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[RP] Le presbytère

Eilhin
[Dehors avec Giovani.]

La rouquine a saisit la main de Gio et la porte de secours qu'il lui a offerte et s'est empressé de courir dehors avec lui, s'excusant du regard auprès de la diaconnesse. Persuadée que le brun avait tout compris de sa trouille, rapport à sa peur panique de monter sur un cheval, c'est en lui sautant au cou qu'elle le remercie, avant de se reprendre rapidement si des fois Astrid les épiait par la fenêtre. Faudrait voir à pas trop déraper avant le baptême quand même.

Rhaaaa!! Merci de m'avoir tirée *gros blanc* heu sortie de ce mauvais pas !! Y a que toi qui me comprends si bien ... Toi seul pouvait savoir que je pouvais pas rester ... Tu sais hein comme j'ai peur de ça, elle est gentille Astrid hein mais non y a pas moyen, je ne PEUX PAS !! J'ai trop peur d'eux !!

Au regard incrédule que lui lance alors Giovani, Eilhin fronce les sourcils, et commence à se demander s'il a réellement saisit le sens de son appel au secours.

C'est pour ça hein que tu voulais me parler ? Tu vas lui dire hein à elle que je peux pas ???!!!

Battement de cils, bouche en coeur, mains jointes suppliantes et tout l'espoir de la rousse placé dans les mains de son meunier.
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"Membre du Mouvement "Libertés flamandes"
Giovani
Ben elle prend vachement de temps avant d'aller uriner, finalement ce n'était pas si pressé que ça apparemment. Grand sourire à son quasi lapsus, frissons alors qu'elle se presse contre lui, et yeux qui s'écarquillent au fur et à mesure qu'elle parle.

Il le savait, elle avait décompensé lourdement. La voilà qui a peur d'aller uriner, ses jours vont devenir éreintants, mais bon, il l'aime, il fera avec.

Il analysait ses dires, et se souvient des fous du village dans son enfance. Un médecin lui avait expliqué qu'il ne fallait jamais être frontal avec ces personnes là, ne jamais les contrarier, et aller dans leur sens pour éviter les crises de panique ou de violence. Il appliqua donc cette méthode.


Peur ? Ben oui oui c'est hyper dangereux les latrines. On sait jamais ce qui peut en sortir hein ! Des serpents, ce genre de truc... Même dans les fourrés hein ! Pis y'a les orties tout ça ! Ouais ouais c'est normal que tu aies peur !

Ne pas trop coller au délire quand même, tenter de ramener à la réalité...

Ho je vais p'tet pas aller lui dire ça non. Mais si tu veux, on peut aller dans le petit coin là, je te cacherai, et y'a pas d'herbes, aucun besoin de t'inquiéter ! Hein ?

Ouais c'est ça, elle comprend rien de ce qu'il dit, c'est plus grave qu'il ne pensait. Adieu discussions censées...

Bien sur oui que je voulais te parler de ça ! Mais du coup tu as plus envie de pisser ? On rentre à nouveau alors ?
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Chambellan des Flandres
Astrid_
[quelques semaines plus tard]

Le temps s'était radouci, Bérénice avait conduit les enfants dans les champs pour y cueillir un bouquet de printemps, bien sûr ce devait être une surprise pour la diaconesse, mais les jumeaux et la petite Marie-Adelaïde en avaient tant parlé que la diaconesse avait odit l'affaire.

Elle songeait rêveuse combien ces enfants lui étaient cher et tout l'amour qui regnait en ce presbytère.

Eilhin et Giovani avaient été batptisé, Astrid ne pouvait s'empêcher de sourire chaque fois qu'elle repensait à Giovani ce jour là. Depuis il devait avoir fini par apprendre ses prières convenablement.

C'était aussi ce jour là qu'après leur avoir offert un bouquet en début de cérémonie, on avait plus eu de nouvelles du jeune voisin Gwad. Bérénice s'était ouverte de son inquiétude à Astrid, on ne l'avait donc pas vu non plus durant la semaine qu'elle venait de passer à Bruges.

