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[RP] à l'aube d'une vie nouvelle, à l'orée du bois, Gengis

Dameclothilde
C'est sous un épais brouillard que Clo regagna la chaumière de Gengis. Elle avait marché cinq jours d'affilée dans le froid, le vent, la neige. Elle était déçue d'avoir dû rebrousser chemin à cause d'un certain Duc Lexhor qui lui avait refusé un laisser passer afin de continuer son voyage, comme si elle avait l'allure d'une intriguante ou d'une espionne... franchement c'était du grand n'importe quoi ! pas près d'y retourner ben tiens ! Elle avait évité de justesse un procès à Tours à cause d'un douanier un peu trop zélé vraiment elle s'en souviendrait de ce périple.
En arrivant elle s'était arrêtée à la taverne elle avait grand besoin d'un bon p'tit remontant, elle était transie de froid et aussi il faut bien le reconnaître pas trop pressée de rentrer pour retrouver une maison glaciale et sans âme qui vive.

Une fois sortie du village elle progressa plus doucement certains endroits étant plutôt risqués à cause de la neige transformée en glace et vu le nombre impressionnants de gamelles qu'elle s'était prises, mieux valait éviter toute tentative malheureuse afin qu'une certaine partie de son anatomie se remette de toutes ses chutes !
Enfin elle la vit pas complètement déneigée, belle mais triste Arfff ! elle allait pas recommencer à peine arrivée à se morfondre, elle avait promis de s'y faire à cette nouvelle vie, c'était le moment de le prouver.
Elle passa la barrière, l'enclos était vide Gengis ayant abandonné l'élevage, elle avait une p'tite idée pour redonner un peu de vie dans ce champ, il faudrait qu'elle lui en touche deux mots, enfin lorsqu'elle le reverrait, à vrai dire elle en savait rien, bah ! entre deux missions elle devrait pouvoir si elle oubliait pas d'ici là.
Elle passa devant l'appentis mais ne regarda point à l'intérieur, elle savait ce qui s'y trouvait et n'avait aucune envie de voir resurgir certaines scènes qu'elle essayait d'oublier !
Elle entra enfin dans la demeure, il y faisait un froid de canard, elle ôta sa cape, posa son balluchon sur la grande table mais conserva ses mitaines, chercha vite fait une grosse bûche qu'elle déposa dans la cheminée.
Les flammes crépitaient, la chaleur envahissait petit à petit la pièce, Clo avait approché un siège de l'âtre et son bol de lait terminé regardait le feu danser devant elle, se laissant envahir par une douce torpeur, ses paupières se fermèrent doucement, le pays des songes lui ouvrait tout grand les bras.
Dameclothilde
Clothilde s'en revenait du marché, elle était sortie de bonne heure afin d'y trouver le plus grand choix et avoir le temps de papoter à droite et à gauche avec les artisans. C'est de cette façon qu'elle rencontra Dame Flo sur la Grand Place où trônait majestueux l'arbre à présents, cette dernière l'informait que trois cadeaux l'attendaient depuis maintenant pas mal de temps.
Elle décrocha délicatement les deux suspendus et ramassa celui beaucoup plus volumineux offert par Florelanne en l'ouvrant elle y découvrit une robe comme elle n'en avait encore jamais vu, elle remercia chaleureusement son amie et repris sa route, tout en marchant elle rigolait en pensant à la tête que ferait Gengis lorsqu'il la verrait ainsi vêtue, lui qui ne l'avait jamais vu qu'en braies ma foi bien plus pratiques mais certes beaucoup moins élégantes...
Une fois rendue chez Gengis, elle déposa sa magnifique robe dans le coffre à vêtements et resortit tenant ses deux cadeaux précautionneusement, elle alla se mettre à l'abri derrière la maison juste en face de l'enclos où se trouvait un charmant petit banc en bois, fabrication du Maître des lieux, le pâle soleil d'hiver tentait une percée alors autant en profiter. Elle déballa donc le premier dans du joli papier avec son nom écrit dessus et en retira un fin mouchoir brodé en y regardant de plus près elle découvrit un nom dans un coin "Oli" :

- Eh ! bien je ne lui connaissais pas ce talent caché, plutôt inattendu de la part de la Mascotte de la Légion de Thouars, elle irait la remercier quand elle la croiserait en taverne pour cette attention qui la touchait.
Elle le plia soigneusement et le rangea dans sa poche.

