonde est né dans la haute société, habitué au confort et à l’étiquette. Elle a eu des titres, des terres, de l’or, elle a eu un époux, et sans jamais regretté sa vie, elle a toujours été attiré par l’inconnu. Son caractère contradictoire et provocateur ne fait que l’inciter à aller voir ce qui se passe ailleurs, hors de l’espèce de secte que peut former les familles nobiliaires. Toujours, la Red s’est tourner vers le peuple et le très haut sait qu’elle est loin d’être blanche. Cette noble dame a certainement côtoyer plus d’assassin et de vermines, que les vauriens même de Paris.

Son regard acier se love dans celui de Tadzio toujours en proie à ses réflexions. Alors que l’envie d’ouvrir sa bouche se fait sentir, elle se ravise. La conversation ressemble d’avantage à un interrogatoire auquel Tadzio répond bien docilement. C’est alors que volontairement elle laisse planer le silence sans dire mots.


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--Tadzio
[Chambre 1]

Un partout, soule au centre. Ses derniers mot avaient réussi à plonger la Raide dans une perplexité qu'elle n'avait pas affichée depuis le début de la soirée. Son visage pâle, jusqu'alors inexpressif, était à présent ponctué de quelques rides au coin des yeux et sur le front. Au moins Tadzio n'était-il pas le seul à marcher à l'aveugle !

Pas mécontent de lui, il la laissa reprendre ses esprits, attendant la prochaine question qui lui viendrait à l'esprit dans sa mystérieuse entreprise d'analyse. Elle ne vint pourtant pas. Les prunelles métalliques restaient simplement fixées sur lui. Espérait-elle qu'il allait prendre la parole ? Eh bien soit, il le ferait. Plus tard. La blonde avait joué la carte de la proximité, laissant au courtisan une liberté qu'il ne se privait pas d'exploiter. Celle d'être confortablement allongé à proximité d'une cliente qui attendait son bon plaisir, par exemple. Satisfaction mesquine ? Sûrement. Mais satisfaction tout de même.

Après plusieurs minutes, il s'étira lascivement et fit mine de remarquer que le silence s'était installé.


Pourquoi êtes-vous là, dame ? Vous m'avez dit tout à l'heure que vous espériez trouver quelqu'un qui fasse bien semblant de vous désirer... mais c'est faux. Vous êtes noble, apparemment riche, je suis certain que vous avez une myriade de prétendants, dont au moins un ou deux sont convaincants.

Et puis, il fallait bien lui reconnaître ça...

Sans parler de tous ceux qui sont sincères, car vous êtes désirable. Baissez le regard vers le pied de votre perchoir, vers vos domestiques ou les hommes en dessous de votre condition, dont l'intérêt aussi discret soit-il ne saurait être motivé par l'espoir d'une élévation sociale...
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Homme de plaisirs à la Rose Noire
Marcello.
[Chambre 5 : Pour encore quelques minutes]


Tu fais bien Amore, le jour sera bientôt là ! Je ne voudrais pas que le voile de la nuit te trahisse et qu'on puisse te reprocher ton séjour auprès de moi.

