[RP] Quand la corruption sert les écaillés

Tsuba

Ils avaient peut être étaient trop confiant ou peu trop soucieu des risque surement, en même temps les lézards ne se souciaient que peu des conséquences de leurs actes, c'est donc sans sourciller que Tsuba découvrit qu'on les attendait derrière les portes.

Hum ! Vas faloir jouer des coudes les amis !

En se retournant vers sa belle le jeune Nezumi donna un petit gourdin à sa jeune fiancée et lui donna quelques conseils d'utilisation simples.

Si il y en a un qui s'approche de trop prés tu lui éclate sa gueule.

La petite troupe des Lézards chargèrent le groupe défendant le sô, dans la mélée Tsuba s'en pris une bonne qui lui fit voler son masque qui lui cachait le visage, l'homme avait du graver son visage pour pouvoir le transmettre au autorité de son kuni, cela n'empécha pas le jeune homme de continuer son attaque.
Celle ci fut vite repoussé, les lézards durent fuir rapidement et s'éparpiller dans les ruelles du village, Tsuba prit la main de sa belle et lui indiqua qu'il fallait foutre le camps.

Allez on s'casse de là !

On reviendra soyiez en sur, cria t'il aux défenseurs.

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They had can be were too confident or little too much soucieu surement risk, at the same time lizards cared only few consequences of their acts, it is thus without batting an eyelid that Tsuba discovered that we waited for them behind doors.

Hem! Go faloir to play elbows the friends!

I] By turning around towards his beautiful the young person Nezumi gave a small bludgeon to his young fiancée and gave him(her) some simple advice of use. [/i]

B] If there is one who approaches excess meadows you bursts him(her) his(her,its) mouth. [/b]

I] The small troop of Lizards loaded(charged) the group defending(forbidding) the sô, in the mélée Tsuba took a maid who made him(her) steal her mask which hid him(her) the face, the man had of to engrave(burn) the face to be able to pass on him(it) in authority of his kuni, it empécha not no the young man to continue his attack.
That this was fast pushed away(fast repelled), lizards had to run away quickly and scatter in the alleys of the village, Tsuba took the hand of her.
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Lymey

Sur un signe de tête , Lymey avait suivit dans les rues glacées.
Sculo lui avait conseillé de rester derrière lui pour son premier assaut, et de frapper de toute ses forces.
La rage au cœur, elle courrait derrière lui , son bâton tournoyant autour de sa tête.
Haute comme trois pommes , elle se jeta dans la bataille et d’un geste résolu planta quelques volées de coups dans les gardes hurlants.
Dans la confusion , elle avait cassé un bras lui semblait-il. Elle voyait encore devant ses yeux l’os saillant à travers la peau ensanglantée.

Elle s’était défendue du mieux possible . Déçue , elle avait couru le souffle inégal, avec ses compagnons jusque dans les ruelles sombres pour suivre en repli, cherchant un échappatoire.
Ils n’avaientt pas le choix…

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In a nod Lymey had followed him into the icy streets.
Sculo advised him to stay behind him for his first assault, and hit with full force.
The rage in her heart, she would run behind him, twirling his stick around his head.
High to a grasshopper, she threw herself into the battle and a resolute gesture planted a few beatings in the guards screaming.
In the confusion, she had a broken arm she thought she saw it again before his eyes the bone protruding through the skin bleeding.

She had defended as best as possible.
Disappointed, she ran the breath uneven, with his companions into the dark alleys to follow in fall, looking for a loophole.
We had no choice ...

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Kuan

Le petit grand groupe posté devant le sô s'attendait à une balade tranquille dans les lieux déserts. Sauf qu'on les attendait aussi. Le mioche, ses nouvelles armes à la main enduites de poison, tira sur la queue de Berthe quand il s'avéra qu'aujourd'hui ils avaient perdus la partie.

Berthe viens ! On y part !

Kuan se retourna vers le type qui venait de lui choper l'épaule. Il retroussa ses lèvres tel une bête féroce qui allait mordre (de longues heures passées à imiter la belette) et lança un regard haineux au type. Le gaillard en armure surement déstabilisé par la petite bouille (ou par la morsure de Berthe) marmonna des mots dans une langue que Kuan ne comprenait pas le moins du monde.

Baka !

