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[RP] Cathédrale Saint-Sylphaël

Maelly

Maelly félicita son amie Lorewen :

Félicitation et bienvenue dans notre famille.
Ysaura
Ysaura avait eu un peu de retard et ne voulant perturber la très belle cérémonie, était restée en retrait.
Cette cérémonie était doublement émouvante car il s'agissait du baptême tant attendu de son amie mais aussi de la première cérémonie de baptême faite par son amie Maelly.
Lorewen était resplendissante et elle ferait une ravissante mariée à n'en point douter.
Tisoon avait beaucoup de chance!
Elle adressa un sourire à tous ses amis présents et attendit son tour pour féliciter la jeune baptisée

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Ysaura de Vel, Dame de Plessy

Jeanne_de_real
Voila, Lorewen était baptisée, la blondinette lui sourit et l'embrassa chaleureusement.

Elle lui tendit une chandelle...



Tiens prends là, qu'elle te donne la lumière et soit la bienvenue dans notre famille !

En souriant elle lui dit doucement :

Elle n'est pas éternelle hein ! Il faudra la changer !

Elle laissa sa filleule aller vers les autres qui attendaient pour la féliciter.
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Lorewen
- Lorewen, moi, le Père Håkon von Ahlefeldt-Oldenbourg, prêtre de l'Église Aristotélicienne, évêque de Nevers, je te baptise au nom de l'Église Aristotélicienne et au nom du Très-Haut, pour l'Amitié de tous les Saints et l'Amour du Père de l'humanité.

Ainsi baptisée et éclairée par la lumière du Très-Haut, elle pourrait être plus sereine. L'émotion était palpable, en cette cathédrale, et la communion avec le Divin était grande.
Elle sourit et se tourna vers fièrement vers l'assemblée lorsqu'on lui remit sa médaille et son certificat.


- Merci à tous d'avoir été près de moi pour ce grand moment, en particulier à vous Monseigneur, à Son Eminence, à Maelly, à ma marraine et enfin Tisoon, qui m'a épaulée et aidée dans mes démarches jusqu'aujourd'hui.

Elle pris la chandelle tendue par sa marraine, lui sourit, l'embrassa, la remercia et... Avant d'aller voir ses amis, elle alla jusqu'aux cierges pour en allumer deux, en murmurant:

-Le premier pour Méliane, qui aurait eu sa place ici. Le second pour Marc, un ami, il va mieux mais aura encore besoin d'aide dans les prochaines semaines... Que le Très-Haut veille sur lui.

Elle se tourna ensuite vers les personnes présentes:

-Vous êtes tous conviés chez moi par la suite, pour l'occasion.
Troy..
Troy glissa sa main dans celle de Night et la regarda avec force.

C'etait vraiment une tres belle cérémonie que celle ci mon amour. Ah je crois qu'il nous faut sortir et ..... Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que Lore les invitait à festoyer.

-Vous êtes tous conviés chez moi par la suite, pour l'occasion.

Ah alors non pas de retour imédiat chez nous......mais apparement un ptit festin en cours. Lore toutes mes félicitations à toi.

Après avoir déposé une bise sur la joue de leur amie, ils prirent le chemin de sa maison en bavardant gaiement.
Nightwalf
La jeune femme répondit à son homme avec un grand sourire.

En effet, c'était une belle cérémonie. Je suis certaine que Lorewen est heureuse là, avec le mal qu'elle a eu à en arriver là, mais voilà une bonne chose de faite !

Elle s'approcha à son tour de leur amie, la prit dans ses bras et lui fit une grosse bise.

Toutes mes félicitations Lorewen ! Te voilà baptisée maintenant ! Si j'ai bien compris, on va aller boire un coup pour fêter ça maintenant !

Avec la même joie que tout le monde, ils se dirigèrent vers sa maison !
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Nemesis_de_sade
Les tavernes de Nevers étaient encore bien animées malgré l'heure tardive. Un beau village que celui-ci, pensait l'aveugle en arpentant la rue principale qui menait au parvis de l'église. Quelques déceptions, plusieurs agréables rencontres et surtout beaucoup de méditation.

