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[RP] Maison close de la rose noire

--Enzo


[ En haut de l'escalier, le retour au Salon...Vivre, sentir la vie passer en Lui, c'est tout...]

Ne pas flancher, ne pas plier. Ne pas sombrer et penser aux rêves auxquels ils pourraient enfin accéder. Ils étaient là, ils suffisaient de les prendre et ne rien gâcher. La Rouquine avait bien fait d'accélérer le retour vers le Salon. Dans le couloir, il reprenait peu à peu ses esprits et se canalisait à nouveau sur ce qu'il devait faire dans les minutes à suivre. Comme un trou noir qui vous fait devenir quelqu'un d'autre. Un vertige. Il l'a à peine entendu le remercier. C'est si flou. Passage à vide qu'il ne peut malheureusement pas contrôlé. N'ayant aucune idée de quand cela peut venir et encore moins disparaitre. Mais là, il n'avait pas perdu connaissance. Une main vient le soutenir par la taille:

Ca va, Enzo...? Que t'arrive-t-il ?

Enzo est bien là. Présent. Tout est normal. Ils sont en haut de l'escalier, et de retrouver toute cette animation en bas lui rend le sourire. C'était ce qu'il vivait dans la seconde sans réfléchir qui lui permettait de ne pas se laisser partir. Les yeux mi-intrigués, mi-inquiets de la Rouquine ne quittent plus son visage. Il la regarde et sans même se rendre compte lui renvoie un sourire éclatant. La vie battait son plein:

Tout va bien, un passage à vide, rien de grave. Faut juste que je ne reste pas longtemps sans le souffle de la vie et son agitation. J'en ai besoin pour me nourrir tous les jours et toutes les nuits.

A m'en épuiser, à ne plus pouvoir tenir debout...aurait-il dû rajouter mais il ne le fit pas.

Sourire aux lévres, regard rassurant pour qu'elle retrouve sa paix et sa sérénité. Rester plus qu'à descendre l'escalier.
Elisabeth_stilton
[Sas, autant se noyer dans l'alcool]

Elle retire sa capuche la blonde, mais garde la pelisse bien serré sur elle, n'oublions pas qu'elle ne porte pas grand chose en dessous. Elle avale son verre cul sec.

Elisabeth, il me semblait que vous le connaissiez déjà.
Pas mauvaise cette mirabelle.


Elle lui ressert de l’alcool avant de remplir à nouveau son verre et de le vider. Elle l’observe, l'alcool ayant commencé à faire son œuvre, elle se désinhibe. La blonde trouve de quoi s'installer confortablement pour tailler la bavette avec le gringalet.

Vous n'êtes pas bien épais, comment en êtes vous arrivé là ? Vous ne semblez pas avoir la carrure pour ce poste.

Elle ne pu empêcher ses saphirs de se poser sur l'homme. Il était plaisant à voir sans nul doute mais elle n'était pas dans cette optique là pour le moment. En se calant sur son siège, la pelisse s'ouvra légèrement dévoilant une partie de la robe plus que légère, elle ne s'en aperçut pas et croisa les jambes en attendant la réponse de Geffroi.
Flex
[Bureau vers salon ]

Au moins Enguerrand savait où se situait la clef pour ouvrir le coffre des délices. Elle se trouvait enfouit sous deux monts bien conservés. Flex prendra bien sur le temps de savourer. Ce nouveau statut qu'il s'est encore octroyé place son égo devant lui-même.
La dame rouge réussit à mettre fin à l'entretien. Enguerrand n'avait plus rien à rajouter. Au pire, ce sera à la prochaine fois qui sera sans doute plus confortable. Pour ne pas paraitre grossier, et montrer qu'il tient sa noblesse avec fierté, le borgne déposa un doux baise-main à la dame rouge.


« - A bientôt,

dit-il à nouveau après elle. Il recule de la dame et s'en va par la porte.

Le salon s'ouvrit derechef sous ses yeux. Il retrouva des têtes connues et d'autres qu'il avait précédemment regardé ; le reste avait disparu. Le borgne s'offrit au comptoir le temps de déguster sa victoire d'aujourd'hui, il prit une commande.


Je voudrais un verre de lait. »
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--Lady.