Vint le tour du dernier cadeau, elle se doutait plus ou moins de qui il provenait, elle le tourna et retourna entre ses doigts puis se décida à l'ouvrir quelle ne fut pas sa surprise en découvrant son collier, le fameux collier qu'elle lui avait redonné un soir en taverne croyant leur amour à tout jamais perdu, ce bijou qu'il lui avait offert par une belle soirée dans la Clairière aux Etoiles à La Trémouille, les astres étant témoins de ce moment magique car cette parure n'était pas ordinaire elle était porteuse d'une légende, ce gage d'amour elle ne devait jamais s'en séparer sous peine de mettre en péril la vie de celui qui lui avait offert... Combien de fois elle avait regretté ce geste impulsif, irréfléchi, irraisonné mais hélas il était trop tard puisqu'il ne l'avait pas retrouvé et là maintenant sous ses yeux il réapparaissait comme par magie. Elle ferma les yeux pensant à lui très fort, comme il lui manquait en cet instant, elle aurait tant aimé qu'il soit là, qu'il passe autour de son cou ce collier symbole de confiance.... elle était tellement prise par ses pensées tout ce qui l'entourait avait disparu et n'entendit point les pas qui se rapprochaient d'elle...
Gengis0
Enfin, il revenait. La mission de La Rochelle terminée, l'armée avait pris le relais pour protéger la cité, la légion pouvait donc rentrer pour quelques jours. Ils avaient marché jour et nuit, et enfin ils étaient arrivés. Gengis n'avait pas pris la peine d'aller en taverne, il avait directement pris la direction de chez lui. Au détour du chemin, il la vit, sur le petit banc, elle était là, la merveille des merveilles. Il allait courir, mais il vit qu'elle était dans ses pensées, alors il s'approcha doucement, déposant sa besace, son épée et son bouclier près de la porte.
Il se glissa discrètement derrière elle, posa les mains sur ses yeux.


Alors? On rêve?
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Dameclothilde
Clo sursauta sous l'effet de deux mains glacées se posant sur ses yeux, ses pensées volant en mille éclats... mais qui osait... puis soudain cette voix, elle l'aurait reconnue entre mille !

- Alors? On rêve?
elle prit les deux mains, les porta à ses lèvres et lui dit :

- Gengis... vraiment t'es trop doué toi aussi pour les surprises ! la descente sur terre fut pour le moins, comment dire très dynamique et vivifiante se levant et s'approchant de lui, hmmmm tu peux certainement te racheter de la meilleure des façons... elle ferma les yeux tout en passant ses bras autour de son cou et tendant son visage vers le sien, attendit...
Gengis0
Difficile de résister à pareil appel, Gengis embrassa longuement sa sublimissime.
Tout en se plongeant dans les émeraudes, il lui murmura:

Quel bonheur de te revoir, alors, à quoi rêvais-tu donc, pour être si absorbée que tu ne m'as pas entendu arriver?
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Dameclothilde
Quel bonheur de te revoir, alors, à quoi rêvais-tu donc, pour être si absorbée que tu ne m'as pas entendu arriver?


Clothilde rougissant d'avoir été prise en flagrant délit répondit :

- Voyons voir à quoi ou à qui pouvais je bien rêver d'après toi... heu ! un tisserand ... voyant le froncement de ses sourcils elle rectifia bien vite... je plaisante Mon Coeur, je rêvais d'un certain Légionnaire que je croyais loin de moi sur les routes bravant mille dangers et puis pfffftttt ! il apparaît là je croyais pas être aussi forte pour concrétiser tous mes désirs, elle sourit ne le quittant pas des yeux, si tu savais comme tu m'as manqué mais pas de tristesse tu es là et je te quitte pas d'une semelle, d'ailleurs viens t'asseoir là près de moi, elle lui prit la main et l'entraîna.

- Euh ! tu sais je suis passée à l'arbre à présents de Flo et j'y ai trouvé ton cadeau... tu imagines ma surprise en le voyant moi qui le croyais perdu à tout jamais... tu m'as bien fait marcher ! mais bon je t'en veux pas après tout je l'avais bien mérité, puis lui tendant le bijou, tu veux bien le passer autour de mon cou s'il te plaît, elle retira son col...
Gengis0
Gengis prit le collier, le passa au cou de Clothilde, puis après l'avoir fermé, l'embrassa dans la nuque. Un sourire illumina son visage, il était vraiment fait pour elle ce collier, aucun doute. Les souvenirs heureux ressurgirent.
Il passa ses bras autour de sa taille, posa son menton sur son épaule.


