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[RP] Mon frère, c'te patate sèche

Naelhy
[Ma soeur, ce truc parfait et ultra intelligent !]


C'est pas du vol, juste une orpheline trèèès triste.
La mort de sa mère qui suit de loin celle de son père, mais pour les besoins de l'intrigue et ceux liés au pathétique de la gamine, disons que leur mort respective était proche.
Dans son malheur, la surnommée Lily trouva une forte consolation, enfaite une bride de souvenir qui prend place dans une latte du parquet dans sa chambre. (Précis, non ?). Parce que quand on est blonde et seule et qu'on a nulle envie de finir à la cour des miracles comme vase mieux vaut s'armer goulûment. Après cet élan soudain de pitrerie qui aboutit à une phrase qui ne veut strictement rien dire, parlons des faits.

La belle revient alors sur les pas de ces ancêtres, mais juste sur une génération car prendre le bateau pour visiter les Anglois telle sa cousine Luna n'était pas dans son programme. L'eau, ça pue. Pour la Tartine, du moins.


« Bordel ! Mais il est où ? Dessous de planché de mes deux... »

De tes deux quoi ? -t'as pas d'seins j'te rappelles.
Elle jure plus fort à cette idée, namého ! On se permet de se foutre de la perfection incarnée que représente la matérialisation d'une silhouette comme celle qui lui a été accordé. Mettre pleins de mots dans une phrase, ça rend tout de suite le discours plus classe.

Le mieux dans l'affaire, c'est qu'elle est seule, qu'elle se plait à penser, naïvement, sûrement. Les portes grinces dans un silence de mort, l'appartement familial est exagérément grand pour une famille de si basse noblesse, voire plus bourgeoise que noble.


« Âââhh ! »

L'onomatopée qui sert strictement à rien, alors, pourquoi ? mais pourquoi ? en faire le rapport. J'aurais juste pu dire qu'elle s'exclame devant le petit coffre qu'elle trouve dans un recoin ultra caché derrière la table de chevet vieux rose ultra poussiéreuse qu'elle à balancer pour découvrir une sorte de trappe, ce qui fait vraiment secret dit comme ça.
La blonde ouvre la trappe, fouille, trouve que c'est sale, puisque, soyons-clair, ça l'est ! Ca fait quand même trois mois que personne passe à part les gueux travaillant pour la mère et qui ont eu un malin plaisir à voler la moitié des meubles.

Et vas-y qui manque un pot de chambre dans ma maison et vas-y que...
Ôôô ! ôô ! -ô... Ca brille foutrement bien çâââ !
Elle secoue le poignet comme une demeurée. Autant il ne reste plus que la robe jaune, et elle à beau être blonde, le jaune, ça lui va mal, dans l'armoire, autant ce bracelet, et c'bidule là, ça lui remonte le moral.

Le cul à terre, les mirettes bien en éveil, elle observe avec une attention toute naturelle mais assez oublié, ce machin qui brille et tout ces copains en strass dans le coffre.




*On sait que les patates c'est un peu anachronique mais ça sonnait bien.
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Arm
Bouh.

Ça c'est une bonne entrée en matière pour Arm. Paf des mains sur les épaules de sa soeur en lui criant dans les oreilles.

Quelle surprise, alors qu'il était là par hasard... heu non pas du tout par hasard, mais alors qu'il était là, boum, voilà qu'il y a une soeur idiote assise par terre en train de tripoter un bracelet. Il avait même failli ne pas la reconnaître tellement il était surpris.

La laissant à son étonnement et sa surprise, hop, il lui prend le bracelet des mains, puis le coffret entier, avec un sourire narquois.


C'est quoi ça ? C'est à toi ? Surement pas.

Oh, et ça vaut surement cher.


Il n'allait surement pas avouer qu'il était lui-même venu dérober des trucs et des machins, mais c'était difficile à cacher.

Bon, parfait, c'est à moi maintenant, d'accord ? Merci t'es gentille.

Sans lui laisser le temps de réagir et répondre, il se pencha pour poser un baiser sur son front, comme il est gentil, en protégeant bien son butin, on n'est jamais trop prudent.

Bonjour, sinon, ça va, soeur ?