[Un verre au salon]

Mon tour du salon avait fini par me faire poser mes petites fesses sur un tabouret près du comptoir. Les jambes croisées, cuisses surélevées, un coude posé nochalemment sur le bois, je m'appretais à commander un verre lorsque j'entendis une voix à mon coté.

Je voudrais un verre de lait !

Je me retournais lentement vers l'homme, car malgré l'étrangeté de la commande, c'était bien une voix d'homme qui l'avait lancée. Un sourire des plus éfficaces question charme se hissa sur mes lèvres.

Que voila une boisson d'homme ! Y ajoutez-vous une goutte légèrement plus virile ou est-ce la douceur lactée qui vous plait autant ?

Je le regardais en essayant de déterminer quel genre de "client" il pouvait etre. Je ne recherchais pas un simple client mais un maitre en la matière, et je ne voulais pas risquer de perdre mon temps loin du plaisir.

Je jetais un oeil à la serveuse et lui demandais d'une voix chaude.


Je prendrais un verre de ratafia. Et le verre de ce sieur est pour moi !
--Esteline_de_montmorency


[ Chambre 2 à deux, douce volupté....]

Esteline ne s'était pas trompé en le choisissant , Jules se révélait le plus doux des amants.... pour l'instant.
Chaque geste qu'il avait sur elle réveillait les parcelles de sa peau en attente d'un autre effleurement , faisant d'elle langoureuse amante. Adossée à lui dans une pose alanguie la demoiselle savourait les lèvres de Jules qui glissaient sur son cou. La main de l'homme parcourait son corps, s'attardant par endroit pour en dessiner les courbes.
Le léger souffle qui franchit la petite bouche pulpeuse d'Esteline s'accéléra légèrement sous les caresses des doigts se faisant plus précises dans leur remontée vers le lieu encore gardé secret sous son jupon.

Libérée de son carcan , la poitrine ronde et ferme tendait sous le fin tissu ses deux petites pointes dressées , tandis que l'ondulation du bassin masculin venait frotter son dos cambré. Le désir de son amant ne faisait qu'augmenter le sien et c'est dans un petit gémissement qu'elle répondit au souffle qui parcourait sa colonne .
Tandis que le corps de Jules descendait lentement, elle se mordilla la lèvre inférieure en sentant ses doigts se glisser sous le tissu fin qui la recouvrait encore.
Le jeune femme oublia l'endroit où elle se trouvait, tous ses sens centrés sur leur corps chauds et doux qui se découvraient. Elle n'était plus que sensations exquises , volupté, offrande pour celui qui voulait la goûter. Ils devenaient amants pour le plaisir de partager les délices de se fondre l'un dans l'autre.

Elle ouvrit un peu l'écart de ses cuisses comme on laisse entrouverte une porte sur un trésor à conquérir. Par sa douceur, par sa retenue il en avait fait sauter le cadenas ... la dame était conquise.
Seule la mémoire de son antre volée pouvait encore se révéler , mais à l'humidité qu'elle ressentait bordant son intimité, Esteline savait que le soldat avait accomplit la moitié du parcours sans le savoir. Sa reconnaissance envers lui, elle comptait bien s'en acquitter lorsque il pénétrerait dans son fourreau étroit, délivrant ainsi tant de désir contenu .
--.geoffroi


[Sas]

Vous n'êtes pas bien épais, comment en êtes vous arrivé là ? Vous ne semblez pas avoir la carrure pour ce poste

Ah, oui. Maintenant il se souvient de cette voix, ou plutôt de ce mépris latent. Sa lèvre se retrousse tant il a envie de grogner, mais il la cache derrière son verre. Si elle est aussi habituée aux lieux qu'elle dit, elle pourrait lui faire perdre sa paie de la nuit. La pelisse s'entrouve et il manque de tout recracher.

Bordel, et c'est le cas de le dire, comment fait le gardien habituel pour résister à tous ces appâts... Il se cache derrière une bonne dose d'animosité pour cette femme aussi désirable que méprisante. Décidement... ça en fait deux en une journée. Ca pullule ou quoi ici, les femelles arrogantes ?


La Dame Rouge m'a fait rappeler pour remplacer le gardien, j'en sais pas plus. Faut croire que ma carrure lui à paru suffisante.