Alors, racontes-moi tout ce que j'ai raté, je veux tout savoir, même les pensées, surtout les pensées d'ailleurs.
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Dameclothilde
Alors, racontes-moi tout ce que j'ai raté, je veux tout savoir, même les pensées, surtout les pensées d'ailleurs.

- Râté, tu n'as rien loupé dit elle en lui faisant un clin d'oeil, tu te rappelles que je suis partie me promener et comme tu peux le constater, je suis revenue entière mis à part que j'ai du abréger mon séjour pour cause de frontières fermées dans l'Orléannais mais le bon côté c'est que j'y ai retrouvé une amie sur le retour à Tours, j'ai failli avoir un procès aussi, pas vraiment trop réussi ce périple, peut être aurais je du rester ici à t'attendre, mais tu me connais j'ai la bougeotte moi les chemins m'attirent, prenant un p'tit air coupable peux rien faire contre... elle le fixa une légère moue se dessinait, elle reprit bien vite, mais entre les chemins et toi, c'est toi qui prime lorsque tu es près de moi... mais quand tu pars je me sens attirée vers de nouveaux lieux, de nouvelles rencontres... j'espère de tout coeur qu'un jour prochain, nous aurons l'occasion de partir rien que nous deux, visiter autre chose que le Poitou !

Elle prit sa main dans la sienne, la pressa, il l'écoutait hésitant à lui donner une réponse, il est vrai qu'il ne pouvait prévoir à l'avance quoi que ce soit... même leur propre avenir, la Légion étant prioritaire.
Clo soupira et changea le cours de la discussion, se forçant un peu à prendre un ton enjoué elle continua :

- Ahhhh ! et puis dans le registre de mes pensées et bien avant que tu surgisses je rêvais, un rêve à vrai dire complètement fou... figures toi que je voyais le Père Forth With enfin décidé à me baptiser, elle rit t'imagines un peu depuis le temps que j'ai terminé ma Pastorale et toi qui est déjà baptisé Arfff... moi qui me désespère de jour en jour en voyant s'éloigner de mon horizon mon baptême et du coup notre mariage... un silence s'installa elle regarda au loin, le sourire s'étant envolé, elle avait voulu prendre tout ça sur le ton de la plaisanterie mais se rendait compte que cette histoire la tracassait beaucoup plus qu'elle voulait le faire voir.
Voilà tu connais une partie de ce qui m'occupait l'esprit comme tu peux le voir je m'ennuie pas, elle s'approcha caressa ses cheveux, sa joue et termina son exploration en lui donnant le plus doux des baisers.
Gengis0
[Quand la raison s'efface]

Fuite dans les rêves, plongée dans le vert émeraude, les mots s'entrechoquent, se percutent, voyage, pastorale, Forth, bougeotte, mariage, s'éloigne, réputation, attendre, pourquoi? tourbillon de mots, tourbillon de sentiments, sensation de flottement.
Une amarre, les yeux d'émeraude, sensation de chaleur, puis soudain, un éclair gris, les voix s'élèvent .....

Gengis? Gengis, tu vas rester planter là? heyyyy Gengis, et si demain tu meurs, et si demain hein Gengis, demain toujours demain, encore demain, plus tard, après. Après quoi Gengis?

Froncement de sourcils, inclinaison de tête, petit sourire

Gengis? c'est les curés, ah oui c'est ca hein? envoyes-les donc voir ailleurs si tu y es, Gengis, allez, t'aura des cheveux gris si tu les attends, ....

Légère hésitation, juste légère, ...
Passe un bras dans le dos de la sublimissime, l'autre derrière les genoux, la soulève, ouvre la porte d'un coup de pied.
Repose la merveille, l'embrasse, fait l'inventaire de chacune des étoffes que ce maudit hiver à l'habitude de sortir des malles pour les empiler sur les épaules des dames, une à une, rangement glissant, chaque étoffe rendant un dernier souffle silencieux à leurs pieds.
Le souffle s'accélère, chaleur renvoyée vers son propre visage, le visage s'enfoui dans le cou, les mains explorent. Alors le pied cherche, en aveugle, puis trouve, un mouvement ample et décidé, et la porte se ferme dans un grand bruit sec.