Une boule puante sortie de la poche du minimoys fut balancée au lance-pierre dans la place. Voilà une superbe diversion. Dans le chaos provoqué, le gamin se faufila jusqu'à la charrette et grimpa à côté du conducteur, prêt à détaler comme un lapin.
Le lance-pierre prêt aussi à emmerder les éventuels poursuivants.
Pour sûr qu'ils reviendraient.

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The small shift to the large group sô expected a quiet walk in deserted places. Unless they are also waiting. The youngster, his new weapon in hand-coated poison, pulled on the tail when it turned Bertha today they had lost the game.

Bertha come! We share!

Kuan turned to the guy who had just nab the shoulder. He rolled up his lips like a wild beast that would bite (long hours to mimic the weasel) and glared hate to type. The guy in armor probably destabilized by the small boils (or by the bite of Berthe) muttered words in a language that Kuan did not understand at all.

Baka!

A stink bomb out of the pocket of invisibles was balanced in the sling in place. This is a great diversion. In the chaos, the boy crept up the wagon and climbed up alongside the driver, ready to scamper away like a rabbit.
The slingshot is also ready to piss off any pursuers.
For sure they would return.
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Quand la corruption sert les écaillés

Esculo

[Une ville comme une autre, quelque part dans le Nippon, avec ses coins sombres et sa misère.]

Il va arriver !

Esculo s'adressa d'une voix forte à Lymey, plus pour se rassurer lui qu'elle de la venue importante de celui qu'ils attendaient.

Ils étaient au fond d'une gargote insalubre dont le vieux mobilier tenait debout par on ne sait quel tour de passe-passe. L'endroit était faiblement éclairé par quelques bougies disséminées à gauche à droite, seules sources de lumières dans cet endroit aussi sombre que l'était l'âme des clients.

Ce lieu de perdition se trouvait dans une cave dont l'entrée était située au fond d'une impasse, ou plutôt un coupe gorge.
Pour y parvenir il fallait enjamber des corps endormis là pour l'éternel à cause du froid ou le manque de globules rouges, les rats -qui se régalaient de ceux qui ne se relèveront plus, des bouteilles fracassées et autres crasses que l'on trouve au milieu des rues où la fange a ses droits durant toute l'année.

Lieu de rassemblement des brigands, des ronins alcooliques, des prostituées crasseuses du coin, "The Cellar", comme on l'appelait par ici, était aussi un endroit parfait pour les rendez-vous discrets. Entre le patron muet, la plupart des clients trop éméchés et le bruit perpétuel provoqué soit par une bagarre soit par la musique d'un groupe de vieux aveugles (clic ici), il n'était pas rare de croiser quelques encapuchonnés qui venaient quémander un service spécial et bien rémunéré à un habitué des lieux.

En terre connue, Le Vil buvait son saké chaud servit par le patron, pas très causant évidemment.
Le breuvage était dégueulasse, à n'en pas douter, mais ca restait du saké et la promenade dans la ville avait asséché le gosier de 'sculo.

Avec la jeune Lézard Lymey, retranchés dans le coin le plus sombre, il attendait quelqu'un.
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"Il n'y a ni bien ni mal, juste des forts et des faibles à l'instinct animal"

Lymey

Lymey, immobile contre le mur dans l’ombre, les mains passées dans son obi, à l’affût de leur rendez-vous, ressassait des pensées sombres. Elle rêvait d’évasion d’un autre monde mais les biens pensants ne pouvaient pas changer à moins d’y mettre le chaos. En retrait elle ne prenait pas part aux réjouissances.

Plus loin au milieu de la fumée, des parieurs s’échangeaient des kobans ou se payaient à boire dans un concert de rots sonores et de hoquets baveux. De temps en temps le brouhaha s’élevait et elle regardait de tous côtés inquiète. Elle dit doucement croisant son regard.

- Il se fait tard Esculo ! tu crois qu’il viendra ? peut-être devrions nous rentrer !

Elle n’était pas lâche mais l’endroit grouillait, le saké coulait à flots sous la voûte noircie de fumée . Après quelques réticences , poussé par Esculo , elle appréciait de plus en plus le breuvage tiédi qui courrait dans ses veines et déliait la langue. Elle craignait de ne plus être capable de suivre les évènements. Elle se tenait bien droite , le visage jeune et doux. Etait-elle toujours Lymey la douce ou bien une autre femme, une tueuse.

Elle passait en revue les visages tavelés , rougeoyants comme des piments. A ses pieds un rônin était avachi près d’un four. Il se trouvait là depuis un bon moment, le patron l’avait laissé tranquille mais voici qu’il le réveillait pour remettre du bois. Le feu risquait de brûler le kimono de l’homme rougit par le saké. Allait-il vomir à ses pieds ?