Ça sonne bien "soeur", dis comme ça, c'est irréfutable tout en étant parfaitement hautain. Et rien à battre, en fait, si elle va bien ou pas, surtout qu'elle n'allait surement pas bien vu qu'elle venait de voir s'éloigner un tas d'objets dont les princesses dans son genre raffolent.

Comme elle est capable de mordre, il s'éloigne d'un pas pour la regarder protester, crier, pleurnicher, rouspéter et tous les autres trucs qu'elle sait très bien faire.
Naelhy
«Rends môôa ça !»

Plissage de nez, ouragan qui lui sort des oreilles, le tout y est. Elle lève même la main comme menace pour la joue du blond. Elle ne la pas vu depuis des années qu'il se sent obliger de venir l'emmerder en lui volant son bracelet.
Car oui, ce bracelet et ce coffre n'étaient nullement au deux survivants de cette branche Wolback, après tout en temps que fille unique son ainé se devait de lui laisser


« Ou sinon... »
« C'est quoi ça ? C'est à toi ? Surement pas.
Oh, et ça vaut surement cher. »


Coupée dans son élan, elle lève son royal derrière du planché qui à eu l'honneur de le porter. La robe emprunter à une cousine blonde de Breizh quelques mois plus tôt glisse sur le sol, être petite c'est pas franchement pratique lorsqu'il s'agit d'emprunter des robes à d'autres grandes perches.

Le doigt est levé, vraiment menaçant lui.
Autant la main n'était pas bien folichonne, mais devant ce geste-ci il ne reculera pas.


« Bon, parfait, c'est à moi maintenant, d'accord ? Merci t'es gentille. »

Il faut croire qu'elle est condamner à brasser l'air jusqu'à la fin de sa lamentable existance. Et l'ainé continue de se pavaner devant la gourde qu'elle est, avec le petit et ravissant objet en bois et surtout ce bracelet.
Le pouvoir d'un bijou, vu et revu, tellement utiliser qu'on en a marre de l'entendre.
Changeons donc de registre.


« Bonjour, sinon, ça va, soeur ? »
« Oôôh Oôôh ! On fait son malin !»

Stratagème perfide pour gagner efficacement du temps. Parfois c'est assez utile, mais à le voir on aurait l'impression que le nigaud la connait un peu trop bien.

« T'étais où quand l'autre à clamser pour mériter d'avantage tout cela ? »

Bien c'est pas avec des questions comme ça qu'on arrivera à grand chose.
Activation rapide du cerveau mit en stand by depuis trop, trop longtemps. Elle avise Armand, la distance qui les sépares, ce dit qu'elle est franchement pas prête de revoir son joujou qui brille, et que c'est franchement con.
Alors elle lui saute dessus. Oui, comme ça, d'ailleurs ça va tellement vite qu'elle lui mord déjà le bras.

Mais rends-moi ce coffre ! La tartine le hurle mais juste dans sa caboche, puis elle est bien trop occupé à lui broyer le bras.
Qui a dit qu'elle n'avait pas de force ?

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Arm
Visiblement, il avait sous-estimé la volonté de sa soeur à vouloir récupérer son coffre plein de bijoux. Elle était tout de même rapide pour lui sauter dessus, et surtout acharnée.

Mais AAAAIE, lache mon bras, vipère !

Elle n'avait plus les mêmes dents qu'étant gamine, elles avaient apparemment bien poussé. Du coup, ça faisait mal au point qu'il avait l'impression de déjà saigner abondamment. Juste une impression en fait car il garderait à peine une égratignure. Le temps de se rendre compte qu'il ne risquait pas de décéder mangé par sa soeur, il pouvait réagir. Bon, il n'allait quand même pas lui mettre un coup sur le crâne pour l'assommer, ça ne faisait pas. Restait à profiter de sa force pour la renverser, ce qu'il fit, mettant le coffre hors de portée avant de la bloquer au sol difficilement.

Ça va, oh, pas la peine d'y aller si fort, soeurette, désolé, tu peux garder ton coffret, mais tu restes sage hein, et tu ne mords plus !

Elle était toute rouge et énervée c'était presque mignon.
Il se releva donc pour la libérer et lui laisser reprendre son bien laissé au sol, laissant au passage échapper quelque chose de sa poche par mégarde.