... à elle.
Elisabeth_stilton
[SAS]

Ainsi Baudouin est parti ... Il était comment dire ... fort ... plus dans le gabarit du soldat qui est entré que du votre. Enfin j'espère que vous garderez votre place.

Elle se mit à l'observer, quelque chose n'allait pas dans son attitude mais elle ne comprenait pas pourquoi. Plus elle le regardait plus son regard s'adoucit, jamais de sourire comme toujours deux hommes avaient pu profiter de ses sourires - Nicolas et Tibère - et c'était déjà de trop. Ah Tibère et ses pensées repartirent vers la chambre maudite. La situation était d'autant plus énervante qu'elle l'émoustillait autant qu'elle la dégoutait. Au lieu de penser à un homme au lit avec un autre elle ferait mieux de s'occuper de celui qui était devant elle. Elle posa une main le bras de l'homme et lui dit doucement.

Ça vous ennuie si je reste pour discuter ?
Flex
Lady, elle, elle avait faim en plus d'avoir soif. Enguerrand se trouvait dans un état de bonheur au sortir du bureau, tellement que l'euphorie faisait son effet, tout d'abord il s'en rendit compte et avoir peur de passer pour trop gentil - ce mot lui dressait les poils des bras, et d'autre part, de retirer immédiatement ce sourire de satisfaction sur son visage balafré.
Lady incarnait une partie de ses fantasmes sexuelles, mise à part le fait qu'elle l'avait dérangé dans son délire personnel. Mais, désormais, et pour la première fois il allait jouer le rôle de Mac de ce bordel. Il en prit extrêmement bon usage.


« - Le lait me rappelle le sein de la femme, qui est la genèse de la vie.

Il avait fait exprès d'utiliser cette figure de style qui voulait que la genèse puisse être autant le sein que la femme. Lorsque Lady demanda à la serveur de boire et, en plus, qu'elle lui payait son verre, le jeune Mirandole lui adressa d'abord un signe de la tête. Mais il devint une proie, ce qu'il ne voulait pas forcément être. Pour tenter de la décourager en douceur, il dit.

Je suis Enguerrand de la Mirandole. »
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--Tadzio
[Chambre 1]

"Je vous remercie, mais çà ira… J’ai passé mes dernières heures enchâssées sur une chaise donc…"

Au temps pour la galanterie. Si Tadzio savait être prévenant, il n'était pas forcément très instruit des codes mondains, et l'incertitude le tenailla un instant quant à l'attitude à avoir lorsqu'une femme de rang social supérieur -comme toutes ses clientes, en fait- refusait de s'asseoir. Fallait-il rester debout ? A tort ou à raison, il considéra qu'avec la Raide, il pouvait se permettre d'évacuer ce genre de question. Il prit donc place, comme la veille, sur le grand lit qui occupait une proportion non négligeable de l'espace. Et, toujours comme la veille, un peu désemparée face à cette noble dame qui venait à la Rose Noire mais ne semblait pas pressée de consommer, il se borna à sourire légèrement.

Bien sûr, il aurait pu entamer une conversation, cela faisait partie de ce qu'on attendait de lui... mais pas elle. Puisqu'elle ne cherchait pas à imposer ses règles, il en profitait. Le premier qui romprait le silence... eh bien, serait le premier à rompre le silence.


"Serais-ce notre jeu du silence qui s’installe de nouveau?"

Un point pour l'homme de plaisirs.

Si tel était le cas... Marie-Ange, vous auriez perdu. Si vous me disiez plutôt ce qui va vous empêcher pendant plusieurs mois de venir m'observer sans oser me toucher ?

Impertinent... peut-être même insolent, mais au diable. Lorsqu'on faisait miroiter une certaine proximité, des barrières tombaient.
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Homme de plaisirs à la Rose Noire
--Leah
[Porte, puis salo(o)n]

Elle observe un instant le cerbère, muette durant cette fouille qu'elle n'apprécie guère. Ce n'est pas que le gardien la dégoûte. C'est juste qu'elle se refuse généralement à tout contact non nécessaire. Une vieille habitude héritée de ses fréquentations des rues de Londres, où ceux qui vous effleurent sont parfois plus dangereux que ceux qui braquent ostensiblement leurs armes sur vous.

