Azura_xiloscient
RP privé entre Luna de la Mirandole et de Dublith, dîte Azura Xiloscient, et Eilinn Melani d'Avize. Si vous souhaitez y prendre part, contactez l'une es deux par mp.
Quelque part à l'Ouest du Languedoc, dans une petite ville répondant au doux de Nîmes, jolie petite bourgade ne demandant qu'à se développer dans un futur plus ou moins proche. Tout dépend des points de vue, dirons certains. Effectivement, si l'on considère le temps depuis le début de la création, la ville se développerait dans un avenir proche, c'est à dire pas plus de quelques siècles. Si par contre on se référait à une vie humaine, là, d'un seul coup, l'avenir paraissait beaucoup plus lointain. Oui, vraiment. Voir complètement inaccessible. Pour un simple être humain, s'entend bien. Si l'on prend une tortue des Galapagos, lesquelles ont une durée de vie d'un ou deux siècles à peu près, le développement de la ville devient d'un seul coup vachement moins inaccessible. Mais enfin, je doute que les tortues des Galapagos se soucient d'une ville qui se situe à plusieurs milliers de kilomètres de leur lieu de vie et dont elle n'ont jamais entendu parlé et dont, de toute manière, elle ne reconnaitrait pas le nom s'il était écrit devant leur nez. Pour la bonne raison qu'elles ne savaient pas lire. Et pis que personne de la grande civilisation européenne n'avait de toute manière encore posé le pied au Galapagos, et que ça aussi ne se ferait pas avant au moins un siècle. ce qui est très court dans une vie de tortue. je vous l'ai déjà dit ?
Enfin, de toute manière, tout comme ces tortues, la théories qui nous pousse à considérer les temps suivant différents points de vue pour finalement conclure à un "Et ben oui, il avait raison : tout est relatif ! Rhâ, quecébô !" ne paraîtrait pas non plus avant plusieurs siècles, on a pas à s'en soucier pour le moment. Tout comme les théories économiques qui permettront d'expliquer la croissance de la ville. Elle est pas belle la vie ?
Bon, on s'est un peu éloigné du sujet, là, je crois... Donc, on disait que l'action se déroulait à Nîmes, à l'Ouest du Languedoc. Donc, quelque part dans les rues de cette ville, dans un quartier quand même plutôt riche. Voir carrément riche. On pourrait presque dire que l'or suintait par les fenêtres et les fissures des murs pour se répandre dans la rue. Mais ce serait exagéré. De toute manière, il n'y avait pas d'or sur les murs. ca serait trop facile à voler, comprenez. Il faut leur donner un peu de défi aux voleurs, sinon, ils n'ont plus de raison de vivre.
Donc dans une de ces rues de ce quartier, que, pour des raisons de discrétion, nous éviterons de nommer, se tenait un hôtel particulier frappé de l'oriflamme de la salamandre. Un matin de décembre que rien de distinguait d'un autre, alors que l'aurore pointait timidement son nez avec de luire d'une belle couleur sur la neige fraichement tombé, encombrant les rues et s'attirant les foudres de tous ces braves obligeait de déblayer pour que les carrosses de ces ...ain de nobles puisse circuler et leur écraser les pieds sans gênes, ce matin de décembre donc, un messager donna une missive à l'un des serviteur afin qu'il la remette à Son Excellence la Vicomtesse d'Avize. une missive frappé du sceau de la famille des Dublith.
