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[RP] à l'aube d'une vie nouvelle, à l'orée du bois, Gengis

Gengis0
L'une après l'autre les choses se mettaient en place, bien sûr, puisque l'on parle du mariage de Clothilde et Gengis, des plages entières de sable venaient se coincer dans les rouages de la mécanique, mais qu'à celà ne tienne, capitaine Gengis avait décidé que rien, absolument rien ne viendrait cette fois entraver sa route. Si l'on voulait empêcher ce mariage, il faudrait la fin du monde, et encore...
Donc doucement les choses avançaient, le Lieutenant prenait en charge le manger, le lieu de la cérémonie était fixé, les intervenants principaux aussi, les affiches, en affichées, pas mal de gens invités, il en restaient encore, mais ca progressait. Restait un point important La Trémouille fournissait le boire, enfin la représentante la plus experte dans le domaine en tout cas, or La Trémouille se faisait attendre.


Ma merveille? Tu es là? Dis tu as parlé au Lieutenant pour le banquet? Ma merveille?
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Gengis0
Il avait passé ces quelques jours a courir, courir, après la merveille, après le Lieutenant, après le temps, après le père Forth, et il aurait pu être prêt, sans aucun doute pour le premier septembre.
Et donc, le destin se remit en charge de compliquer la vie de Gengis, parce que ca avait toujours été comme ca, il était écrit quelque part, on ne sait pas bien où que Gengis aurait toutes les peines du monde à l'épouser sa sublimissime, donc cette fois, petit coup de pouce pour mettre la pagaille. La légion part dans 4 jours avait dit le Général, le mariage dans plus d'une semaine, y avait comme une incompatibilité.
Gengis avait commencé par s'effondrer, puis s'était dit que se prendre la cuite du siècle pouvait être une idée, avec le recul, non ca donne mal au crâne.
Enfin, les fidèles de la 4ème légion lui avait ouvert les yeux, bon y avait eu un peu de tumulte, mais il avait fini par comprendre, et donc il se mariait aujourd'hui, là maintenant avec une semaine d'avance.
Il avait été obligé de secouer un peu la merveille pour qu'elle accepte, décidée qu'elle était à tout annuler.
Pas le temps de modifier les affiches, on avait essayé d'avertir le maximum de monde, il était là ce matin, prêt à partir pour la Chapelle de la légion. Il portait ce mantel rouge qu'il s'était acheté récemment, heureusement, il avait les alliances, et en espérant que cette fois, le destin ne lui barrerait pas à nouveau la route, ce soir elle serait Clothilde Voda pour l'éternité.
Il sorti et parti en courant, s'agissait pas d'être en retard.

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Dameclothilde
Ils rentraient oh ! pour pas longtemps juste une petite.... une toute petite journée, la fatigue, la tension des derniers jours, l'horreur de la guerre, l'odeur du sang et la peur aussi, toujours présente toutes les nuits passées à défendre et au matin à voir qui manquait à l'appel, pleurer d'amères larmes mais le devoir toujours là pour rappeler que la cause était juste quoiqu'en pense certain, tout dépendait du côté où l'on se trouvait évidemment.

Elle posa son paquetage parcouru la pièce heureuse d'y retrouver les choses qui faisaient partie de sa vie, de leur vie elle s'approcha du lit et caressa d'un revers de main sa belle robe qu'elle avait porté pour le plus beau jour de sa vie et qu'elle n'avait pas eu le temps de ranger dans le coffre, tant la rapidité de leur départ les avait pris de vitesse.