Dans l’espace confiné par les rideaux pouilleux tirés de l’alcôve, régnait une écœurante puanteur. Le lieu n’était pas familier à Maître Hsia, en un clin d’œil il faisait le tour de l’endroit, soupirait et se retournait les narines pincées et la bouche grande ouverte pour ne pas sentir le puissant relent de poisson pourri mêlé aux vapeurs de saké.
Il contrôlait sa répulsion, il allait pouvoir servir sa vengeance. Autrefois nanti sur une île voisine il avait ramené comme passion le goût pour le chou fortement épicé et fermenté dans l’ail, la seule passion qui avait probablement éclairée sa mesquine existence en dehors des kobans.
Il se sentait bafoué dans sa nouvelle existence et il allait leur faire payer . Jing Hsia caressait distraitement son bouc tressé et parfumé, sa carcasse de coquelet desséché disparaissait dans un long kimono vert jade doublé de gris. Frottant ses mains l’une sur l’autre , le faquin était ravi de l’aubaine , des kobans et pour couronner le tout des belles jeunes femmes pouvaient peut être lui tomber du ciel comme des cailles rôties. Sa curiosité malsaine s’était éveillée , il approcha des deux étrangers qu’il devait rencontrer et s’inclina de manière obséquieuse, tenant l’objet de sa vengeance au fond de sa manche .

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--Jing_hsia

Dans l’espace confiné par les rideaux pouilleux tirés de l’alcôve, régnait une écœurante puanteur. Le lieu n’était pas familier à Maître Hsia, en un clin d’œil il faisait le tour de l’endroit, soupirait et se retournait les narines pincées et la bouche grande ouverte pour ne pas sentir le puissant relent de poisson pourri mêlé aux vapeurs de saké.

Il contrôlait sa répulsion, il allait pouvoir servir sa vengeance. Autrefois nanti sur une île voisine il avait ramené comme passion le goût pour le chou fortement épicé et fermenté dans l’ail, la seule passion qui avait probablement éclairée sa mesquine existence en dehors des kobans.
Il se sentait bafoué dans sa nouvelle existence et il allait leur faire payer .

Jing Hsia caressait distraitement son bouc tressé et parfumé, sa carcasse de coquelet desséché disparaissait dans un long kimono vert jade doublé de gris. Frottant ses mains l’une sur l’autre , le faquin était ravi de l’aubaine , des kobans et pour couronner le tout des belles jeunes femmes pouvaient peut être lui tomber du ciel comme des cailles rôties.
Sa curiosité malsaine s’était éveillée , il approcha des deux étrangers qu’il devait rencontrer et s’inclina de manière obséquieuse, tenant l’objet de sa vengeance au fond de sa manche .

Esculo

Esculo planta ses prunelles noirs dans celles du vieux qui venait de s'incliner devant eux.
Ses manières ne plaisaient pas au Vil. Trop d'apparats, trop de coquetries.

Mais peu importe, le clan convoitait un objet qui lui appartenait et le jeune homme n'avait pas envie de chercher misère et faire capoter l'affaire.
Personne dans la gargote ne semblait se soucier d'eux.
Le Lézard plongea sa main dans une poche et en sorti une bourse.
Au bruit que cela fit lorsqu'il la jeta sur la table, on pouvait se douter qu'elle contenait une bonne poignée de kobans.

Au cas ou, Esculo sorti une dague de sa ceinture et commença à jouer avec.
Il s'amusait à planter la lame dans le bois de la table et la faire tournoyer sous sa paume.
Ses yeux étaient toujours tournés vers celui qui leur faisait face.

Aucuns mots n'étaient échangés jusqu'à présent, à quoi bon après tout ?
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"Il n'y a ni bien ni mal, juste des forts et des faibles à l'instinct animal"

--Jing_hsia

Jing Hsia pris place près de l’homme sans y être invité ni tenir compte de la dague avec laquelle il jouait.
La bourse était très séduisante, elle était dodue et sonnait comme il aimait.
Une chance que les Kamis lui offraient. Il sortit son éventail et l’agita nerveusement devant sa bouche plus ou moins édentée.
A travers ses deux fentes sombres, il détailla la jeune femme discrète dans l’ombre et l’homme jeune et musclé à ses côtés. Enhardi par leur silence il prit ses aises , sa décision était prise , au point où il en était peu importait s’il se déshonorait !

