Kileron
Ville forestière, point étonnant vu la forêt qui se tenait juste à côté. De belles balades en prévision, cherchant à faire peur aux bucherons et autres passants. Cela aurait pu être amusant sans la nostalgie qui y régnait.
C'était comme si chaque arbres pleuraient toutes les peines humaines, toutes les peines du monde. C'était à la fois beau, triste, reposant, excitant, un magnifique panel de couleur et sentiment. Froids pour certains, chatoyants pour d'autre. Cette forêt comme toutes autres vivait, vivait de sa vie muette et insondable. Mais vivait.
Il s'émerveilla du lieu d'autant plus que quelques dizaines de minutes plus tard, ayant marché sans s'en rendre compte, il arriva à une douce lumière filtrant parmi toutes ces ramures. Une clairière, telle une île au milieu d'une mer, dans la forêt gisait. Son cur ne pouvait plus se contenir de toutes ces émotions que le bois lui laissait, il s'enquit d'un parchemin, d'une plume. ouvrant maladroitement un flacon d'encre. Puis laissant le peu d'art qu'il avait s'exprimer, en fit quelques vers. L'amour, il ne pouvait en faire autrement, son cur bien trop en débordait.
Il sourit, presque satisfait de son travail, car jamais sa main usant d'une plume même si parfois dextre, n'arrivait à décrire les sentiments qui en lui se morfondait. Il aperçut une petite maisonnée, d'apparence vide, un peu plus loin devant lui. La crainte l'aurait normalement prit, était-elle là juste avant ? Il ne savait plus, n'avait bien regardé. Cela était magique, mais pour une fois, bien loin de le rebouter, comme le mage était sensé le faire, cela l'enchanta.
Il y parvint sans grand mal, les fleurs des champs n'offrant une résistance à sa hauteur, et la trouvant vide de toute vie, décida de ses mots la combler. Peut être d'autres la trouveraient, peut être comme lui y viendraient, et alors ses mots liraient. Qui sait ? Peut être l'inspiration leur viendra, et alors tout comme lui ils laisseront ici, la trace de toute la beauté de cette forêt.
C'était comme si chaque arbres pleuraient toutes les peines humaines, toutes les peines du monde. C'était à la fois beau, triste, reposant, excitant, un magnifique panel de couleur et sentiment. Froids pour certains, chatoyants pour d'autre. Cette forêt comme toutes autres vivait, vivait de sa vie muette et insondable. Mais vivait.
Il s'émerveilla du lieu d'autant plus que quelques dizaines de minutes plus tard, ayant marché sans s'en rendre compte, il arriva à une douce lumière filtrant parmi toutes ces ramures. Une clairière, telle une île au milieu d'une mer, dans la forêt gisait. Son cur ne pouvait plus se contenir de toutes ces émotions que le bois lui laissait, il s'enquit d'un parchemin, d'une plume. ouvrant maladroitement un flacon d'encre. Puis laissant le peu d'art qu'il avait s'exprimer, en fit quelques vers. L'amour, il ne pouvait en faire autrement, son cur bien trop en débordait.
Il sourit, presque satisfait de son travail, car jamais sa main usant d'une plume même si parfois dextre, n'arrivait à décrire les sentiments qui en lui se morfondait. Il aperçut une petite maisonnée, d'apparence vide, un peu plus loin devant lui. La crainte l'aurait normalement prit, était-elle là juste avant ? Il ne savait plus, n'avait bien regardé. Cela était magique, mais pour une fois, bien loin de le rebouter, comme le mage était sensé le faire, cela l'enchanta.
Il y parvint sans grand mal, les fleurs des champs n'offrant une résistance à sa hauteur, et la trouvant vide de toute vie, décida de ses mots la combler. Peut être d'autres la trouveraient, peut être comme lui y viendraient, et alors ses mots liraient. Qui sait ? Peut être l'inspiration leur viendra, et alors tout comme lui ils laisseront ici, la trace de toute la beauté de cette forêt.
Citation:
-
Toi,
Tes lèvres doucement la chaleur mon âme quérit,
Tandis que seul, mon coeur se délaisse et en périt.
Les doux frissons parcourant ta peau ne sont plus,
Ont-ils été ? Peut être jamais je naurai dûment su.
Mon souffle se fait court, se ferment mes yeux,
Doucement, seul je mimagine contre ton corps,
Mes deux océans allant se perdre en tes cieux.
A nouveaux je me meurs, là tu nes point encore.
Bientôt peut être, mais ces secondes je ne peux,
Supporter sans toi, ces temps me paraissant vie.
Mon cur à défaut de pouvoir enlacer, le tien chérit,
Combien de temps pourrais-je ainsi rester heureux ?
Bonheur, où est-il ne pouvant te serrer en mes bras ?
Malheur, je ne peux cependant dire que je naime ça,
Nos mots, si doux, sans pourtant être à loreille soufflé,
Nen reste pas moins subtile, douce torture passionnée.
Parfois lon ne se comprend, cela peut alors faire mal,
Mais un sentiment étrange et incontrôlable nous unis,
Un lien dune force peu commune, amour y parait pâle,
Aucun mot, seul ce doux moment ensemble le définit.
Moment qui nest encore point, peut-être t-il le sera ?
Sûrement pas, tout du moins avant trop longtemps.
Alors comment comprendre réellement ce sentiment,
Ne peut-on que spéculer sur ce qui en nous reste là ?
Ce cur qui chaque instant, ne peut plus contenir,
Ne cesse pourtant de battre et pour toi den grandir,
Le feu qui coule en mes veines me brûle de passion,
Qui trop contenue ne mènera quà une destruction.
Ton être et le mien enfin des retrouvailles implosant,
Mais ne serait-ce que le début dadieu trop prochain ?
Je ne sais, ne préfèrerais penser en ce moment serein.
Je serais quiet, avec toi, heureux tout simplement.
En attendant rien de tout cela nest, ne sera jamais,
Mieux vaut-il ainsi penser, quau cas où elle ne soit,
Trop grande la peine, laissant à jamais mon cur coi.
Le retour aux ténèbres est inévitable, lentement il se fait.
Mes ténèbres torturent mon esprit, ma lumière tu es,
Guides moi luciole, sur le chemin que suivre je devrais,
Tu me rends voyant, enchaînant mon destin en ta clarté,
Sans toi je suis aveugle, je ne vis que dans mon obscurité.
Libre choix je te laisse, de moi ou non désirer, vouloir,
Mais de toi je ne peux me passer. Mais peux-tu le croire ?
Tu es mon sourire, mon soleil, une chaleur rassurante,
Mais à jamais, je ne voudrais de toi comme simple amante.
Ta vie il me faut, mon âme te donner, une relation entière,
Je ne veux point de ces femmes dune nuit coutumière,
Mais qui suis-je de désirer ainsi ? Moi qui déjà suis pris,
Un monstre reflète de leau la rivière, le froid menvahit.
Besoin de ta chaleur, de ton cur, je te prie de maider,
Aide moi, à ne pas me laisser, à ne pas trop te succomber,
Ma douce aimée, que devrais-je faire à tant te vouloir ?
Chuchotes le moi alors, te prendre ou me laisser choir ?
-
Moi.