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[RP] Cathédrale Saint-Sylphaël

Lorewen
[A la tombée de la nuit... ]

Une ombre largement emmitouflée se déplaçait discrètement dans les ruelles du village. Elle s'arrêtait parfois pour se cacher dans des coins sombres, entrecoupée de quintes de toux ou de crampes d'estomac. Il était des périodes où il ne fallait pas se faire repérer, celle là était l'une d'elles...

Elle s'était couverte plus que de raison et disparaissait presque ainsi, l'obscurité aidant.
Elle se déplaçait dans ce noir si pesant pour une seule chose, retrouver la lumière. Néanmoins, comment la trouver?
A l'église, forcément...

Il y avait des théories qui couraient dans le royaume sur les bienfaits de certaines herbes ou de certains onguents. Avec cela, rien n'était sur. Un seul savait, Un seul pouvait guérir ou punir... Le Très-Haut.

Elle ouvrit la lourde porte de l'église dans un grincement et s'arrêta un instant pour observer. Autour d'elle, plusieurs sans abris dormaient à même les bancs ou le sol car ils savaient que ces lieux les protégeraient si ils filaient avant le lever du jour(après ils étaient chassés car l'image de la cathédrale prenait un coup, autrement!). Dans un coin d'autres personnes surement malades blotties les unes contre les autres paraissaient dormir...

Elle n'était donc pas seule à penser que le Très-Haut était derrière tout cela...

Elle s'avança vers l'autel, après une quinte de toux. Il était seulement éclairé par les bougies des croyants, miroitant jusqu’à ce qu'elles s'éteignent. Elle s'agenouilla avec difficulté et récita le crédo, d'une faible voix:


-Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du ciel et de la terre,
Des enfers et du paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort...


Après cette première prière elle s'adressa plus directement à Lui.

-Dieu, je ne sais si cette maladie est une punition, ou une malédiction...
Vos hommes d'église ne sont que peu présents et malgré notre bonne volonté, sans leur aide et leurs enseignements, nous ne pouvons nous élever dans la vie dictée par Vous.

Est ce pour cela que vous nous punissez? Où punissez vous seulement quelques uns, pour de mauvaises actions qu'ils ont commis?


Elle se remit quelques secondes en questions. Certes elle avait rompu des fiançailles, mais tout n'avait été que sagesse alors. Ensuite... Ses questions devenaient plus précises, elle avait rencontré cette irrésistible tornade... Et n'avait su lui résister sacrifiant sa sagesse à un bonheur mille fois plus grand. Et puis, elle savait qu'elle l'épouserai alors bon... (Enfin du moins elle l'espérait et elle savait que si ce n'était le cas, alors elle s'enfermerait dans un couvent, car jamais un autre ne le remplacerait). Elle ne lui avait jamais dit tout cela, de peur peut- être de l'effrayer. Enfin toujours était il qu'elle assumait ses actes, même si pour cela elle devait endurer douleurs et vertiges.

Elle resta quelques minutes à penser, et se releva avec difficultés car le sol paraissait se dérober sous elle.

Un écu vint se perdre dans une urne et un cierge rejoignit ses mains, venant s'ajouter à tous les autres et éclairer la large bâtisse d'une lumière apaisante... Il fallait rentrer à présent, et tenter de trouver encore d'autres solutions à cette mystérieuse épidémie. Elle avait grand espoir en le Très-Haut...
Fitz
Alors que des rumeurs atteignaient ses oreilles, il se rendit compte que des Nivernais avait été touchés par un mal inconnu.. tout comme leurs confrères tonnerrois par exemple..

Certains pensaient à la punition divine, d'autres à la fatalité.. Lui avait une petite idée..
Il se mit donc lui aussi à prier, comme quelques uns qu'il croisait en sa Cathédrale..


Seigneur.

Puissiez-vous pardonner à vos sujets, à vos fidèles et à votre communauté...
Puissiez-vous leur pardonner leur égarement...
Vos représentants ont entendu votre voix par le biais de Sa Sainteté le Pape. Nous connaissons vos désirs, et nous redoublons sans cesse d'efforts pour faire régner la Foy, la vraie, en France et ailleurs...

