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[RP] Maison close de la rose noire

--Julio_le_geux


[Élève de Désirée]

Elle lui a fait découvrir l'art du baiser, la délicatesse de sa langue guidant la sienne dans leurs bouches humides. Elle l'a fait frémir en lui caressant le visage, lui mordillant l'oreille et chatouillant son cou, il a adoré. Se disant que chacun de ses gestes, toujours plus magiques, ne s'arrêtaient que pour laisser place à une nouvelle découverte encore plus exaltante. Sa main a pris la sienne et l'a guidé vers les monts du plaisirs, vers les vallées de la luxure... Elle l'a même conseillé en expliquant savamment ce qu'aiment ou n'aiment pas les femmes. Il en a profité pour tâter un peu plus. Il a osé caresser sa poitrine blanche et tendue de toute sa grande main. La maitresse a continué de le guider sur une peau délicieusement satinée où un des doigts de l'élève à glissé dans le petit nombril une fraction de seconde. Cette fraction qui fait prendre conscience, par l'arrêt rapide de régularité sur ce corps, que chaque petite parcelle n'est autre qu'un trésor qu'il a soif de découvrir.

Mais sa main continue de glisser, et il sait qu'elle le dirige vers un lieu interdit. Cette zone que les femmes du village s'échinent tant à cacher. Attention de ne pas regarder sous les jupes! On y verrait le fruit défendu! Il a bien remarqué que, même déshabillée, la jeune fille avait réussi par une toison claire à cacher cette partie. Maintenant sa main le guide pour aller toucher. Une vague de panique commence à pointer en lui mais la poigne de Désirée semble s'en douter. Plus ferme et toujours déterminée, elle le guide pour aller découvrir ce que recèle ce coffre au trésor.
Alors il se laisse enseigner.

De ce que le bout de ses doigts lui disent, c'est frais. Sans doute humide, et parfaitement doux. Si doux qu'il a envie de caresser. Le murmure de la demoiselle le convainc que c'est une bonne idée. Il fouille un instant et découvre la grotte de la jeune fille puis son bouton d'amour tout petit et gonflé. Sa main se retrouve soudain abandonnée. Alors elle reste là quelques instants à chercher, découvrir seule, comme pour expliquer à ses yeux ce qu'il y a de caché.


''Vous aimez?''

Cette interrogation lui échappe dans un soupire. Selon elle, les femmes aiment. Pourquoi pas elle? Elle l'embrasse langoureusement. Alors il prend ça pour un oui. La sentant à nouveau tout contre lui, il abandonne ses explorations pour la tenir par la taille, passant ses mains dans le dos délicat par une douce caresse. Il répond tant bien que mal à son baiser avec un peu plus d'assurance que pour le premier.

Mais ses lèvres se décèlent des siennes, et il se rend compte qu'un contact de plus les lient, autre que la bouche où les yeux, autre que les caresses et la peau. Son membre qu'elle avait fait dresser était entré par le petit chemin que ses doigts venaient de découvrir. Provocant chez lui une vague inattendue, un frisson de plaisir.

Elle retient son visage tout près du sien, son regard pénétrant cherchant à le rassurer, accompagné de ses doigts délicats sur sa nuque.
Puis un coup de reins. Léger. A peine perceptible. Si infime comparé à l'effet qu'il déclenche en lui. Son bas ventre le démange, alors il gémit doucement. Il bouge à peine mais se retrouve à frotter un peu plus contre elle. Nouvelle vague de plaisir.
Il cherche dans son regard une explication, il veut lui demander ce qu'il doit faire maintenant mais n'ose pas ouvrir la bouche. Ses mains se crispent un peu sur le dos fin de la jeune fille, mais il ne veut pas lui faire de mal. Alors il bouge à nouveau, il ne sait pas trop comment.
Nouvelle vague de plaisir.
Il commence à comprendre. Et puis elle l'accompagne, elle donne aussi de petits coups de reins qui ressemblent à des caresses. Il trouve ça magnifique. Il sourit. Il bouge.
Nouvelle vague de plaisir...
Elisabeth_stilton
[Sur le Comptoir : Si tu veux bien, Quittons la rive, Partons à la dérive, Je te prendrais doucement et sans contrainte, De quoi as-tu peur allons n'aie nulle crainte *]

Petit blondinet tu es à moi ... et la laisse le montre bien. Alors qu'elle pensait qu'il allait se déchainer, il se fait docile le blond. Cette situation mets tous les sens de la blonde en éveil, elle frissonne en pensant à sa domination. Elle le nargue, passant sa langue sur ses lèvres d'un mouvement lent, les caressant laissant imaginer ce que leur propriétaire pourrait faire avec.