Tu vois, je suis gentil, je te laisse chouraver des objets en paix, tu vas me rendre la pareille hein ?

Tu parles, la peste allait surement se ruer sur son coffre, lui tirer la langue et éventuellement lui filer un coup de pied dans le tibia. En attendant, son cerveau pouvait rebobiner et se rappeller les paroles de la folle. C'est qui qu'est clamsé en fait ? Comme d'habitude, on ne comprend rien à ce qu'elle dit, et elle dit peut-être même n'importe quoi au hasard, limitée par la petite taille de son cerveau.
Naelhy
Il était bizzare qu'à chaque fois, dans chacune de ces mésaventures, ou un bon morceau, elle se retrouver finalement l'cul à terre.
-Le coffre? Me laisse le coffre?
Assisse par terre et pas très fière, même si ce n'était pas faute d'essayer de garder un semblant de dignité il restait plutôt moindre.

Sa main part vers le coffre, sans quitter l'infâme frère du regard bleu-gris qu'elle espère meurtrier, mais là encore, on en doute sévèrement.


« Huhu. »

La Tartine renifle le coffre, des fois qu'il l'aurait empoissonné au passage, au cas ou enfaite. Après vérification elle ouvre l'objet.
-Ô beauté infinie! -Ô brillance suprême!
Elle fait glisser ses doigts sur les précieux bijoux, se les appropries sur le regard de son frère quand son regard, à elle, le sien, est attiré par un bout de papier qui lui semble suspect.
Peut-être une de ces cartes cachés comme dans les livres, que son paternel aurait laissé et qui indique ou l'infâme mère aurait planqué tout son magot!

Ô que ça lui parait sympathique. Elle se jette dessus et ouvre la lettre.
Ô déception...ce truc à en rien l'air d'un testament caché, encore l'oeuvre de pigeons ivres.


Citation:
A Princesse Rodriguette & Sa Paillasse blonde

Toujours pas de nouvelles de sa Grandeur et de son alcoolyte... Vous pourriez répondre quand on vous écrit ! Vous avez clamsé après avoir ingurgité trop de liqueur de framboises ? A moins que vous ne soyez entrés en transe éthylique jusqu'à ce que de l'eau de vie ne sorte du pi des vaches. On est pas prêt de vous revoir dans ce cas ! C'est dommage, vous allez rater la sauterie du siècle.

J'organise des festivités à la sauce morveuse pour mon passage à la majorité. Les activités du jour seront de celles que vous affectionnez tant : une chasse à l'homme, suivi d'une chasse au trésor.

Si vous pouviez faire chauffer vos gros bras et rapiécer vos jupons avant de ramener vos fesses à Montauban, ce serait parfait ! Présentez-vous à l'Alabrena le vingt-sixième jour de ce mois. N'oubliez pas la barque-mobile. Elle nous sera utile pour la seconde partie du programme.

Griotte, comme la cerise.


Même rituel que pour chaque lettre. Elle avance les narines, et comme chaque lettre, celle-ci à l'odeur de papier. Pourquoi ne lui arrive t-il jamais rien d'extraordinaire à la petite blonde?
La Tartine retourne le vélin. Essaie même de voir si dans un miroir ça ne fait pas un message codé. Ses parents auraient du lui interdire d'apprendre à lire.
Se rappelant soudain de la présence d'un autre représentant de la fratrie elle se remet à l'instruire de sa parole divine.


« C'est une invitation... » Déduit-elle. « Et... » Continue-t-elle. « C'où Montauban? » Interroge-t-elle.

Dégageant des certaines mèches blondes parfaitement lisses et surtout rebelles de son front elle attend la réponse qui ne tarde pas. Griotte. C'est presque pire que son véritable prénom.

« Parce qu'on va y aller. »

Elle se dégage du sol, faisant face à "l'imposant frère". Elle ne savait pas à quoi ressemblaient les deux individus concernés, elle avait entendue parler d'une paillasse au temps où elle avait rejoint sa cousine chez les fauchards, avec un peu de chance c'était ça. Ils n'auraient qu'à inventer une nouvelle identité une fois entré!
Simple comme bonjour.


« Princesse Rodriguette. »
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