La phrase innocente eut pour effet d'arracher un bref éclat de rire au soldat qui, tout en fixant les attaches d'acier de son mantel, ne put empêcher son regard de courir une dernière fois sur le corps parfait allanguis sur les draps défait de celle qui en l'espace d'une nuit, était passée de redoutable geôlière à prisonnière asservie.
- S'il me fallait me soucier de l'opinion des autres, il y a bon nombre de choses que je n'aurais jamais faite. Celle-ci y compris...
Dans un ultime baiser, auquel Marcello répondit sans une hésitation, Marigold se chargea de conclure, avec toute la ferveur qui la caractérisait, une nuit plus brûlante qu'un été sous le soleil sicilien. La légére morsure qu'elle appliqua sur sa lèvre lui provoqua une dernière vague de frissons. Et ce fut à regret que Marcello se retint de la soulever de terre pour reprendre une seconde fois leurs ébats enflammés.
C'est pour que tu ne m'oublies pas, et que surtout si tu reviennes tu aies envie de te venger en me faisant subir le même sort. Car si j'ai su bien te tenir compagnie j'espère que tu ne me feras pas l'affront d'en choisir une autre que moi...
Dans un demi sourire le soldat lui prit la main, et sans la quitter des yeux la frôla de ses lèvres.
- Luce soit en certaine, quand bien je le voudrais il me serait impossible de t'oublier...
Jamais de sa vie sans doute, il n'avait aussi sincére avec une fille de joie. Bien sûr, il avait déjà assuré à bon nombre d'entres elles qu'elles resteraient à jamais gravées dans ses souvenirs. C'était toutefois, la première fois qu'il le pensait vraiment. A tous points de vue, Marigold était exceptionnelle. Elle avait en elle quelque chose, qui la mettait sans comparaison au-dessus des autres. La fraîcheur de la jeunesse trés certainement...
Il en était à présent à réajuster le col de sa chemise. Dans quelques secondes, il aurait quitté la chambre, où une à une les bougies achevaient de se consummer sur leur socle. D'un geste machinal, Marcello détacha de sa doublure une première bourse de velours noir scellée d'un ruban de soie rouge, revint vers Luce et déposa un rapide baiser sur ses lèvres. Il s'approcha alors de son oreille, et tout en lui déposant la bourse dans la main lui murmura:
- Celle-ci est pour toi, tu n'auras à la partager avec personne...
Aprés un rapide clin d'oeil, le soldat se dirigea finalement vers la porte, et s'apprêtait à l'ouvrir lorsque Luce lui précisa qu'il pouvait s'il le voulait rester en bas quelques instants, et ceci dit lui fit une dernière demande:
- Et tu peux aussi glisser au cerbèr... euh à Baudoin que j'ai bien fait mon travail si celui-ci te le demande. Tu lui diras hein
Un demi sourire que Luce ne verrait pas étira ses lèvres. L'espace d'un instant, il aurait presque pû oublier l'endroit où il se trouvait, et qu'un portier à l'allure implacable en gardait farouchement l'entrée.
- Il se saura sans l'ombre d'un doute, car ne pas lui dire serait comme renier l'existence du soleil en plein jour...à bientôt cara Luce, et merci.lui dit-il, avant de tourner la poignée et de retrouver ce corridor où les premières lueurs du jour avaient fait naître le silence.
A présent que le feu était retombé, Marcello sentait combien la nuit qu'il venait de passer avait réveillé la douleur de ses blessures.
Comme lui avait conseillé Marigold, le soldat s'approcha du bar, alluma sa pipe et commanda un verre de vin. La route pourrait bien encore attendre quelques instants...
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--Asteria


[La montée des Escaliers......ou en route vers l'inconnu]

Astéria suivait la catin.....qu'elle horrible mot, qui avait dit ça la première fois, sûrement un homme. Elle suivait donc la dame qui montait, les hanches ondulants devant ses yeux. Elle avait envie de cueillir cette croupe appétissante et dit mettre son visage entier pour humer son parfum. Elle avait la main si douce, son corps devait être pareil. Elle l'aurait bien poussé dans les escaliers pour aller plus vite mais l'attente était tellement meilleure.

Les pas dans le couloir glissent sur une épaisse moquette mais les murs eux laissent passer les soupirs et cris des amants enlacés. Arrivées devant la chambre N°6, du bruit à l'intérieur prouve que la pièce n'est pas vide et la "douce" Lucrèce appuie d'une main décidée sur la poignée.

Astéria restée à l'extérieur entendit des bruits de voix. Effectivement c'était bien sa chambre mais un intrus c'était installé dans sa couche ce qui n'avait pas l'air de lui plaire.

