Viken
Nous étions de retour au moulin et ce fut un réel plaisir de retrouver les trois mamettes qui n'attendaient certainement que cela.
A les voir courir après les petits Kerdren, je me dis qu'elles avaient dû avoir des jours mouvementés.
Mais ces femmes avaient au moins autant de ressources que ces petites canailles qui devaient bien s'amuser de les faire tourner en bourrique. J'étais même certain qu'elles en étaient ravies mais que pour rien au monde, elles ne l'auraient avouer.
Mahestine sauta dans les bras de Miss et je les regardais d'un oeil attendri. J'embrassais à mon tour les mamettes l'une après l'autre, les serrant contre moi avant de faire claquer une bise bien sonore sur leurs joues fripées.
Je m'étais attaché à elles comme si elles avaient toujours fait partie de ma famille, craquant pour leur gentillesse autant que pour leurs frasques mémorables.
Et à peine arrivé, c'était d'ailleurs reparti, chacune allant de son commentaire ou de son pronostic sur la naissance prochaine de notre enfant. Les laissant palabrer, je m'approchais de ma petite femme et, la prenant dans mes bras, déposais un doux baiser le long de sa nuque.
Je les laissais dire un moment avant de lâcher en leur souriant.
Cela sera un enfant de lamour tout simplement les Mamettes, notre enfant et puis cest tout, ça ne va pas vous rajeunir ça hein !
M'attendant à voir leurs yeux se noircir d'un coup, je ne leur laissais pas le temps de s'offusquer et emmenais Miss vers la grand salle du moulin en lui murmurant au creux de l'oreille.
Elles n'ont pas fini de te couver d'ici la naissance mon ange. Tu vas être chouchoutée.
A les voir courir après les petits Kerdren, je me dis qu'elles avaient dû avoir des jours mouvementés.
Mais ces femmes avaient au moins autant de ressources que ces petites canailles qui devaient bien s'amuser de les faire tourner en bourrique. J'étais même certain qu'elles en étaient ravies mais que pour rien au monde, elles ne l'auraient avouer.
Mahestine sauta dans les bras de Miss et je les regardais d'un oeil attendri. J'embrassais à mon tour les mamettes l'une après l'autre, les serrant contre moi avant de faire claquer une bise bien sonore sur leurs joues fripées.
Je m'étais attaché à elles comme si elles avaient toujours fait partie de ma famille, craquant pour leur gentillesse autant que pour leurs frasques mémorables.
Et à peine arrivé, c'était d'ailleurs reparti, chacune allant de son commentaire ou de son pronostic sur la naissance prochaine de notre enfant. Les laissant palabrer, je m'approchais de ma petite femme et, la prenant dans mes bras, déposais un doux baiser le long de sa nuque.
Je les laissais dire un moment avant de lâcher en leur souriant.
Cela sera un enfant de lamour tout simplement les Mamettes, notre enfant et puis cest tout, ça ne va pas vous rajeunir ça hein !
M'attendant à voir leurs yeux se noircir d'un coup, je ne leur laissais pas le temps de s'offusquer et emmenais Miss vers la grand salle du moulin en lui murmurant au creux de l'oreille.
Elles n'ont pas fini de te couver d'ici la naissance mon ange. Tu vas être chouchoutée.