Elle resta à la contempler en revivant ces instants à jamais gravés dans son coeur, ce dernier se mit à battre la chamade lorsqu'elle contempla son annulaire, non ce n'était pas un rêve elle était enfin devenue sa femme devant le Très Haut et tous ses amis présents ce jour là.... elle se dit pour elle même " Je l'aime tant .... rien ne nous séparera jamais... sauf ... elle regarda son épée et son bouclier posés à l'entrée et soupira"
Gengis0
Ils étaient rentrés, enfin, d'Anjou. Mais les événements avaient laissés des traces, ils étaient mariés oui, et ce qui aurait du augurer d'une période heureuse et faste avait été gâché par les événements. Elle avait changé, il avait changé, oh il ne vivait toujours que pour elle, mais une distance était apparue. Première conséquence, lorsqu'il avait voulu enfin parler de ce voyage, elle avait reporté. Plus tard, pas maintenant. Alors Gengis s'était perdu dans de sombres pensées, alors Gengis s'était mis à réfléchir, et lorsque Gengis réfléchissait, il était immanquablement attiré vers l'atelier, et il y avait passé des heures, des jours peut-être il ne savait plus trop. De nouvelles cloches avaient été fondues, il avait passé de long moment à regarder son reflet dans le bourdon, puis il était ressorti.
Et il était là, au soir tombant, assis sur le banc devant la maison, perdu dans sa contemplation du ciel. Les étoiles doucement s'allumaient, alors le sourire lui revint, les souvenirs aussi.

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Dameclothilde
Elle avait quitté quelques heures plutôt la caserne, elle s'y trouvait bien depuis leur retour avec les Légionnaires de sa section, elle avait pris à coeur son rôle de Sergent pendant toutes ces dernières semaines et maintenant elle venait de recevoir les barrettes lui donnant le grade de Lieutenant pour son comportement durant le conflit, bien sûr elle était fière de la confiance que lui accordait ses supérieurs mais le malaise qu'elle ressentait depuis les derniers jours de septembre ne la quittait guère ne trouvant aucune solution pour qu'il disparaisse.

Avant de rentrer, elle avait flâner par le bourg découvert une nouvelle boulangerie tenue par Dame Arlette, elle avait essayé de gagner du temps en papotant de tout et de rien, avait fini par s'acheter une belle brioche toute dorée histoire de se remonter le moral par une douceur, puis avait commencé sa lente marche vers leur chaumière. La nuit commençait à tomber lorsqu'elle ouvrit la barrière, elle remonta l'allée et distingua une silhouette assise sur le banc de la maison, Gengis en train de regarder les premières étoiles un sourire aux lèvres, elle soupira en pensant qu'il y a quelques mois elle se serait blottie dans ses bras et ensemble ils auraient regarder les étoiles comme avant, mais là l'envie avait fait place à une peur d'être abandonnée pour une chimère et cela la rendait amère et malheureuse.

Elle s'approcha ne sachant si elle devait rester là avec lui ou bien rentrer pour préparer le souper...
Gengis0
Perdu dans ces pensées, Gengis énumérait patiemment chacun de ses rêves, certains accompli, d'autres à venir, chaque étoile qui s'allumait lui évoquait un nouveau souvenir, ou un nouveau futur. Il entendit un froissement de tissu, émergeant de son monde onirique, il l'a vit, juste là, à côté de lui, elle restait debout juste là entre la porte et le banc, n'ayant pas trop l'air de savoir que faire. Il capta les émeraudes, ses yeux-là l'avaient toujours fasciné, le sourire sur le visage s'amplifia. Il tapota la place libre sur le banc à côté de lui.

Viens, viens près de moi mon sublimissime Lieutenant, le ciel est magique ce soir, viens, et ensuite nous irons manger quelque chose en taverne, tu veux? Un dîner en amoureux, comme avant?

Il fixait les émeraudes, redoutant la réponse, mais s'attachant comme toujours à ses rêves.[/i]
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Dameclothilde
Viens, viens près de moi mon sublimissime Lieutenant, le ciel est magique ce soir, viens, et ensuite nous irons manger quelque chose en taverne, tu veux? Un dîner en amoureux, comme avant?

Un geste, une phrase, un regard et elle se laissa à espérer en l'instant d'un retour en arrière.... s'asseyant sur le banc à ses côtés elle contempla à son tour ces si belles étoiles qui avant étaient porteuses pour elle de bonheur, c'était lui qui lui avait appris à les connaître, les différencier, elle resta immobile telle un statue un p'tit moment qui dut paraître ma foi une éternité pour lui vu le regard incertain qu'elle découvrit lorsqu'elle se décida à enfin tourner son visage vers lui, il la fixait avec au fond de son regard azur une pointe, une lueur d'espoir....

