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[RP] Il faut enlever ce petit pois...

Eloin
Une lueur amusée passa dans le regard sinople de la diaconesse, avant qu'elle n'apporte réponse à la jeune femme.

Assumer l'enfant, ou toute autre conséquence d'une telle relation, serait effectivement un bon point pour obtenir le pardon du Tout Puissant.

Mais vivre dans le pêché de chair sans jamais songer à légitimer cette union vous assurerait certainement l'Enfer lunaire après vostre trépas, tant pour vous que pour celuy qui serait devenu vostre amant !

Les éviter tous deux est la meilleure solution pour le moment, de fait, en ce que vous aurez ainsi l'esprit libre de songer à tout cela. Ce qui vous permettra, j'en suys convaincue, de prendre la bonne décision.

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Héraldique
Aldaaregonde
Arégonde soulagée... La lune cette énigme mouvante l'a toujours attirée c'est peut être que depuis son enfance elle n'est pas faite pour faire les bons choix malgré toute sa bonne volonté... Un signe. Elle soupire doucement. L'Enfer elle pense parfois déjà y être qu'est ce qui peut être plus horrible que cet éternel déchirement entre le bien et le mal, entre la luxure et la pureté, entre la vie et la folie. Puis regardant la Mère Eloin elle se dit qu'il est temps de mettre fin à la conversation. Elle a déjà eu des éléments de réponse même si ce n'est pas ceux qu'elle espérait.

- Mère je vous remercie pour votre écoute vous m'avez été d'un grand secours. J'ai toutefois encore une question... Vous pouvez officier un mariage ?
Rougit ce n'est pas pour moi mais pour un couple d'amis.
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Eloin
Et là, la moniale haussa franchement un sourcil. Non pas qu'elle n'aimait point officier pareilles cérémonies, jamais elle ne serait devenue prêtre aristotélicienne, sinon. Mais c'était tout de même la seconde demande de ce genre en si peu de temps. C'était à se demander si le couronnement de la comtesse ne luy avait point attiré une certaine popularité parmi les croyants limousins !

Tout dépend des conditions du mariage, ma fille. Normalement, je ne puys officier qu'au seing de ma paroisse, donc Bourganeuf. Mais si besoin, je puys mander l'autorisation de l'archidiaconesse, soeur Malisende, si l'union devait avoir lieu à Limoges, ou dans une paroisse du Limousin dénuée de clerc actif. Sauf à Tulle, je crois savoir que soeur Neti est diaconesse de ce village, je ne voudrais point m'attirer ses foudres en unissant à sa place deux de ses paroissiens.

Les promis, ou du moins l'un d'eux, doivent avoir leur résidence en un village du comté, pour qu'un membre du clergé limousin soit autorisé à célébrer leurs épousailles.

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Héraldique
Aldaaregonde
Arégonde prend des notes mentalement, acquiesce.


- Merveilleux j'en parlerai aux amoureux dès que je le pourrai.
J'espère aussi que je viendrai vous trouver pour mon propre compte... Je vous remercie du temps que vous m'avez accordé, vous m'avez aidé à faire la part des choses entre ce que j'ai besoin et ce que je rêve.

Ne sachant si elle peut prendre congés ou si elle va avoir une liste de pénitence à accomplir elle attend que la Diaconesse lui donne l'autorisation de se retirer.
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Attila_caligula
Avec l'accord de LJD Aldaaregonde, je poste ce qui suit maintenant. Et Rien n'empeche la vicomtesse d'Excideuil de retourner ensuite voir Eloin. L'action se passe apres l'allegeance.


Ayant quitté la place du Château, les deux cousins se retrouvent fortuitement chez la vicomtesse d'Excideuil. Il est tard, la vicomtesse prie son cousin de l'excuser pour aller se vêtir pour la nuit. Celui ci feint d'ignorer ses bonnes manières apprises à coup de trique par sa Sainte Mère et s'incruste sans vergogne.

- Jolie chambre ma cousine. Et tu es fort dévêtue, c'est imprudent.
- Ah tu crois ?
- Cette étoffe est... pratiquement invisible sais tu?
- Mais ... normal. C'est parce que je l'ai aspergé d'eau

Le Leu approche une patte de l'étoffe, la distinguant à peine, à tâton... pendant que l'Adorable De Rien lit ses notes. Jusqu'à rencontrer