HRP: Hop au dodo, on est pas dans le loft hein

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Dameclothilde
Clothilde les paupières closes bien au chaud dans ses bras, revivait tous ces instants magiques où l'abandon au plaisir des sens l'avait comblé. Cette passion si longtemps retenue avait enfin trouvé son apogée par ses mots fous chuchotés, ses caresses, ses baisers brûlants, la découverte l'un de l'autre et toute cette tendresse prodiguée... hummm elle poussa un petit soupir de contentement et s'étira, elle était tout simplement heureuse et surtout très très amoureuse.

Elle ne regrettait rien de ses choix, de ses décisions, de ses actes, l'amour avait été le plus fort et tant pis pour une certaine idéologie prônant la sagesse, la retenue et la patience... ils avaient résisté, mais le désir avait été le plus puissant ! Alors Alea jacta est !

Elle se décida à ouvrir enfin les yeux, il était là toujours endormi, son souffle régulier rassurant, ses traits détendus presque enfantins, elle posa un doigt sur sa tempe... sa joue... s'approcha effleura ses lèvres... c'était donc ça le bonheur !

Puis soudain, cette clarté qui envahissait la pièce de plus en plus, la matinée devait déjà être bien avancée, un vent de panique s'empara d'elle, l'heure .... il était quelle heure .... elle le secoua, enfin pas trop fort quand même, ou peut être si, elle se rendait plus trop compte, il fallait le réveiller à tout prix afin de lui éviter un rapport salé.

- Gengis réveilles-toi... heu ! tu vas manquer l'appel à la caserne enfin à mon avis là... ça doit être râté, elle grimaça ne voyant aucune réaction de sa part, elle allait le remuer encore un p'tit peu lorsqu'enfin il émergea, l'air hagard par un tel branle-bas.... Rolalala ! Mon Coeur, désolée c'est certainement pas le réveil auquel tu t'attendais, mais là plus le temps de rien faut que tu bouges et vite fait... la Légion t'attend...
Sylphide
Après beaucoup d'évenements tous plus prenant les uns que les autres, la Louve revenait enfin à ses bonnes vieilles habitudes...Observer les bipèdes dans leurs étranges habitudes...Et avant l'aube elle avait décidé d'aller trainer les pattes du coté de la maison de Gengis et de la petite dame aux cailloux...

Il y avait longtemps quelle n'avait pas entendu l'horrible son qui blesse de l'intérieur et se disait que c'étais surement bon signe, Gengis devait avoir trouvé un équilibre des plus stable auprès de sa merveille aux yeux magiques...

S'approchant toujours aussi silencieuse elle s'assit sagement sous les branches basses et attendit parfaitement immobile...écoutant le chant de la foret s'éveillant au matin...

Elle adorait après la traque de nuit laisser la meute rentrer seule puis aller se baigner à la rivière effacant ainsi toute trace de sa vie nocturne et se redonnant apparence plus....moins....enfin plus propre dirons nous pour simplifier l'affaire...

Merveilleuse nuit quelle avait passé, excellente chasse également, maintenant un petit moment de détente et du même coup vérifier que le sir au tintamarre était toujours d'un calme et d'une stabilité rassurante pour elle...

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Gengis0
Gengis nageait dans un océan vert, ou plutôt il flottait, un grand soleil illuminait la magnifique journée, il fermait les yeux, sensation de bonheur total, douceur, le silence, la quiétude, il se sentait merveilleusement bien. Soudain, une ombre passe devant le soleil, Gengis ouvre les yeux, un visage, déformé de colère. Une voix ...
Gengis réveilles-toi...c'est l'appel .... là que tu vis... tu as tout raté Un immense doigt montre le ciel, le soleil s'est transformé en lune, lune qui descend vers lui, sa lumière blafârde devenant de plus en plus forte. Sensation de lourdeur, il se noie, l'océan vert ne le porte plus, il devient lourd si lourd. Les yeux se tourne vers le visage, le visage se transforme, ......


Rolalala ! Mon Coeur, désolée c'est certainement pas le réveil auquel tu t'attendais, mais là plus le temps de rien faut que tu bouges et vite fait... la Légion t'attend...

Remise des idées en place, où est-il? regard circulaire, pas de lune, pas de visage, ouf il rêvait.

Euh, bouger vite fait, Légion, oui bien sûr. Bonjour aussi ma merveille, moi aussi je suis content de te voir.