Elle espérait qu'il allait céder la place maintenant qu'elle avait approché Lucrèce, il fallait qu'elles entrelacent leurs deux corps, qu'elle la caresse........

Allez vite, vite messire pensait-elle mais elle ne dit rien pensant que la belle Dame était assez grande pour faire évacuer tout ce joli monde.


[Chambre 6.......nous y voilà!!!]

Le couple s'était éloigné, l'homme au regard de braise, sûrement lui l'employé de la Rouge et la femme rien à dire à part qu'elle avait un regard froid...)

Déjà le sourire revenait sur les lèvres de Lucrèce......hum ses lèvres, Astéria était prise d'un doute tout d'un coup. Pouvait-on embrasser tout le corps de la belle, les lèvres y compris....... Première expérience, elle avait oublié de demander.

Un bras qui lui ouvre le passage vers l'antre du plaisir. Elle plante ses yeux dans ceux de la belle et glisse dans la pièce. Elle y était, le moment était arrivée.

Bienv'nue en mes murs, je vous en prie! Nous serons plus tranquilles maintenant!

Lucrèce, appuyée à la porte était vraiment superbe. Ses longues jambes et cette jarretière qui semble la narguer..... Quelque chose se dégageait d'elle, quelque chose de félin. Astéria avait envie de la prendre dans ses bras et de la caresser......

Voulez vous étanchez encore votre soif en buvant quelque chose ou les nourritures terrestres vous ont elles assez lassées qu' vous en souhaitiez de plus...oniriques!

Non elle n'avait plus soif, ni faim....enfin si mais faim de la belle.

Non merci, je préfère passer à d'autres plaisirs.


Elle avait dit cela en laissant traîner les mots. Elle espérait que même si Lucrèce était en service commandé, elle n'était pas contre le fait de faire l'amour avec une femme.

Astéria fit glisser sur le sol le léger vêtement en voile qu'elle avait sous sa cape et apparut nue avec juste une culotte blanche sur sa peau bronzée. De la folie pas ce temps et dans ce coin de la Capitale mais personne ne pouvait le deviner et elle aimait jouer avec le feu..

Elle s'approcha de Lucrèce et tendit la main pour la faire venir à elle. Elle la poussa délicatement sur le bord du lit et entreprit tout en embrassant ses cuisses, ses jambes, de lui enlever d'abord la jarretière puis les bas. Elle continua à caresser ses pieds puis commença à embrasser très doucement ce corps en partant du pied. Elle sentait le plaisir qui vrillait ses reins mais elle voulait faire durer le plaisir.....


Astéria sentait la chaleur se dégager de ce corps, une odeur de parfum qui l'émoustillait. Ses mains montaient épousant la forme de ses jambes, jusqu'à ses hanches.

Elle n'en pouvait plus, elle se releva et continua à dénuder ce corps qui l'attirait, qui l'excitait, à quoi bon résister....elle savait qu'elle la voulait et maintenant.

Première fois qu'un corps de femme lui donnait de telles sensations et ou était-elle allée la chercher....dans un bordel....un bordel de classe mais un bordel tout de même.
--.julien.


[Pour entrer dans un bordel, il faut en avoir, si vous voyez de quoi je parle]