Nous savons que certains de vos "fidèles" se détournent de votre message et s'approprient l'interprétation de vos paroles, en lieu et place de vos ministres.
Mais puissiez-vous ne pas les punir par un mal incurable...
Ils sont ignorants.
Puissiez-vous ne pas les punir de leur faiblesse...
Puissiez-vous ne pas punir de cette manière ceux qui lèvent leur glaive sur vos prélats...
Puissiez-vous ne pas décharger votre colère à cause d'un misérable Anti-Roy...

Seigneur.

Accordez-nous la force de vaincre les hérésies.
Accordez-nous l'espoir de croire en un avenir meilleur.
Accordez-nous la possibilité de sauver des âmes perdues.

Seigneur.

Pardonnez-leur.
Pardonnez la Bourgogne.
Pardonnez le Royaume de France.


Et de sentir son coeur se serrer alors qu'il achève sa prière, venant du plus profond de son être... L'état de la Bourgogne actuelle ne faisait que lui rappeler ô combien il avait échoué dans son rôle de guide spirituel : les Bourguignons ne savaient plus faire la différence entre la vraie Foy et l'hérésie...
_________________
Absent jusqu'au 27 juillet compris !
Archevêque métropolitain de Rouen

(Signature qui doit être modifiée.. mais je n'ai plus mon artiste préférée à disposition )
Fitz
Un bedeau alla placarder annonce aux portes de la Cathédrale.. Personne en vue. Le travail fut vite fait, bien fait. Et l'ombre disparut aussi rapidement qu'elle était arrivée, aussi sombre que la mine de son porteur...

Citation:



De la prise par les armes du palais épiscopal de Nevers.
Mise au point, conseils aux Fidèles de la Vraie Foy & condamnation.



« Ceux qui ne vivent pas dans l’amitié que nous a enseignée Aristote, ceux-là brûleront dans les mille flammes de la géhenne. »
Vita de Christos, Chapitre VIII



À l'attention des fidèles et pieux Bourguignons restants,
Aux paroissiens mis à mal du diocèse de Nevers,
À qui de droit,



C'est après une longue journée passée dans un état de choc indescriptible que je prends, enfin, mais nécessairement, plume afin d'informer mes paroissiens d'une action du Sans Nom ayant eu lieu dans leur diocèse.

Durant la triste journée du 29è de janvier de l'an de grasce 1461, une troupe de gens portant le fer et armures, issue de l'armée se présentant comme "Gare a la Daube, sauce basilics", s'est présentée aux portes du palais épiscopal de Nevers pour s'emparer de mes clés et me tirer hors de ses murs, par la force. Une armée temporelle aux ordres de ce Conseil qui se dit de Régence s'est donc permise de décider quel homme elle préférait voir se soumettre au temporel pour gérer le spirituel selon ses désirs.
L'homme qui se prétend désormais évêque de Nevers, affichant son nom aux portes de notre glorieuse Cathédrale Saint-Sylphaël, ledit Waleran_Jr, n'est qu'un imposteur, pressé également de me fermer les portes de l'édifice saint.

Il est évident que je condamne vivement cette prise par les armes du palais épiscopal de Nevers. Cela n'est malheureusement qu'une prémisse aux actions du Sans Nom agissant au travers d'un Anti-Roy et de ses sbires divers.

À ceux qui brandissaient haut et fort leurs allégations fumeuses quant à des ingérences du spirituel dans le temporel, alors que celle-là ne fait, jusqu'à preuve du contraire, que dénoncer les hérésies au sein de celle-ci, dans un rôle qui lui est bien propre,
À ceux qui clamaient rester fidèles à la Très Sainte Église Aristotélicienne et à ses décisions en matière de spiritualité,
Voyez comme les professions de Foy d'antan sont rapidement balayées par une armée temporelle s'emparant d'un édifice saint et d'un bâtiment exclusivement au service du spirituel & portant aux nues un homme nullement reconnu par l'Assemblée épiscopale de France comme représentant du Très-Haut dans le diocèse suffragant de Nevers...