-Je m’appelle Maître Hsia je suis le fonctionnaire qu’il vous faut , c’est la providence qui nous fait nous rencontrer ici.
-Buvons ensemble une coupe de saké !

Il fit signe au patron et se fendit d’une tournée de saké tiède , il valait mieux rester poli pour encaisser la prime.

-Alors demanda t-il sans détour ? vous êtes décidés ?

Puis il approcha ses lèvres humides de l’oreille du Lézard en chuchotant …

-l’objet prévu contre la somme ?

Esculo

Voilà que le vieux commençait à parler et même à lui susurrer des mots doux à l'oreille.
Esculo qui pensait que ce serait réglé en moins de deux et qu'il pourrait enfin sombrer pleinement dans l'alcool, soupira.
Il renifla et cracha à terre un vieux mollard qui lui était resté au fond de la gorge avant de porter à ses lèvres le saké tiède.

C'est pas la providence qui a amené tes fesses ici l'vieux ! c'est l'intérêt qu'tu portes à nos kobans.

Le Lézard avança son visage si près de celui du vieux que celui-ci recevait en pleine face des postions volontairement incontrôlés.

Pour le reste, ca t'r'garde pas ! Et dépêche toi d'prendre cette bourse et m'donner c'que j'veux avant qu'il ne m'prenne l'envie de t'égorger et m'servir moi même.

Manquerait plus qu'ils causent tissus...
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"Il n'y a ni bien ni mal, juste des forts et des faibles à l'instinct animal"

--Jing_hsia

L’ordure ne perdait pas de temps !
Jing Hsia regarda l’intérieur de la bourse , l’empocha dans les plis de son kimono et tendit l’objet promis à Esculo .

Il trouvait l’homme très séduisant et ses manières brutales émoustillantes. Sa jeunesse , ses muscles son teint halé d’aventurier …
Il est vrai qu’il aimait autant les filles que les garçons, un avantages pour lui, son choix était plus vaste ainsi.
Il en oublia la jeune femme à ses côtés et toujours sous l’action trépidante des piments , à travers les vapeurs sulfureuses de son désir frustré , il approcha en minaudant sa main sur la cuisse du jeune lézard , la posa dessus et de la corne jaunie de ses ongles longs le caressa .

Lymey

Lymey écoutait distraitement les élucubrations du vieux fonctionnaire .
Elle préférait le son de la musique qui raisonnait dans toute la gargote , à cette voix mielleuse et hypocrite.
Elle se balançait sur son siège , tâtant de temps en temps les senbons dans leur étui sur sa cuisse au cas où !
Un large sourire ironique et un plaisir malin lui vint lorsqu’elle aperçut la mine concupiscente du vieillard tremblotant qui se pâmait devant Sculo et qui le pelotait .
Il semblait assez fort pour gérer ses avances amoureuses tout seul après tout ! et la scène était cocasse !

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Esculo

La clé des portes arrières du So de Ueno mise en poche, Esculo remarqua, sans trop le comprendre, le changement d'attitude du vieux à son égard...jusqu'à ce qu'une main ridée se pose sur ses cuisses, tout prêt de sa virilité.

La réaction ne se fit pas attendre.

Une tête rouge !
Des yeux biens ouverts !
Un poing dans les dents !

Les phalanges d'Esculo s'écrasèrent sur le visage du vieux à la vitesse grand V. L'homme fut projeté à terre et le Lézard se jeta sur lui.
Furieux, Le Vil abattait son poing sur le visage du vieux avec force, encore et encore.

Non...mais tu m'prends...pour qui...

Blessé dans son amour propre, ce sentiment qu'il n'avait plus ressenti depuis longtemps, le jeune homme continuait à frapper malgré le fait que son adversaire semblait inconscient.

Décidé à en finir, il prit sa dague sur la table et l'enfonça dans la poitrine du vieux d'un coup sec.

Essoufflé, Le Vil regardait le visage sans vie avec dégout.
Ce n'est que quand il se releva après avoir récupéré la bourse du clan dans les poches du mort, qu'il remarque les visages tournés vers lui et le silence qui s'était fait dans la gargote.

Sa colère ne tombait pas, non seulement ses nerf avaient laché, mais en plus il s'était fait remarqué.

Idiot !