- Mmh c'est doux et chaud... et... pointu
- Un instant s'il te plait
Alda cherche dans ses notes.
- Euh... je ne peux pas t'aider
Attila Caligula approche l'autre patte, symétriquement.
- C'est tout aussi pointu et dur... Ma cousine je crois que le moment est venu.
Alda se mord sa lèvre: - Euh
- Dites adieu à votre pucelage
- c'est que ...enfin... la Mère Eloin a dit...
Alda lui pousse une patte.
- Pas avant le mariage !
Le vicomte de St Pardoux l'enlace fermement, plonge dans les volants transparents, se régale à grands coups de langue.
- Nenni ce soir je vous croque... et vous encloque
Alda balance ses notes...
- Puisque vous semblez si sûr de vous...
La jeune femme tire sur sa chemise. Le jeune homme balance sa ceinture et ouvre des yeux ronds comme des billes.
- MA COUSINE !
Puis elle l'arrête.
- Une question. Sieur Carmody m'a parlé de pratique que je n'ai pas bien saisie... et j'avoue ne pas avoir eu le temps de me renseigner sur la question alors euh... comment fait on ?
Le leu la déshabille en salivant abondamment. Tandis qu'Alda laisse les papillons s'emparer d'elle.
- Faites attention pas ma dentelle, ça coûte une fortune.
- Je vais vous guider, je n'aime guère jouer les professeurs et apprécie les amantes expérimentées. Mais vous me plaisez tant que je ferai exception
La jeune femme l'embrasse alors que son cousin, sans égard pour la dentelle, laisse ses pattes l'assurer de la réalité de la vision sensuelle devant lui.
- Tout est bien là! Nous avons tout ce qu'il nous faut... fesses, seins, par paire... et... euh.. le reste.
- Vous me donner chaud...
- C'est normal, la machine féminine entre souvent en surchauffe de même que celle du mâle, il faut bien le reconnaitre.
Alda fait claquer sa langue
- Ah ?
- Voyez cette manette ici ? Elle contrôle la vapeur
Alda regarde
- Il faut la manier avec précaution
Alda se retient d'y toucher
- Cousin ?
- Mmmmh allez y, faites monter doucement la pression, douuuuuucement
- Cela vous ennuie t il si je prends des notes en même temps j'ai peur d'oublier
- Pas maintenant, je vous referai une leçon tout a l'heure. Allez y, levez la manette
Alda approche une main peu sûre.
- Ecoutez attentivement
Ce que fait sa cousine.
- Vous devez sentir la pression qui pulse dans votre fraiche menotte, il faut qu'elle soit toujours puissante et en activer le flux si besoin... et cela en douceur... en douceur. Car l'homme est machine délicate
Alda fait la moue.
- Un Rien le détraque
- Bien...
- Moi même je m'occupe de vos petits mécanismes, là, qui me regardent avec un air implorant.
Alda s'exerce doucement suivant les explications et prend de l'assurance
- Les papillons sont en action, ça je connais
Attila Caligula râle de plaisir sous la manœuvre habile.
- Vraiment ?
Alda s'arrête.
- Un souci ?
- On vous aurait donc fait papillonner?
Alda rougit.
- Euh... c'est à dire que...l'idée de vous voir tout simplement
Le leu sourit et dévoile ses crocs... avant de les planter de belles manière sur les offrandes laiteuses a sa portée, puis se reprend.
- Désolé, parfois je m'égare à quelque instinct animal' dit il en se pourléchant de nouveau les babines.
- A moi maintenant d'activer votre circuit de chauffe
Alda pousse un petit gémissement.
- Euh... vous savez ce que vous faites ?
- Là aussi l'opération est délicate, et vous devez me guider par de doux soupirs, ou de petits cris si vous le souhaitez, quand vous sentez la douce chaleur monter.
Le vicomte aventure ses papattes dans les recoins de la complexe mécanique féminine.
Tandis qu'Alda se mord la lèvre

- Je crois que vous rendez fous mes papillons
L'un grogne et l'autre pousse un petit cri de jouvencelle
- C'est parfait, il faut que votre température soit en accord avec la mienne, si l'écart était trop important, rien de bon ne se produirait, et nous ne voulons que le bon n'est ce pas ?
Alda hoche la tête.
- C'est très technique quand même
- Trouvez vous cela dur ma belle cousine ?
- Euh la manette me semble correcte non ?
- Parfait, je suis en effet confiant dans la fermeté de... mmmh ma résolution
Le cousin la soulève et l'entraine vers le lit.
- Passons à la phase la plus récréative ma belle cousine
- Ah c'est étrange parce que pour ma part je me sens légèrement euh... perdue
Alda appuie sur le matelas.
- Notez il est tout neuf. De la plume de la vraie, et du satin... blanc
Attila sourit.
- Et on s'y enfonce comme dans un pays de cocagne... d'ailleurs c'est bien mon intention
- N'est ce pas magnifique il allie raffinement et fermeté...
Le leu la dépose doucement.
Alda ouvre ses bras, les jambes suivant naturellement alors que son cousin l'embrasse avec une tendresse inhabituelle.