Et malheureusement, je n'en avais pas encore beaucoup à ce moment là. Si je me trouvais devant cette porte, c'est que m'ayant donné un confortable pécule, mon maître m'avait dit : "Va t'amuser, j'ai à faire".
Pendant que le Seigneur de Bréméan besognait, pour une fois sans me réduire à l'état de serviteur polyvalent, il fallait que je trouve de quoi occuper mes mains.
Longtemps les cuisinières m'avaient houspillé dans les cuisines, frottant leurs gras séant contre moi, et longtemps je n'en avais ressenti que dégoût, même si les formes, c'était à la mode. Elles étaient grasses, laides.
On disait qu'une rose noire avait fleuri, et que là, il y en avait pour tous les goûts, pour tous les prix.
Pour m'amuser, je disposais largement de trois heures. J'apprendrais qu'il n'en fallait pas temps. En jeune puceau - état dû à mon statut social et à mon âge, sûrement - je me trouvais souvent à penser à l'amour, et à ce qu'on en fait.
Lorsque le maître s'était marié, il avait d'abord paru anxieux, et le lendemain de la nuit de noce, je l'avais trouvé gai comme un pinçon. Cet effet se reproduisit bien souvent, en fait à chaque venue de Dame Della.
Il était temps d'essayer, d'être inquiet, et de se dire qu'on ressortira comblé.
A mon approche, je remarquai que le portier était absent, occupé probablement hurlant au loin contre une bougresse ou un importun que la pénombre me cachait. De fait, je me faufilai dans la maison du plaisir.

La scène me stupéfia. Un parfum étrange embaumait, mélange pestilentiel et ô combien attirant. Comme le moustique vers la lumière, j'étais attiré. Je ne sais pourquoi, la vue de tous ces corps me firent un effet qui ne m'arrivait qu'au réveil, et que je prenais pour une anecdotique expression de mon anatomie. Vous l'aurez compris, j'étais un novice.
Planté là, j'attendis. A qui s'adresser ? Puisque je ne le savais pas, j'attendis que l'on s'adresse à moi.
--Mme_red
[ Chambre 1]

Le silence s’éternise et la Red se demande s’il sera brisé un jour. Elle ne se surprendrait de rester de longues minutes les yeux rivés dans celui de l’homme qui la regarderait en souriant, pour le simple plaisir de la contredire… Ou de ne pas la regarder du tout, comme ne faisant pas attention au mutisme qui s’installe. D’ailleurs, c’est la deuxième option que semble avoir choisit Tadzio.

Les blancs étant souvent source de malaise, la Red évite de les installer, sauf si cela sert son intérêt, bien évidement. Ainsi, elle se fait patiente et ne pipe pas un mot. L’attente porte ses fruits et au jeune homme cette fois-ci de chercher à la comprendre. Au compliment qu’il lui formule, elle ne cille pas bien qu’elle le relève agréablement.

Pesant ses mots pour répondre, elle se fait attendre avec de prendre une bonne inspiration.

_ Oui, initialement j’étais venu chercher un homme qui aurait fait semblant de me séduire, mais qui l’aurait fait admirablement bien. Je ne suis pas dupe, je suis consciente que charmer et offrir le plaisir sont des choses que vous faite tout les jours et que rare sont ceux qui y prenne réellement goût. Vous êtes des professionnels, je pensais donc trouver un excellent comédien, celui qui aurait su me jauger et qui en aurait ni trop fait ni pas assez… je ne m’attendais vraiment pas à tomber sur quelqu’un comme vous, mais je dois avouer qu’au final, j’en suis satisfaite

Un sourire à peine perceptible anime ses lèvres.

_ Vous savez, vous autre n’êtes pas si différent des hommes de la noblesse. Vous charmer pour vos intérêts et obtenir, en fin de course, l’argent qui vous est plus ou moins promis. La différence, c’est que vous n’avez pas la même expérience de la vie. Les seigneurs, les barons, les marquis, tous sont issus de la même éducation, animer des même valeurs et n’ayant de la vie que des expériences nobiliaires, je dirais… Une vie de luxe, mais une vie morne. Il non guère plus beaucoup d’intérêt pour moi, sauf en ce qui concerne la réalisation de mon devoir. La lassitude ne touche pas que les petites gens vous savez…


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--La_dame_rouge



[Que se ferment les pétales pour que reposent les créatures fatales.]

L'heure était à la fermeture des portes de la Rose. Pour la nuit du moins. La Dame ressembla ses vélins, s'étira comme une chatte dans son fauteuil en baillant discrètement. La nuitée avait été longue et pas aussi calme que les autres soirs. Le guet, l'affluence, les nouvelles têtes...