- Oui il est magique ce soir... mais pas aussi porteur comme avant ou alors ça vient de moi peut-être, elle soupira puis se souvenant qu'elle tenait toujours entre ses mains la brioche achetée plus tôt, elle en prit un morceau qu'elle partagea en deux tiens prends en attendant que tu te décides à me dire dans quelle taverne tu veux m'emmener souper, un timide sourire effleura ses lèvres.
Gengis0
Il sondait le regard, mais que pouvait-elle bien avoir ces temps-ci, il croyait s'être expliqué, il croyait le problème réglé, mais elle avait toujours ce regard fuyant. Il repoussa gentiment de la main le morceau de brioche, l'heure n'était pas à manger, paradoxalement il n'avait pas très faim. Puis il s'approcha d'elle.

Comment veux-tu que le ciel soit vraiment magique? Tu ne le regardes pas vraiment. Attends, viens par là.

Il passe son bras par dessus son épaule, dépose un baiser dans son cou, puis posant sa tête tout contre la sienne, montre les étoiles de la main.

Regardes, comme ça la magie vient, tu vois, il faut les regarder ensemble, se laisser porter par leur lueur, se laisser envahir par leurs histoires et par ce qu'elles ont à nous dire, se hisser à leur hauteur et oublier le reste. Regardes, ne sont-elles pas magnifiques, maintenant?
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Dameclothilde
Regardes, comme ça la magie vient, tu vois, il faut les regarder ensemble, se laisser porter par leur lueur, se laisser envahir par leurs histoires et par ce qu'elles ont à nous dire, se hisser à leur hauteur et oublier le reste. Regardes, ne sont-elles pas magnifiques, maintenant?

Il se rapprocha, déposa un léger baiser à la base de son cou et posa avec douceur sa tête contre la sienne, sa voix chaude l'envahit elle leva les yeux vers la voute céleste et se laissa porter par ses paroles, était-ce les souvenirs qui revenaient, était-ce cette façon si particulière qu'il avait pour lui expliquer les choses, lui faire apprécier ce qu'elle croyait perdu à tout jamais, elle n'aurait su le dire mais le sentir si attentionné si près d'elle suffit pour que l'instant reprenne sa magie d'antan et Clo se laissa aller bercée par la voix, cette voix qui lui faisait tout voir différemment, cette voix rassurante et indispensable à son avenir, elle oublia ce dernier mois revint au jour de leur mariage où elle était confiante et heureuse, une larme roula mais ce n'était pas de tristesse comme ces derniers temps non juste une larme pour lui rappeler que... quoiqu'il arrive ils étaient liés pour l'éternité et le savait aussi bien que l'autre.

Elle lui murmura :

- Que crois tu qu'elles veuillent nous faire savoir ce soir ? dis moi toi qui sait si bien capter leur lueur, leur histoire ....
Gengis0
Ce soir?

Il se serra un peu plus contre elle, jusqu'à sentir battre son coeur à travers la peau. Il soupira d'aise et sourit.

Ce soir elles n'ont rien à nous dire, regarde, elles arrivent, l'une après l'autre, elles se rassemblent, la-haut. Chacune de ces étoiles qui ont bercés nos rêves, nos doutes, nos longues nuits à discuter, nos disputes, nos rires, nos hésitations. Aujourd'hui elles ne disent rien, elles sont en visite, elles sont venues nous voir, nous éclairer, nous rappeler d'où nous venons et où nous voulions aller. Le premier ciel étoilé de Clothilde Voda.
Il écarte son visage du sien, et la regarde dans les yeux.
Et elles brillent toujours d'une manière si particulière au fond de ses émeraudes. Le monde est si grand dans tes yeux, qu'il faudra bien l'éternité pour en faire le tour.
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Gengis0
[Plus tard, une retraite, et l'ennui]

Voilà déjà plus de 10 jours que la sublimisime était au couvent. Gengis avait bien cherché à s’occuper à la caserne, le travail ne manquant pas à la légion, les journées s’étiraient. Mais lorsque le soir venait et qu’il rentrait, la mélancolie le gagnait, il errait de l’atelier à la porcherie, il passait par la boucherie, il rentrait dans la cuisine, ressortait, et finissait invariablement malgré le froid qui gagnait rapidement le soir maintenant que l’hiver approchait, par s’asseoir sur le banc. Son regard se perdait dans les étoiles, lorsqu’elles daignaient se montrer derrière les nuages.
Ce soir là, elles ne se montrèrent pas, restant cachées derrière les voilages du ciel. Gengis soupira et rentra, il s’empara d’une bougie, s’assit à la table et coucha sur un parchemin ses vagues à l'âmes.