Quand Son Excellence fut levée et devant son petit déjeuner, on lui apporta le courrier du jour. Elle ouvrit la plupart des lettres qu'on lui apportait. Ne soyons pas plus impoli que nécessaire, nous ne lirons que celle que nous avons jusqu'à présent suivi. L'on pouvait donc y lire, d'une écriture fine et ronde, comme il convient à une jeune fille d'écriture quand elle s'adresse à une de ses amies, les mots suivant :
Quelque part à l'Ouest du Languedoc, dans une petite ville répondant au doux de Nîmes, jolie petite bourgade ne demandant qu'à se développer dans un futur plus ou moins proche. Tout dépend des points de vue, dirons certains. Effectivement, si l'on considère le temps depuis le début de la création, la ville se développerait dans un avenir proche, c'est à dire pas plus de quelques siècles. Si par contre on se référait à une vie humaine, là, d'un seul coup, l'avenir paraissait beaucoup plus lointain. Oui, vraiment. Voir complètement inaccessible. Pour un simple être humain, s'entend bien. Si l'on prend une tortue des Galapagos, lesquelles ont une durée de vie d'un ou deux siècles à peu près, le développement de la ville devient d'un seul coup vachement moins inaccessible. Mais enfin, je doute que les tortues des Galapagos se soucient d'une ville qui se situe à plusieurs milliers de kilomètres de leur lieu de vie et dont elle n'ont jamais entendu parlé et dont, de toute manière, elle ne reconnaitrait pas le nom s'il était écrit devant leur nez. Pour la bonne raison qu'elles ne savaient pas lire. Et pis que personne de la grande civilisation européenne n'avait de toute manière encore posé le pied au Galapagos, et que ça aussi ne se ferait pas avant au moins un siècle. ce qui est très court dans une vie de tortue. je vous l'ai déjà dit ?
Enfin, de toute manière, tout comme ces tortues, la théories qui nous pousse à considérer les temps suivant différents points de vue pour finalement conclure à un "Et ben oui, il avait raison : tout est relatif ! Rhâ, quecébô !" ne paraîtrait pas non plus avant plusieurs siècles, on a pas à s'en soucier pour le moment. Tout comme les théories économiques qui permettront d'expliquer la croissance de la ville. Elle est pas belle la vie ?
Bon, on s'est un peu éloigné du sujet, là, je crois... Donc, on disait que l'action se déroulait à Nîmes, à l'Ouest du Languedoc. Donc, quelque part dans les rues de cette ville, dans un quartier quand même plutôt riche. Voir carrément riche. On pourrait presque dire que l'or suintait par les fenêtres et les fissures des murs pour se répandre dans la rue. Mais ce serait exagéré. De toute manière, il n'y avait pas d'or sur les murs. ca serait trop facile à voler, comprenez. Il faut leur donner un peu de défi aux voleurs, sinon, ils n'ont plus de raison de vivre.
Donc dans une de ces rues de ce quartier, que, pour des raisons de discrétion, nous éviterons de nommer, se tenait un hôtel particulier frappé de l'oriflamme de la salamandre. Un matin de décembre que rien de distinguait d'un autre, alors que l'aurore pointait timidement son nez avec de luire d'une belle couleur sur la neige fraichement tombé, encombrant les rues et s'attirant les foudres de tous ces braves obligeait de déblayer pour que les carrosses de ces ...ain de nobles puisse circuler et leur écraser les pieds sans gênes, ce matin de décembre donc, un messager donna une missive à l'un des serviteur afin qu'il la remette à Son Excellence la Vicomtesse d'Avize. une missive frappé du sceau de la famille des Dublith.
Quand Son Excellence fut levée et devant son petit déjeuner, on lui apporta le courrier du jour. Elle ouvrit la plupart des lettres qu'on lui apportait. Ne soyons pas plus impoli que nécessaire, nous ne lirons que celle que nous avons jusqu'à présent suivi. L'on pouvait donc y lire, d'une écriture fine et ronde, comme il convient à une jeune fille d'écriture quand elle s'adresse à une de ses amies, les mots suivant :
Citation:
Ma chère amie,
Tout d'abord, laisse moi m'excuser pour ce long silence. Comme souvent lorsque je me plonge dans mes études, le temps passe sans que je ne m'en aperçoive et, même si je me suis dit à de nombreuses reprises que je devais t'écrire, j'y ais malheureusement toujours songé à des moments où je ne pouvais le faire. J'espère que tu ne m'en voudras d'avoir trop tardé à te donner de mes nouvelles, et que tu ne m'en veux pas trop pour ce silence prolongé.
