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[RP] Cathédrale Saint-Sylphaël

Charles_dubois
En ce dimanche, les cloches sonnent d'un son nouveau.
Charles quitte son foyer pour se rendre à la messe dominicale.
Ce n'est pas l'évêque qui accueille les fidèles, mais le nouveau diacre.
Le rouquin avait lu l'annonce faite la veille.
Une pointe de jalousie piquait le coeur de l'homme depuis cette nouvelle.
Charles soupire, il avait voulu être homme d'église, mais les choses s'étaient déroulées autrement. Et avant qu'il ne réagisse, l'êveque avait nommé un autre diacre.
C'est que le Très-Haut le voulait ainsi.

Un sourire de circonstance traverse son visage et la main tendue vers le nouvel officiant, Charles salue et félicite Wilfred.

Bonjour et félicitations, frère Wilfred.
Charles_dubois
En ce dimanche, les cloches sonnent d'un son nouveau.
Charles quitte son foyer pour se rendre à la messe dominicale.
Ce n'est pas l'évêque qui accueille les fidèles, mais le nouveau diacre.
Le rouquin avait lu l'annonce faite la veille.
Une pointe de jalousie piquait le coeur de l'homme depuis cette nouvelle.
Charles soupire, il avait voulu être homme d'église, mais les choses s'étaient déroulées autrement. Et avant qu'il ne réagisse, l'êveque avait nommé un autre diacre.
C'est que le Très-Haut le voulait ainsi.

Un sourire de circonstance traverse son visage et la main tendue vers le nouvel officiant, Charles salue et félicite Wilfred.

Bonjour et félicitations, frère Wilfred.
Wilfred_ivanhoe
wil qui avait salué chacun des paroissiens les plus assidus qui étaient arrivés. Il leur sourit à nouveau en prenant place derrière l'Autel. Puis le diacre attendit quelques instants de plus les retardataires qui avaient du mal à se lever le dimanche matin….wil sourit

Bonjour à vous tous,merci Messire!

Soyez les bienvenus aujourd’hui pour la messe dominicale dans la maison de Dieu.
Nous allons communier ensemble puis partager le pain en signe de fraternité.



Chers Fidèles et Croyants,

Bienvenue en ce jour saint où nous allons prier et nous confesser aux yeux du Très Haut et vous pourrez alors découvrir un passage du Livre des Vertus.

Commençons donc notre confession et répétez après moi :




Heureux de voir les retardataires enfin arriver et après avoir entendu les Paroissiens répéter ses paroles wil déclara : [/i]

Répétez encore après moi afin de clamer notre foi au Très Haut avec le Credo unificateur de notre Eglise


Charles_dubois
Charles s'installe à mis cours de la Nef, comme d'habitude. Il salue les personnes qu'il connait avant de suivre la messe dite par le diacre.

On commence par la confession.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Hauts nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Son coeur était plus léger cette semaine.
Wilfred_ivanhoe
wil continua



" Extrait du livre des Vertus : La fin des Temps..." les questions "



Une fois la parole divine lue, le diacre se met à arpenter l'allée centrale de l'église, il tient son menton entre deux doigts, la tête baissée, puis à nouveau revient vers l'autel et fait face à l'assistance...

" Quel texte terrible n'est-ce-pas ? Le Très-Haut avait tant donné aux Oanyloniens. Imaginez sa réaction lorsque ceux-ci se détournèrent de Lui en se fourvoyant...
C'est dur quand on vous tourne le dos, quand on refuse une main tendue...qu'ils ont dû être terribles ces éclairs dans les yeux des habitants d'Oanylone envers Dieu ; éclairs croisés comme deux épées...et Dieu patienta en attendant leur repentir, et les mots d'excuse tant attendus et refusés...et le mot qui fait mal, mal jusqu'à en souffrir.
Et pourtant, le Très-Haut avait tellement envie d'une communion, de prendre leurs mains, d'apaiser leurs regards, d'accueillir leur pardon, de remplacer des mots qui tuent par des mots qui font vivre, des mots qui font aimer...alors je vous le dis, regardons autour de nous, peut-être pourrons-nous arrêter en ce monde le cycle de la cruauté.
Déjà au sein de cette communauté aristotélicienne, si nous réfléchissions à ETRE un signe de paix en retenant notre agressivité, en facilitant nos relations par une bonne humeur.
Apprenons à écouter le silence de la parole quand monte la colère des mots. Demandons aux prophètes qu'ils nous aident à avoir le regard qui apaise quand monte la tempête des cris et qu'ils donnent à notre coeur la force qui maîtrise quand la violence passe aux actes.
Qu'Aristote nous protège."
Wilfred_ivanhoe
wil continua en tournant les pages du livre pour arriver a une page choisie par un petit signet



exceptionnellement je vous lirais un deuxieme extrait du livre des vertus

Citation:

Aristote - Dialogues II - La révélation Chapitre deuxième.