Elle se leva en prenant brièvement appuis sur le bois de son bureau, remit en place quelques mèches vagabondes et se dirigea vers le grand salon. Tour d'horizon, plus grand monde. Quelques hommes, et les portes qui lui tendaient les bras.

Elle ne trouva pas Baudouin du regard mais n'y prêta pas attention. Ho elle remarqua bien vite un drôle de visiteur avec un gros paquet mais... D'un geste et d'une parole elle lui manda de quoi il en retournait. Un paquet pour Baudouin... La dame se risqua à le prendre, et donna une piécette à l'étrange messager.

Comme tous les soirs, elle ferma le lourd loquet de l'entrée et s'assura que l'Huis clos soit instauré jusqu'à l'angélus prochain. Les derniers clients qui se faisaient choyer par les filles et les garçons de la Rose Noire devraient passer par l'arrière cour pour s'extirper des griffes musquées de sa maison.

Baudouin laisserait l'argent reçu de certaines dans le bureau, et si pour l'heure il ne daignait pas montrer son museau, la Dame saurait bien le retrouver le lendemain... Ses bons et loyaux services prenaient fin ici et maintenant, et tout client avide de s'abreuver du nectar de ses fleur se verrait laissé aux portes closes.

Ainsi donc, la Rose Noire est une fleur de la pénombre qui se ferme aux premières lueur du jour et éclos chaque nuit à la fraicheur de l'astre. La recette sera comptée bientôt, pour l'heure le sommeil étreignit le corps sans âge de la Rouge. Elle déposa le paquet dans l'entrée, à la place du cerbère sans trop s'en soucier plus longtemps. A l'heure ou les boulangers se lèvaient, la maquerelle elle, alla retrouver la douceur de sa couche.

Une nuit s'achevait, mais bien vite une autre naitrait...



Elisabeth_stilton
[Chambre 3 : De longs regards sur qui me tente, tous les beaux arts en dilettante, j'aime aimer comme ça me chante, et quand cela me passera*]

Un rire cristallin s'échappe de sa gorge, elle le regarde avec gourmandise avant de lui susurrer.

Alors qu'attends tu ?


Finalement, le couloir ne sera pas témoin de leur ébats et cela valait mieux, le temps avançait et la blonde devait aller rejoindre son école plus tard dans la matinée. Elle suivit donc son grand méchant vou.

S'il n'y avait que mon mari ? Qui te dit que je ne vais pas me trouver des amants ? Je pourrais ainsi te laisser plus de nuits de libre ...

Qu'essaye t-elle ? Lui faire comprendre que si elle aime être avec lui et profiter de son corps, elle peut aussi partir et le laisser comme ça sans elle. Sans son corps de porcelaine, sans sa bouche gourmande, sans sa chevelure d'or et surtout sans la luxure qu'elle accepte de partager avec lui. Oui tout cela elle pourrait le donner à un autre, qui dit qu'elle et Nicolas ne se réconcilieraient pas un jour, ou bien un autre qui sait ? Elle avait une grande quantité d'homme autour d'elle. Un sourire malicieux naquit sur ses lèvres, oui mon petit démon, fait attention à ne pas trop vouloir t'échapper tu pourrais tout perdre.

Elle rit doucement quand il titille son cou, elle aime qu'il joue avec elle comme ça. C'est un jeu plaisant. La blonde suit le blond avec plaisir, la main tendue est prise et surtout pas lâché. Elle accepte le verre qu'il lui sert, et trinque avec lui.


A nous et aux prochaines nuits que nous passeront ensemble.