Sereine, la dévot se rendit pour la dernière fois au Saint-Lieu de la ville. Nemesis pria pour Night et Troy, que leur amour prospère à vitam éternam. La jeune fille loua le Tout-Puissant que leur voyage se passe bien et que les soeurs puissent atteindre leurs objectifs.

Candice aurait voulu s'attarder encore quelques instants à l'abri dans la maison de Dieu mais l'heure du départ approchait à grands pas, il ne fallait pas être en retard.

Un pincement au coeur d'abandonner cette accueillante enclave pour les voies tumultueuses de la rédemption mais l'idée d'avoir maintenant une demeure ici lieu effaça vite toute cette nostalgie. Quelle excellente idée avait eu sa siamoise d'emménager à Nevers: une promesse de retour, un point de chute, un dernier espoir.

Une dernière pensée pour tous ses amis et connaissances bonnes ou mauvaises, la damnée rejoignit ses compères de supplice pour d'autres mésaventures vers d'autres horizons...

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Emmaline_de_thenac
Emma alla feliciter Lorewen.

c'etait une belle ceremonie Lorewen,tres emouvante .bienvenue dans la grande famille aristotelicienne

elle l'embrassa chaleureusement

je te suis
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Orthon.de.gwynbleidd
Le ciel était gris et bas, quelques villageois pressaient leur marche sous les effets d’un frimas. Les pavés, glacés, luisaient sous les quelques lueurs de flambeaux dont les flammes dansaient sous quelques souffles invisibles. Orthon découvrait la ville et se guida grâce au clocher de la cathédrale, véritable doigt pointé vers le très-Haut.

Arrivé sur le parvis, il observa la beauté du site puis il entra après quelques frissons. L’intérieur était magnifique et l’odeur de nombreux cierges attestaient d’un lieu régulier de passage.

Devant le chœur, Orthon se signa puis il alla près d’une colonne, un peu à l’écart. S’agenouillant, il pria. Ce ne fut pas une longue prière, mais assez intense.

Après un instant, sa haute stature se leva. Il fronçait encore les sourcils, non pas d’ennui ou de tracasserie. La fin de sa concentration l’avait fait revenir au temps présent. Il regarda encore l’architecture de la cathédrale et sortit d'un pas sûr.

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Ellisabeth.
" Pas la peine de brûler un cierge pour mon âme, Ellis, je n'en ai déjà pu."

Comment peut-on penser cela ? Elle, à qui on avait toujours enseigner qu'il fallait tout faire pour sauver la sienne, en tremblait rien d'y penser. Pire. Sa posture. Son ton. Son regard. Rien ne laissait supposer qu'il ne pensait pas ces paroles. Non seulement, il les pensaient mais en plus, il les croyaient ...

Comment est-il possible de ne plus avoir d'âme ?

Un chien n'en avait pas. Un chat. Un cheval. Un serpent. Aucun n'en avait. Mais chaque homme. Chaque femme. Chaque enfant.Même le pire des suppôt du Sans Nom en avait une. Tous en avaient une. Comment pourraient-ils, s'ils n'en avaient pas, se présenter devant le Très-Haut, le jour où il les appellerait, et subir son jugement ? Comment, sans âme, pouvait-on un jour, accéder au paradis solaire ou à son contraire ? Cette conception allait à l'encontre de tout se qu'elle avait toujours appris.

Alors choquée et perturbée, elle alla trouver refuge dans le seul lieux où il n'aurait pas souhaité la voir mais ou pourtant, elle se sentait bien. L'église. Où plutôt, la Cathédrale. Et c'est avec précipitation qu'elle gravie les quelques marches menant au péron. Et avec un certain soulagement qu'elle pénétra dans se lieu saint. Ici, enfin, elle retrouvait les marques qu'elle avait toujours connue.

Avait-elle eu raison de les quitter ?