- Sachez que je suis ému
- Je l'espère bien après tout ça
- Fermement ému même
- Si vous ne l'étiez pas...La jeune femme lui sourit et passe une main sur sa joue.
- Vous connaissez mon appétit féroce
- Oui c'est bien pour ça que j'ai tenté de prendre des notes afin de ne pas vous décevoir
- Souffrez donc que je goute le plat que vous m'offrez ma cousine, je n'y mettrai que le bout des lèvres, je vous le promets. Enfin... pour commencer.
- Du tout mon choix est fait !
Répond elle en rougissant à cause de la chaleur des plumes du matelas, du corps près du sien des pattes qui se baladent. Le leu, quant à lui, sort une langue longue comme un jour sans pain et lape avec entrain, oreilles dressées a l'écoute des gémissements de sa cousine allongée.
- Cousine.... votre... euh... enfin ce n'est pas du poulet vous savez
Celle-ci gémit :
- Oh Aristote pas là... si si encore oui, là parfait... je vais finir en enfer... Cousin ne vous arrêtez pas !
[i]De ses mains elle explore à son tour le dos, le fessier les cuisses se souvient de la manette et s'interroge en la trouvant légèrement gluante. Soudain Attila se redresse triomphant.

- Phase III ma cousine, la dernière et la meilleure ! Enfin le mâle la trouve souvent la meilleure.
Visiblement, la cousine appréhende.
- Ah ? Dois je attendre à côté ?
- La femelle... ma foi les femelles me laissent perplexe. Certaines semblent prendre plus de plaisir aux précédentes phases, d'autres demande plusieurs phases III après la première... vous devrez vous faire votre propre opinion. Il y a même parait il une mythique phase IV.
- Mais ça se termine quand ?
- Mais l'homme s'arrête à III,
- Ah, bon.
- Nous y travaillons
Le velu rejoint sa cousine pour de voraces bécots dans le cou. Que cette dernière tend avant de l'embrasser à son tour, jouant avec le bout de sa langue et avec ses dents, tantôt mordant doucement, tantôt léchant.
- Il est temps que ma manette actionne votre mécanisme ma tendre et gourmande cousine
Mais Alda est dubitative.
- Ai je votre assentiment ? Pour la phase III, IV peut être?
- Mais... vous m'avez dit... je savais qu'il fallait que je prenne des notes. Vous m'avez dit que cela gérait votre pression. Je vois mal comment ça va agir sur la mienne.
- Elle devrait se relâcher sous peu, et pour tout vous dire dans peu de temps, si la vôtre est égale a la mienne.
- N'ayant pas de manette je me fixe aux papillons qui n'ont jamais été aussi pétillants
- Ne perdons pas de temps ma cousine, ou tout risque de s'écrouler, pour ma plus grande honte et votre désespoir
Le vicomte place la manette là où son effet sera le plus décisif, échangeant la chaleur mâle contre la brulure femelle. Alda ouvre de grands yeux et pousse un petit cri qu'elle étouffe en mordant peut être un peu fort son Cousin à l'épaule.
- L'oreille ma cousine, mordez l'oreille si cela vous fait souffrir. Elle est a vous depuis toujours.
Alda s'exécute puis relâche sa prise, concentrée sur le plaisir qui l'envahit. Son amant la regarde dans les yeux en souriant tendrement.
- Te voilà femme dorénavant, ma femme
- Me voilà ta femme... ça je n'ai pas besoin de le noter.
- Et maintenant, activons ma mie, ou la délicate mécanique risque de se gripper
- Quoi ? On resterait bloqué ?
Dit elle en commençant à paniquer
Le leu se redresse, légèrement angoissé à son tour.

- ça ne m'est jamais arrivé mais il faut du travail pour avoir la jouissance du fruit de ses efforts. Un peu de sueur ne vous fait pas peur ?
Avec abandon, Alda lui fait confiance.
- Euh non au point où on en est
Attila sourit et entreprend gaillardement le mouvement de va et vient universellement reconnu pour sa fécondité toute aristotélicienne.
Alda se demande s'il va se décider, le trouvant subitement très versatile.... avant de comprendre le but de la manoeuvre, ne peut s'empêcher de tourner la tête doucement laissant un léger gémissement s'échapper de ses lèvres.

- Ma cousine voyez vous les cohortes célestes se déverser au dessus de notre couche? Entendez vous les trompes de Jéricho résonner a vos délicieuses oreilles? Sentez vous la caresse solaire oindre votre exquise peau de pêche?
- Je vois, j'entends, je sens mais je me demande si ce n'est pas un rêve
Le leu se cambre, yeux jaunes dans les yeux verts, fait trembler le lit d'un mouvement frénétique, craignant un peu que le baldaquin ne s'effondre, puis grogne brusquement :
- PRETE ?
- PRETE ! Mais se demande à quoi.
Soudain le mâle hurle à la lune qui est haute, au plaisir qui est grand, à sa cousine qui est belle.

- AHOUUUUUUUUUU
Alda n'écoute pas son premier réflexe qui était d'appeler à l'aide Aristote parce qu'elle se dit qu'avec un peu de chance il avait une autre âme à surveiller que la sienne ce soir là, mais hurle aussi à la lune qui lui a enfin apporté son Cousin, au plaisir qu'elle vient enfin de rencontrer, et la vie qu'elle vient de recueillir.
Enfin le vainqueur d'Excideuil s'abat lourdement sur le corps tremblant d'icelle et se met instantanément à ronfler.
Sa cousine se tortille pour lui échapper ne rêvant que d'un bain, mais c'est peine perdue, lui trop lourd elle trop béatement lasse, se contente de tirer une couverture en attendant qu'il roule plus loin et s'endort conquise et satisfaite.