Ma sublimissime,
Le temps s’étire sans fin,
En attente du lendemain
Lorsque le soleil se couche
Paré de son col de nuage rouge
L’ennui et le manque m’assaillent
Me tordant l'esprit et même les entrailles.
Mes yeux s’embrument de n’avoir rien à voir.
Mon cœur se pâme de n’avoir rien pour s’émouvoir
Mes mains s’ennuient de n’avoir rien à caresser,
Mes lèvres sèchent de ne pas être embrassées
Alors je cherche une réponse dans le ciel
Je cherche celles qui me parlent de merveille
Mes yeux s’accrochent à ces lueurs du ciel
Mon cœur bondit du souvenir d’un autel
Mes doigts caressent un médaillon,
Mes lèvres murmurent un prénom
Alors, enfin le sourire revient
Une envie de sel m’étreint

L’idée qu’au lever du jour, le temps sera plus court
Ce temps qui me sépare du jour de ton retour
résonne dans mon âme, résonne dans mon coeur
et me donne la force, la force d'attendre mon bonheur.

Ma merveille, ma sublimissime, je t’envoie mes pensées les plus douces
Il me tarde qu’enfin tu sois de retour.

Gengis


Accoudé à la fenêtre, il regarda tant qu’il put le pigeon s’éloigner. Bientôt, bientôt elle allait rentrer

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Dameclothilde
Une nouvelle fois un retour de mission malgré le froid et la neige qui s'était déroulé sans encombre ni mauvaises rencontres, il faut dire que le chemin était peu emprunté et puis ils étaient tous de vaillants et courageux Légionnaires, la mort ne les apeurait point. Elle avait été heureuse de remettre les pieds dans sa Bretagne natale, qui lui manquait si souvent avec sa mer si belle si pleine de mystère, l'appel du large depuis sa plus tendre enfance ne l'avait point quitté, un jour elle le savait elle le prendrait ce bateau qui l'emporterait loin de sa patrie pour lui faire découvrir des contrées lointaines, inimaginables que lui contaient les anciens lors des longues soirées d'hiver.

Clothilde commençait à se faire à cette vie, parfois dure mais l'esprit qui y régnait entre tous ces hommes et femmes unis dans un même combat renforçait leur amitié les uns envers les autres et ce côté là rachetait amplement les mauvais moments, il faut dire qu'elle vouait aussi une admiration sans borne envers son Général, seul bémol Oli avait quitté cette Légion et le vide se faisait sentir, elle ne voulait pas en parler mais elle lui manquait avec son franc parler.... pour l'instant l'heure était aux préparatifs non pas de Noël à la maison mais d'un nouveau départ... Noël elle ne savait pas trop où elle le passerait avec son Sénéchal de mari sûr et une partie des Légionnaires aussi, elle aurait bien aimé le fêter ici chez eux, un petit soupir de dépit s'échappa...

Elle mit une bûche dans l'âtre et prépara son paquetage en faisant bien attention à son encombrement et oui Clo avait la fâcheuse tendance à en prendre toujours un peu trop dirons nous, ben là elle avait une excuse les achats de Noël mais bon le Général apprécierait pas trop à son avis, alors elle allait s'appliquer à bien respecter les règles ce qui lui prendrait une bonne partie de la journée.
Dameclothilde
Et voilà le ravitaillement dans tout le Poitou était enfin terminé, elle avait passé quelques jours à La Rochelle son lieu de prédilection, et c'est la tête pleine de rêves et de sensations inoubliables qu'elle avait repris le chemin du retour.
Il s'en était passé à La Rochelle, des rencontres, le retour d'Oli à la fois joyeux car elle avait réintégré la Légion et en plus dans sa Section mais car il y a toujours un mais dans chaque évènement heureux le malheur l'avait frappé durement, elle avait perdu le petit être en elle qui aurait pu devenir son neveu ou nièce.

L'existence était ainsi faite... continuer le chemin et affronter son destin la vie n'était pas un long fleuve tranquille, Clo en savait quelque chose, elle aiderait sa soeur à surmonter son chagrin enfin elle s'y emploierait autant que possible.

