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[RP] Moulin des Kerdren, et les ailes tournent encore ...

Peterpan31
Vide. Le vieux moulin était vide ou presque. Le patriarche à collants verts s'était peu occupé de sa minoterie depuis bien longtemps.

Ses épousailles jadis avec la défunte Mirwen, qui avait laissée une empreinte impérissable sur Kastell Paol, l'avait éloigné du lieu. Il avait pourtant, comme un gueux qu'il fut, vécu dans cet endroit à présent quelque peu délabré, dont mêmes les ailes semblait souffrir à ne point subir les assauts du vent pour réaliser leur belle ouvrage, de la farine.

Peter, ex-Vicomte consort de Ploërmel songeait à cela en pénétrant dans son Moulin de Kerdren. Ce moulin qui lui avait donné son nom, à lui, le sans famille, l'orphelin. Et à sa fille, Missanges. Comme elle, il avait été en quelques sortes adopté par l'édifice, lui qui se désignait comme "le fils de Kastell Paol".

En déblayant un peu les planches et gravats qui traînaient ça et là sur le sol de la minoterie délabrée, Peter songea encore à ce doux rêve, ce château de Ploërmel, son luxe, ses gens pour l'entretenir et s'enquérir du bien-être de ses propriétaires ... Tout cela était bien loin à présent.

Repartir de l'avant supposait d'abord revenir en arrière, sur les traces de son passé, dans ce moulin qui portait, comme lui, les marques des vicissitudes de la vie et du temps, qui s'écoule et nous ronge comme la peste.

La lumière du soleil réchauffait peu à peu la pièce après que Peter eut ouvert les volets. Il trouva près de l'âtre du bois mort, le donna en guise de repas à la cheminée affamée et, bientôt, un feu flamboyant fit entendre son crépitement. Peter frissonna en regardant ces flammes.

Décidément, rien n'est jamais définitivement éteint.

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Fol d'amour pour sa Lili
Missanges
Le jour n’était pas encore levé, j’avançais dans l’obscurité, puis surgissant devant mes yeux, les ailes de mon moulin m’apparurent, frêles, aériennes semblant lutter contre le vent. Je me sentis soudain comme ces ailes, fragile en apparence, forte intérieurement, pouvant lutter contre assaillants de toutes sortes.

Menant son cheval à l’écurie, je reconnus le palefrenier de mon dernier voyage. Celui-ci accourait en grande hâte, cherchant à se rendre utile souriant en me voyant. Mais dans sa précipitation, ne voyant que l’animal, ou finalement pourquoi pas moi après tout, il manqua de tomber et se rattrapa comme il put, sur le premier objet venu. Une échelle de fortune se tenait droite le long d’un mur en pierre, mais elle ne résista pas longtemps à sa droiture elle glissa lentement et dans un vacarme se cassa sur le sol en plusieurs morceaux.

A cet instant, je sus que les secondes peuvaient devenir des heures. Avec un hennissement de panique, le cheval se cabra, ses deux pattes avant menaçantes balayant le vide, je ne savais que faire. Le sang m’affluant aux tempes, le cœur cognant dans ma poitrine, j’eus soudain très peur. Essayant tant bien que mal, de maintenir ma prise sur les rênes, je me cramponnais, souhaitant que mon cheval se calme… Et tout s’enchaîna comme un éclair, je perdis l’équilibre, et, dans une magnifique cabriole, me retrouvais à terre.

Je venais d’un long voyage, j’avais eu quelques moments difficiles avec ma monture, j’avais usé de patience lorsqu’elle celle ci, n’avais pas voulu traverser un pont en bois sur la route. Mais enfin rien de bien grave et là, juste à la fin je me retrouve par terre. A cause …à cause…

J’suis désolé, m’zelle, vous ne vous êtes pas fait mal ??? J’suis étourdi

Levant les yeux vers lui, je le voyais tellement rouge et tout maladroit. Sentant une boule de colère monter en moi, je me levais ne pouvant lui répondre. Posant ma cape, je débarrassai mon cheval de son harnais et me penchai pour prendre une poignée de paille sèche et entrepris de bouchonner ma monture en lui murmurant…

Doucement mon beau, je crois que nous allons nous calmer toutes les deux.