Encore secoué par le choc et le souvenir de ces personnes, marchant arme au poing vers moi, uniquement muni de ma crosse pour seule défense, je passai une journée dans un profond malaise. En tant que digne guide spirituel des paroissiens du diocèse de Nevers, je me devais de prendre parole et réagir face à cette ignominie.
Ainsi, et dans la continuité des actions de ce conseil de Régence m'ayant retiré les clés de la Cathédrale Saint-Sylphaël, j'enjoins mes clercs à rendre leurs clés de leur église, et à laisser la préparation des messes In Gratibus à ce Conseil de Régence, tant que la situation dans le diocèse ne sera pas revenue à la normale.
Ainsi, et dans la logique des actions de ce conseil de Régence préférant laisser les affaires spirituelles aux mains d'un homme en schisme parfait avec la Très Sainte Église aristotélicienne, je déclare que plus aucun sacrement ne sera officié au sein du diocèse de Nevers et que tout autre office se prétendant comme tel par un imposteur ne sera point reconnu par le diocèse de Nevers et de fait, par la Très Sainte Église aristotélicienne.
Ainsi, et en réaction aux volontés de conseil de Régence me désirant pendu plutôt qu'en charge des âmes des paroissiens du diocèse de Nevers, je me devrai de trouver protection contre ces vautours assoiffés de chair et de pouvoir ecclésiastique - spirituel -, à l'image de leur Anti-Roy frappé d'anathème.

Je conseille dès lors aux Fidèles de la Vraie Foy de prendre leur mal en patience et espérer qu'un jour, ces hommes et femmes reprennent le chemin de la Vertu. Sans clé aucune, nous ne pourrons plus, à notre grand regret, répondre efficacement aux demandes spirituelles qui nous seront présentées.

Puisse le Très-Haut pardonner ou foudroyer, mais ne pas ignorer,
& Puisse Aristote veiller sur les paroissiens du diocèse de Nevers en l'absence de dignes guides spirituels issus de son estimé enseignement,


Scellé de ma main au palais épiscopal de Nevers,
Le trente-et-unième jour du mois nouveau de l’an de grâce mil quatre cent soixante et un.


Monseigneur Fitz
Premier Vice-Primat de France
Évêque de Nevers
& reconnu comme tels par l'unique et Très Sainte Église aristotélicienne



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Absent jusqu'au 27 juillet compris !
Archevêque métropolitain de Rouen

(Signature qui doit être modifiée.. mais je n'ai plus mon artiste préférée à disposition )
Odo_de_montforzh
Le père Waleran qui passait dans la Cathédrale comme se doit de le faire tout clerc, regarda une affiche que courageusement un homme avait placée avant de s'en aller.

Voyons voyons ? Quelle Haine transpire en ces lignes , cet homme est-il vraiment un prétre ?Cet homme est-il fou ou délire t il simplement ? Une troupe haineuse qui avance sur lui les armes à la main? La seule haine que je vois c'est celle qui est écrite dans ces propos.

Alors le père se tourna vers la nef de la Cathédrale.

Si tu étais ici Fitz, au milieu des ouailles voilà ce que je te crierai.

NI DIEU NI LA FOI NE T'APPARTIENNENT !!!!

Tu condamnes les ouailles pour tenter de sauver ta gloire et tes avantages ? Quelle preuve d'Amour !
Tu appelles à se venger contre les fidèles ? Quelle preuve de foi !

Va dire à Rome qu'elle peut continuer d'excommunier la France entière, qu'elle peut continuer à demander la mort de millier de gens pour sauver sa gloire et son pouvoir, moi je m'occuperai de sauver les âmes durant que tu combattras les clerc de France qui vivent la foi sans vouloir le pouvoir!


Si tu avais fait ton travail de prêtre tu aurais choisi l'amour au combat, alors ne pleure pas ici, quand on choisi la haine et le combat on prends le risque de perdre.

Repends toi car peut être que Dieu te pardonnera!


Puis baissant la voix.

Si tu veux de l'aide je serais là, mon ministère est d'aider les hommes, pas de les tuer, de les insulter ou de les menacer. Tu vois je n'ai ni titre ni bannière, juste ma foi, mon cœur et les bras ouverts.

Le père alors se dirigea vers un prie Dieu et s'y installa pour demander pardon de la noirceur de l'âme des gens qui se croient puissants.
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Odo_de_montforzh
Office du Dimanche



C'est en chantant, comme à son habitude que le petit curé responsable d'un diocèse par nécessité, se rendait dire la messe du dimanche. Heureux, il allait donc entouré des clercs du diocèse fidèles à la parole du Très Haut.
Cet office il le dirait comme d'habitude dans la plus pure tradition de la foy.
Ce n'était pas la représentation d'un clerc récitant son refrain.
Non.
C'était le moment où les gens se rassemblaient pour partager le pain, le vin et la vie.
Car l'Eglise est la famille, la grande famille des fidèles. Ne pas l'oublier et le père ne l'oubliait pas.
…le cœur heureux le père alla vers les fidèles.