Elle sait qu'il la désir, elle sait qu'il n'a envie que d'elle, elle sait qu'elle a un pouvoir sur lui. Elle le tient ... Mais lui, mon Dieu, lui. Elle s'enflamme en le voyant, elle est irrémédiablement attiré par lui. Quand il la touche, c'est une explosion de désir qui parcours chaque centimètre de sa peau. Il lui a fait découvrir la luxure et a réussi à la lier à lui de manière définitive, une laisse invisible, un lien incassable les relie.

Liaison ... lien ... chaine ... il la possède au figuré comme au sens propre. Elle reste de glace, mettant son masque habituel de froideur. Et pourtant ... Elle se mort la lèvre quand elle le sent en elle. Contrairement aux autres fois il est assez calme. Caché sous ses jupes, ils s'unissent en silence, seul un sourire ou deux est échangé, pas d'émotion ne dégage des deux corps, une tension est palpable mais ils sont dans une maison des plaisirs.

Leur relation est compliqué ... pas d'amour loin de là mais une dépendance. Non pas au stupre, enfin pas que, mais aussi à l'autre. Il y a comme une fusion entre eux, un lien indestructible qui les empêchera de se fuir mais pas de se détruire. Elle le regarde, c'est la doyenne que l'on retrouve, froide, distante, on pourrait croire qu'elle est en train de plaider et non pas de faire l'amour.


Disons que je m'attendais à plus de fougue de ta part.

*SG
--Tibere.
[Sur le comptoir: Je te veux confiante, je te sens captive, je te veux docile, je te sens craintive.*]

Sensuelle... Leur étreinte n'est en effet pas fougueuse. Elle voulait qu'il la prenne sans que personne ne s'en doute? Elle est servie. Cependant, la lenteur des mouvements de bassin n'enlève pas l'intensité de leur union. Moins fougueuse mais presque plus puissante car chaque parcelle de leur corps s'éveille à chaque saillie. Il ne la quitte pas des yeux, se penchant de temps à autre, goûtant lentement sa gorge du bout de sa langue, ou glissant entre ses seins moites, jolis monts dressés insolemment qui l'attirent indéniablement.

Chaque assaut est suivi d'une vague de plaisir qui déferle en lui. Les mains du jeune homme, tantôt agrippent les cuisses de son amante, tantôt vagabondent jusque dans son dos, caressant chaque petite parcelle de peau qui se découvre sous ses doigts.

Langoureux va et vient d'une intensité étonnante malgré la lenteur du mouvement. Comme quoi la fougue n'est pas toujours nécessaire, il la regarde, son sourire narquois sur les lèvres, guettant chaque crispation sur le visage de sa belle, chaque soupire qui s'échappe de sa bouche. Cédera-t-elle au plaisir, montrera-t-elle son émoi? Il sait que plus l'étreinte est lente et plus l'explosion sera dévastatrice, contrastant avec cette union douce.

Le blond est toujours de marbre, impassible, malgré le feu qui le ronge, il se penche vers elle, souriant et lui murmure doucement, d'une voix enjôleuse, contrastant avec sa froideur:


Si tu le veux bien, divine Ignorante,
Je ferai celui qui ne sait plus rien
Que te caresser d'une main errante,
En le geste expert du pire vaurien.**


Réminiscence. Sa mère était férule de poésie et nombre de fois, alors qu'il était enfant et plus tard, adolescent, elle bercera la vie du jeune homme de poèmes en tout genre, qui alimenteront son imagination et sa passion pour sa mère. Elisabeth lui rappelle tellement... Cette froideur qui émane d'elle... ce tempérament fougueux et passionné caché derrière un masque de pudeur... même les courbes de son corps le lui rappelle, sa blondeur, ses traits fins, le bleu de ses yeux, la rondeur de ses seins, les courbes de ses hanches. Il frissonne, plaisir... désir... le feu l'étreint alors qu'il ne montre rien. Rien. Seule, Elle, peut le sentir, sentir son dard turgescent, puissant, qui la pilonne qui vibre de folie pour elle, en elle. Il pince ses lèvres tant le plaisir est fort. Pas encore... la faire languir... toujours...