Lorsqu'il s'efface pour la laisser passer, elle le remercie d'un sourire, ironique toujours - elle n'en a pas d'autre en réserve. Avant de pénétrer dans le salon.

Les tentures qui drapent les murs, les odeurs de parfum, les effluves de l'alcool servi au bar: l'environnement la frappe avec plus de force qu'elle ne s'y était attendue. Elle jette un œil autour d'elle, son regard passant sur la porte d'un bureau qu'elle soupçonne être celui de la Rouge et dont la porte est fermée, et s'arrête finalement sur le comptoir où officie une jeune femme. Fragile, au premier aspect, elle semble pour autant manier les alcools forts avec une certaine dextérité. Un sourire un brin provocateur aux lèvres, Léah s'approche. S'installe. D'autres sont présents, qu'elle salue également, d'un signe de tête. Sans doute doivent-ils se demander ce qu'elle fait ici... Elle n'a ni l'aspect des bourgeoises ou des nobles venues chercher une distraction, pas plus qu'elle n'a les qualités pour devenir catin. Cela ne l'empêche pas de lâcher, déterminée:


-« Bonsoir. La Dame Rouge est-elle occupée? »

--Emilla_kair_d_ancle


[Comptoir : serveuse et menus services]


Emilla range un peu les verres vides et remarque la porte de la Dame Rouge qui s'ouvre de nouveau. Le Borgne en sort visiblement de bien bonne humeur. En voilà un qui a eu gain de cause quel qu'en soit le gain. Le regardant approcher, elle en profite pour glisser à Cerdanne devant elle.

Dame, il me semble que c'est à votre tour, la Dame Rouge est de nouveau disponible.

Puis, son regard émeraude se dirige vers le borgne sans toutefois le soutenir pour rester à la place qu'il se doit avec ce genre de noble. Elle écoute la commande et sort une jatte de lait frais, le passant pour en retirer les peaux désagreables avant de le servir.

Voici votre demande, désirez vous un accompagnement? Un arôme? Ou le préférez vous nature?

Mais déjà une des locataires des lieux fond avec un regard gourmand sur le messire. Par les enfers, Emilla ne peut retenir un sourire : à croire qu'elle le dévorerait tout cru si l'occasion se présente. Le borgne serait il à la hauteur des appétits que promettent ces regards? La jouvencelle commence à prendre plaisir à ce poste d'observation : tant de gens différents et si semblables à la fois, venus pour donner ou recevoir du plaisir sous toutes ses formes. Elle se sent en sécurité à la Rose Noire et devra remercier la Rouquine de ce petit miracle qu'elle a fait de sa vie.

Mais on demande encore la Dame Rouge visiblement. Emilla se retourne et observe la demoiselle. Etonnante et atypique, surement des affaires particulières à régler.

La Dame Rouge a encore un rendez vous avec cette Dame. Que désirez vous pour patienter?

Emilla compte mentalement la recette des boissons qui s'accumule. Elle espère que la Dame Rouge sera contente, elle fait tout son possible pour que les gens patientent avec le plus de détente possible.



--Jules.


[chambre 2 : encore un petit effort...]

Un petit gémissement, une cuisse qui s'écartait à peine, et l'humidité contre ses doigts... bientôt, s'il savait se contenir, le trésor serait à lui. Encouragé, il glissa sa bouche plus bas encore, sur le bas de la colonne, jusqu'à passer la tête sous une jambe qu'il fit basculer, la mettant sur le dos. Lentement les lèvres frolèrent le bombé d'un pied, trainèrent sur l'intérieur d'un mollet, la langue sortant pour titiller le creux d'un genou, rapant sur l'intérieur de la cuisse tandis que de ses mains il lui remontait le jupon à la taille.. Si elle l'arrêtait maintenant, saurait-il lui obéir..?

Le trésor était en vue, il s'en approcha avec prudence, ses doigts écartant le tissu gênant, sa bouche contournant patiemment l'objet de son désir pour taquiner les chairs avoisinantes.. après ce qui lui sembla des heures, mais qui n'avait sûrement duré que quelques secondes, il plaça sa bouche devant l'entrée, laissant son souffle chaud caresser plusieurs fois la rose humide... et enfin, n'y tenant plus, libéra sa langue et la laissa enfin faire son oeuvre, tout en douceur.