*Encore et encore
--Julio_le_geux


[Sous les doigts de Désirée]

Elle descend le long de son torse, échappant à son étreinte qui se voulait plus caressante, plus délicate avec elle. Mais comme souvent, par manque d'audace, il a l'impression de n'être pas allé assez vite. Il a comme un léger sentiment de frustration quand de sa main elle glisse, mais cette langue et ces mains qui parcourent son corps lui font soudain tout oublier. Il n'arrive plus qu'à soupirer, emporté dans un tourbillon de sensations qui ne font que naitre en lui. Ses mains se crispent de plaisir alors qu'il sent la bouche de la jeune fille se poser toujours plus bas sur son ventre. Dans ses braies, son membre durcit et se dresse. Il a envie d'être libéré de tout ce tissus.
Alors les mains fouineuses ont tendance à lui dire qu'elles veulent aller chercher plus bas, cet objet de désir qu'il sent croitre.
Ses mots le convainquent qu'elles sont là pour ça. La jeune fille sait. Elle est experte dans ce domaine. Il n'a qu'à la laisser faire pour le libérer de ses entraves.


''Vous pouvez... Je... vous laisse faire.... je manque d'expérience dans...''

Il ne finit pas sa phrase. Il ne sait pas quoi rajouter, d'ailleurs. Venant d'avouer son manque total de savoir dans le domaine, même si auparavant, cela semblait évident, il ne peux plus en rajouter de peur de se sentir encore trop honteux.
Alors, sentant son visage rougir encore, il se reconcentre sur les frissons que ses caresses lui prodiguent. Lui le petit paysan, le grand timide, le souffre-douleur parmi ses copains, il se sent maintenant devenir un homme par les délices que la sublime petite personne à ses pieds lui fait découvrir.
--Desiree


[Chambre de Désirée]

A genoux devant lui, elle lui sourit, rassurante, et glisse à nouveau ses lèvres sur son ventre, alors que les doigts graciles s’affairent à délier les braies. Elle laisse le tissu choir à ses pieds, les mains glissant rapidement le long de ses jambes pour les en dégager, elle repousse le tout loin deux. Les yeux clairs détaillent la virilité dressée sous ses yeux.
Elle hésite un instant, elle voudrait bien lui faire découvrir ce plaisir là, mais elle craint que cela ne soit trop rapide. Et puis… Et puis baste ! Si cela est trop fort, trop rapide pour le jeune homme… Eh bien il aurait tout le temps de découvrir un corps féminin en se reposant avant de reprendre vigueur !

Elle lui prit les deux mains, les embrassant délicatement au passage, et les tira doucement, l’invitant à s’assoir sur le lit. Lorsqu’il fut installé à son aise, elle reprit ses caresses, laissant ses doigts courir du genou jusqu’à la peau fine de l’intérieur des cuisses, se glissant entre elles, pour de nouveau embrasser son ventre, glissant, lentement mais surement, vers le membre roide.

Elle prend son temps, elle ne veut pas le brusquer. Il l’attendrit ce client là. Pas qu’il soit différent non, pas vraiment. Mais il n’était pas non plus de ces jeunes arrogants qui croient déjà tout savoir en venant se faire dépuceler, poussés dans le dos par leurs amis, frères, ou parents.
Elle lève les yeux vers lui une dernière fois, un regard qui sourit, qui rassure. Un regard qui lui certifie qu’il va aimer, mais qu’il peut l’arrêter quand il veut.
Et ce sont d’abord des baisers, qu’elle dépose comme une offrande sur ce qu’il tend vers son visage. Rapides, presque des effleurements au début, elle finit par laisser errer ses lèvres plus longtemps. Dardant finalement la langue, caressant ces endroits qu’elle sait si sensible, lentement, langoureusement, parce qu’elle ne sait pas si lui connait assez sa propre anatomie pour le savoir, elle prend le temps de le lui montrer.
Puis, s’aidant d’une main, c’est sa bouche entière qui entre à l’œuvre, avec mille précautions, cherchant, finalement, la jouissance de son client, une première fois. Elle le gardera avec elle jusqu’aux petites heures de l’aube s’il le faut, mais il repartira de sa chambre avec une connaissance précise du plaisir…

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