Et puis il y avait eu la grande nouvelle... celle du départ dont elle rêvait depuis si longtemps et qui allait se concrétiser dans quelques jours ayant pour nom "Altantis", le navire de la Légion Poitevine enfin terminé, elle était si impatiente, réaliser son rêve d'enfant voguer sur la belle bleue, verte, aigue marine elle aurait pu en trouver des couleurs toutes plus belles les unes que les autres pour la décrire, elle souriait en y pensant mais bon il y avait un hic.... Gengis et oui malheureusement lui il ne partageait pas du tout son rêve et ne pensait qu'à rester sur le plancher des vaches, beaucoup plus rassurant et sans parler des baleines avalant des navires, des calamars géants s'agrippant au grand mât, des pieuvres s'enroulant autour de la coque, des récifs et pour terminer en beauté des Pirates.... Clo s'en fichait de tout ça au contraire cela attisait sa curiosité et l'incitait à découvrir si toutes ces Légendes sur les monstres marins existaient vraiment elle était trop intrépide pour résister à l'appel du large et les pirates n'avaient qu'à bien se tenir, elle vendrait chèrement sa peau !

Clothilde ne savait trop comment faire avec lui heureusement que le Général l'aidait dans l'entreprise à le raisonner sinon elle ne voyait plus qu'une solution... l'assommer et le transporter à bord lors du départ ... il faudrait sûrement qu'elle soumette l'idée, c'était pas si bête après tout !!
Gengis0
Il est des périodes où, alors que tout va bien, que l'on pense que plus rien ne peut vous arriver, le destin s'amuse. Oh Gengis avait l'habitude, il devrait être aguerri, mais là ce qui lui arrivait dépassait presque l'impensable, presque parce que quand même la perte de la merveille ça, ça avait été le pire. Or donc, la Légion, armée fantassine et terrestre s'il en fut avait céder à la mode du moment, les bateaux. Et le Sénéchal, la mer, il l'aimait pas, mais alors pas du tout. Vingt fois déjà il avait essayé de persuader le Général que sa place n'était pas sur la coque de noix, quand bien même on l'appelle cogue, c'est pas une faute d'orthographe qui change les choses, ca reste un truc qui se ballade sur les mers, infestées de serpents de mer, poulpes géants et autres bestioles envoyées par le sans nom pour nous détruire.
Le Sénéchal rentrait donc, le pas lourd et désabusé. C'est qu'il savait que son calvaire ne faisait que commencer, la sublimissime, elle était si enthousiaste, il risquait d'en entendre parler de ce voyage.


Ma sublimissime? Tu es là?
Toussotement pour marquer la tentative de mensonge

Tu sais? Le Général il pense que ce serait peut-être mieux si je restais. Qu'est-ce que tu en dis?
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Dameclothilde
Ma sublimissime? Tu es là?

Tiens ... tiens... qui arrivait donc.....

- Vi, vi Mon Coeur me voici......


Tu sais? Le Général il pense que ce serait peut-être mieux si je restais. Qu'est-ce que tu en dis?

S'approchant tranquillement, elle lui donna un baiser puis se reculant pour mieux le voir, elle le fixa un instant de ses prunelles vertes un fin sourire aux lèvres, elle prit une profonde inspiration et ....

- Tttsss !!! Mon Coeur, t'auras vraiment tout tenté pour y échapper... mais tu sais pertinemment qu'on échappe pas à son destin Hé! Hé! , essaies pas de m'emberlifocoter avec des... il me semble.... peut être mieux.... tu sais que c'est peine perdue avec moi, elle se dirigea vers l'endroit où se trouvait déjà son paquetage et lui apporta son sac.... tiens dépêches toi de le remplir et arrêtes de tergiverser, t'as pas le choix t'es Sénéchal et un Sénéchal se doit de montrer l'exemple, devant son air dépité elle l'enlaça, posa sa tête contre son épaule puis lui murmura et moi tu y penses hein ? j'peux quand même pas partir sans toi, nous sommes mariés pour le pire et le meilleur, souriant on va dire que là c'est une petite partie du pire, allez courage j'suis sûre que tu vas aimer, elle termina en l'embrassant tout en espérant lui donner l'envie de la suivre car elle partirait et il le savait !
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