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[RP] Cathédrale Saint-Sylphaël

Lewyne
Lewyne était rentrée dans la cathédrale, le pas trainant, le dos légèrement courbé, abattue, et se plaça au fond de la grande salle.

Hier de bonnes nouvelles provenaient de Joinville. En tout cas, tout semblait bien se passer là bas.
Aujourd'hui, tout s'écroulait. La dernière lettre annonçait un décès, celui de la petite fille de Christian. Des larmes avaient séchées sur le vélin qu'elle avait reçue, larmes qu'il n'avait surement pas pu retenir. Elle s'en voulait de ne pas être à Joinville pour apporter du soutien au tribun qui l'avait accueillit, ainsi que le reste de la famille Tourn. Comment pouvait-on partir si jeune, sans avoir réellement goûter à la vie ?

Lewyne poussa un soupir, et récita le credo à voix basse :


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
Fitz
De retour de sa visite des autres paroisses du diocèse, qui étaient Tonnerre et Cosne, l'évêque se rendit immédiatement en sa Cathédrale, désormais adorée.. Ces paroissiens devront à l'avenir le supporter longuement car il ne comptait point s'absenter longuement loin de cet édifice cher à son coeur.

Néanmoins, un autre départ allait bientôt arriver. Il se devait donc d'en faire annonce à ses paroissiens afin que nulle inquiétude ne vienne percer dans leurs esprits, qui pourraient penser à un énième nouvel évêque plus longtemps en méditation qu'auprès de ses ouailles.. Il en profiterait également pour les tenir informés des nouvelles du diocèse.

Un vélin, quatre clous et un marteau : l'affiche était placardée à l'entrée de la Cathédrale, bien visible aux fidèles qui s'y rendraient.


Citation:



Annonces du Diocèse suffragant de Nevers


Nous, Monseigneur Fitz, Évêque suffragant du diocèse de Nevers, tenons à garder informés nos paroissiens des événements ayant lieu dans le diocèse. Nous faisons donc annonce de :


- La nomination du Père Valpot au poste de Vicaire paroissial de Tonnerre. Il aura ainsi pour mission de célébrer messes et sacrements, et de guider les fidèles sur le chemin de la foi en sa paroisse.

- La nomination du Frère Casanier au poste de Sacristain de Tonnerre. Il assistera ainsi Père Valpot dans sa tâche en assurant les messes In Gratibus de la paroisse.

- La possible nomination prochaine d'un diacre à Nevers. La personne en question suit actuellement un apprentissage au séminaire de Lyon.

- La possible nomination prochaine d'une diaconesse à Cosne. Cette personne désire avant tout suivre son séminaire primaire avant de prétendre à cette charge.


Nous rappelons également que les messes In Gratibus sont à nouveau organisées en la Cathédrale Saint-Sylphaël de Nevers depuis notre récent retour de notre visite des paroisses de Cosne et Tonnerre.


Enfin, nous désirons vous faire part de notre prochaine retraite monastique durant laquelle nous méditerons longuement sur notre nouveau diocèse et sur les différentes tâches que nous aimerions encore y accomplir. Je répondrai certes toujours aux courriers mais ne pourrai plus me déplacer à votre rencontre. Cette absence ne sera point trop longue ni trop courte. Mais nous voulons vous rassurer et vous assurer de notre retour suite à cette retraite, sachant fort bien que nombreux clercs et prélats sont connus pour ne jamais en revenir...


Puisse Aristote guider mes clercs dans la tâche qui est à présent la leur et veiller sur mes paroissiens en mon absence,


Fait à Nevers,
Le premier jour du cinquième mois de l’an de grâce mil quatre cent soixante.



_________________
Absent jusqu'au 27 juillet compris !
Archevêque métropolitain de Rouen

(Signature qui doit être modifiée.. mais je n'ai plus mon artiste préférée à disposition )
Minidou
Après une longue marche dans la nuit
j'arrivais de bon matin dans cette ville
Avant de me reposer: je pris la direction de la cathédrale affin de faire ma prière et remercier le très haut de m'accompagner pendant mon pèlerinage

_________________
Ragondindam
Revenant de Sens, Ragon se rendit dans la Cathédrale Saint-Sylphaêl afin d'afficher une annonce.

Citation:



Nomination d'un Diacre paroissial de Nevers


Nous, Monseigneur Fitz, Évêque suffragant du diocèse de Nevers, faisons annonce de :


La nomination du Frère Ragondindam au poste de Diacre paroissial de Nevers. Il aura pour mission de célébrer messes et sacrements, et de guider les fidèles sur le chemin de la foi.

