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[RP] Salle des fêtes de Montmirail - Au 7, rue de la Mairie

Decanisy
oui voila chantons dansons et faisons des ronde...

se surprit lui même et puis vas c'est point tous les jours qu'on s'amuse pensa-t-il...


yep yep yep comme des grenouilles .....

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on peut mentir une fois a mille personnes mais on ne peut pas mentir mille fois a une personne....
Bradwen
Bradwen chantait lorsque Max entra et vint à sa rencontre... rencontre interrompue par l'interposition de Kaelig. Du coup, le paysan se contenta d'un signe à Max et continua de chanter jusqu'à c'que Kaelig l'interpelle au sujet de la prochaine danse.

Prochaine danse ? M'permetterez-vous dame d'accepter d'vous accorder c'te danse sitost qu'vous vous s'rez, vous mesme, acquittée d'vot'engagement ? Parait qu'vous aviez l'intention d'nous faire un p'tit numéro d'musicienne ?

Le paysan éclata de rire en terminant sa phrase sur un air taquin. Puis entendant les paroles de Decanisy, Bradwen monta sur le banc, chope à la main et chanta le couplet suivant tout en balançant les bras de gauche à droite, tournant sur lui-mesme...

Y 'a'plus qu'UNE filles dans l'bourg de R'don
Qui tape du pied quand l'amour la prend
Tape du pied, sautent en rond
Comme des grenouilles dans un ruisseau.


Un clin d'oeil amical à Decanisy...Sautant alors du banc, le paysan se dirigea vers dame Iseuld alors que Max et Kaelig tournaient en se faisant de drosles de confidences à l'oreille.

Dame Iseuld, me f'rez-vous l'honneur de m'accorder c'te danse ?
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Decanisy
ah ben a la bonheur fini la première chanson !

du coup j'nai mal au pied tien..si j'm'asseyais cinq minute cela ne vous génera point j'espère dame apaïde... hein ?



joignant le geste à la parole decanisy alla s'asseoir..mais pas trop loin du buffet tout d'même...en fait il se faisait un plaisir de servir toute personne qui avez l'envie d'un p'tit verre... c'était sa façon a lui d'être euh disons ..enfin c'était sa façon a lui d'être....

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on peut mentir une fois a mille personnes mais on ne peut pas mentir mille fois a une personne....
Max_premier
Ma future fillotte, il est vrai que dans un premier temps, je me suis demandé si c'était on va dire convenable de venir ainsi partager quelques amusements avec mes amis mais si Myriam était encore là, je ne pense pas qu'elle aurait apprécié me voir renfermé, apitoyé sur moi même et j'avoue que la musique et la danse, changent vraiment bien les idées...

et puis ils sont drôles ceux qui sont autour de nous non ?
Il fit un petit tour d'horizon et regarda les hommes rire, chanter et manger...

Un talent ? quel talent ?
Il commença à se demander ce qu'elle avait encore imaginé, craignant le pire... après les fruits pourris de dame Paz, les gages de Kaelig, à quelle sauce allait-il être mangé cette fois-ci. Il ne continua pas de s'interroger car Kaelig se mit à éclater de rire à sa question un peu osée.

Se secouant un peu l'oreille, gêné il ajouta : Ah... il est ici mais euh.. dans ce cas là, il ne va pas le prendre mal que nous dansions ensemble ? Il observa la direction que prit le regard de Kaelig.
Oh mais votre galant c'est ? euh... Oh mais je n'aurai pas pensé, mon ami.. je vais donc lui laisser la place...

Bradwen ? Mon ami, je te laisse la main de Kaelig bien sûr. Il avait oublié tous les gages et ne pensait qu'à laisser les tourtereaux ensemble. Encore une fois, il sentit ses joues s'empourprer mais il était heureux pour son ami, Kaelig était ravissante, spirituelle et ... enfin, ils iraient bien ensemble. Mais il était déjà un peu tard et le diacre avait déjà invité une dame, nouvellement arrivée sur Montmirail, dont il avait oublié le nom. Euh... comment pouvons-nous faire ? Lui qui était si à l'aise avant, le voilà empoté.
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Maria_paz
Le feu continue sa danse incandescente. Tantôt crépitant, projetant de petites étoiles espiègles aux contemplatifs, tantôt ronflant et ronronnant, apaisant les esprits, berçant les assoupis. Beaucoup de douceur et de bonne humeur enveloppe les veilleurs couvrant d'or leurs visages ouverts et souriants.