Le souvenir de cette escapade en amoureux avec Amaurie lui arracha un sourire. Bruges, la capitale, ses échoppes toutes ces belle choses qu'ils avaient visités et surtout les longs entretiens que lui avait accordé Soeur Maryse, la façon dont les deux diaconesses s'étaient rapprochées et surtout comment cette femme avait su dissiper ses derniers doutes sur les épousailles et l'avait conduite tout en douceur à s'ouvrir à Amaurie de ses craintes de mourir comme sa mère et la mère d'icelle en couche. Son promis ne s'était pas moqué, il l'avait écouté s'était montré patient et compréhensif. A ce jour Astrid se sentait encore plus proche de lui, comme si cela avait pu être possible.

A grand fracas, jonché de rires, les enfants la sortirent de ses douces pensées


JOYEUX ANNIVERSAIRE EN RETARD ............. Crièrent ils tous ensemble, en lui tendant un improbable bouquet de pissenlits, coucous, violettes et autres petites fleurs de ce début de printemps dont elle ne connaissait pas le nom.

Déjà Bérénice sortait un gateau et des boissons, Astrid les embrassa tous et fut bien émue ............... fort bien prise qui croyait prendre!

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Amaurie
La messe venait de se terminer et Amaurie rejoignit Astrid au presbytère.
Il devait s'entretenir de ses projets futurs avec sa fiancée.

Il fallait dynamiser Tournai. Il ne voulait pas la voir mourir comme il avait vu Varennes dépérir. Aussi il devait prendre l'avis de la diaconesse au sujet de certaines orientations d'avenir à proposer à leurs voisins.

Il frappa lourdement à la porte et attendit l'ouverture.

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Bérénice Dubois, incarné par Astrid_
Sur un signe de tête Bérénice Dubois, fit signe à la diaconesse qu'elle allait s'occuper de l'importun.

Voyant le jeune Amaurie elle se radoucit en rosisant de confusion


Oh! je vous en prie, entrez messire, damoiselle Astrid sera heureuse de vous voir pour la petite fête que nous lui avons organisé les enfants et moi même..................... puis plus bas......... Pardonnez moi de ne pas vous avoir invité mais Astrid m'a montré la jolie émeraude que vous lui avez offerte à Bruge, et m'a confié que vous aviez fêté cet anniversaire ensemble là bas.
Astrid_
Voyant son aimé entrer, Astrid était à son comble......... Elle s'approche de lui et l'embrasse chastement sur la joue.

Les frères Mac Ouille: Oh les amoureuuuuuuuuueuhhhhhhh oh les amoureu euuuuuuuuhhhh!!!!

Astrid : tsssss, et alors oui nous sommes promis et amoureux

Right Mac Ouille : même pas drôle pour son anniv la diaco
Left Mac Ouille : hihi, elle est toute rouge mouarfffffffff

Astrid : pardon ze n'ai pas bien entendu là....... fronce les sourcils


Right Mac Ouille : Rien, rien Astrid............................. Tend sa part pas encore entamée de gâteau à Amaurie........... prenez le pas mal messire, avec mon frère on se moquait pas hein, c'était pour rigoler.


Bérénice Dubois: Allons, Allons les enfants, vous importunez Messire Amaurie, finissez vite votre collation ensuite nous irons promener le Godfried et vous pourrez jouer dans le verger


Marie-Adelaïde : fait une révérence dans laquelle on peut remarquer toute la grace et la réserve qu'elle tient de sa mère........... Je vous salue mon frère il me fait grand plaisir de vous voir........ tend les bras à Amaurie, ses grand yeux emplis de tendresse, lui donne un baiser et lui chuchote ............. J'ayes bien compris que Bérénice, souhaite que nous nous effacions pour que vous puissiez prendre du temps avec vostre promise adonc je vayes m'efforcer de vite faire....... lui envoie son plus beau sourire orné d'une pointe de malice......... Puis lance à la volée............... Par ce beau temps, j'ayes une idée, si nous allions finir de gouster au verger tout en faisant prendre l'air à mon cadet, ensuite je vous invite à aller rendre visite à mère en son bureau pour lui faire une surprise!........ Astrid et Amaurie vous resterez là, je doutes que ma soeur soyes aise d'aller sur son lieu de travail un dimanche après midi.