Je sentais bien son regard sur moi, ne sachant que dire ou bien que faire, il était mal à l’aise, comme on l’est toujours dans ces moments -là, un peu idiot

Alors si vous bouchonnez, vous-même votre cheval m’zelle, je vais lui donner à manger moi.

D’un hochement de tête, je le regardai grimper au grenier par l’échelle étroite et jeter des fourchées de foin pour nourrir mon cheval. Mais voilà lorsque tout commence mal …bien ça continue…

Vlannnnn !! Ses deux coups de fourches furent sur moi, je me retrouvai couverte de foin.

Soufflant sur le brin qui me cachait les yeux, ma main se porta machinalement sur mes cheveux, ôtant la paille reçue. Levant la tête pour le regarder, jamais je n’avais vu encore un visage aussi rouge quoique… peut être, bien que si finalement, en bien y réfléchissant…mon père, Kurios, Joe…Oui, ces trois gais lurons peuvent l’être après plusieurs chopines …humm !! Peut être pas tout le visage, juste le nez…

J’éclatai de rire à la vision de ses visages et à celle du jeune garçon. Celui ci était descendu de son échelle, en quatrième vitesse pour m’aider, mais je stoppai son élan d’un geste de la main.

Rappelle-moi de te trouver un autre emploiJe m’approchais de lui en riant lui déposant un léger bisou sur sa joue…

Je suis trop contente d’être de retour, impatiente de voir mon père et mes amis, pour que cet incident sois pris au sérieux..

Le laissant encore plus devenir rouge, je sortais criant

Il y a quelqu’un dans ce moulin !!!!!!!!!!

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Peterpan31
Peter avait reconnu la voix de sa fille. Une voix forte, assurée, celle d'une jeune femme qui avançait vers l'avenir, pleine de certitudes, faisant fi des obstacles et des quolibets qui avaient pu jalonner son parcours jusque là.

Il était fier qu'elle aie repris à son compte les valeurs des Kerdren, celles qui ne donnent de l'importance qu'à ceux qui le méritent, celles qui disent que ce n'est pas celui qui parle le plus fort qui a raison, celles qui soutiennent que jamais on ne doit se laisser dicter sa conduite, ni se soumettre, celles qui érigent la liberté comme étendard et qui dénoncent le fatalisme comme un fléau à combattre.

Peter répondit simplement :


Entre, ma fille, cette demeure est humble. Mais c'est la notre et nous ne devons pas avoir honte de qui nous sommes ou de où nous vivons.

En la serrant contre sa poitrine, il murmura :

Et l'apparence n'est que l'habit de ceux qui ne savent pas montrer leur vrai visage. Ma vie déjà longue m'a appris que toujours le masque tombe.
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Fol d'amour pour sa Lili
Missanges
J’avais poussé le battant de la porte un peu trop vivement, criais sûrement un peu trop fort. Mon père avait dû entendre ma voix. Car il se tenait au milieu de la pièce les bras ouverts pour m’accueillir. Lorsque je le vis, un grand sourire illumina mon visage. Je me précipitais contre sa poitrine l’embrassant tendrement sur ses deux joues un peu pâlottes. J’écoutais posément ses paroles emplies, comme toujours de sagesse.

Relevant mes yeux vers son visage, le regardant affectueusement, je ne savais que lui répondre. Ces mots résonnaient à mes oreilles…cette demeure est humble…nous ne devons pas avoir honte…Je prenais conscience de son changement de situation, de son nouveau mode de vie.

Ces états de services défilaient dans ma tête. Il faisait tellement de choses, oeuvrant constamment pour sa Bretagne chère à son cœur. Je réalisais soudain combien sa peine avait dû être grande, il avait perdu ma mère la vicomtesse de Ploërmel, puis avait dû quitter sa vie confortable au château. Je revis le document lui signalant qu’il avait une semaine, pour faire ses bagages, moi aussi par la même occasion. Je le savais pourtant si loyal et si fidèle à celui qui avait signé cela. Mon cœur se serra tristement pour lui.