Maria s’est installée depuis longtemps, sans bruit. Elle se laisse doucement pénétrer par la chaleur et l’ambiance bon enfant.

Malgré ses inquiétudes elle a trouvé en ce lieu sérénité et douceur parmi les personnes qui commencent à beaucoup compter, à remplir sa vie de va nu pied farouche et fière qu’elle était encore il y a peu.
Oui, elle est maintenant chaudement chaussée, ses pas sont moins hésitants.
Et quelles chaussures !
La farouche les observe, les admire sans cesse, toutes différentes et de belle facture.


Quelques pas de danse pour certains. Maria esquisse un sourire bienveillant.
Elle avait prévu une petite histoire à ruminer.
Cela pouvait bien attendre.

Un œil malicieux glisse vers le fond de la salle, petit signe de la main.
Les deux musiciens s’installent sans bruit, jettent un regard convenu vers Maria qui leur a demandé de jouer doucement.

la musique emplit les voûtes de la salle, s’installe

Maria ferme les yeux, s’évade, vagabonde.
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supercalifragilisticexpialidocious
Kaelig
Au son des premières notes de luth et de flûte traversière, Kaelig fut prise de vertige. Non les vertiges dont nous sommes pris lorsque nous n'avons point assez mangé mais le genre de vertige que l'on a rarement dans sa vie. Le coeur léger, l'envie de rire et de pleurer à la fois, les yeux luisants, la douceur dans chaque geste, les frissons, la température passant du chaud au froid et inversement, l'impression de marcher sur de l'ouate... les sens qui partent en quille quoi!

La blonde n'aperçoit plus les murs de la salle, ne remarque même plus la présence des personnes présentes autour d'elle. La demoiselle sent une main caresser la sienne, pour ensuite venir la serrer fermement mais délicatement. Bradwen... Ses sens refusent de revenir, Kaelig doit lui faire confiance. Elle veut lui faire confiance. Ces gestes se veulent intuitifs tant au son de la mélodie qu'au son de la respiration de son homme et aux battements de son coeur. Elle se sent voler, aussi légère qu'une plume. Elle se sent briller, comme une étoile filant dans le ciel nocturne. Elle se sent belle, comme une dame comblée.

Une lueur, son regard est attiré par une lueur. Est-ce un ange? Est-ce l'ange qu'elle a cru apercevoir lorsqu'elle est entrée dans le bureau de Maria pour la toute première fois? C'est bien lui... Il parlait de forgeron, il les a interrompues, il est parti dans un battement d'ailes. C'est bien lui... Son regard si clair, et en même temps si sombre. Cela lui fait penser à une voûte céleste. Cette possibilité de voyages inconnus et cette infinité mystérieuse. Plus on tente d'en savoir, de résoudre les questions posées et plus les réponses se multiplient. Alors autant admirer, rêver, sourire, profiter du moment présent , ne penser à rien d'autre que danser et plonger son regard émeraude dans le sien.

Quelque part, à Montmirail, un autre ange veille sur Bradwen et Kaelig...
Decanisy
éh be ce son nous change ..



du coup ne tape plus du pied mais aprécie le sons en même temp decan
n'ai point le plus doué pour ce genre de chose et puis d'un coup il devient un autre .. ah vraiment les veillées sont... des veilléees..


bon alor a votre tour ? non ?
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on peut mentir une fois a mille personnes mais on ne peut pas mentir mille fois a une personne....
Bradwen
Prenant la main d'Iseuld, le paysan fit danser la jeune montmirallaise au son de la luth et de la flute traversière... un air gai qui donnait des ailes... qui donnait l'espoir de croire en l'avenir.