Nombre de celle qui avait grandit avec elle, avaient fait le choix de rester confiner quand leur tour vint de choisir. Ellis, elle, avait fait celui de partir. Est-ce une erreur ? N'aurait-elle pas dû suivre la route que les soeurs avaient tracé pour elle et ainsi garder les seules qu'elle n'avait jamais eu. Devait-elle y retourner ?

L'esprit plein de doute, celle qu'on appelait désormais l'oisillon s'agenouilla devant l'autel. Il lui avait interdit de mettre un cierge ? Alors elle ne le ferait pas. Mais la prière, ça oui, alors, les mains jointes, les yeux fermés et la tête basse, elle si plongea avec un certain bonheur. Se genre de paix que l'on éprouve quand, après un long voyage, on rentre enfin chez soit ...


" Pardonnez lui seigneur ..."

Et elle pria pour elle mais surtout pour Lui ...
Fitz
Le prélat au lourd manteau portant les marques diocésaines dues à sa nouvelle charge arrivait enfin en vue de la Cathédrale dans laquelle il œuvrerait pour guider ses ouailles vers la voie de la vertu.

L'escorte qu'il avait demandé auprès de la Garde Épiscopale l'avait mené à bon port, malgré un zeste de manque d'organisation... Il prit le temps de remercier ses compagnons de voyage avant de pousser les lourdes portes du lieu saint.

Il apprit, par une pancarte affichée à l'entrée, que cet édifice était dédié à l'Archange Saint-Sylphaël en personne. Il vit que les bancs étaient de bonne facture, mais poussiéreux. Il observa également que personne ne semblait s'être rendu ce jour à la Cathédrale afin de prier le Très-Haut. Mais avant tout, il remarqua qu'il était heureux d'être enfin arrivé dans son nouveau diocèse...

Après ces quelques minutes de joyeuse admiration des lieux, l'évêque sortit un précieux parchemin de sa besace. Un membre de son escorte lui fournit gracieusement des clous et un marteau. Le nécessaire était donc réuni pour qu'il puisse annoncer sa venue à ses paroissiens...


Citation:






    Nomination de Fitz au Siège Épiscopal de Nevers



    Nous, Monseigneur Angelo de Montemayor, Vice-Primat de France, devant le Très-Haut et sous le regard d’Aristote, au nom de l’Assemblée Épiscopale de France,




    Faisons annonce de :

    La nomination de Monseigneur Fitz, au poste d’Évêque suffragant de Nevers.Nous lui souhaitons tous nos vœux de réussite dans sa nouvelle affectation. Puisse-t-il, en tant que digne successeur des apôtres, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoutent.
    Nous exhortons les prêtres & laïcs de ladite juridiction à recevoir volontiers Monseigneur comme leur maître spirituel et à suivre ses enseignements.



    Puisse Aristote le guider,


    Fait à Rome, le XIIe jour du mois de janvier de l’An de grâce MCDLX.







Il prit le temps d'admirer son œuvre puis fit signe à ses camarades qu'ils avaient tous mérité de se sustenter dans la taverne la plus proche. Les tâches qui l'attendaient pourraient attendre un jour de plus.

Jetant donc un dernier regard à cette demeure du Très-Haut, le prélat s'engouffra dans les ruelles de Nevers.

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Absent jusqu'au 27 juillet compris !
Archevêque métropolitain de Rouen

(Signature qui doit être modifiée.. mais je n'ai plus mon artiste préférée à disposition )
Orthon.de.gwynbleidd
Du haut des remparts, Orthon avait aperçu un groupe de cavaliers aux couleurs épiscopales. Intrigué, il les vit passer sous la porte principale, il demanda à une sentinelle qui cela pouvait bien être. A sa réponse, il comprit qu'un évêque entrait dans la bonne ville de Nevers.

Gêné dans son observation par les maisons sur le chemin pris par la troupe, il se fiait de temps en temps aux fanions épiscopaux qui apparaissaient et disparaissaient selon les rues empruntées.