Cette nomination fait suite à son envie de s'impliquer dans notre Eglise et à l'obtention de son diplôme au Séminaire primaire de Lyon.

Nous lui souhaitons par là-même tous nos vœux de réussite dans sa nouvelle affectation. Puisse-t-il, en tant que digne successeur des apôtres, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoutent.


Puisse Aristote le guider dans la tâche qui est à présent la sienne,


Fait au palais épiscopal de Nevers,
Le seizième jour du cinquième mois de l’an de grâce mil quatre cent soixante.





Le Jeune Diacre attendit les paroissiens qui voudrait faire une demande quelconque.
_________________
Zoe_lisreux
Rien de mieux indiqué qu'un lieu saint pour aller prier. Même si la rousse n'a pas besoin d'un endroit particulier pour prier, elle sait que Dieu l'écoute, où qu'elle soit, au moins songe-t-elle que si son frère la fait suivre aura-t-il la preuve que pieuse, elle se rend à l'église...

Elle entre dans l'édifice et va s’asseoir sur un banc pour se recueillir.
Elle demande au Très Haut du courage pour son projet, pour ce qu'elle subit volontairement. Elle l'implore de protéger ceux qu'elle aime et qu'elle a laissé derrière elle, sans nouvelle, comme si elle avait disparut pour changer de vie. Mais mieux valait les laisser en dehors de tout cela.

Et malgré sa soumission, elle ne renie pas sa foi. Il sait qu'elle doit se cacher pour aller au bout...


Il n'est de Dieu que Dieu.

Puis elle se relève et quitte les lieux.
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Rosalinde
Pénitence de ses fesses !
Rageant entre ses blanches quenottes, la fraichement baptisée obligée de se lever avec les poules (pas les cocottes, les vraies !) se rendit donc à la cathédrale de Nevers. A contrecœur il est vrai, mais comme elle devait revoir l'évêque le premier juillet, autrement dit dans 6 jours, elle avait intérêt à effectuer cette foutue punition, sinon quoi elle aurait sans doute droit au rapport par le menu de ses mensonges, à Judas. Ce qu'elle tenait à tout prix à éviter. Car après tout, de secret de confession il n'y avait pas eu, étant donné qu'elle s'était sentie obligée de se défendre devant toute l'assemblée.

Elle s'agenouilla donc sur un prie-dieu, et sortit son livre des vertus. Voilà au moins une occupation distrayante, elle lirait ces belles histoires pendant une heure environ, puis s'en retournerait vaquer à ses occupations.

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Milite pour la pénalisation de l'emploi du mot « pantine »
Rosalinde
Second jour.

Plus que 5.

A nouveau elle s'agenouilla, prit son livre des vertus, et étudia avec attention l'hagiographie de Saint Sylphaël, puisqu'il était le saint patron du lieu.

Voilà qui lui donnerait quelques arguments pour sa prochaine conversation avec Finn.

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Milite pour la pénalisation de l'emploi du mot « pantine »
Rosalinde
Troisième jour.

Presque la moitié. Cette fois, elle boude le matin, pour se rendre jusqu'à l'édifice consacré peu avant le début de soirée. Fatiguée, car tout l'après-midi elle a lu à l'ombre d'un arbre, et ses yeux s'en ressentent.

Assise, elle réfléchit au comportement à adopter ces prochains jours. Judas est de retour, elle allait devoir se tenir à carreau si elle ne voulait pas - encore - s'attirer les foudres de Courceriers.

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Milite pour la pénalisation de l'emploi du mot « pantine »
The_legend.
Un immense édifice. Voilà ce qu'il lui fallait pour pouvoir se perdre.

La jeune femme se sentait mal. Bien plus mal que d'habitude. Elle tremblait.

Elle n'avait pas voulu tout ça.

Etait-ce possible qu'elle soit mauvaise ? Que le mal vienne d'elle ?
Combien de fois elle s'était posé la question sans avoir de réponse...

Ces dernières heures, elle s'était rendu compte que même en taverne sa présence n'était plus comment dire... désirée.

Elle se sentait seule. Désemparée. Malheureuse...
Et ne savait pas où aller...

Elle trouva un banc isolé, et s'assit en prenant Yeliel sur ses genoux.

La flamme des bougies qui brulaient la fascinait. Elle n'arrivait pas à décrocher son regard du feu qui dansait en dégageant une toute petite fumée qui montait se perdre dans l'obscurité des lieux.

Elle posa son visage sur la tête de son fils et ferma les yeux un instant.