--Lady.


[Toujours accoudee au comptoir]

Avoir le choix sans vraiment l'avoir ! Voila le dilemne qui s'offrait a moi. J'avais le choix dans mes "victimes" mais ce soir le choix s'était réduit comme peau de chagrin. Pourtant l'homme à mes cotés ne semblait ni un damelot roucoulant de douceur, ce que j'évitais comme la peste, ni une de ses brutes épaisses qui ne prenaient aucun plaisir à leur "tache".

Dans mes constatations sur les possibilités qu'il pouvait m'offrir, il répondit à mon approche
.

La genèse est faite de fluides, tout comme la femme, mais pour donner la vie, il faut savoir en trouver l'origine.

Je fis un geste de la main, signifiant que les détails m'importaient peu. Seul le résultat que j'escomptais était mon but. D'un ton qui se voulait maitre, au moins de lui-meme, il se présenta.

Je suis Enguerrand de la Mirandole.

Les noms m'ennuient, ils sont trop représentatifs. Je portais le verre à ma bouche, mes lèvres aspirant doucement une légère gorgée du liquide. N'avez-vous pas un surnom que vous utilisez pour garder un sens à votre liberté ? Le mien est Lady, simplement parce que je suis anglaise d'origine.

Je plongeais mes azurs dans son regard indéchiffrable, laissant une feinte innocence luire dans mes pupilles. Il n'était pas nécessaire de jouer à la femme fatale ou à la pucelle avec ce genre d'homme, le séduire était inutile, il avait déjà fait son choix. J'observais son visage et ses mains qui trahiraient surement sa décision à mon encontre.
Flex
[Comptoir ]

Il croisait le regard jeune de Emilla. Elle n'avait pas changé depuis tout à l'heure, pourquoi l'aurait-elle fait ? Mais cela était rassurant. En outre, il répondit très vite sur la teneur du lait.


« - Oui oui nature, na-ture.

Il y tenait à son verre de lait nature. Un peu de frais ne lui ferait pas de mal. La chaleur émanant des femmes lui était presque palpable. Un peu comme celle de Lady, ainsi se présenta-t-elle comme étant anglaise, ce qui ne lui déplut pas, puisque la famille Mirandole recevait obligatoirement des leçons de langue anglophone - selon les volontés de son défunt grand père Jérôme de la Mirandole.

Lady. Cela veut dire dame, mais plutôt une demoiselle. Vous pouvez m'appeler Flex. »

Dit-il en haussant les épaules. Il la regardait essayer de le posséder - ce fût l'idée qu'il s'en était fait.
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Cerdanne
[Comptoir….plus pour longtemps…Porte du bureau tant attendu..]

Je veux oui qu’elle a un rendez vous…

La brunette qui vient de poser ses fesses au comptoir a droit a un regard mauvais.
La provençale la frôle et pose dans un claquement sec le verre …vide…


J’ai rendez vous oui…
Petite grimace à l’encontre de la jeune femme… Je ne serais pas bien longue…Bien moins que ce Monsieur là….

Son regard de plus en plus mauvais toise celui qui lui fait tirer la langue depuis lurette et qui l’air satisfait se permet de pousser la chansonnette avec une demoiselle.


J’espère qu’elle va savoir lui faire cracher tout son or à ce bavard…
Des heures qu’il accapare le bureau.
Et en plus Môssieur boit du lait. On aura tout vu.
S’il s’imagine qu’elle va se laisser attendrir par un précieux de sa personne…


Tout plein de froufrous et buveur prudent.
Cerdanne plisse les yeux et s’attarde sur la silhouette un instant.
Pas encore aiguisé par l’opium, ses sens, et pas encore à voler au dessus des coussins.
Mais cette tête de noble, elle l’imprime dans un recoin de sa tête…

Bon, à elle la clé du paradis.
Rien que d’y penser, la voilà joyeuse tout à coup.
Polie, elle se fend de frapper trois coups légers à la porte du bureau.
Et d’attendre que la Dame Rouge de tous ces espoirs ouvre la cage aux rêves défendus

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