Si une personne devait avoir un titre, c’était bien lui, mais la différence était là. Il oeuvrait simplement sans rien attendre en retour.

Je pinçais mes lèvres, soufflant pour dégager ma mèche rebelle de mes yeux, balayant du regard la pièce. La cheminée crépitait doucement répandant une douce chaleur dans la pièce. Je me détachais de mon père, m’avançant vers l’âtre, frottant mes mains devant la douce flamme. Mes yeux suivaient les étincelles, je cherchais mes mots, je retournais mon regard vers lui.


Père, ce moulin nous ressemble tu sais, il est humble comme le sont nos cœurs, grand comme l’amitié que nous donnons. Ses ailes sont libres comme nos pensées peuvent l’être .. Et je n’ai aucune honte à y vivre, si tu y consens.

Je réalisai soudain que mes bagages étaient toujours chez son amie Précio, à l’auberge du phare. J’y avais séjourné depuis mon départ du château.

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Peterpan31
Les yeux remplis de fierté et de gratitude, Peter observa sa fille qui tentait de se réchauffer près de l'âtre. Il lui répondit :

Ce foyer est le tien. Tu n'as pas besoin de mon consentement et tu pourras l'agrémenter comme tu l'entends, ce qui ne sera pas tâche légère étant donné l'état de ce moulin inhabité depuis trop longtemps !

Se pinçant les lèvres, il ajouta :
Je te laisse t'installer, j'ai pris l'habitude à cette heure de m'en aller promener sur la plage, flânerie propice à laisser vagabonder mon esprit.

Je suis à présent un vieux loup solitaire, tu sais !
conclue-t-il d'un rire un peu forcé, en se dirigeant vers la porte.
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Fol d'amour pour sa Lili
Missanges
Un peu tristement, je regardais mon père sortir de la pièce. La plage ...décidément nous avions les mêmes goûts. Moi aussi j’adorais me promener le long de la côte, les pieds dans l’eau.

Mon regard se reporta sur la pièce, et j’examinai avec plus d’attention la salle où je me trouvais. Je posais ma main sur le mur, m’imprégnant du caractère dominant du moulin. Aucune partie de la maçonnerie n’était tombée, les murs étaient sains. Je laissais mes doigts parcourir la pierre, pensant à la mémoire des Kerdren.

Un escalier discret montait à l’étage et desservait quelques pièces. Les chambres, la salle d’eau. Un autre escalier accédait à l’essence même de ce moulin. Des sacs de blés jonchaient le sol. Une bonne odeur de froment embaumait la pièce. Je découvrais le lieu de travail de mon père, souriant à la pensée qui me venait, il était meunier, j’étais boulangère.

Je redescendais les étages, sautant légèrement sur les marches. Une multitude d’idées en tête, ce moulin allait revivre, j’allais l’aménager, le faire tourner. Je sortis d’un pas décidé chercher mes affaires chez mon amie Précio.

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Missanges
De retour au moulin, mes affaires sous le bras je remontais à l’étage m’installant dans une chambre inoccupée. La pièce dans laquelle je me trouvais était haute, la fenêtre longue et étroite.

Je m’avançais vers l’ouverture, la mer était là devant mes yeux. Le moulin avait vue sur la plage de Kastell Paol.

Redescendant dans la grande pièce, mes yeux se portèrent sur une malle. Des draps et de nombreux tissus de lin étaient pliés. Je caressais l’étoffe et mon esprit vagabondait sur l’emploi de celui-ci.

Regardant les deux fenêtres, je constatais qu’aucune touche féminine n'avait marqué de son empreinte cette pièce. Les deux barres de fer, au-dessus de chacune d’elles étaient restées sans apparat.

Relevant mes manches je me sentis l’âme courageuse pour redonner vie à cette pièce. Je balayais et nettoyais le sol. Je cirais la grande table de bois et les chaises. J'y disposais des chandelles pour y donner de la clarté. J’avançais deux grands fauteuils, près de la cheminée. Déployant le tissu, je confectionnais des rideaux, les posant de chaque côté des fenêtres.