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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Aldaaregonde
Des semaines plus tard.


- Mais fais attention petite gourde ! Il faut que la bande soit bien étalée, si je deviens difforme tu vas m'entendre et n'hésites pas à serrer. Ne me regarde pas comme ça je sais que je devrais arrêter les tartines mais c'est plus fort que moi... Pis je n'ai plus que ça à faire maintenant que j'ai rendu mon nécessaire à courrier... Mais ça je ne le regrette pas c'est la meilleure décision que j'ai eu depuis un bout de temps... Te rends tu seulement compte que tous les conseillers sont entâchés par les décisions ou encore les actions du Comte ? Alors quand celui-ci n'est pas capable de réagir malgré les mises en garde, et qu'on se retrouve avec tout le beau linge qui commence à râler dans tous les coins... quand les réactions, les décisions se font attendre, quand tu entends reproche sur ton travail alors que ton expérience te permet une approche plus pertinente d'une situation il ne reste plus grand chose à faire qu'à laisser la place.

Regard noir à Loba.

- Oh ça va ! Je sais ce que tu penses, cela me donne aussi du temps pour aller courir dans les bras d'Attila... mais ce n'est pas le cas... Poste ou pas j'ai le temps qu'il faut pour le faire, et puis il a autre chose à faire en ce moment tout comme moi... Allez bon sang tires !

Elle passe ses mains sur son ventre, ses hanches, fait la moue.

- Cela fera l'affaire... Faut vraiment que j'arrête les tartines....
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Dhea
[Castel de Droux, Chambre de la Vicomtesse]

Nuit hivernale bien froide, il gèle encore dans les contrées limousines. Point de nuages en cette nuit noire. Juste la lune, ronde et pleine.

Dans un grand lit à baldaquin sous un edredon de la meilleure facture on entend un léger ronflement. Non pas que la Vicomtesse ronfle, elle ronfle pas d'abord ! C'est juste qu'elle a le nez un peu pris ! C'est vrai quoi on est en hiver et elle est légèrement enrhubée d'où le léger bruit qu'elle fait en dormant. Bref. Bien au chaud sous son edredon elle dort telle une étoile de mer. Position possible dè lors que l'on dort seule. Lastours n'est pas là, d'ailleurs il n'est jamais là et pi ils sont toujours pas encore mariés et quand bien même ils étaient enfin mariés il serait plus qu'hasardeux de dire que Lastours partagerait la vicomtale couche, et même pas qu'il y a un charmant jeune garde/manouvrier/amant/noble (rayez la mention inutile) pour lui tenir chaud. Bref. Dhéa est plongée dans un profond sommeil, un léger sourire sur les lèvres.

Petits pas de loups se font entendre dans le couloir... Aiiieuuu putain de saleté de piège à ours !! Sont pour ce vioc de Lastours !! Chuuuuuttt bougre d'idiot ne va pas réveiller tout le castel....
Re petipatapon...Doucement...
Une mimine s'approche de la clanche...doucement...léger couinement...Une ombre entre dans la chambre. Le feu crépite dans la cheminée, une douce chaleur règne dans la chambre. L'ombre hume la pièce. Elle y retrouve son odeur un peu de miel et quelquechose qui lui pique le nez. Elle la regarde puis une main se tend...doucement...surtout ne pas la réveiller...L'ombre se glisse sous l'édredon...doucement. Elle se blottit contre l'étoile de mer (et c'est pas facile) toute chaude. Qu'il fait bon au chaud sous l'édredon. Dhéa bouge, grommêle et se retourne. L'ombre en profite pour se rapprocher d'elle, se blottir un peu plus, épouser son corps. Elle l'enlace...Doucement.

Dhéa rêve qu'elle est blottie contre un corps...douce sensation de chaleur...
AAAAAAAAAAAAAHHHHHH.

Réveil en sursaut de la Vicomtesse. Elle s'apprête à hurler à la garde (tout a fait, une Vicomtesse digne de ce nom a toujours une garde rapprochée) quand à la lueur de la cheminée elle reconnaît son fils. Oui son Fils ! Ici dans son lit ! Son coeur bat à la chamade : peur d'avoir été réveillée en sursaut, et joie de retrouver son cher petit qui n'est plus un petit.

- Attila !! Vous m'avez fait une peur bleue ! Que venez vous faire dans le lit de votre Mère ? Vous avez passé l'âge qui plus est !

- Mais c'est que vous me manquiez tant ma Mère.

Regard soupçonneux de la louve, c'est qu'elle le connaît comme si elle l'avait fait. Et elle l'a fait.

- Mère?
- oui ?
- seriez vous fachée ?
- non pourquoi ? j'ai une raison de l'être ? qu'avez vous encore fait comme bêtises ???