* Serge le Gainsbourgeois!
** Paul Verlaine, (1844-1896) Si tu le veux bien, divine Ignorante.


--Desiree
[Chambre de Désirée]

Elle lui sourit, ravie, alors que la compréhension nait lentement sur son visage. Ses hanches remuent, à peine, juste assez pour accompagner les gestes de la découverte. Les mains sur sa nuque sont toujours actives, elles se font moins fermes, plus caressantes, elles effleurent, dessinent, jouent. Le laisse libre de ses mouvements, totalement.

Elle se cambre légèrement, offrant à sa vue la petite poitrine, orgueilleusement tendue par le froid, pointée vers lui.
Elle le laisse faire, elle n’entreprend plus rien, elle veut le laisser découvrir seul jusqu’où la rencontre le mènera. Elle se contente de répéter des gestes qu’il connait déjà. Elle caresse, elle embrasse, elle effleure, elle murmure.
Elle ne l’enlace plus, elle ne veut pas le restreindre s’il souhaite changer de position, c’est son confort à lui qui importe, c’est ce qu’il veut, c’est son plaisir. C’est sa nuit.

Elle ne l’enlace plus, elle caresse. Les mains tracent des lignes dans son dos, esquissent la rondeur des épaules, effleurent le torse, remontent au cou, dessine le visage, s’égarent dans les mèches sombres. La langue s’en mêle, s’emmêle, le souffle se délie, s’alanguit sur les pommettes du garçon, alors que c’est du bout des lèvres qu’elle croque maintenant ses traits.
Et elle lui sourit. De toute son âme, elle lui sourit, comme elle n’a pas souri depuis longte… jamais. Est-ce parce qu’il est si timide, ou si attentif, si désireux d’apprendre… Elle ne sait pas, mais des clients comme lui elle n’en a probablement jamais eu. C’est touchant, d’être si délicieusement puceau.

Le souffle vient de nouveau chercher sa langue, elle n’a jamais autant embrassé un client la blondine, et elle savoure, elle trouve cela agréable, cette touche de maladresse.
Elle se cambre légèrement plus contre lui, amplifiant subtilement l’amplitude de ses mouvements. Qu’il comprenne, qu’il agisse comme il l’entend. Elle est offerte, pleinement.


___________
Elisabeth_stilton
[Sur le Comptoir : L'amour à la papa, à moi, Ça ne me fait ni chaud ni froid, Je suis le lierre, Tu es la pierre, Je prends racine autour de toi, Mais tu t'écailles, Quand je t'entaille, Tu es de pierre et je deviens de bois*]

C'est une bataille qui se joue là. Une guerre presque, entre les deux blonds, lequel cèdera ? Aucun à les croire. Elle est aussi impassible que lui extérieurement mais c'est une lutte intérieure pour ne pas céder à exprimer ce qu'elle ressent. Chose rendu de plus en plus difficile par les caresses de son amant. Il est lent mais puissant, il la prend entière sans concession mais sans violence, goutant sa peau, se réfugiant contre elle. Elle se mord les lèvres, retenant l'envie de l'enlacer et au contraire se cambre pour le narguer avec sa poitrine.

Il la torture ... il ne peut y avoir que ce mot là pour ce qu'il lui fait subir. Comment une telle étreinte peut faire déferler en elle tant d'émotions. Ses jambes ne lâchent pas leur emprise, elle veut le garder près d'elle, elle veut qu'il sente qu'elle l'emprisonne, qu'il est à elle.

Elle lui sourit mais c'est un sourire moqueur, qui lui dit qu'elle ne laissera rien transparaitre de plus que sa respiration haletante. Son regard est de braise, les yeux sont brillant mais le corps est inactif, froid comme de la pierre. Quand elle entends les vers ... elle n'a qu'une envie de lui répondre, ce qu'elle fait.


Soyons scandaleux sans plus nous gêner
Qu'un cerf et sa biche ès bois authentiques.
La honte, envoyons-la se promener.
Même exagérons et, sinon cyniques.**


* et ** comme mon voisin du dessus
--Tadzio
[Chambre 1]

C'était probablement la première fois qu'un client se disait satisfait en n'ayant pas eu ce qu'il était venu chercher ! Ou, pour être plus exact, c'était probablement la première fois qu'un client ne venait pas chercher une satisfaction trop primaire. Par contre, la comédie, le Tadzio ne savait pas faire. A part celle qu'il jouait en permanence, évidemment, mais à partir de quel moment le masque se fondait-il dans le visage qui le portait ?