Après un signe de tête à Lymey pour l'encourager à le suivre, il se dirigea vers la porte sans un mot, sa bourse dans une poche, la clé dans l'autre.
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"Il n'y a ni bien ni mal, juste des forts et des faibles à l'instinct animal"

--Sunuke

Kuso ! Qu’est ce qu’on s’les gèle ici …

Sunuké était du voyage lui aussi, attendant patiemment dehors, soufflant dans ses mains jointes pour tenter de les réchauffer.

Reste là et surveille la charrette ! Lui avait ordonné Esculo avant d'entrer.

Tu parles … Qui pourrait bien piquer une charrette pleine de neige ? Déjà qu’c’était lui qui avait du se la coltiner pendant tout le trajet, et cela en pleine tempête.

Son esprit divaguait en attendant le retour des autres lézards et il se mit à fantasmer sur la chaleur que lui procurerait une bonne tasse de saké … ou deux … Peut être bien que l’un ou l’autre de ses acolytes penserait à lui et lui en ramènerait une … Arff non, fallait pas rêver.

Il sautillait sur place pour faire circuler le sang dans ses jambes engourdies par le froid, quand la porte s'ouvrit enfin …

--Geminus

Quelque part dans le marché un albinos regarde l'air déconfit les étals. Non rien décidément il ne trouvait rien de la marchandise qu'il cherchait.
Faudra aller la chercher dans le So alors!

Il voyait partout des hommes en armes aux airs martiaux. Certains marchant derrière des étendards tels des groupes d'armée.

Bigre, cela sera peut être plus difficile que certains villages de pouilleux. Bah, plus c'est dur, meilleur c'est!

Somewhere in the market, an albino looks crestfallen at the stalls; Nothing, really he did'nt find the stuff he wanted.

Then I shall go and plunder the Kori to find the stuff! So be it.

He saw everywhere men at arms with martial looks. Some walking behind flags like so many groups of armies.

Gosh, it may be a little more difficult than some previous peasants' kori. Bah, the harder the better!

--Geminus

Un peu plus tard, l'albinos repéra un visage connu dans la foule. Hativement il baissa la tête et se faufila derrière un stand. Observant l'homme de Ueno, il fouilla son esprit pour se rappeler son nom... C'était un de ces hommes du clan des "Forsaken", l'équivalent local des Lezards. Sauf qu'eux avaient semble t il vendu leurs principes de truands pour devenir politicards. Pouah!

Hitori c'était son nom! Un temps il avait cru pouvoir s'entendre avec lui et son clan. Mais ils lui avaient fait comprendre que les relations entre les deux clans ne pourraient pas être et il était reparti sans espoirs de lier les deux clans.

Aujourd'hui il n'avait aucune intention de se faire voir de l'homme, car qui sait s'il n'irait pas alerter ses amis les politicards. La fraternité des brigands, c'était de la légende...

A little while later, the albino spoted a known face in the crowd. Hastily he dived for cover. Looking at the Ueno's man he foraged through his memory to remember his name. He was one of the ''forsaken' men, the local lezards' equals. Except they had sold their crooks souls to the politics. Pouah!

Hitori, that was his name! Once he believed that he could befriend the guy and his clan. But they quickly made him know that relationship between the two clans could not be built, and he had left without hope of joining the two clans.

Well today he did not want the man to spot him, who knows if the fellow would not go to warn his friends the politics. Thieves fellowship was only one more fairy tale.

Esculo

[Ueno, 4h30 du matin, ou 5h on ne sait plus trop…ce qu’il faut retenir c’est qu’on n’est pas encore très bien réveillé]

Bon ? On y va avant que je ne gèle sur place ?

Celui qui venait de dire ca était Esculo, un jeune gars assez musclé et dont le passe-temps favori après le saké et les jolies femmes était les bagarres.

Ils étaient nombreux à avoir fait le déplacement en terre étrangère pour prendre d’assaut le So de Ueno.
Dans la nuit noire, on ne pouvait pas facilement reconnaître les visages si ce n’est ceux qui tenaient les torches.

Décidé à lancer l’assaut, Le Vil, comme on le surnommait, s’avança d’un pas décidé vers l’arrière du So. Il avait réussi à avoir la clé des entrées de service par un fonctionnaire corrompu.

Enfin croyait-il…

Arrivé devant la porte, il inséra la clé dans la serrure. Mais celle-ci ne voulait pas ouvrir.

Saleté de …

Cling !