Cache ses oreilles

- rien je vous assure... enfin si... j'ai...euh... couché... avec...euh.. ma cousine

Se recule

Là Dhéa accuse le coup elle elle fait a peu près cette tête là (le teint jaune en moins)

-hein ? quoi ?
- QUUUUOOOOOOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ????

- n'est elle pas délicieuse ?
- vous allez l'épouser séance tenante !
- vous avez pris vos précautions au moins ? vous aviez un boyau de mouton avec vous ?? rassurez moi !
- dites moi que vous ne l'avez pas déshonnorée

- heu...
- c'est une femme maintenant
- une belle femme en plus

- oui c'est une femme de bonne famille et sa réputation et son honneur ne doive pas être tachés par vous !
- oui elle est adorable et tellement faite pour vous

- euh...Mère...
- donc pour les dispositions du mariage je suis prête à tt prendre en charge. le plus tot possible... au cas zou un petit attila arriverait...

- je n'ai fait que coucher... rien de grave

-je n'ai fait que coucher....rien de grave !! vous voulez dire que vous avez dormi ensemble dans le mm lit mais chastement . c'est ce que vous voulez dire par rien de grave n'est ce pas ?

- chastement? c'est quoi ce mot. cherche, reflechit Ah!

- ARGH
- euh non... pas chastement

- seigneur, jésus, marie, joseph, christos et aristote réunis.
-donc mariage il doit y avoir surtt si cette nuit porte ses fruits...

- vous croyez?.. elle ne savait meme pas comment faire... elle ne doit pas savoir concevoir non plus
- je n'ose imaginer les rumeurs les plus folles qui vont courrir si elle devient féconde... et en plus vous vous gausez de son innocence !!
- vous meriteriez une bonne claque !!

Attila rabat les oreilles

- elle si pure et si....tt a vous...et vous trouvez à rire de son manque d'expérience ! vous devriez la remercier pour ce présent qu'elle vous a fait !!
- mais que vais-je faire de vous ??? Vous ne m'épargnerai rien !

- un comte?
- Vous ? Un Comte ? Laissez moi rire. Après vos frasques ? N'empêche que vous seriez superbe en Comte mon Fils.


- Dites.... quand Père et vous..... enfin vous voyez quoi... hum ça a marché au premier coup?
angoisse legerement


- malheureusement pour moi non, nous avons du recommencer...pppfff
- mais sachez qu'une seule fois et PAF !! c'est la bonne.
- de tte façon Arégonde est la bonne pour vous !! c'est celle qu'il vous faut

- euhh... elle est bonne, ça y a pas a dire

Dhéa s'étrangle


- je me réjouis qu'il faille recommencer plusieurs fois
- oh que non vous ne recommencerez pas ! ou alors que dans les liens du mariage !!

- au fait... hum. Attila se recule cette fois nettement

- et finies les frasques pr vous vous allez enfin vous rangez et vous garder de ttes ses peronnelles.

- Mère, vous allez etre grand mere...

(To be continued...)
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Vicomtesse compte Double
Dhea
[Chambre de la Vicomtesse, épisode 2]

- Mère, vous allez etre grand mere...

Heureusement que les leus ont un formidable instinct de conservation. Attila se lève et quitte la couche maternelle pour se dirriger vers la porte.

- Hein ? Quoi ? Grand-Mère ? Qu'est ce que c'est encore que ça ? Cela ne se peut ! C'est trop tôt ! Le compte n'est pas bon.
Compte sur ses doigts : un, deux, trois...quatre... Non le compte n'est pas !!

Le coeur de la louve râte un battement, une douleur apparaît au côté gauche juste sous son sein.

-Mère?

Dhéa se jette entre la sortie et son fils, son regard se fait de plus en plus noir, plus qu'il n'a jamais été, aussi noir qu'une nuit, enfermé dans les oubliettes du paternel.

-qui est la pondeuse de votre progéniture ? Une servante ? Une gueuse ? Une noble ? Votre bretonne ? QUI ??

Attila prend un air effrayé, queue entre les jambes :
- euh... une amie, qui m'a soigné en Alençon et ne vous inquiétez pas ce sera un petit bastard de rien du tout.

La louve se doit de protéger sa meute, le pragmatisme fait place à toute trace de sentiments, seule sa meute lui importe.
- l'est il trop tard pour aller voir une matronne ? peut on la dédommager pour effacer cette erreur de jeunesse ?

-euh trop tard... bien trop tard... réparer? ben les bastards, c'est un peu une coutume familiale non? Entre Frérot Ica et Soeurette Alda...Je marche sur les pas de mon Père.

Nouvelle douleur sous le sein gauche :ce n'est pas parce que vos aieux et vostre pere l'a fait qu'il faut faire de même.
Dans tt ça je retiens qd mm 2 excellentes nouvelles : vous êtes de retour auprès de votre môman (enfin chez vous) et vous allez épouser votre cousine

- groumpf

-bon je m'occupe de tout, ta Môman est là et elle va tout arranger. j'ai ouie dire qu'il y avait enfin un officiant compétent à bouretameuf. Enfin ! Ce n'est pas trop tôt !