S'il avait été plutost pataud lors de ses premiers pas de danses, les moultes festes qui suivirent à Montmirail lui permirent de devenir un danseur honneste et Iseuld n'eut donc jamais à se plaindre des pieds du paysan.


La musique terminée, le paysan fit une révérence à sa partenaire..

Dame, c'fut un plaisir !

Il s'inclina devant elle, puis revint vers Kaelig qui en avait également terminée avec Max. Lui souriant, l'air taquin, espiègle... et complice, il lui déclara tout de go

alors Kaelig, avez-vous réfléchi à ma proposition ? Elle n'a pas changé. J'vous accord'rai volontiers une danse... si vous t'nez vos engagements quand à vot'prestation. Quoi ?... Que distes-vous ?

Se penchant vers elle comme pour mieux entendre ce qu'elle semblait dire, il ajouta discrètement au creux de l'oreille.

Maria... Elle a b'soin d'estre soutenue c'te soir...

Penchant la teste de l'autre costé, toujours collée à son oreille, il ajouta toujours aussi discrètement.

Elle fait partie d'vot'prestation n'est-ce pas ? Eh ben... enchaisnez-donc la veillée avec elle... une fois que moi j'lui aurions rendu hommage...et après la soirée s'ra à nous.

Subrepticement... et toujours et encore aussi discrètement..., il déposa sur son oreille un baiser, première preuve publique de sa part de l'évolution de leur relation ces derniers temps... mais qui avait pu le remarquer ? Puis, il lui fit un signe de teste et se dirigea vers Maria. Elle était assise de son coin. Il resta debout, la surplombant de plusieurs testes

Mairesse...Ce soir est un soir où l'on oublie tous nos tracas, nos ennuis. L'heure est aux réjouissances...

Étrange sensation que celles des destins croisés. De son costé, la vie venait de lui jouer un bien agréable et inattendu tour... mais ce qu'elle semblait donner de bon coeur à Bradwen, elle semblait le reprendre à Maria... comme si tout n'était qu'une histoire de vases communiquants... comme si tout devait se payer quelque part... L'un recevait et l'autre subissait... Le destin était parfois étrange.

... aussi Maria, permettrez-vous à vostre... parrain de vous changer les idées en vous invitant à danser ?

De sa main gauche, il fit un signe à l'orchestre qui mit à l'honneur les sons de cornemuse.

Cette mélodie porte l'espoir Maria... Omnia Vincit Amor... L'Amour triomphe de tout... de Tout !

Sur ces paroles, il lui tendit la main l'invitant à partager ce moment en dansant.
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Maria_paz
Maria lève lentement la tête, sort de ses rêvasseries.
Bradwen n'est jamais bien loin, nul autre que lui ne peut percevoir aussi intensément le désarroi qui lui tord les entrailles depuis quelques jours.
Habituée à ne compter que sur elle-même, elle est toujours dans l'étonnement. En admettant que dieu existe, ce qui pour elle est encore à démontrer et en observant Bradwen, il ne peut être que bonté et rien d'autre. Il ne peut être qu'amour et rien d'autre. Il faudra qu'on lui explique un jour pourquoi, au nom de dieu, les hommes s'offrent des guerres.
Il a toujours plein d'étoiles dans les yeux, comment fait-il ?

La jeune femme se lève et tend sa main dans un sourire.
La musique est belle et ne demande qu'à la porter.


- Bradwen, vous avez de très belles paroles, j'aimerais vous croire, j'aimerais y croire, mais je n'y arrive pas.
Mais ne vous en faites pas, la bête est coriace, elle a connu bien des morsures, elle a l'habitude de redresser le poil !


Maria relève fièrement la tête et sourit, c'est une battante.
Puis entame les premiers pas de danse avec son cavalier bienveillant.