Problème d'autant plus épineux, qu'à écouter la Raide, tous les hommes portaient le même, du plus haut noble au plus bas des roturiers.


Vous me dites que nous sommes tous les mêmes, et pourtant c'est un gigolo que vous venez trouver... j'aurais pu vous jouer la comédie pour de l'argent, comme d'autres vous jouent la comédie pour obtenir votre main ou que sais-je... au fond, aurait-ce été vraiment différent ?

Et au moment où il posa la question, il se dit qu'il lui avait en réalité rendu service. S'il avait fait ce qu'elle attendait, elle aurait simplement retrouvé la même routine qu'avec ses prétendants. Alors que le cynisme qu'il lui avait offert devait être plus rafraîchissant...

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Homme de plaisirs à la Rose Noire
Nicolas.df
[Chambre huit]

Incorrigible... dominée par toute sa taille, elle continuait à faire les fières. Sans doute parce qu'elle savait l'effet qu'elle produisait. Alors qu'il débordait déjà de désir et d'énergie, au souvenir de leur étreinte précédente et grâce aux nouvelles apportées par Umbre, elle l'aiguillonnait encore davantage. Chaque sourire, chaque caresse ravivait le brasier allumé dans son bas-ventre. Son baiser et ses paroles provocatrices achevèrent de le rendre fou.

Il lui maintint fermement les bras au dessus de la tête, ne se préoccupant pas de savoir si sa poigne solide lui meurtrissait les poignets, et entreprit de la mordre, de la pincer, de l'embrasser. Visage, cou, épaules, poitrine... aucun centimètre de peau à sa portée ne fut épargné, mais cela ne le rassasia pas, bien au contraire. Il ne prêta attention ni aux gémissements de la belle, ni aux nombreuses marques que ses assauts avaient laissées. Elle était à lui. Depuis combien de temps ne s'était-il pas laissé aller de la sorte ? Impossible à dire. Avec Adelinda, il avait été plus doux, plus prévenant... avec Gabbie, moins sauvage... il fallait probablement remonter à Guess. Qui avait quitté ce monde depuis dix mois... comment diable avait-il pu se retenir dix longs mois ?

Toutes ces réflexions, bien sûr, il ne se les fit pas. Seule importait Rosa. Il la libéra un bref instant, juste assez pour la retourner. Sa nuque et son dos arborèrent rapidement de multiples traces de dents. La langue et les lèvres de Nicolas n'étaient pas en reste, mais il savait que les brûlures qu'elles causaient étaient moins visibles... les frissons de l'Italienne en certifiaient toutefois l'existence. Puisqu'elle avait réclamé l'interdit, il la saisit fermement par les hanches jusqu'à ce qu'elle se cambre assez pour lui offrir sa croupe... et la prit en ahanant.

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--Rosadeiventi


[Chambre 8- Attention ça chauffe!]

Elle avait réveillé le démon. Totalement abandonnée à son bourreau, elle se laisse goûter, mordiller, palper. Son corps n'est qu'un vaste terrain de jeu que son amant prend plaisir à exploiter, à martyriser. Ses poignets souffrent de cette étreinte forcée et brutale mais elle s'en délecte. La Rosa sent le plaisir monter en elle alors que les morsures laissent une trace sur sa peau douce. Elle est à lui, son objet, sa marionnette, simple catin qui soumise, lui offre son corps sans retenue. Elle se tend, se cabre avec sensualité en fermant les poings comme pour mieux capturer ce désir sauvage. Il est maître du jeu et contrairement à leur premier ébat elle ne désire pas inverser la cadence. Son bel Italien se révèle enfin et elle ne souhaite qu'être sa chose, qu'il laisse parler son imagination sans tabou ni pudeur.
Changement de position. D'un geste brutal et empressé il la retourne, s'offrant ainsi le spectacle jouissif de ses fesses rebondies qu'elle lui avait dévoilé sous peu en montant l'escalier. La Bella esquisse un sourire alors que féline elle se cambre pour lui présenter l'antre interdit. Son sourire se fige lorsque d'un coup de rein son amant la fait sienne. Pénétration profonde qui lui arrache un cri pendant que ses mains agrippent le drap. Il glisse en elle avec force ne la ménageant pas. Sa virilité tape jusqu'au au plus profond de son ventre alors qu'elle halète en suivant la cadence imposée. D'une main elle empoigne celle posée sur l'une de ses hanches et dans une communion parfaite elle s'active à son tour. Sauvage, tigresse, elle veut le sentir encore, plus près, plus fort. D'un mouvement de rein contrôlé elle se relève à son tour plaquant son dos moite contre son torse. Sa tête calée au creux de son épaule elle gémit en se laissant glisser sur le membre tendu et en ébullition. Elle cherche son contact et attrape l'une de ses mains afin qu'elle prenne possession de ses monts dressés. L'autre la maintient pour qu'elle puisse avec aisance se mouvoir sans retenue.
Ils sont liés, emboités en une danse sauvage rythmée par des gémissements empressés. Le souffle court de son bel Italien se perd dans sa chevelure ébène alors qu'elle mord avec fureur sa lèvre pour ne pas hurler de plaisir. Alors d'une voix languissante et saccadée elle lui lance pour redoubler son ardeur