Elle pris une grande inspiration et souffla doucement l'air chaud entre ses lèvres.

Son ventre lui faisait mal...
Les émotions des derniers jours et les chevauchées trop rapides n'avaient pas arrangées son état.

Elle leva les yeux vers le centre de la cathédrale, comme pour chercher un regard amical...
Rien ! C'était vide ! Vide et froid !

Elle tremblait...
--Vagabond.
Quand on est un vagabond, il n'y a pas de meilleur endroit que le banc d'une église pour pousser un petit roupillon.
D'autant plus lorsqu'il s'agit d'une cathédrale.
Lors des messes, on n'était jamais seul à dormir.

Et puis s'il n'y avait pas de messe, la porte de l'édifice restait ouverte, on trouvait toujours un banc libre quelle que soit l'heure du jiour ou de la nuit.
L'amitié aristotélicienne n'impose-t-elle pas à ses fidèles l'accueil et le partage ?

Ce soir-là, le Vagabond qui errait dans les rues de Nevers trouva refuge dans ce lieu saint.
Il espérait y passer la nuit.
Avant de s'installer, il alla remercier le propriétaire des lieux. devant les chandelles qui illuminaient l'autel, il chuchota une prière :


Oh vous le Grand Patron du ciel et du soleil
Je vous remercie de me prêter un de vos nombreux bancs pour y passer la nuit.
Veillez sur mon sommeil.


Un peu simpliste comme prière sans doute mais notre vagabond n'était décidément pas un habitué de ce genre d'exercice.
Après cela, il se choisit un endroit bien à l'écart, derrière un pilier. Là il serait tranquille.
Effelissianor
Effélissianor venait juste d'arriver à Nevers, elle alla directement à la cathédrale pour se recueillir......Tout ce qui c'était passé, son agression, le vol qu'elle avait subi.....

Elle rentra discrètement et alla dans un petit coin s'asseoir et prier:


Aristote , je vous remercie de nous avoir gardé en vie Pierre , Noé et moi....

Elle pensa, à Angélyque qui l'avait soutenu, Dame Emmaline.....elle ferma les yeux.
Elle ne pouvait oublier l'agression, elle pria longuement Aristote...encore sous le choc.

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Effelissianor
La cathédrale est vide


Effi entra de bon matin dans la jolie Cathédrale , elle devait venir y prier encore pour remercier le Très Haut.

Elle se signa puis s'agenouilla regarda la statue d'Aristote

Merci à vous de votre confiance , donnez nous tous la force et le courage de faire les bons choix pour notre Bourgogne et son peuple.

Elle resta un moment puis se releva et repartit doucement.
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Charles_dubois
La lourde porte à double ventail grinça lorsque l'un des deux battants s'ouvrit.
L'édifice de pierre répondit par un écho long et froid.

La lumière du soleil timide d'automne pénétra dans la nef, interrompue par l'ombre d'un homme qui se tenait là, dans l'embrasure.

Il soupira profondément, comme pour prendre du courage, et pénétra lentement dans le temple.

Le rouquin n'était plus rentré dans une église depuis bien longtemps. Depuis qu'il avait quitté sa Champagne natale. Depuis qu'il avait quitté ses fonctions en même temps que la paroisse de Sainte-Ménéhould.

L'ancien diacre ressentait à nouveau le besoin de revenir dans la maison d'Aristote et de Christos.

Etait-ce la maladie de son épouse? Etait-ce la prise du pouvoir des ténèbres automnales? Etait-ce juste parce qu'il disposait de plus de temps?

Quoi qu'il en fut, Le Très Haut l'avait fait revenir à lui.

Charles arborait à nouveau son médaillon de fidèle qu'il avait toujours été. Mais il portait également celui de diacre, même si ce dernier n'avait plus de sens en ces lieux. Mais était-ce vraiment le cas?

L'aristotélicien se glissa dans une rangée de banc, joignit les mains, baissa la tête et se confessa.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Hauts nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Il enchaina avec le crédo, signalant son appartenance à la Communauté Aristotélicienne.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.


Puis un petit sourire s'inscrivit sur son visage. Il se souvint d'un passage du livre des Vertus qu'avait récité le cardinal-archevêque de Reims.

Aristote comprit alors qu'il avait affaire à un ermite.

Aristote : "Dis-moi, es-tu heureux ?"

Ermite : "Si je suis heureux ? Et comment ! J'ai tout ce qu'il me faut : l'eau de la rivière, des oliviers, un petit jardin. Et comme je ne suis pas maladroit de mes mains, je fabrique ce dont j'ai besoin. Je n'ai besoin de rien, ni de personne. Je suis parfaitement heureux."