Après un long moment passé en sacristie afin de s’apprêter il entra enfin dans le chœur. Les enfants , puis les diacres étaient entrés les premiers.
Une rapide génuflexion devant l'autel puis il se retourna et s'adressa aux fidèles.


In nomine Domini, Aristote et Christos

Le père essaya de sourire

Bonjour à tous !

Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.


Il passa à la suite, certes les mots étaient toujours les mêmes, mais il savait que les fidèles les connaissaient eux aussi par cœur et que cela les rassurait.

Comme d’habitude, je vous demande de vous recueillir et de prier pour lui avant de réciter cet acte de contrition, qui nous permettra de demander le pardon de nos fautes, directement à notre créateur.

Oremus :


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.


Le père fit une pause.

Voilà !
C'est que l'on fait par habitude et l'on répète par habitude.
Mes frères et sœurs, sachez aujourd'hui réfléchir sur ce que nous venons de dire et de faire.

Réfléchissez sur le terme de frères et sœurs.

Je vous laisse y penser un instant puis nous allons continuer cet instant de partage. Je ne souhaite pas être le seul à parler, les partage est toujours, doit toujours être à plusieurs sens.

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Kalina21
La blonde mairesse se rendit à la messe du dimanche. Rares étaient les fois où elle avait pu être présente en ce jour béni, mais aujourd'hui était une exception.

Elle s'installa dans les premiers rangs, et écouta le Père avec attention.

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Tammara
Tammara sortait peu ces temps. Lorsqu'elle entendit sonner les cloches de la Cathédrale, elle revêtit un vêtement chaud et se mit en route.

Arrivée sur les lieux, elle poussa la porte et s'installa sur un banc, écoutant le prêche du petit Curé...


Par ces temps trouble, une remise en question semblait être une bonne idée...tellement de gens croyaient détenir la vérité... malheureusement d'ailleurs, jour après jour le peuple souffrait, le désespoir s'installait peu à peu ...
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Eliothine
Allez savoir pourquoi, mais Mary n’aimait pas les dimanches.
Comme à chaque office, la jeune femme prend le soin de relever ses cheveux en un chignon qui frôle l’imparfait puis le recouvre de son châle. Ainsi elle pouvait aller prier sans la crainte de se faire foudroyer du regard.

Elle pousse la lourde porte de bois, aucun changement de température, il faisait aussi froid dehors que dedans. Bah, on en prend vite l’habitude. Elle se signe respectueusement et avance le cœur lourd jusqu’aux premiers rangs de libre.

Comme à chaque fois, ses prières étaient destinées à son feu époux. Elle suivit l’office en silence, et quand vint à nouveau le moment de prier, cette fois, ses pensées se tournèrent vers les blessés inconnus tombés pendant cette guerre qui tiraillait tout le monde. Tout ceux dont on n’avait plus de nouvelles, des amis ou pas, seulement des humains. Pour eux, elle ferme les yeux et prie.

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--Effeli
Comme il faisait froid en ce dimanche.... Effie enfila son manteau et rentra rapidement dans l'église pour éviter de prendre froid....Ses bottes étaient gelées, ses doigts aussi....

Chaque semaine elle allait à la messe, qu'elle soit chez elle ou ailleurs.

Tammara était arrivée, Mary , Kalina...

Elle leur fit un sage coucou de la main puis se signa et alla s'installer seule dans un coin pour écouter attentivement, se recueillir ....

Elle aimait l'ambiance des églises, une plénitude régnait....et là, pas d'armes....

Elle récita le Credo du bout des lèvres...


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
Odo_de_montforzh
Le père s'adressa aux gens présents.

Mes frères mes sœurs,

Oui, mes frères mes sœurs, je m’arrête sur les mots car savons nous ce que nous disons parfois, par habitude, sans vraiment y réfléchir ?

Mes frères !

Comme il est curieux de voir que tous les clercs appellent les gens ainsi, "mes frères", "Mes enfants" avec condescendance, par habitude avec le livre des vertus à la main, dans une main et l’épée dans l'autre.