[édit correction color/ortho]

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Amaurie
Les Mac'ouilles vous méritez des coups de taloche mouhaha

Répliqua gaiement d'Apperault en prenant la part de gâteau.
Quand ils furent seuls Amaurie parla sans ambages à sa fiancée.


Ma Mie ce que j'ai ce jour à t'annoncer est preuve de mon amour pour toi. Je voulais que tu fusses la première à le savoir.
Je suis candidat à la mairie de Tournai.

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Astrid_
Astrid mit un temps pour déglutir. Déjà le parlement, maintenant la mairie où allait on?

Ah!

Ce fût sa seule réponse précédent un grand moment de silence pour Amaurie mais pendant lequel elle eut le temps de jauger leur avenir commun. N'avait elle pas de son coté pratiquement accepté de s'occuper de plusieurs projets à Malines?

Monseigneur Tibère partait en croisade, Marraine allait devoir le remplacer à l'archevêché, bien que la naissance de son énième enfançon ne soit imminente............ Mais qui aurait le temps de s'occuper des épousailles? Jusque là le ton était resté posé mais une furie sembla s'emparer du corps de la petite diaconesse


Et nos épousailles sont elles repoussées aux calanques Grecques ............. lui dit elle sèchement...................... Elle se trouve où la preuve de ton soit disant amour dans tout ça?

Alors qu'il n'avait pas commencé à répondre.........

Tais toi! ze sais tu vas encore trouver des arguments de marssand de tapis, mais il me semble que c'était une grande nouvelle il y a une année quand tu as demandé à mon père l'autorisation de me faire la cour......... Si on oublie les 3 années de séparation qui nous ont tenus éloignés ça fait 10 ans que nous nous connaissons et que nous partazeons tout adonc tu me ferai un plaisir et une faveur en me préférant un villaze?

Applaudit rageusement à deux mains

Bravo..............bravo......... d'Apperault................. Ah ze t'avertis, ze vais te laisser parler mais tu as intérêt à ce que tes arguments tiennent la chaussée sinon ze romp ma promesse et ze deviens abbesse................ Où non tiens ....................... le ton se radoucie, elle viens de trouver la chose qui pourrait vraiment lui faire comprendre à quel point elle est fâchée.....

..Son sourire et son regard doivent avoir la même expression que la comtesse Quiou quand elle se prépare à couper un pouce............. lance nonchalamment
..................... z'épousaillerai Aymeric de Saunhac, z'ayes entendu dire qu'on lui serse épouse, voilà qui est affaire réglée......... Han........... Ze ne vous retiens pas Apperault!

........................................ Et toc! ça elle le savait c'était l'estocade....................

"Là il faut ajouter une petite narration" : .......... Amaurie n'a jamais rencontré ce garçon, cependant Astrid lui avait confié, enfant, que cet Aymeric avait fait battre son coeur. Lui avait raconté comment il l'avait invité au bal, l'avait faite danser puis embrassé sur la joue et que rouge de confusion il s'était enfui........... plus tard il lui avait fait envoyer une petite broche qu'elle n'avait quitté que très récemment parce qu'elle faisait trop petite fille.

Astrid et Amaurie étaient naturellement assez complice pour éviter le douloureux "sujet"............... qui n'y était pour rien, le pauvre garçon et qui par ailleurs n'avait pas d'autre interêt pour la diaconesse que d'avoir été une jolie amourette de bac à sable lors qu'elle avait 5 ans.

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Amaurie
Voilà Astrid en furie ..... Voilà la fiancée fâchée!
Ne comprenant pas la réaction de sa dulcinée d'autant qu'il était aussi venu s'entretenir de leurs futurs noces.
Les mots d'Astrid firent passer Amaurie par toutes les émotions négatives qui pouvaient exister;

Ainsi c'est à des noces que tu résumes tout notre amour? N'est ce pas quelque chose de plus pur qui est censé transcender nos âmes?
C'est à croire que tu es pressée de t'appeler d'Apperault !