"Tu me rends folle! Possède moi! ne t'arrête pas!"

--Julio_le_geux


[Contre Désirée]

Il commence à se perdre dans la danse qui s'installe entre eux. Il prend le rythme et apprend vite dans les bras de la douce Désirée. Il se perd en caresses et baisers sur sa peau. Il a envie de s'enivrer du parfum de ses cheveux, il veut frémir au contact de sa peau douce. Ses mains cherchent à la découvrir lentement mais toutefois fébrilement.

Il ne sais toujours pas pourquoi il a encore envie de se sentir toujours plus près d'elle, mais ses mouvements du bassin comblent doucement ce besoin, au fur et à mesure que son esprit le quitte pour ne laisser dans sa tête que ce plaisir grandissant.

Il ose déposer sur sa poitrine dressée quelques baisers délicats, imitant les lèvres de la jeune fille qui lui procurent ses douces brûlures sur le corps dont on devient dépendant. Ses doigts viennent s'emmêler dans les cheveux blonds comme pour garder sous ses mains le délicat visage qui le rend si heureux ce soir. Son bassin cherche toujours à coller au sien. Si bien que le garçon en vient à se pencher sur le lit, s'allonger sur le dos en gardant contre lui le fruit de son désir.

Il guette toutefois sa réaction, toujours inquiet à l'idée de mal faire, ou de brusquer. Mais ses baisers si fervents lui laissent croire qu'elle aime, qu'elle n'est toujours pas gênée par lui. Ses quelques marques le touchent. Il ne se sent toujours pas jugé ou rabaissé par ses gestes. Elle le prend simplement pour ce qu'il est, il le ressent. Il aime ça.

Le sourire qu'elle lui adresse est sublime. Au milieu de toutes ses émotions, il en aurait presque envie de pleurer. Elle l'embrasse à nouveau et il se délecte de ses lèvres au goût de légèreté. Il commence à se sentir fiévreux, échauffé par leurs caresses assoiffées.
Il la sent contre lui si fragile mais si forte, si vulnérable mais si puissante. Lui aussi se sent vulnérable et fragile, il se sent fort et puissant. Dans son esprit, une idée étrange le traverse: Il voudrait la cajoler autant que la posséder.
Les coups de bassin féminin le confortent dans son idée. Alors il vient chuchoter au creux de son oreille, comme pour s'excuser de ce qu'il va faire:


''Je vais... Je voudrais...''

Tout en parlant, une jambe audacieuse entoure la jeune fille, un bras cherche derrière elle tandis qu'une autre main retient sa nuque, et délicatement, il la bascule pour se retrouver allongé sur elle.
Un sourire mi-gêné mi-satisfait se dessine sur le visage adolescent et dans une tendresse infinie, il dépose ses lèvres sur les joues de la jeune fille, comme pour la remercier.

Ainsi, il découvre une nouvelle position pour continuer de faire frotter son membre en elle tout en regardant le délicat visage éclairé faiblement par les lueurs des bougies...
--Tibere.
[Sur le comptoir: Elle est si lady que je lui dis you... Elle est si tiède et moi qui boue.*]

Oui, il bouillonnait, en elle... Le désir est si fort qu'il en est douloureux et elle le nargue, si froide, si glaciale alors qu'il sent ses cuisses si chaudes, et sa fleur brûlante et humide. Il n'en peu plus, la nuit s'achève et le salon est libéré de ses convives, il relève les cuisses de son amante, la maintenant tout aussi fermement, le corps en feu. Comment peut-il la vouloir encore plus fort que la première fois qu'il la prise!?