Orthon descendit des remparts en demandant à quelques soldats de le suivre en direction de la cathédrale. Au passage, il demanda à un poste de garde une information sûre sur les nouveaux arrivants. Satisfait de la réponse, il emmena ses camarades vers Saint-Sylphaël.

Il vit l'évêque et son escorte débouchés sur une place. Orthon fit presser le pas et demanda à ses hommes de s'aligner. Un bref regard sur les tenues et l’ecclésiastique était déjà derrière lui.

Monseigneur, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue dans la bonne ville de Nevers ! dit Orthon en s'inclinant. Je suis Orthon et j'appartiens à l'ost. Je ne suis qu'un simple soldat mais mes supérieurs vont certainement vous accueillir également. Je suis ici pour prendre la relève de votre escorte si vous le désirez. Vous vous apercevrez que notre ville est agréable.

Orthon entendit quelques murmures dans les rangs de l'évêque.

Vous devez avoir grand soif, vous et votre garde dit-il malicieusement, je peux vous suggérer de venir vous sustenter et de vous désaltérer à l'auberge "de la fille de la lune 3". Je peux vous y mener si vous le désirez.
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Ubiscucus
Ubi vit Orthon accompagné de quelques soldats aller à la rencontre d'un groupe dont les oriflammes indiquaient leur apartenance...L'évêque était donc arrivé et bien escorté semblait-il...

Elle descendit de son poste de garde pour accueillir avec Orthon les nouveaux venus et saluer le prélat.
Elle marcha rapidement dans les rues de Nevers et prit une petite ruelle qui débouchait sur la place de la cathédrale.
Elle aperçut la rangée alignée de soldats et Orthon qui se présentait à l'évêque.

Elle s'approcha un peu timidement et écouta Orthon.
En entendant le nom de l'auberge de sa soeur Loli, elle se permit de prendre la parole

Monseigneur, je me joins à Orthon pour vous souhaiter la bienvenue à Nevers.
Elle s'inclina légérèment et sourit. J'espère que vous avez fait bon voyage. Je m'appelle Ubi, tavernière à l'auberge "de la fille de la lune3" qui appartient à ma soeur Loli. Nous serions ravies d'accueillir votre escorte episcopale et vous même afin que vous puissiez vous désaltérer et reprendre des forces après ce long voyage.
Tullius
La main sur le manche de son épée, son arc dans le dos, Tullius faisait sa ronde en ville. A chaque heure du jour comme de la nuit, une troupe de soldats parcourait la ville pour s’assurer de la sécurité des nivernais. Certains étaient sur les remparts, scrutant l’horizon et contrôlant les arrivées et les sorties, d’autres patrouillaient en ville.

Arrivant sur une place de la ville, il fut témoin de l’arrivée d’Orthon en compagnie de l’évêque qui avait été annoncé. Ce dernier était accompagné de tout son cortège. Il fit signe à ses camardes qui patrouillaient avec lui de se mettre en ligne à côté des hommes qu’avaient sollicité son frère d’arme Orthon.


Bonjour Monseigneur. Je suis le soldat Tullius. Je vous souhaite la bienvenue à Nevers !

Il s’inclina devant l’homme d’église. Puis jetant un œil vers Ubi, il s’adressa à elle à voix basse.

Bonjour chère tavernière.

Il lui fit un sourire avant de se redresser, se tenant à présent droit comme un « i » face à l’évêque.

Monseigneur, mes hommes et moi-même nous joignons à mon frère d’arme et ses hommes pour vous escorter… Où vous voudrez. Nevers est une ville sûre, encore plus lorsqu’on est entouré de fiers soldats.

Il sourit, la main toujours sur le manche de son épée.
Maelly
Maelly vint faire un tour à l'église après ses cours et un petit tour à sa boulangerie, car elle tenait à ce que son église soit entretenue et elle y veillait tous les jours.
Elle aperçut un attroupement et compris que ce devait être l'arrivé de l'évèque que tout le monde attendait :


Bonjour Monseigneur, Maelly Abbesse de Nevers et de cette belle église.
Bienvenue.
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