Je venais aussi m'entretenir avec toi de l'organisation de nos noces mais tu ne m'a pas laissé le temps de finir!


Ayant parlé, c'est un Amaurie tout dépité intérieurement qui posa sur le coin de la table l part de gâteau à laquelle il n'avait plus le cœur de gouter et qui tourna les talons pour sortir de la pièce puis du presbytère.

Va donc retrouver ton Amerik tu verras bien s'il se souvient de toi.

Je vais bruler les plans de notre futur demeure que je comptais te montrer dans quelques minutes.

Pour ma part je trouverai bien une gueuse ou deux pour passer du bon temps en attendant que tu reviennes à la raison!

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Astrid_
S'il croit s'en tirer comme ça, il rêve le piètre jeune homme ......... Astrid le poursuit en hurlant........
Gouzat.........poltron.......... lopette....... lasse.......on me l'avait bien dit que tous les hommes sont des lasses, des lasses et des cossons......

S'accroche à son tabard et le force tant bien que mal à lui faire face

Là vas y dis le moi dans les yeux que tu voulais aller voir les gueuses, goûter au péssé de sair et que tu fait toute cette mise en scène pour me pousser à bout ......... Puis d'abord si tu avais des preuves tu me les auraient montré hors que nénie, rien .....ze ne vois rien du tout, tu n'es qu'un menteur, un coureur de zupons et un cosson ........un gros cosson....... et ton nom tu pourras le donner à une grosse cossonne comme ça vous serez bien assortis!.......... man mais oh!
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Eulaly_de_baylaucq
Citation:
"Je crois que tu es prête. Tu ira toute seule chez Astrid au presbyptère dès que tu le veux pour ta pastorale. Je suis fier de toi."


Slystaline lui avait dit ces mots à la messe du Renouveau.
Eulaly l'avait alors regardé d'un regard pétillant de joie et de fierté, lui avait serré fort la main puis s'était à nouveau tournée vers Astrid l'écoutant avec toute l'attention dont elle était capable et chantant les cantiques avec une ferveur nouvelle.

Le lendemain, elle s'était habillée de sa houppelande du dimanche, celle couleur ivoire avec les flots en satin, et avait lissé ses cheveux aussi bien que ceux-ci voulurent. Dernière inspection chez Marraine qui lui avait remis quelques mèches rebelles en place et l'avait laissé partir en souriant affectueusement.


Sur le chemin, marchant d'un pas presque solennel, elle avait rencontré Henri qui rentrait du bois. Le jeune garçon avait sifflé, signe d'admiration à peine mêlé d'ironie.

Ben dis donc... Tu t'maries ?

Non. Je vais voir Astrid pour ma pastorale.

Eulaly avait encore un peu plus relevé la tête et avait continué son chemin jusqu'au presbytère.

Toc toc toc.
Deux pas en arrière parce qu'il est impoli de rester trop en avant sur le seuil.
Elle entend des éclats de voix à l'intérieur. Elle grimace mais ne bronche pas, les mains jointes sagement devant elle et attendant patiemment qu'on vienne lui ouvrir.

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Amaurie
Gardant jusqu'à présent son calme, Amaurie sentit son sang bouillir devant tant de véhémence injustifiée. Se retournant pour faire face à sa furie de fiancée, ne sachant plus se contenir, il lui répliqua tout de go:

Ainsi tu as besoin de preuves! Je vais t'en donner des preuves de mon amour et du feu du désir qui brûle pour toi!

Jetant sur la table les parchemins qu'il tenait à la main, il attrapa Astrid par la taille et avant qu'elle ne puisse parler il l'embrasa du plus brulant des baisers qu'il pouvait donner.
L'entrainant vers la palliasse qui était dans un coin de pièce il la coucha dessus en essayant de la ménager du mieux qu'il pouvait et repris ses baisers out en lui remontant les jupons d'une main tremblante lui caressant successivement la jambe puis la cuisse......