Dhéa se dirrige vers son secretaire et prend une plume ainsi qu'un petit calepin. Elle commence par faire une liste :

1. contacter le pretre
Elle entend à peine son fils grogner.

2. contacter le tailleur
Re grognement, claquage de la gueule du leu.

3. préparer le repas
Miam. Et n'oubliez pas la viande Mère !


4. Invitations ? Non, pas d'invitations, on fera ça entre nous
- ouais pas de pique assiette

5. après le mariage s'occuper du bastard.
- Vous êtes sûr d'en être le géniteur de ce bastard ? Je ne voudrais pas payer pour un autre, voyez vous.
6. s'occuper de la mère dudit bastard.
- hum... Môman ? Ma petite Môman chérite ?

7. songer à s'occuper définitivement de son fils --> oubliettes de Droux + les cages (mais pas aux fols)
8. devrait passer le 7 en 1

-Mère !! Vous n'oseriez pas !!
- Mère?
- oui mon Fils ?
- je vous aime
- mais moi aussi, même si vous me faites devenir chèvre. tant que c'est moi ça va mais ne vous amusez pas à briser le coeur de votre belle cousine
- oui je sais... et.. et si c'est elle qui me les bri... qui me le brise ? je n'aime pas la façon qu'a son frere de la regarder

- Menfin, elle est incapable de vous briser le coeur, pour cela il faudrait que vous en ayez un. quant a son frère il veut sans doute la protéger.
- il est insolent, son humour est douteux et il est .... hum... c'est un galant ! il court la gueuse et pas que la gueuse du reste!
Souriant à son Fils : oh tient, il me rappelle quelqu'un !
- groumpf !
- à vous entendre je dirai que vous êtes jaloux de son frère
- nous verrons... qui sera jaloux de l'autre.
- faites attention qu'il ne demande pas réparation contre l'outrage fait a sa soeur si les épousailles ne se déroulent pas. et après le frère se sera à moi de vous demander réparations...
- Grrrr
- je dois encore avoir la trique de votre enfance.

- je n'ai plus l'age d'aller au cachot !!! a part ceux du prevot evidemment
- m'en fiche j'suis votre mére et vous m'obéirez (notez l'argument imparable touché-coulé)
- voui Mère
- bon petit. bon sérieusement mon Fils... qu'allez vous faire avec votre cousine ?... mon fils ?

- Mère?
- oui ? vous n'avez pas répondu ! n'éludez pas.
- quoi?
- bon sérieusement mon Fils qu'allez vous faire avec votre cousine ? alors ?
- bon j'arrête de vous mettre martel en tete avec ça ...

- mais quelle reponse?
- je vous demandais de cessez de l'importuner et de lui briser son tit coeur
- quelle question?

Exaspération de la Vicomtesse : comportez vous correctement et dignement avec elle

-vi vi
- QU'ALLEZ VOUS FAIRE AVEC ELLE !! BORDEL !! zetes sourd ?

- recommencer ?

Toujours cette douleur...La Vicomtesse tombe par terre...
_________________

Vicomtesse compte Double
Aldaaregonde
Nuit d'insomnie chez la De Rien.


Gabin les yeux rouges la désigne du doigt, son visage n'est qu'une grimace de dégoût lorsqu'il s'adresse à sa soeur.

- Tu n'es qu'une catin ! Comment as tu osé ?

Arégonde les mains sur son ventre recroquevillée sur son fauteuil le protège du regard haineux fruit de ses désirs défendus*. Comment ne peut il comprendre qu'elle avait agi pour mieux lui résister et de plus qu'il était dans l'ordre des choses d'aimer Attila sa force, sa fougue, sa splendeur, sa jeunesse sa folie et toutes les promesses d'aventure, ne l'avait elle pas attendu sans espoir ? N'avait elle pas mérité d'avoir une vie normale loin du péché ou du moins dans un péché moins grand ?
Mais le Leu intervenait à son tour :



- Enfin Ma belle Cousine seriez vous plus oie que toutes celles que j'ai eu ? Ne saviez vous pas que je n'aurais que faire de vous une fois mon envie passée ?

Arégonde ne pleure pas ses mots là, ou ces maux là elle savait qu'elle les endurerait, elle le regarde hochant la tête et comme un mantra répète :

- Ce qu'Attila désire Arégonde donne.

Hautain il la toise, et une femme aux nombreuses têtes dont Arégonde ne peut décerner les visages l'entraîne déjà loin d'elle, un cri d'enfant se fait entendre au loin, mais il est couvert par la voix collégiale des conseillers qui lui hurlent des propos tous différents, les uns marquant leur mécontentement, les autres leur incompréhension et le Capitaine hurlant :

- Bordel de Rien ! C'était mon plan d'attaque !

Il s'approche menaçant la barbe baveuse, Arégonde tend une main cherchant de l'aide mais personne n'a le temps de la prendre.
Gueld la regarde, hausse les épaules :


- Suis ton coeur, je vais danser !