Un jour le jeune Aristote, âgé seulement de cinq ans, voulu s'asseoir près du temple du faux dieu Apollon dans sa ville de Stagire. Le temple était sur une petite colline à l'extrémité est de la ville. L'enfant aimait regarder les hautes colonnes de pierre blanche se découpant dans l'azur du ciel.

Alors qu'il s'approchait des marches du temple il s'arrêta, comme immobilisé par une force invisible. Ne comprenant pas ce qui se passait, il se retourna vers la ville pour appeler sa mère Phaetis, qui était à quelque distance de là. Mais ses lèvres ne produisirent aucun son.

La terreur commençait à inonder son âme, quand un roulement de tonnerre gronda au dessus du temple du faux dieu. Un éclair vint le frapper en son centre et il s'écroula aux pieds de l'enfant.

Puis une voix puissante qui faisait frémir les cieux retentie dans l'esprit d'Aristote ; elle disait : "Voilà ce que ma puissance réserve aux idoles qui se font honorer comme des dieux. Cherche le Dieu unique, cherche la Vérité et la Beauté, car un jour viendra celui qui restaurera tout".

Bouleversé l'enfant tomba inanimé sur le sol. Lorsque ses yeux se rouvrirent il était dans la maison de son père, et sa mère était tendrement penchée sur lui : " Mon fils, que t'est-il arrivé? Nous t'avons trouvé près du temple écroulé, le visage tourné vers le ciel. Est-ce le dieu qui t'es apparu ? Qui a détruit le temple ? "
Mais l'enfant ne répondit rien. Il restait en silence et regardait sa mère avec les yeux de quelqu'un qui voit pour la première fois.



Ainsi comme Aristote-Enfant, prenons conscience des faux Dieux.

Ignorons et repoussons la bête sans nom, qui propose les idoles avilissantes
comme la soif de pouvoir,
l'adoration de la richesse,
les abus en tout genre,
l'égoïsme
et l'indifférence.

Soyons dignes.
Dignes d'être des enfants de Dieu.
Wilfred_ivanhoe
wil prépara le pain et le vin. il avait remplis des gobelets et rompit le pain. il avait décider de partager le vin aussi, après tout, les membres de l'église étaient tous des frères et sœurs.

La communion est un acte symbolique de partage et d'amour. Je vous invite donc à venir partager le pain unificateur et le vin.

wil distribua vin et pain.



allez en paix dans l'amour et les pas du seigneur,bon dimanche!!!

Charles_dubois
Et de communier après avoir écouter et méditer le prêche du jour.

Il était temps pour Charles de rejoindre sa famille.
Alice_la_matrone
L’humilité n’était pas la principale qualité de cet évèque. La modestie parfois, vaut mieux être affichée ne serait ce que pour être crédible. Le regard oblique avec lequel il l’avait regardée en disait long sur sa capacité d’empathie. La suite lui donna raison lorsqu’elle l’entendit se débarrasser du bébé sur le misérable diacre qui venait d’entrer.

Il est parfois des hommes d’église qui se prennent pour des roys…

Alice serra le fin chapelet entre ses doigts douloureux et regarda le l’évèque partir dans un froufrou de velours parfumé.

Ma patience est infinie, j’irai où je dois l’évèque marmonna t elle, une fois seule. Tu penses détenir la sagesse mais à l’instar de beaucoup tu n’es qu’un récitant. Tes yeux me l’ont dit lorsque tu m’as regardée. Je m’adresserai ailleurs, là où on écoute réellement. Je prierai Saint Origène, tu sauras pourquoi…

Les cloches sonnèrent et le diacre appela ses ouailles. Alice s’en retourna, il était temps pour elle de poursuivre sa quête.
Wilfred_ivanhoe
Wil, réveillé par un rayon de soleil pénétrant par la fenêtre de sa chambre était arrivée bien tôt a l' église.
Après avoir poussé un ou deux bancs, oui il aimait que tout soit parfaitement en place,il sonna les cloches, appelant tous ses frères et soeurs pour la messe, ceci avec un large sourire, repensant a son premier essai de saut a la corde de cloches avec son parrain il y a quelques années.