Pour me faire pardonner, je comptais te rendre une visite dans les jours qui vont venir. je sais que, pour le moment, tu loge loin d'Angoulême. Aussi, pardonne moi ma témérité, je suis partie deux jours après avoir confié cette lettre aux coursiers de ma maison. Je devrais donc arriver au plus tard une semaine après celle-ci, si les routes ont été mauvaise. J'espère que tu accepteras de me recevoir. J'aurais beaucoup de choses à te raconter. Et une proposition à te faire. J'y ai longuement songé, et c'est quelque chose que j'ai envie de faire. Je t'en dirais plus une fois que l'on sera face à face.
A dans quelques jours, si tout se déroule bien,
Ta chère et tendre amie,
Luna de la Mirandole et de Dublith
Tout d'abord, laisse moi m'excuser pour ce long silence. Comme souvent lorsque je me plonge dans mes études, le temps passe sans que je ne m'en aperçoive et, même si je me suis dit à de nombreuses reprises que je devais t'écrire, j'y ais malheureusement toujours songé à des moments où je ne pouvais le faire. J'espère que tu ne m'en voudras d'avoir trop tardé à te donner de mes nouvelles, et que tu ne m'en veux pas trop pour ce silence prolongé.
Pour me faire pardonner, je comptais te rendre une visite dans les jours qui vont venir. je sais que, pour le moment, tu loge loin d'Angoulême. Aussi, pardonne moi ma témérité, je suis partie deux jours après avoir confié cette lettre aux coursiers de ma maison. Je devrais donc arriver au plus tard une semaine après celle-ci, si les routes ont été mauvaise. J'espère que tu accepteras de me recevoir. J'aurais beaucoup de choses à te raconter. Et une proposition à te faire. J'y ai longuement songé, et c'est quelque chose que j'ai envie de faire. Je t'en dirais plus une fois que l'on sera face à face.
A dans quelques jours, si tout se déroule bien,
Ta chère et tendre amie,
Luna de la Mirandole et de Dublith
**********************
Effectivement, comme dit dans la lettre précédemment lu, deux jours plus tard traversaient les rues aux grand galops un cheval à la robe châtain. Sur son dos était couchée à plat ventre une silhouette indistinct enveloppée dans une cape rouge. Un des seuls points dont l'on pouvait être sûr en la voyant passer était la chevelure châtain clair qui battait follement dans son dos. On en déduisait donc, la plupart du temps, que c'était une jeune fille. Enfin... Pour ce qui, alors qu'il se jeté sur le côté, pensait à jeter un coup d'oeil rapide pour voir qui était ce fou qui ne ralentissait même pas alors qu'il traversait la place du marché chargé d'étals et, encore plus, de monde. Au final, on ne sait par quel miracle, on ne décompta que trois blessés.
Sans perdre de vitesses, elle s'engouffra dans les quartiers plus riches de la ville. Là, c'était plus facile de ne blesser personne. Il y avait moins de fou piéton qui se plaisait à se jeter sous les sabots de son cheval (entendant par là : qui n'avait pas le temps de s'écarter de sa route, ce qui revenait au même pour la cavalière). Par contre, ils laissaient traîner leur carrosse au milieu de la route (ne vous risquez pas à lui dire qu'ils étaient bien obligé s'ils voulaient circuler, vous risqueriez de vous entendre rétorquez d'une voix acides qu'ils avaient qu'à faire des voies plus larges) et ça, c'était dangereux pour le cheval. Resserrant ses doigts sur les rênes, elle entreprit de faire une série de zig-zags, s'attirant les invectives des conducteurs auxquelles elle ne porta aucune attention, pour finalement prendre un virage serré et passer sous la porte surmonté de l'oriflamme de la salamandre et stopper d'une main sûre dans la cours.
Elle mit pied à terre, donna une pièce à un palefrenier puis, retirant ses gants, se dirigea vers la porte. Elle arriva devant le portier et, finissant d'ôter ce qui lui couvrait les mains, elle dit au portier, ne lui jetant un regard quand elle eût finit sa tâche :
"Faites dire à Eilinn Melani d'Avize que Luna de la Mirandole et de Dublith est arrivée, si elle veut bien la recevoir."