Les mains serrées sur ses hanches, son regard redevenu acier, froid, il la pilonne sans arrêt. Son dard devient feu et le plaisir se fait lave déferlante. Il vient buter au creux des entrailles de sa belle, il veut la faire gémir, la faire frémir.

Son visage se penche dévorant les seins offerts dans le bénitier du diable qu'est son décolleté, il la respire, dévorant la peau diaphane. Il lâche de légers râles de plaisir. Se retenir, se contenir même s'il est aux portes de la jouissance. Il faut, elle doit céder! Comment la faire plier...

Il glisse sa langue dans son cou, après avoir savouré les seins rebondis de la belle, et murmure à son oreille, plus langoureux que jamais:


Hmm... Dieu ou Diable... j'aime te prendre... qu'il est bon d'être en toi...

Il continue, susurrant tout bas, des mots sulfureux, des mots empreints de vice et de lubricité, des mots pour attiser le désir de la belle et qui, tout en même temps, attisent le sien... La jouissance pointe, vibre, déferle. Il ne tient plus et la serre plus fort, collé contre elle, chaque courbe de son corps épousant celui de sa maîtresse. Il est sien, totalement, jusqu'au plaisir ultime et dans un râle, il lâche son nom...

Eli!

*Serge Gainsbourg! Si si, c'est promis!

--Asteria



[Dans la chambre n° 6.........en mal de caresses]


Astéria sentait le feu la brûlait sous les baisers de Lucrèce dans son cou et elle essayait elle aussi de chercher un contact entre ses lèvres et sa peau.

Les lèvres de Lucrèce se rapprochaient et effleuraient les lèvres d'Astéria sans jamais la toucher.....le fait de sentir la chaleur de son souffle me donnait déjà un frisson dans la nuque. Astéria s'éloigna d'elle, faire durer le plaisir....elle n'était pas comme Lucrèce habitait à jouer avec son corps.

Dans un élan et lui avouant qu'elle avait envie d'elle, Astéria passa ses mains sur ses hanches, ses seins, ses cuisses. Elle prenait plaisir à goûter à cette nouvelle expérience, un plaisir différent d'un homme mais une sensation énorme, un frisson, de la tendresse, de la sensualité qu'elle n'avait jamais éprouvé avant avec un homme.

Au fond d'elle, des milliers de questions s'additionnaient en elle. Elle ne pensais jamais être attirée par une femme et encore moins avoir envie de faire l'amour avec une mais c'était comme si Lucrèce était différente. Elle était totalement sous son emprise et commençait vraiment à aimer ça. En fait elle ne connaissait rien d'elle mais c'était très agréable, justement...... ça forgeait le mystère.

Astéria l'attira à elle, la regarda, souffla sur son visage pour dégager ses mèches rebelles et elle commença à lui embrasser le cou.. elle laissait sa langue glissait le long du corps vers les seins qu'elle avait très beaux même s'ils n'étaient pas très gros. Lucrèce avait l'air d' apprécier visiblement! sa respiration se faisait de plus en plus rapide. Elle lui caressa les cheveux, puis le cou et ses mains revinrent du coté de sa poitrine qu'elle prit délicatement dans ses mains. Elle lui donna des petits coups de langue sur ses tétons qui se dressèrent orgueilleusement. Puis elle les lui mordit doucement puis les suça. Son corps à elle aussi répondait aux caresses, elle sentait sa culotte se mouillait.

Elle libéra une de ses mains qui descendit le long du ventre de la belle jusqu'à trouver sa culotte ou elle glissa ses doigts. Elle trouve sa toison qui est soyeuse et douce.

Un éclair parcourut Astéria et le corps de Lutèce aussi réagit à ses caresses.
--Desiree
[Chambre de Désirée]

Elle sourit doucement, presque tendrement, alors qu’il murmure à son oreille. Il apprend vite, son client, et bien. Elle frémit presque sous ses caresses, rougirait de ses baisers malhabiles si elle était un peu moins frigide. Elle est contente. Elle est fière d’elle, et fière de lui aussi, qui retient si bien ce qu’il lui montre et qui reproduit si bien ce qu’il lui plait.

Et le voila qui se pique de prendre des initiatives. Elle est décidément une très bonne instructrice, elle le sait maintenant. Elle se laisse aller au creux du matelas, remontant ses genoux, pieds ancrés dans le moelleux édredon. Elle s’ouvre, le laissant explorer les tréfonds de son ventre, se cambrant même à sa rencontre, pour l’engloutir tout entier. Elle ondule sous lui, frémissante, ravie de le voir aimer ce qu’il fait, de ne plus rougir, de s’épanouir.