Noooooooooooonnnnnnnnn

Le visage déconfit, il se retourna vers ses coéquipiers, leur expliquant à force d’arguments pas vraiment valable que le vieux les avait trompé et qu’il venait de casser la clé dans la serrure.
Décidé à ne pas avoir fait le déplacement pour rien, le groupe décida donc de la jouer à l’ancienne…en toquant.

Après avoir fait le tour pour aller devant les grandes portes de l’entrée, fermées à cette heure matinale.

TOC TOC TOC

Who is there ?

The big bad Lizard

Les portes s’ouvrirent (quand on vous dit que c’est pas compliqué d’ouvrir les portes d’un So, il faut nous croire hein)…devant un groupe de combattants armés jusqu’aux dents et prêt à les recevoir.

Regards interloqués.

Ce n’était pas vraiment prévu ca.

S’en suivit une mêlée un peu trop confuse pour qu’Esculo puisse raconter ce qu’il s’est vraiment passé. Le Lézard se souvint juste avoir donné quelques coups de poings sur des armures bien faites, ce qui le fit souffrir, puis avoir suivi les autres dans un repli presque organisé.

____

[Ueno, 4:30 am or 5am we don't know too ... the important thing is that it's not yet fully awake]

Good? Let’s go before I freeze in place?

Esculo is a young guy and quite muscular. His hobby after saké and beautiful women is the figth.

They were far to have made the trip in a foreign land to storm the So.
In the dark night, you could not easily recognize faces except those who held the torches.

Decided to launch the assault, The Vil, as he was known, walked determinedly toward the rear of So. He had managed to get the service entries key by a corrupt official.

Finally he thought ...

Came to the door, he inserted the key into the lock. But it would not open.

Cling

Noooooooo

Crestfallen face, he turned to his teammates, explaining in force not really valid arguments that the old man had made a mistake and he had just broken the key in the lock.

After making the turn to go before the great entrance doors, closed on Saturday morning.

TOC TOC TOC

Who is there ?

The big bad Lizard

The gates opened... to a group of fighters ready to receive them.

It was not really expected

Followed a scrum a bit too confusing for Esculo can tell what really happened. The Lizard remembered just giving a few punches on well-made armor, which made him suffer, then follow the other in almost a retreat almost organized.

sorry for the bad translation

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--Geminus

[Ueno 4h42]

La troupe etait nombreuse. Ils n'avaient jamais réussi à réunir une telle troupes de forbans. Les choses s'annonçaient bien et l'albinos souriait d'anticipation... Jusqu'a ce que les portes s'ouvrent, et là ce fut le chaos.

Trahison!!

La lame de son katana frappa au jugé surtout pour défendre sa peau et empêcher ceux de ses adversaires de faire rouler sa tête à terre. Tous ses compagnons faisant de même, ce fut rapidement la débandade. Heureusement la troupe des poursuivants n'étaient pas assez nombreuse et il fut aisé aux fuyards de disparaitre dans les ruelles.

They were numerous. It was the first time ever that so many riffuans were gathered. Things looked good and the lbino was smiling in advance... until the doors opened.

Treason!!

The blade of his katana striked randomly, more to defend himself and avoid his head to roll on the ground. All his fellows were doing the same, it became quickly a "run for your life".
Hopefuly their pursuers were not enough to follow all of them and it was easy for the lezards to disappear in the dark alleys.

--Sunuke

La charrette avait était grossièrement camouflée derrière le bâtiment, attendant patiemment de recevoir l’inventaire du Sô.

Sunuké, une torche luisante dans la main gauche, une courte hache dans la main droite, avait suivit les autres de l’autre coté, devant l’entrée principale. Son arme avait d’abord heurté un bouclier, ou un plastron, quelque chose de dur en tout cas, puis la torche lui avait échappée.

Quelques coups, portés au hasard dans l’obscurité, d’autres reçus d’on ne sait où dans la mêlée, puis une voix avait retentit.

On s’tire !!! On s’tire !!!

Une voix lézarde, marquée du typique accent d’Oda, le bûcheron s’était précipité vers la sortie puis avait couru se mettre à l’abri là où était la charrette. Il en attrapa les bras l’air déçu. Ce n’était pas aujourd’hui qu’elle accueillerait quoi que ce soit et c'est à nouveau vide, qu'il devrait la ramener vers Kiyosu.

Son premier assaut aux cotés de lézards se soldait par un cuisant échec, quelle déception …

Tsuba

Lymey

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Kuan

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