Mais tout naturellement l'on trouvera dans une citation la phrase qui permettra de justifier de cela !

Non !

Quelques soient les prétextes invoqués, jamais, jamais Dieu n'a demandé aux hommes de se tuer entre eux, de tuer leurs frères ou leurs enfants !

Sinon, que l'on me dise où et quand il l'a fait !

Donc, ce créateur, qui a fait de nous "ses enfants" nous a demandé de nous aimer,

Vous avez là la réponse à toute les questions que vous pourriez vous poser.

Sont vertueux ceux qui suivent la parole du Très Haut.

Ne le sont pas ceux qui font l'inverse.

Des questions ?


Le père attendit que ne sait-on jamais quelqu'un pouvait bien en avoir, des questions.
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Kalina21
La mairesse avait écouté avec attention, et ne put que hocher la tête. Elle était tout à fait d'accord avec le Père Waleran.

Personne n'avait demander à se faire massacrer, le Très-Haut n'avait jamais demandé de tuer ses enfants. C'était là choses absurdes.

Elle écouta donc la suite du sermon.

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Svana
Comme a son habitude Svana entra dans l'église de la ville, ici une cathédrale, mais cela restait un lieu de prière.
Elle ouvrit son cœur à Dieu, pour prier pour les habitants et les étrangers de cette ville qui y résidait.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
Odo_de_montforzh
Pas de question ?

C'est que tout vous semble clair.

Un dernier mot, cependant, je suis venu vous parler de Paix.

Ceux qui veulent la guerre ne vont pas tarder à revenir.

J'aurais été heureux de pouvoir vous dire que dans l'Eglise, il n'y a pas que des gens avides de pouvoir et prêts à tout pour y satisfaire.

Partageons alors le pain.




Le Père Waleran s’approche de l’autel préparé pour le partage du pain,
Récite à voix basse et renouvelle le rituel du partage


Il continue en disant

Priez mes frères, Nous allons partager le pain, ce partage symbolise que nous partageons aussi les joies, les peines, la vie. Que lorsque la maladie ou la guerre, la soldatesque ou la famine s’abattent elles ne s’abattent pas sur l’un d’entre nous mais sur nous tous. Symbole que nous partageons tout.
Je sais que je le dis souvent, mais comme personne n’écoute il est normal que je le répète.
Car toute l’importance de ces office est là:
NOUS SOUVENIR QUE NOUS NE SOMMES QUE LES FEUILLES D’UN MEME ARBRE.
Qu’il en soit ainsi.


Vient le moment du partage en lui même

Il reprend la parole

maintenant, sœurs et frères partageons le pain et le vin comme il nous a été appris à le faire.



Le père se saisit du calice, le tend vers les fidèles, et en boit. Il distribue les pains, il invite l’assemblée pour distribuer quelques morceaux du pain rompu et faire boire un peu de vin pour manger et boire.

Suivent quelques instant de méditation

Je terminerai en remerciant les fidèles de la Paroisse qui ont assisté à cette messe.
A tous je souhaite du courage pour surmonter les épreuves…


Il lut la dernière prière.
Et Il bénit l’assemblée.


Benedíctat vos omnípotens Dominus, et Artistote et et Christos
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Emmaline_de_thenac
Emmaline n'avait pas eu le temps d'aller a l'eglise depuis plusieurs semaines,en ce jour d'accalmie elle se rendit a la cathedrale un long moment,pour prier pour ses freres blessés a Dijon et a Chalon qui souffraient et etaient isolés .
Elle se mit a genoux sur le banc ou elle avait toujours pris place,dans le coin gauche de l'allée de gauche .
Elle joint ses mains


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Protegez mes freres qui sont dans le desespoir blessés et loin de nous, ,protegez tous les nivernais qui se battent pour leur ville, donnez nous la force de rester dignes ,dans l'amour du prochain et la fraternité .
Arrêtez cette haine ,aidez nous a retrouver la paix

Amen



Elle se releva émue et deposa une bougie

_________________
Arka
Après des mois de retraite, c'est avec une certaine émotion qu'Arka entre dans la cathédrale.
Celle ci en imposait de tranquillité et de sérénité et aujourd'hui, la ville en avait bien besoin de cette sérénité......

Pour ne pas gêner les autres paroissiens, elle s'installe sur le premier banc venu et commence à prier tout bas, s'adressant directement au tout puissant :


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

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