Elle, elle ne fait plus que le suivre, se contentant de bouger à son rythme, pour donner plus d’amplitude à leurs mouvements. Ses mains se perdent sur le corps lisse, glissent, caressent, effleurent, se coulent le long de son dos, pour aller pétrir délicatement le galbe d’une fesse, tout en douceur. Elle se fie à lui dorénavant, il mène la danse qui l’emportera à la jouissance. Et elle… Elle, elle aura se plaisir incomparable d’avoir fait jouir un garçon, de l’avoir fait homme, par le plaisir pris entre la chaleur de ses cuisses, au creux de son ventre.

La main glisse, remonte le long du dos, le frôle du bout des ongles sans faire perler le sang, mais en laissant parfois une marque rosée sur la peau, les doigts se glissent sur la nuque et elle se redresse vers lui, cherchant à nouveau sa bouche. Qu’il est bon de l’embrasser, de sentir la langue esquisser les caresses, de sentir ce souffle se mêler au sien. Qu’il est bon d’être celle qui le transforme en homme…

Elle se cambre à nouveau, abandonnant ses lèvres, elle tend son bassin à sa rencontre, cuisses ouvertes, offrande à l’adulescente vigueur qui fouaille son ventre, bras ramenés derrière sa tête, doigts alanguis dans ses mèches blondes, abandonnée, elle le laisser aller et venir seul au fond de son intimité.

Offerte.

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Elisabeth_stilton
[Sur le Comptoir : Es-tu à la hauteur, Je n'suis plus moi, J'dérive à l'infini, Sens moi, Approche-toi*]

Dieu que c'est dur de résister à ses assauts, à ses caresses, à son souffle sur sa peau. Son blond la dévore, goutant sa peau, son corps offert à toutes ses caresses. Corps dont le comportement contraste toujours avec celui du visage de la blonde. Celui ci est coopératif, il suit la cadence que lui impose Tibère, il parle désir, il parle plaisir. Ses entrailles la brulent de ce plaisir, elle ferme les yeux mais les rouvre ne montrant pas sa faiblesse. Non elle doit être plus forte que lui, plus forte que son désir.

Ses murmures sont une véritable torture, ce n'est plus un feu mais un incendie qui ravage ses entrailles. Elle se mord la lèvre pour ne pas gémir, pour ne pas céder, pour ne pas être faible devant lui. Il la sert contre lui, elle a envie de s'abandonner à l'étreinte, de l'enlacer mais elle s'interdit cette faiblesse. Seulement c'est sans compter sur les capacités de son amant à la faire monter au 7ème ciel, la vie semblera bien fade quand elle sera loin de lui. Mais là, rien n'existe sauf lui, sauf ce qui les lie. Cette passion qui les mènes au bords de l'extase, extase qui vient, qui l'envahit, qui déferle en elle comme une vague, à son tour et sans un mot, sans un souffle elle l'enlace et le serre contre elle. C'est à travers cette étreinte qu'elle lui montre ce qu'elle ressent, le plaisir qu'il lui prodigue. Pas de mots, que des gestes ...

Alors qu'elle s'abandonne à cette délicieuse étreinte, il dit son nom. Un brusque accès de tendresse l'envahit. Jamais elle n'aurait cru que ces trois lettre auraient un tel effet sur elle. Doucement, elle prend le visage de son amant entre ses mains et l'embrasse tendrement. Elle le prend dans ses bras, se nichant contre lui.


*SG, toujours
--Julio_le_geux


[Où l'on désire Désirée]

Le moment est intense. Le jeune homme se consume de désir dans les bras de cette fille. Qui avait pu la nommer ainsi? Sans aucun doute le Très-Haut quand il remarqua la perle qui venait d'être créée. Jules continue sa danse, il entre dans une sorte de transe passionnée, son corps devenu bouillant ne s'arrête plus de frotter contre elle. Il ressent le moindre contact entre eux comme jamais il n'eut conscience de son corps. Ses cuisses entourées des fines jambes ouvertes. Les mains fraiches qui viennent pétrir ses fesses comme pour l'inviter à continuer ses assauts. Son sexe tendu presque douloureusement dans le sien, accueillant, humide et chaud. Son petit ventre qui touche le sien à chaque fois qu'elle se cambre contre lui. Sa petit poitrine durcie qui le nargue en se frottant contre son torse. La nuque et les épaules délicates qu'il chérit à caresser doucement. Sa bouche scellée à la sienne, sinon y revenant comme on boit à une source désaltérante. Des yeux parfois vides, parfois ardents qu'il ne cherche qu'à admirer... Il sent aussi les ongles de la jeune fille lui taquiner la peau, provoquant un frisson de plus parmi ceux qu'elle produit déjà intensément en lui.