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supercalifragilisticexpialidocious
Kaelig
Kaelig se retira discrètement des bras du diacre afin d'y laisser la place à Maria. Son sourire passa de la tendresse à la bienveillance. Elle connaissait depuis peu Maria Paz. A vrai dire, notre jeune demoiselle à la chevelure dorée s'était imposée tant au Conseil Municipal, qu'à Montmirail. Madame le Maire, sans broncher, avait sourit. La poussant même à aller de l'avant. Tout le monde ne l'aurait point fait. Beaucoup l'aurait évincé afin de s'approprier une fierté mal placée. Maria était une femme de coeur, une femme forte, une femme à côtoyer chaque jour, une femme bigrement souriante, une femme dont certaines devraient même s'inspirer. Je devrais parler au présent, non point au passé. Kaelig appréciait grandement Maria. Et lorsqu'elle décidait ce genre de lien, il était presque impossible de s'en débarrasser.

Dans le fond de l'immense pièce, les ménestrels commencèrent à jouer, au simple signe du clerc, une mélodie d'un tout autre ton : celui de la cornemuse. La blondinette reculait toujours, se faisant de plus en plus discrète. Profitant de ce moment de repos, elle fouilla dans une sacoche en cuir d'une taille peu commune mise de côté au préalable, en partie cachée par une pile de coussins en velours. Son éternelle compagne n'avait point pris la fuite, parfait!

La légumière tenta de héler, sans trop de bruit, Decanisy, Amrane, Max, Alpaide et Iseuld. Comme les évènements ne se déroulent jamais comme nous le voudrions, c'est avec les gros yeux qu'elle fit une seconde tentative. Pas de chance, vraiment! Son pas se voulant plus lourd que de coutume, la donzelle s'approcha des villageois, un doigt sur les lèvres, un signe de la main au bout des doigts. Cette dernière leur indiquait un coin de la salle.

- Pssssssiit! J'aurais besoin de votre aide, à tous!

Agacée, elle ajouta...

- Non! Non... Je ne peux point parler plus fort... Ne criez pas comme cela Decanisy!

Au passage, Kaelig lui donna un léger coup de poing sur l'épaule.

- Tenez Decanisy, voici deux cuillères à potage. Savez-vous comment en jouer? Regardez, comme ceci...

Les cuillères se posèrent l'une au-dessus de l'autre, une main les tenant fermement en haut du manche. Dans un bruit minime, elles claquèrent sur la cuisse de la blonde, créant un bruit mélodique.

- Non, ce n'est point pour battre les oeufs... Et non, vous ne pouvez point vous en servir comme levier...

La paysanne leva les yeux en l'air...

- Et vous autres, pouvez-vous frapper dans vos mains, sur vos jambes, sur le voisin, qu'importe! Suivez le rythme. En rythme et en cadence! Je vous ferais signe... D'accord? C'est pour Maria...

Satisfaite, elle alla pour cueillir sa bonne amie la gratte espagnole, attendant que Maria se libère pour leur numéro...
Iseuld
Iseuld était comme saoule d'avoir été entrainée de gauche à droite par Kaelig et ensuite par messire Bradwen dont elle admira les efforts pour ne point lui écraser les pieds et lui sourit tout au long de la danse.

-" c'est très agréable, lui glissa t elle, d'être accueillie comme cela dans ce village !
à peine arrivée, tout le monde se montre si gentil et cette fête est magnifique !!

Changement de partenaires. Souriante, Iseuld cède volontiers la place bien que les bras du jeune paysan soient forts plaisants et se dirige vers le siège le plus proche.

Les mimiques étranges de Kaelig attirèrent son attention
-" j'ai besoin de votre aide à tous " avait murmuré cette dernière.
Intriguée Iseuld la suivit

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--Alpaide
Decanisy l'avait plantée là et Amrane riait tout seul comme un bienheureux.

Elle se dirigea alors vers le buffet.
Vous vous asseyez et vous ne me proposez même pas de le faire ? Dommage pour vous, je me serai bien assise sur vos jambes moi... Je vais donc trouver compagnie ailleurs... Elle le regarde et se met à rire, piochant en passant un fourré de pâte aux pommes cuite délicieux qu'elle mange directement avec les mains.

Hum c'est délicieux ça... Bon alors qui vais-je aller embêter maintenant ? Elle voit Max tout penaud dans son coin et la nouvelle venue qui est attirée par la blondinette Kaelig. En fait elle voit beaucoup de monde se diriger vers elle et se décide à en faire autant, au moment où elle est appelée discrètement. Elle prend le bras de Max d'un côté et d'Iseuld de l'autre et les emmène.