Dinnnnng ... donnnng ... dinnngg ... donnngg ...
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Ladylay


Lady entendit ce matin de bonne heure les cloches pendant qu'elle était entrain de terminer de se coiffer.

"Macha vite mon mantel, Sacha mon cheval, allez allez on se dépêche" Dit elle pressée de se rendre à l'église. Elle avait promis de venir à la messe car Wil semblait y tenir particulièrement et elle ne voulait pas le décevoir.

Elle prit le mantel, se précipita dehors Sacha l'aida à monter à cheval qu'elle fit galoper à toute vitesse pour arriver sur le parvis de l'église avant que la messe ne débute.

Elle fit glisser les sabots de l'animal sur un parvis mouillé de toute cette pluie qui était tombée ces derniers jours nourrissant aussi la terre qu'elle cultivait.

Elle descendit de l'animal ses talons claquèrent sur le sol .
Elle marcha d'un pas vif et rapide jusqu'à la porte qu'elle ouvrit avec délicatesse pour ne point gêner les gens qui étaient déjà en prière.

Elle passa la tête à travers la porte, et vit qu'il n'y avait encore personne à l'intérieur à part Wil qui attendait qu'on arrive.

Elle s'approcha donc de l'hôtel et se fit reconnaitre de lui, d'un petit geste rapide mais significatif.

Puis elle s'assit sur un banc et attendit que la messe commence, priant pour sa fille défunte et son ex mari....
Amalya27
Il y avait bien longtemps que les cloches de la cathédrale appelant les fidèles ne s'étaient faîtes entendre un dimanche matin à Nevers. Amalya se presse sur la place pour arriver avant que la messe ne commence, le vent lui fouette le visage et elle reléve son col, pour se protéger du froid. Elle pousse la lourde porte, se signe et va s'assoir sur un banc.
_________________
Wilfred_ivanhoe
-Mes frères et sœurs, bienvenue dans la maison du très haut !

je vous invite à vous lever et prononcer la confession commune car nul d’entre nous ne peut se prévaloir d’être un saint et nous avons certainement des actions ou des paroles à nous faire pardonner.




Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.



_________________
Wilfred_ivanhoe
Levons nous et récitons la confession commune

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

_________________
Wilfred_ivanhoe
L'ensemble des voix récitant le crédo à l'unisson comblait de bonheur le coeur du diacre .

Il reprit :


Je vais à présent vous lire un passage du Livre des Vertus , il s'agit d'un extrait de l'hagiographie de l'Archange St-Georges

S'approchant du lutrin , il ouvrit le livre et commença la lecture .





Citation:
Alors vint Georges, suivi de tous les malheureux qui avaient croisé son chemin. Lorsque ceux-ci virent le miel, le lait, la viande rôtie, les vêtements de soie et les coffres débordant de pierres et de métaux précieux, ils coururent prendre leur part, n'écoutant pas les exhortations à la mesure que criait Georges. Et les gardes dégainèrent leurs lames et donnèrent la mort à quiconque s'approchait des richesses. Lorsque le massacre se fut terminé et que les larmes remplacèrent les cris, Georges approcha des soldats, d'un pas calme et assuré. L'un d'eux, particulièrement zélé, lui présenta l'estoc de sa lame sous le menton, dans une attitude explicite de promesse de violence. Mais Georges lui dit: "Pourquoi as-tu tué ces pauvres gens?". "Je suis payé pour celà", répondit le soudard. "Et combien as-tu été payé jusqu'ici?", renchérit Georges. "Rien. Le sire Belzébuth me paiera une fortune lorsque sa tour sera construite et que ses richesses y seront entreposées", dit le soldat d'un ton sûr de lui. "Alors, tu tues pour servir une personne qui ne veut que conserver ses richesses et tu croies qu'il tiendra parole et te paiera ensuite, comme il te l'as promis?", l'interrogea Georges. "Bien sûr! Car sinon, ce serait de l'esclavagisme!", s'exclama le militaire, inquiet d'entendre une telle question. Alors, Georges conclut ainsi: "En vérité, je te le dis, quiconque vit pour les biens matériels, au détriment de l'amitié que tout enfant de Dieu se doit de porter à ses semblables, ne mérite aucune confiance. Au lieu de tuer pour défendre l'avarice d'un tel homme, prends ces richesses que tu foules du pieds et donne-les à ceux qui en ont véritablement besoin. Dieu a créé ces biens pour que toutes Ses créatures puissent y trouver de quoi vivre à l'abri du besoin, pas pour qu'un seul en jouisse plus qu'aucun autre."


Après avoir terminé , le célébrant referma le livre .
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