TOC TOC il sursauta on cognait à la porte .....

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Eulaly_de_baylaucq
Nan mais... Elle veut bien attendre sagement comme une petite fille bien élevée dans sa jolie robe du dimanche seulement çà a l'air de barder fort à l'intérieur... Et si...
Et si c'était un voleur... un assassin ! Astrid ! Par le Très-Haut !

Elle ramasse en vitesse une bonne poignée de cailloux, ouvre la porte violemment, distingue le dos d'un homme.
Il est sur Astrid ! Elle avait raison ! Dans la panique, elle n'aura pas reconnu Amaurie, elle n'aura pas non plus, tendre innocence, bien analysé la situation.

Aussi, de toutes ses forces, elle balance les pierres dans le dos du mécréant.


Laissez-la tranquille !
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Astrid_
La diaconesse qui pensait perdre son fiancé pour toujours eu doit à une démonstration des plus renversante......... d'ordinaire elle se serait battue bec et ongle, mais l'assaut avait été si subit qu'elle en fut la victime soumise et consentante.

Fort heureusement pour notre servante du Très Haut, le maître sait toujours mettre à bon escient un envoyé pour limiter les dégâts.

En l'occurrence la petite Eulaly, qui voulait la sauver............ la sauver de quoi?............ de qui de qu'est ce?

Astrid semblait avoir perdu jusqu'à la parole dans cette délicieuse bataille, jusqu'à ce que les cailloux pleuvent et qu'elle en prenne un sur le coin de la tête.


Aie............. Eu ......eu........eulaly.......nononon ..... c'est ma faute, z'ai disputé Amaurie................finit elle par pouvoir prononcer en s'élançant vers la fillette.

N'ai pas peur, il nous arrive encore de nous battre comme des siffoniers .............. lui dit elle tout en lissant sa robe et rajustant son corsage qui lui semblait bien lourd.............. la gamine allait elle avaler ce qu'elle lui disait? ............. Astrid se sentait prise en flagrant délit. Qu'importe elle devrait vivre désormais avec un corps brûlant de désir, si la robe de bure pouvait l'aider autant s'y soumettre............. A la grasce du Très Haut se dit elle, tout en lorgnant sans oser croiser son regard, du coté d'Amaurie
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Eilhin
Retour à Tournai, pour la rousse et son trublion de compagnon, désormais fiancé. Les jours passés à Bruges furent bien employés, mais restait pour nos deux tourtereaux à faire le plus important. Rencontrer celle qui allait, ils l'espéraient, leur permettre de réaliser leur projet de mariage.

Eilhin a donc convié Giovani à se rendre au presbytère avec elle, mais, levée bien plus tôt que lui, comme d'ordinaire, c'est pour l'heure seule qu'elle s'y dirige, d'une démarche vive et enjouée.

Les choses sérieuses commencent et notre jeunette en a parfaitement conscience en cet instant.

Alors qu'elle arrive sur le seuil, se pensant seule, elle fronce les sourcils en constatant que la porte est grande ouverte. Soudain inquiète, elle presse le pas et entre sans s'annoncer dans le presbytère. Dans un coin, sur la couche, se trouve Amaurie. Au milieu de la pièce, une Astrid aux joues rouges et aux cheveux en bataille, en train de réajuster sa mise, face à une Eulaly en colère.
Mais que diable est il en train de se passer ici, qu'a-t-elle, heureusement ou malheureusement interrompu ?

Le regard émeraude de la jeune fille passe de l'un à l'autre des protagonistes de la scène, et enfin elle se décide à ouvrir la bouche
.

Heu ... b'jour tout le monde ! Y se passe quoi ici ? Tout le monde va bien ?
J'ai manqué quelquechose ?


Une chose est certaine, la rouquine a mal choisit son jour pour aller voir la diaconnesse.
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"Membre du Mouvement "Libertés flamandes"
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