Alceste
Alceste avait aidé Luaine à épauler le blond jusqu'à la chariotte, dès qu'il avait repris un senblant de conscience.
Elle avait examiné la mini joute verbale des deux, voyant que l'homme ne voulait pas dire grand chose de ce malaise qui semblait inquiéter la walsh-Montfort. Il semblait trainer derrière lui une grande mélancolie.
Elle ne compris pas grand chose aux vers de la petite aveugle qui semblait trainer là tel un fantôme, il y avait certainement des choses à comprendre entre ses mots, mais la brunette, n'en n'avait pas plus le coeur, elle se laissait guider et n'avait nul envie de reflechir.
Reprenant quelques couleurs, et encore il fallait le dire vite, le trio se dirigea vers une taverne des plus proches.
le lieu semblait calme, l'aubergiste aimable, et en dehors des quelques vieux qui jouait aux dés, et d'une femme desoeurvrée, la troupe s'installa et un repas fut prestemment apporté.
L'ami de son amie ne semblait guère avoir d'appétit, pas plus qu'elle, qui tournait sa fourchette, jouant à disperser le tout dans un ensemble des plus charmants au lieu de porter le tout dans sa bouche.
Une petite tisane fut sirotée, quand les questions de Luaine se firent trop insistantes, il les esquiva en se tournant vers la Saint Germain.
Alceste Saint Germain de la Raude, voilà mon nom en son entier..
Petit sourire.
Une vraie histoire ce nom, je vous en conterais l'histoire un autre jour si vous le souhaitez, si non, non je ne suis pas de Sarlat, je viens de Castillon.
Et vous ? Vous êtes le fameux Gueld, j'ai beaucoup entendu parlé de vous, et même si nous comptions vous rendre visite, nous ne pensions pas vous trouver au plus mal. Vous m'avez foutu une de ses frousses avec vos yeux qui partaient dans tous les sens.
Ses yeux noirs brillèrent un instant de malice, elle degagea une de ses meches rebelles en arrière, et se prit d'une passion soudaine pour sa tisane.
La mélancolie du jeune homme, allez savoir pouquoi fut contagieuse et elle habituellement plutot gaie, ressentit un vague à l'âme étrange chez la battante qu'elle était.
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Elle avait examiné la mini joute verbale des deux, voyant que l'homme ne voulait pas dire grand chose de ce malaise qui semblait inquiéter la walsh-Montfort. Il semblait trainer derrière lui une grande mélancolie.
Elle ne compris pas grand chose aux vers de la petite aveugle qui semblait trainer là tel un fantôme, il y avait certainement des choses à comprendre entre ses mots, mais la brunette, n'en n'avait pas plus le coeur, elle se laissait guider et n'avait nul envie de reflechir.
Reprenant quelques couleurs, et encore il fallait le dire vite, le trio se dirigea vers une taverne des plus proches.
le lieu semblait calme, l'aubergiste aimable, et en dehors des quelques vieux qui jouait aux dés, et d'une femme desoeurvrée, la troupe s'installa et un repas fut prestemment apporté.
L'ami de son amie ne semblait guère avoir d'appétit, pas plus qu'elle, qui tournait sa fourchette, jouant à disperser le tout dans un ensemble des plus charmants au lieu de porter le tout dans sa bouche.
Une petite tisane fut sirotée, quand les questions de Luaine se firent trop insistantes, il les esquiva en se tournant vers la Saint Germain.
Alceste Saint Germain de la Raude, voilà mon nom en son entier..
Petit sourire.
Une vraie histoire ce nom, je vous en conterais l'histoire un autre jour si vous le souhaitez, si non, non je ne suis pas de Sarlat, je viens de Castillon.
Et vous ? Vous êtes le fameux Gueld, j'ai beaucoup entendu parlé de vous, et même si nous comptions vous rendre visite, nous ne pensions pas vous trouver au plus mal. Vous m'avez foutu une de ses frousses avec vos yeux qui partaient dans tous les sens.
Ses yeux noirs brillèrent un instant de malice, elle degagea une de ses meches rebelles en arrière, et se prit d'une passion soudaine pour sa tisane.
La mélancolie du jeune homme, allez savoir pouquoi fut contagieuse et elle habituellement plutot gaie, ressentit un vague à l'âme étrange chez la battante qu'elle était.
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