Aristote : "Un homme ne peut pas se contenter d'une telle vie. Ou alors il n'est pas pleinement."

Ermite : "Balivernes ! Je suis le meilleur des hommes."

Aristote : "Comment le saurais-tu, toi qui ne connais pas les autres ? Etre un humain, c'est vivre selon la vertu. Et la vertu est une pratique qu'on ne peut exprimer qu'avec les autres. Tu vis bien certes, mais tu ne pratiques aucune vertu puisqu'il n'y a personne avec qui tu puisses la pratiquer. Tu vis comme un ours, indépendant. Mais a-t-on vu un ours faire preuve de vertu ? Tu n'es pas un homme heureux puisque tu n'es même pas un humain. Un humain a des amis, où sont les tiens ?"

Ermite : "Mes amis sont la nature, mes oliviers, mes légumes."

Aristote : "Une véritable amitié se fait entre égaux. Tu es donc l'égal d'un olivier : planté et immobile. Tu survis en marge de la Cité au lieu d'y participer comme le fait tout véritable humain. Je vais donc te laisser prendre racine, adieu !"

Et Aristote reprit sa route, descendant vers Mégare.


Il poursuit sa pensée.

Vivre dans le monde... Soupire Je sais, je ne le fais plus tant que ça. Des excuses, j'en ai! Harmeline qui est très malade. Les jumeaux dont il faut s'occuper. Le travail au champ. La boucherie. Mais Vous savez que je me joins à la collectivité quand c'est possible. J'ai été conseiller ducal cet été et j'étais sur les listes lors des dernières élections.
Je fais ce que je peux et Vous le savez.


Le rouquin contempla l'édifice.

On est bien chez Vous.

Et il termina en se levant.

Ô Dieu tout-puissant et éternel, qui d'en haut contrôles et commandes nos destins, bénis ce conseil Ducal. Que ses membres puissent gouverner avec honneur, courage, fidélité et loyauté. Guide-les, ô Seigneur, avec sagesse et prudence, afin qu'ils ne fassent jamais d'erreurs, à Ton image, Toi qui nous combles avec Ton infini et immense amour. Amen.

Charles se faufila jusqu'à la nef et quitta les lieux après avoir remis son chapeau.
Charles_dubois
Dimanche. Jour du Créateur.

Charles gagna la cathédrale.
Il poussa la lourde porte, pénétra dans la nef, ota son chapeau et s'installa sur un banc.

L'ancien diacre récita le crédo en signe d'appartenance à la Communauté d'Aristote et de Christos.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.


Aujourd'hui, c'est la Saint-Martin.
Cet homme, ancien soldat romain, c'est vu touché par la grâce Divine lorsqu'il aida un vieillard démuni. Il partagea sa cape pour que tous les deux aient de quoi se protéger du froid.
Depuis, il ne voulut plus verser le sang.


Un sourire d'apaisement marqua le visage du rouquin et un soupire de quiétude se fit entendre à qui se trouvait à proximité de l'homme.

Il n'en fallait pas plus pour réchauffer le coeur de cet Aristotélicien.

Charles quitta l'édifice, non sans glisser quelques écus dans le tronc et de donner la même somme à un mendiant qui l'attendait à la sortie.

Une belle journée d'automne.
--Le_pere_lustucru
Le chercheur de chat se mit à une chaise de prieur. En tenu de moine. Comme pour une cérémonie, mais là n'était pas la question.
il ne se signa pas car, on ne se signe pas dans la religion Aristotelicienne et se met à prier.

Pas de cérémonie, mais une prière.

Bon Aristote! et Bon christos, Prophéte du Très haut,
Merci pour tout ce que vous m'avez aidé à faire ici et que vous m'aidez à faire dans toute la province.
Merci pour notre foyer enfin renouvelé.
Merci pour les amis que tu m'as donné.
Merci pour l'amour que vous nous offrez.
Merci de l'offrir à nos enfants!

Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens qui commence a déserté nos messes.
Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens pour qu'ils comprennent à qu'elle point la foy en Aristote et la plus noble des choses en cette vie.
Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens pour qu'ils retrouvent la force de ne plus se conduire comme des fou, et enfin défende la vrai foy.
Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens afin qu'il retrouve la route des témoins de l'amour de Dieu.

Aristote guide les dans leurs fréquentation.

Aristote viens en eux! Convertis les tous! Tu me l'as déjà montrer, alors montre ta toute puissante sagesse. Illumine les!
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