Grand sourire rassuré, saute du lit, s'habille promptement, embrasse sa sublimissime au passage

Voilà voilà, j'y vais, à plus tard. Euh t'as pas vu mon épée, et mon bouclier, où que j'ai mis ça moi? Ah oui, doivent encore être dehors

Gengis sort, attrape son bouclier et son épée restée dehors, et se dirige vers la caserne. En passant devant l'appentis, une hésitation, regard vers la porte, éclair gris dans les yeux, sourire sur le visage. Il pousse la porte de l'atelier, il est là, illuminé par le soleil levant, le bourdon étincelle dans la pénombre de la pièce. Gengis s'en approche, le caresse longuement de la main, puis se dirige vers les cloches sur la table, caresse chacune d'elles, revient vers l'une, la prend, la regarde.
Il l'accroche sur le carillon.


Est-ce la première Gengis, on l'a trouvée?

Oui, et de une, et merci pour le coup de pouce

Gengis ressorti de l'appenti, ferma soigneusement la porte, et repris le chemin de la caserne.
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Sylphide
L'aube se levait lentement la trouvant toujours assise immobile à attendre le réveil de la maisonnée...Puis la matinée avancant doucement elle fnit par se dire que peut être ils ne sortiraient pas finalement après tout les amoureux ont le droits de flâner de temps en temps...

Un doux sourire glissant sur ses lèvres elle se prépara à se lever car de toute façon elle n'avait rien senti en cet endroit de malsain...comme avant la venue de la petite dame aux cailloux...

Petit bruit et murmure de paroles venant de la maison lui firent dresser l'oreille et se figer à nouveau immobile, malgré le fait qu'à cette distance elle ne pouvait entendre ce qui se disait...La porte s'ouvrant enfin sur un Gengis plutot pressé ramassant bouclier et épée resté la à la merci des intempéries...

Hésitation devant l'appenti puis le voila qui y entre...se raidissant un peu nerveuse de savoir ce qu'il allait y faire, elle se détendit le voyant ressortir le sourire aux lèvres...

Décidément cette nouvelle année promettait d'être bonne pour de nombreuses personne...Reprennant rassurée le chemin de la clairière aux loups ou son Alpha et leur fille l'attendaient... la Louve se dit quelle continuerait quand même à garder un oeil sur ce couple d'amis qui s'étaient enfin retrouvé...

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Gengis0
Gengis revenait en courant de la caserne, une opportunité, il fallait la saisir, bon les conditions étaient spéciales, mais il serait toujours temps d'expliquer plus tard, pour l'instant, il fallait se presser, un petit tour du Poitou, elle ne refuserait pas. Il arriva haletant à la porte de la maison.

Ma merveille, ma merveille, fait tes bagages, on part faire un tour, tu m'entends?? On part, euh, maintenant!

Gengis était appuyé au montant de la porte, et reprenait doucement sa respiration
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Dameclothilde
Clothilde venait de terminer d'éplucher les légumes du potager de Gengis afin de lui préparer une bonne soupe qui les réchaufferait par un sale temps pareil, elle avait repéré le beau jambon accroché à une des poutres... bon d'accord elle était grande mais là il fallait qu'elle trouve quelque chose pour le décrocher.
Elle avisa le banc et le déplaça juste en-dessous, elle grimpa et évidemment... c'était tangent, se mettant sur la pointe des pieds elle arriva à le saisir, elle allait le détacher lorsque la porte s'ouvrit violemment et un Gengis complètement essouflé apparût.

- Ma merveille, ma merveille, fait tes bagages, on part faire un tour, tu m'entends?? On part, euh, maintenant!

Clo surprise fut déséquilibrée et se vautra lamentablement par terre en laissant bien entendu le jambon à sa place initiale !

- Aieuuuuuuuuuuuhhhhhhhh ! elle se mit à vociférer des mots bon ! ben (on va peut être pas détailler) se relevant péniblement tout en se massant le postérieur, elle refusa l'aide de Gengis trop vexée, bon alors tu disais que nous allons partir faire un tour et qu'on part.... là ! maintenant ????

Clo regarda sa soupe, regarda le jambon et regarda Gengis puis éclatant de rire devant sa mine défaite mais toujours en se frottant la partie de son anatomie un peu endolorie lui dit :

- Tu crois qu'on aura quand même le temps d'y goûter avant de faire nos balluchons et puis tu pourras m'expliquer un peu plus en détail cette bonne nouvelle !
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