Lentement, avec le peu de raison qu'il lui reste, il laisse une main glisser le long du corps frêle, sur ses flancs. Il dessine du bout des doigts des courbes fines tout en essayant de ne pas faire peser son corps trop lourd sur elle. Il caresse sa poitrine, dessine des cercles sur ses seins, il titille avec sa paume les tétons qui le chatouillent. Il se dit que le corps d'une femme est si bien fait, si délicieux, exquis.
Il a souvent vu des corps bien plus rondouillets, ou dodus que celui-ci, mais cette expérience lui fera aimer à jamais les corps graciles et fluets. Sa main avance jusqu'à se glisser entre leurs ventres. Son index vient jouer dans le nombril de Désirée. Il ne laissera pas le moindre centimètre de sa peau non visité...

Il poursuit ses mouvements de bassin pour aller au fond d'elle, glisser dans une caresse, retourner au fond d'elle, revenir en caresse... Il ne s'en lasse pas. La passion le fait accélérer. Le souffle saccadé entre ses baisers et les émotions qui bloquent son thorax, il gémit. Il gémit de bonheur. Il gémit tant les sensations qu'il découvre sont extrêmes. Une vague puissante le traverse. Une de ce genre qui en annonce une bien plus puissante. Son corps se crispe. De panique? Ses mains se referment sur la blanche peau. Il ne connait pas la suite. Il a peur de son corps qui prend le dessus sur son esprit. Il la serre. Elle va le rassurer... Elle va lui dire, parce qu'elle sait, elle... Il doit lui faire confiance. Ne pas paniquer. Une nouvelle vague puissante le traverse.

La peur, la découverte... La passion.
--Desiree
[Chambre de Désirée]

Elle lui sourit. Elle lui sourit beaucoup, et elle n’a pas besoin de se forcer. Le sourire qu’elle arbore en travaillant est toujours naturel. En apparence. Mais là, là, il est plus que naturel. Son innocence est touchante, son envie d’apprendre, stimulante.

Elle le laisse beaucoup faire, elle frémirait presque sous ses caresses, elle se cambre, elle se tend, et presse malgré elle, elle échappe un soupir. Elle se cramponne à son dos, se pressant un instant contre lui, étreinte douce, comme un remerciement. Parce qu’il découvre, parce qu’il apprend, qu’il ne fait pas preuve d’avidité, il est patient, elle sait qu’il a les gestes qui donnent du plaisir aux femmes. Elle sent que ce qu’il fait ferait crier ses collègues… ou pas. Mais qu’en tous cas entre ses bras une pucelle n’aurait rien à craindre. Une autre ressentirait un grand plaisir, elle en ressent un minime, et un minuscule plaisir pour elle c’est déjà beaucoup.

L’antre s’humidifie autour du vît gonflé, et elle, elle se laisse à nouveau aller sur l’édredon, le laissant coulisser au plus profond d’elle. Elle est rarement aussi détendue en présence d’un homme, et elle en a presque oubliée l’argent que la relation implique. Presque seulement. La jolie robe lui plait beaucoup.
Elle ondule sous lui, venant à sa rencontre, se laissant glisser dans une caresse, se hissant à nouveau à sa rencontre, se laissant glisser encore. Elle l’observe attentivement, et de nouveau les mains entrent dans la danse, caressant le visage et le cou, les épaules encore fine où la musculature ne demande qu’à se développer.

Il gémit. Elle sourit. Un sourire de fierté qui brille un instant sur son visage, parce qu’elle touche au but ultime, à la jouissance qui fera de lui un homme. Que fera, par elle, un homme.
Le sourire se transforme, rassurant, doux, presque mutin, et les pouces viennent effleurer les lèvres soupirantes, comme pour les encourager.


Continue… Encore un peu…

Les mains glissent sur le torse, remontent sur les flancs pour se poser, l’une au creux du dos, l’une plus bas, fermées sur une rondeur, l’accompagnant désormais dans ses gestes, jusqu’à l’ultime découverte.
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