Giovani
Un sourire d'Astrid, c'était dans la poche ! Mais en fait... ben non... Il ne comprenait pas, il savait lire, et n'était pas si niais que certains pouvaient le penser... Il avait relu le texte dix fois avant de commencer à écrire, et avait relu dix fois ce qu'il avait écrit. Les réponses étaient bonnes, il en était sur...
C'est donc les yeux écarquillés qu'il écouta Astrid, lui demander de recommencer... C'était un piège ou quoi ? Bon c'est vrai il avait un peu écrit plus que demandé, mais ce qu'il aimait le Gio c'était faire sourire ou rire les gens... Il ne comprit donc pas bien, si ce n'est qu'elle ne pouvait transmettre ses réponses tel quel. Il en avait surement fait trop, et n'avait pas le droit de poser des questions, il le comprit.
Il sortit donc le livre des vertus de son sac, rare ? Ça il ne le savait pas...
C'pas à moi c'est Eilhin qui me l'a prêté...
Il ouvrit donc l'imposant ouvrage aux chapitres conseillés, et lut attentivement. Relevant la tête de son ouvrage, il salua Gwad qui venait prendre place à côté de lui, en silence, si concentré qu'il aurait pu être un jus de tomate (désolé amis lecteurs... l'était pourrie celle là...). Les passages qu'il lut ne lui apprirent pas grand chose de plus qu'il ne savait déjà.
Il reprit ensuite le texte de la pastorale et le relut encore. Il n'avait pas fait de fautes... et décida donc d'être le plus concis possible, quitte à l'être trop, ôtant tout humour ou interprétation possible. Relecture. Relecture. Relecture. Et il se tourna à nouveau vers Astrid. Peut-être que finalement, ce qu'elle voulait lui faire comprendre, c'était qu'on ne déconnait pas avec la religion. C'était pas gagné... surtout avec une Diacre qui donnait il y a si peu de temps une messe complètement bourrée pour la fête des fous.
Une nourrice ? Euh faudrait demander à Sly, il est super fort en...poitrine...
J'ai refini Astrid.
Et de lui tendre le second parchemin.
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Chambellan des Flandres
C'est donc les yeux écarquillés qu'il écouta Astrid, lui demander de recommencer... C'était un piège ou quoi ? Bon c'est vrai il avait un peu écrit plus que demandé, mais ce qu'il aimait le Gio c'était faire sourire ou rire les gens... Il ne comprit donc pas bien, si ce n'est qu'elle ne pouvait transmettre ses réponses tel quel. Il en avait surement fait trop, et n'avait pas le droit de poser des questions, il le comprit.
Il sortit donc le livre des vertus de son sac, rare ? Ça il ne le savait pas...
C'pas à moi c'est Eilhin qui me l'a prêté...
Il ouvrit donc l'imposant ouvrage aux chapitres conseillés, et lut attentivement. Relevant la tête de son ouvrage, il salua Gwad qui venait prendre place à côté de lui, en silence, si concentré qu'il aurait pu être un jus de tomate (désolé amis lecteurs... l'était pourrie celle là...). Les passages qu'il lut ne lui apprirent pas grand chose de plus qu'il ne savait déjà.
Il reprit ensuite le texte de la pastorale et le relut encore. Il n'avait pas fait de fautes... et décida donc d'être le plus concis possible, quitte à l'être trop, ôtant tout humour ou interprétation possible. Relecture. Relecture. Relecture. Et il se tourna à nouveau vers Astrid. Peut-être que finalement, ce qu'elle voulait lui faire comprendre, c'était qu'on ne déconnait pas avec la religion. C'était pas gagné... surtout avec une Diacre qui donnait il y a si peu de temps une messe complètement bourrée pour la fête des fous.
Une nourrice ? Euh faudrait demander à Sly, il est super fort en...poitrine...
J'ai refini Astrid.
Et de lui tendre le second parchemin.
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