Tirant la malle au milieu du pan de mur, je laissais mes yeux regarder l’arrangement de la pièce. Je trouvais le beau tissu de lin un peu trop fade, sur le mur de pierre. Une idée me vint à l’esprit. La Bretagne. Mon père et moi-même en étions tellement amoureux. Je brodais par-ci, par-là le blason de celle-ci sur l’étoffe beige.

Terminant par deux coussins sur chaque fauteuil, je m’assis devant l’âtre me reposant un peu. Désir, mon petit chat sauta sur mes genoux, je le caressais. Je l’avais tellement délaissé ces jours- ci, mais n’étant pas rancunier il ronronnait sous ma main.

Le posant à terre je remontais à l’étage, fouillant dans mes affaires. Je redescendais posant au sol, à côté de la cheminée, le coussin que ma filleule Marianne m’avait offert pour lui.

Regardant une énième fois la pièce, un sentiment de bien- être m’enhavit. J’étais chez moi, je n’avais jamais eu cette sensation au château.


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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Peterpan31
La porte branlante du moulin s'ouvrit à la volée.

Son propriétaire y pénétra, le souffle court. Immédiatement il s'approcha de sa fille, qui tranquillement aménageait l'intérieur, en chantonnant.

La mélodie qui sortait de la bouche de sa fille s'interrompit dès qu'elle croisa le regard de son père. Son sourire s'estompa en même temps qu'elle vit l'angoisse qui transparaissait sur le visage de celui qui l'avait adopté quelques années plus tôt.

Sans ambages, Peter dit simplement dans un souffle :
J'ai ... j'ai un fils, et il ne sait pas que je suis son père ... je crois.

Et il s'effondra, la tête dans les mains, ne sachant quelle conduite tenir.
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Fol d'amour pour sa Lili
Missanges
Je sursautais en entendant la porte s’ouvrir bruyamment. Ma voix se figea et j’observais mon père entrer dans le moulin.

Depuis tout ce temps, j’avais appris à le connaître. Il était comme moi, ou plutôt j’étais comme lui. Pas besoin de grand discours, juste les phrases essentielles.

Ce regard, je le lui avais déjà vu, dans la chambre au château. Lorsque je veillais ma mère. Ayant effectué le Tro Breizh en tant que porte-parole de Bretagne. Il était arrivé fatigué, mais surtout, il était arrivé la mort dans l’âme d’avoir perdu une partie de lui-même, sa femme.

Ses gestes le trahissaient. Ses yeux se voilaient lorsqu’il avait une chose importante à me dire. A sa voix je sentais que la discussion ne serait pas comme d’habitude.

J’écoutais silencieusement mon père. Sa voix était triste, teintée de mélancolie.

J'ai ... j'ai un fils, et il ne sait pas que je suis son père ... je crois.

Je dévisageais mon père, mes yeux cherchant les siens , ma gorge se noua.

Tu as un fils ? Je ne comprends pas.

Doucement je lui pris les mains. Je levais mon regard vers lui cherchant les mots justes pour sa détresse soudaine.

Père, c’est une bonne nouvelle. Dans notre contexte actuel, avec la mort de mère. C’est comme une naissance… Pour toi, pour moi, enfin pour nous. Je ne comprends pas cependant comment il ne sais pas qu’il est ton fils. Je le connais ?

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Peterpan31
Père, c’est une bonne nouvelle. Dans notre contexte actuel, avec la mort de mère. C’est comme une naissance… Pour toi, pour moi, enfin pour nous. Je ne comprends pas cependant comment il ne sais pas qu’il est ton fils. Je le connais ?


Peter releva la tête. Sa fille, compréhensive, attentionnée comme à son habitude, n'allait pas se sentir trahie, n'allait pas le rendre coupable de quelque faute, non.

Ses paroles réconfortaient déjà l'homme récemment endeuillé.
Il répondit :


Si tu le connais ? Je le crains. Il sera là, bientôt ...