Coucou Maxounet, belle soirée hein ? Bonjour dame, on ne se connaît pas, je suis Alpaïde une amie de Max et de bien d'autres. Oui... Kaelig ? Puis elle voit celle-ci mettre un doigt sur sa bouche pour demander de la discrétion... Hum discrétion et Alphy, c'est pas très compatible, elle va résister.

Alpaïde pour vous servir.
Bradwen
Le paysan prit la main droit de Maria dans la sienne et l'entraina dans une danse sur cette musique mélancolique mais pourtant porteuse d'espoir.

Il ressentait la mesme peine que la mairesse. La mesme peine ? Non, nulle doute qu'elle était différente. S'inquiéter pour un ami n'avait pas la mesme force que de s'inquiéter pour l'asme soeur.

Mais en ce instant, Bradwen ne souhaitait qu'une chose : apporter un peu de réconfort à Maria, et lui témoigner du soutien indéfectible de tous ses amis de Montmirail.

La danse prit alors fin. Le paysan inclina la teste devant sa mairesse et sans lascher sa main, la mena vers le groupe qui s'était formé autour d'elle.


Dame Kaelig, il me semble que vous avez b'soin d'Maria ?
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Decanisy
bon ben my vla des cuilerres...cuillères enfin bref pour manger la soupe pensa t-il

tak tagadak tak ah j'ai comprit dame kaelig

tagadak tak tak tazgadak tagadak tak tak tazgadak tak takk tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tagadak tak tak tazgadak tak takk tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk et youp la boum tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tagadak tak tak tazgadak tak takk tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tatagadak tagadak tak tak tazgadak tagadak tak tak tazgadak tak takk tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tak tak tazgadak tagadak tak tak tazgadak tak takk tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk tagadak tak tak tazgadak tak takk k takk

bon en même temps fallait point s'attendre a ce que se soit en rythme
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on peut mentir une fois a mille personnes mais on ne peut pas mentir mille fois a une personne....
Zora
Le temps...

Le temps est une notion difficile à appréhender puisqu'il arrive parfois qu'il dépende de la personne concernée. Imaginons que votre promis vous a donné rendez-vous dans une auberge juste après le coucher du soleil, mais qu'il est en retard. Ces cinq minutes que vous allez devoir endurer, seule, à vous inquiéter de savoir s'il va venir ou bien s'il lui est arrivé un drame, renversé par une charrette par exemple, ou bien tombé dans un puits en voulant recueillir de l'eau. Et bien ces cinq minutes, ces cinq petites minutes, vont vous paraître une heure.
Et maintenant imaginez que vous êtes en taverne avec votre promis, mais que vous savez qu'il doit partir dans cinq minutes. Le temps de lui caresser la main, de lui glisser quelques baisers au creux du cou et de vous regarder dans les yeux en échangeant des promesses d'amour, les cinq minutes sont déjà écoulées. Pourtant tout ceci vous aura sembler se passer en à peine quelques secondes à peine.

Eh bien Zora, il faut le dire, a une notion du temps assez ... personnelle. Vous savez, celle qui fait que, le temps de se préparer, de vérifier que tout va bien et qu'elle n'a rien oublié, eh bien ce qui dans sa tête ne fut que quelques minutes se révélèrent être bien plus.


Pour résumer la situation en quelques mots, Zora était en retard!

Ce qui fait que, quand elle entra dans la salle, la soirée était déjà bien commencée. Et ce qu'elle vit la surprit légèrement.

Elle s'attendait à ce que tout le monde soit réuni, à danser, à chanter une chanson, ou bien à écouter quelqu'un raconter quelque histoire.
Alors que non. Bradwen dansait avec Maria au son des cornemuses, tandis qu'un petit attroupement était réuni autour de Kaelig. La connaissant, elle était sans doute en train de préparer quelque coup fumant. C'est donc naturellement qu'elle se dirigea dans cette direction pour participer à la fête.

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