Elle se réveille en sueur le coeur battant, draps et couvertures ayant volés comme si une nuit d'amour effréné avait eu lieu.
Il lui faut un temps pour se rendre compte que ce n'est qu'un mauvais rêve, le feu de l'âtre éclaire faiblement sa chambre, elle s'assied dans son lit s'adossant aux oreillers et sa tête se penche son regard se pose sur son ventre et la vague qu'elle ressent à l'intérieur à ce moment n'est pas dû à une tartine jambon fromage. Elle hésite, pose ses mains, son souffle redevient normal et elle donne la première caresse à travers sa chair à cette nouvelle vie qui lui promet de ne plus être seule.






* Les désirs défendus = désirs qu'elle a pour son frère
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Aldaaregonde
La nouvelle n'avait pas traîné pour se répandre, le Leu avait une ventrue installée à Louvières, Loba heureuse de ce pouvoir tout relatif qu'elle avait sur l'humeur de sa maîtresse se régalait à l'idée de laisser glisser la nouvelle. C'est avec un sourire éclatant de ses dents bien trop blanches qu'elle s'affaira ce jour là à la lourde tâche de l'emmaillotage Vicomtal.

Regard jaune de la Vicomtesse qui sent le coup bas venir.

- Qu'y a-t-il encore ? Pourquoi ce sourire niais ?

- Maîtresse j'ai peur que cela ne vous provoque quelques angoisses....

Faussement attentive au bien être de sa Maîtresse tout comme cette dernière l'est avec elle quand elle n'a Rien de mieux à faire.

- Des angoisses ? Comment ça des angoisses ? Il est arrivé quelque chose à Gabin ? Tu sais pourquoi je n'ai pas de nouvelles de Gueld ? Vas-tu parler idiote au lieu de secouer la tête !

- C'est... que j'ai appris par la grosse Marie, la fille du vieux Philogène que Le Vicomte de Saint Pardoux avait de la visite....

Petite attente de la réaction vicomtale qui ne se fait prier.

- De la visite dis tu ? Sa Mère sans doute....

- Non du tout... Une visite plus... les yeux rient derrière un sourire retenu. enfin il parait qu'une femme sur le point de donner la vie ferait la pluie et le beau temps à loisir dans l'hostel de Louvières.

Et là tout tourne, ce n'est pas le fait qu'elle a ponctué son récit en tirant fort sur les lacets, ni le fait qu'Arégonde écoeurée des tartines n'a Rien avalée si ce n'est de l'eau coupée de poire depuis deux jours, ou bien au contraire c'est le mélange mais voilà la Vicomtesse qui flanche, le front en sueur, haletante, cherchant son souffle, elle s'affaise sur le sol... Il devient de plus en plus évident que seul Attila est capable de la mettre dans des états pareils. Loba qui ne pensait pas tuer sa Maîtresse mais tout juste la déstabilisée se met à courir pour chercher les sels, se maudissant de ne pas l'avoir épargnée. Elle dénoue, essuie, humecte avec un linge humide, la soutient et la guide vers son fauteuil, les joues rouges de honte mais les gestes sûrs. Lorsqu'enfin Arégonde reprend totalement ses esprits elle marmonne.

- Oui... le petit bastard... Il m'avait prévenu... La poule est donc arrivée.... mais la mettre sur le trône de Louvières... C'est trop d'honneur ou alors il veut me faire passer un message... Vas le faire chercher vite ! Qu'il dise en face ce qu'il a à dire.

Loba hésite.

- TU VAS FILER !!!

Elle disparaît dans un frôlement de tissu.
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--Aldaysengrin



Parce que parfois le courroux aussi les attirent, les attristent, les guident Alda s'invite aux doléances d'Arégonde, pour une fois elles ne partageront pas qu'un prénom si fort soit-il, mais un tourment. Si l'une ne peut utiliser que les mots pour se faire entendre la deuxième à tout loisir, une panoplie du parfait petit fantôme et elle compte bien en user et en abuser, si la poule ose placer un pas dans les recoins de Louvières. Elle voudrait indiquer à son homonyme qu'elle l'aidera et ne sais comment faire, elle s'approche, et dépose une caresse aussitôt ressentie comme un apaisement par Arégonde qui attend plus sereine l'arrivée d'Attila.


Oui je sais les deux d'un coup ça va pas être simple allez courage... Y en a qu'une qui peut vraiment mordre.
--Bombastus_troubalduc


Cette fois nous reprenons le cours normal des évènements. Après la crise de goutte à Gueret


L'oreille fine (qui écoute toux catarrheuse, palpitations, humeurs dans les gaz ou gaz dans les humeurs) du ballonesque Bombastus, Parangon de la Bâfre, Pinacle de la Gloutonnerie, Sommet de la goinfrerie, au palais néanmoins délicat, son oreille fine donc, avait discerné un enfantement possible dans l'entourage du St Pas vraiment Doux.
Les ragots allaient bon train en cette bonne bourgade de Gueret, et le docte Dr fit son enquête. Assis sur la poitrine d'une mémé phtisique, il ne fut pas difficile de lui arracher le nom de la maîtresse du vicomte contre le soulagement de sa cage thoracique.
Donnant une petite tape amicale et satisfaite à la serviable mamie, le Dr tout heureux partit d'un bon pas, quoique légèrement claudiquant de sa mauvaise goutte, vers son baudet qui commençait justement à se remettre de son précédent voyage, une semaine plutôt.