Je ne lui ai rien dit.

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Fol d'amour pour sa Lili
Missanges
Je pensais tout connaître. Enfin pour ce qui était de ma famille. Car tout connaître était une phrase bien prétentieuse. Les mots de mon père résonnaient en moi.

…Je ne lui ai rien dit.

Je dévisageais mon père, J’avais un frère, que je ne connaissais pas. Et lui avait un père, qu’il ne connaissait pas. Je savais que nous étions une famille étrange. Par mes récents voyages, lorsque je me présentais en taverne, je voyais les sourires à l’annonce de mon nom. Perterpan de Kredren votre père…Heu… l’homme aux collants verts.

Cela me faisait sourire, j’en étais fière même. Mais tout ça les enfants ne le disent jamais. Seulement lorsque cela est trop tard.


…Si tu le connais ? Je le crains

Ainsi je connaissais ce garçon donc ! Plusieurs noms défilaient dans ma tête. Qui cela pouvait t’il être ?

Allait t’il m’aimer lui ! Formerons-nous une vraie famille ? Avait t’il souffert ? Comment avait été sa vie ? Trop de questions se bousculaient en moi.


…Il sera là, bientôt...

Alors il allait venir, ici, au moulin. Je m’assis dans le fauteuil à côté de mon père. Mon visage était rassurant, juste mes mains trahissaient une certaine angoisse.

Qui que ce soit, s’il nous aimait nous l’aimerions en retour.

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Blotus1er
Ce matin là, blotus traversa st pol, la nuit avait été agitée, peu de sommeil, mais des questions qui revenaient en boucle.


Les yeux un peu rougis par la fatigue, il se présenta devant la porte de la demeure des Kerdren.

Apres un petit moment d'hésitation, il frappa.....
Peterpan31
Le silence pesant qui régnait dans l'enceinte du Moulin fut soudain déchiré par quelques coups frappés timidement à la lourde porte de bois.

Peter sursauta, alors que sa fille s'était tout à coup immobilisée.

Quelques secondes interminables passèrent. Puis, il dit, la gorge nouée :
Entre ! ... Entre !...
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Fol d'amour pour sa Lili
Blotus1er
Une voix retentit, on l'invitait à entrer ! blotus poussa la porte et se retrouva face à Peter. Son visage paraissait tout aussi tendu que la veille.
l'atmosphere lourde qu'il ressentit aussitot tranchait avec la personnalité de Peter.

Aussi, Hesitant, ne sachant par quoi commencer, blotus esquissa quelques mots ..

Je .... me voilà Peter ! je suis venu comme tu me l'a demandé, mais je dois dire que je me suis beaucoup inquiété .

[b]Ton départ précipité de la plage ! Je me suis demandé, enfin .... si tu n'avais quelques soucis, ou bien si mes paroles t'avaient heurté. Si c'est le cas, et bien j'espere que tu pourras me dire de quoi il s'agit.


il marqua une pause..

J'ai aussi une question, et elle concerne ma mère...

blotus observait Peter, et tres nerveux enchaina.

Ce que je veux dire, c'est que quand tu es parti, j'ai eu le sentiment que tu l'avais connu. C'est le cas ?
Peterpan31
Aïe ! Le moins que l'on puisse dire, c'est que Blotus - puisque c'était bien lui qui avait toqué - n'y allait pas par quatre chemins !

Peter tritura nerveusement, ce qu'il avait entre les pognes à ce moment-là, une vieille paire de collants troués et usés qu'il ne mettait plus de puis longtemps, mais lui servait à gérer au mieux son anxiété.

Et anxieux il l'était. Sa fille le regardait avec une pointe d'encouragement dans les yeux. Il répondit alors :


Bienvenue au Moulin, Blotus !

Tu vois, Missanges l'agence au mieux depuis quelques jours. Elle va finir par en faire un lieu agréable à vivre !

Tiens, Miss, sors donc une de mes meilleures bouteilles de Prune de la réserve ! Nous serons mieux pour discuter ...

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Fol d'amour pour sa Lili
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