Trottin trottant, Bombie le bombé se retrouva à Limoges, où il s'enquit de l'adresse de la personne nommée par la vieille chouette.
C'est ainsi qu'il se retrouva en ces lieux, demandant à voir la Vicomtesse Aregonde qui serait fort aise, il n'en doutait pas, de le voir si promptement arrivé.
Un homme diplômé de la Faculté de Montpellier, c'est comme de l'or en barre. Ca se caresse avec onctuosité. C'est du moins ainsi que l'entendait la bonniche qui se vit expulée du pas de porte par une panse bélier balancée avec orgueil, l'air de dire "Regardez comme mon maitre est bien portant!"


- Aaaah Votre Seigneurie! Dieu merci j'arrive à temps" Les yeux perdus dans le gras des paupières s'arrondirent légèrement. "Ou trop tard! Auriez vous déjà donné la vie?"
Comme la vicomtesse, à la taille aussi fine qu'adorable, ne répondait Rien, Bombastus estima que tout n'était peut être pas perdu. Placenta à délivrer? nourrisson extraordinairement petit? peut être un nain? Ou mieux encore un monstre? Un sélénite! Un chou? qui sait!
Il se frotta les mains à l'idée de la statue bedonnante qui le représenterait probablement bientôt à la Sorbonne quand il ramènerait le phénomène -évidemment non viable- dans un bocal d'alcool devant ses pairs.

- Allongez vous Vicomtesse, votre état ne souffre aucun délai. Tout peut arriver, surtout le pire! N'auyez crainte, je prends les choses, la Chose en main.
Aldaaregonde
Arégonde qui tente de reprendre ses idées, de les mettre en ordre, de les lisser, de se préparer à recevoir Attila, de ne surtout pas flancher, de rester ferme, ne pas penser à la douceur de sa caresse au goût de ses baisers, sursaute lorsque un huluberlu pénètre sans plus de cérémonie dans sa chambre. Il va vraiment falloir qu'elle discute avec son personnel. Et la soeur Anne là haut elle ne voit vraiment pas venir ? D'abord abasourdie et presque certaine qu'elle rêve, Arégonde se rend vite compte qu'il faut agir car le regard vicieux qui l'observe lui fait penser à Arnaud de Malemort, cet illustre inconnu serait-il un de ses amis ? Se redressant elle pose la main sur sa dague d'argent, encore un pas vers elle et il pourra chanter aussi haut que le rossignol.

- Mais que Diable faites vous chez moi ?
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Attila_caligula
[Chambre de la Vicomtesse Mère - Droux]

- Mère? Mère?... MERE!
Le jeune héritier prend une menotte déjà fraîche dans sa patte velue, la tapote vigoureusement avant de constater que la pâmoison est profonde. Une vraie pâmoison de noble dame. Les cours de secouriste qu'il a eu, c'est sur les champs de bataille, en suivant Namaycush et ses spadassins, ou l'Hydre et ses cavaliers, ou a bord de son navire et ses rudes matelots.
pas de flacon de sel, le sel c'est pour la barbaque. Et le truc puant dans les petites fioles n'en est sûrement pas.
Une bonne tarte, pour activer els sangs, qu'ils ne se figent pas en quelque mauvais conduit qui obscurcirait définitivement l'entendement déjà faiblard de la "Reyne Mère".
Avec tout son amour filial, le jeune Ysengrin applique la seule médecine qu'il connaisse; la tarte aux phalanges.
Une fois...

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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Dhea
Une douleur cuisante fait reprendre ses esprits à la Vicomtesse qui ci-gisait (avec Grâce) par terre. Enfin reprendre ses esprits c'est vide dit. Disons que la première chose qu'elle reprit dans une demi conscience ou (inconscience) c'est ses réflexes. Elle laisse parler ses sens et oublie ses complexes*.

A demi réveillée, donc, elle colle une droite sur la gueule de son Fils qui attendait une réaction de sa part. Mazette ! Qui aurait pu croire que Dhéa aurait autant de force...J'vous l'ai dit il s'agit simplement de réflexes.

Son Fils estourbit par la droite, magistrale de sa Mère, bascule et se retrouve le cul par terre.


- Hum...je crois que ça va aller...Aidez moi à me remettre au lit et filez hors de ma vue ! Je dois me remettre des mes émotions et digérer les nouvelles à savoir le bastar et LA faute. Et n'oubliez pas d'embrasser votre Mère avant de partir !



* Celui ou celle qui reconnaîtra le petit emprunt à une chanson culte me le signale ^^ On a de la sous culture musicale ou pas.
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Vicomtesse compte Double
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