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[RP] Cathédrale Saint-Sylphaël

Lorewen
    [Cathédrale de Nevers, en début de soirée, 6 mars 1461]


Lorewen arriva discrètement dans la cathédrale. Elle avait des choses à demander au Très-Haut. Ces temps étaient durs, la guerre, la prise de mairie, de mauvaises nouvelles des soldats.

Elle se dirigea directement vers les cierges. En attrapant plusieurs.
Une fois à réciter le crédo, puis des prières plus silencieuses.


-Faites que les conflits cesses, que Nevers retrouve son calme...
-Faites aussi que l'ami qui m'envoie de ses nouvelles se rétablisse vite...
- Et que les gens ne se blessent plus beaucoup...


Elle savait qu'elle demandait énormément, en déposant un cierge à chaque demande, mais ça valait le coup de d'essayer non?
Sidney
Sidney devenu Évêque du Puy s’arrêta à son ancienne Paroisse où il avait prêtre
Il prit une place aux derniers et récita le Credo




Une fois terminé il sortit de la Cathédrale et il partit rejoindre Mende
_________________
Sidney de Rieux

Ex Curé de la Ville de Rieux
Ex Maire de Rieux
Ex Curé de Nevers
Ex Curé de Bourges
Emardeche
Ema entra dans la cathedrale, elle serra contre elle son mantel, un petit air frais se faisait sentir.

Elle trempa délicatement le bout de ses doigts dans le bénedictier, et se signa.
Elle regarda droit devant elle et s'avança d un pas décidé.

Il n y avait personne, elle s approcha de l autel et posa genoux a terre, et se joignit ses mains.

Elle tenait a faire cette prière, car cette nuit Jyra et elle prenait la route , ils avaient de fort risque de croiser une armée .


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.


Elle murmura la fin de la prière.
Lorewen
    [Quelques jours plus tard.]


Il est des jours comme celui ci où l'on s'inquiète pour tout et n'importe quoi, bien plus que d'habitude. Perturbée, la tisserande? Probablement.
Il y a un autre endroit, après le lac, où celle ci aimait aller lorsque d'éternelles questions existentielles tournoyaient dans son esprit du matin au soir: La cathédrale.

Elle s'était habillée bien plus que convenablement, avant d'arriver, son statut d'artisane plutôt aisée (surtout à cause de l'actuelle pénurie de tisserands) lui permettait d'être fort présentable. Bref, elle arriva donc sur le parvis de l'église, offrit quelques écus à de nécessiteux mendiants et franchit la grande porte.

Les statues semblaient l'observer dès son entrée. Elle s'agenouilla respectueusement et continua sa lente marche, l'esprit toujours plus ou moins ailleurs.
Ses doigts virent frôler un peu d'eau bénite, et elle s'assied sur un banc alors que la statue d'Aristote lui faisait face.

Elle joignit les mains, récitant mentalement le crédo: "je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant, créateur du ciel et de la terre... " Puis murmura quelques prières, d'une voix presque inaudible.

-Faites, s'il vous plait, que mes amis et famille partis sur les routes puissent revenir un jour sans trop d'encombres...
-Faites, s'il vous plait, que Nevers reste ce village que nous aimons tous.
-Et faites aussi, si vous le pouvez, que le chemin que je choisirais sois le meilleur possible...


Sans autre mot, elle se releva calmement, et quitta l'endroit comme elle était entrée. Un registre des nouveaux arrivants l'attendait, et elle espérait que cette fois, plusieurs noms y apparaissent!
Arolde
Le temps n'était pas mauvais pour une fois. La route avait été longue et éprouvante certes, mais cela n'aurait pas du justifier le mauvais comportement d'Arolde. Il est vrai que l'on ne fait pas d'un va-nu-pieds un grand seigneur, mais cela n'explique pas un comportement si peu Aristotélicien. Si ses pauvres parents avaient encore été de ce monde, ils auraient été bien déçu en apprenant cela. Eux qui avaient tant donnés pour leur fils adorés ! Ils avaient cru en lui.
En fait non, ils n'avaient pas eu d'autres choix que de croire en lui. Le lopin de terre qu'ils possédaient irait à leur premier fils lorsqu'ils seraient morts. Ils n'avaient donc pas eu d'autres choix que d'envoyer leur second fils sur le chemin de l'Eglise. Arolde devait d'ailleurs reconnaître qu'ils s'étaient tués pour cela. Les pauvres avaient dû payer l'équivalent d'un boeuf pour que le curé du coin l'accepte auprès de lui.
Mais les circonstances de la vie, organisées par le Très Haut avaient fait que ses parents étaient morts avant d'avoir payés. Son frère avait refusé de payer un seul denier et le curé avait refusé de faire son enseignement. Il avait donc prit la route, travaillant ici ou là pendant quelques jours pour survivre du mieux qu'il le pouvait.

Et puis il était arrivé à Nevers. Et, comble de l'impiété, il s'était sentit trop fatigué pour venir à la Cathédrale, au lieu de cela, il avait écumé les tavernes afin de rencontrer du monde. La soirée n'avait pas été infructueuse, mais il n'était pas venu à la Cathédrale. Et il s'en repentait maintenant. En passant devant les mendiants, il eut envie de donner quelques piécettes, comme si cela pouvait pardonner son péché, mais il se rappela alors que sa bourse avait été percé et qu'il avait tout perdu en chemin.
Il passa donc devant les mendiants, pour voir que sa propre tenue était identique à celles de ces pauvres ères. Comment pouvait-il se sentir au-dessus de ces hommes et de ces femmes, alors qu'il ne valait pas mieux ?
L'important était qu'il aille prier.
Et il se fichait pas mal des regards que l'on pouvait jeter sur son passage. Tout le monde avait le droit de prier, même en portant un chiffon sale, déchiré et trop petit. Il entra donc à l'intérieur et 'agenouilla pour prier le Très Haut. Il adressa ses prières pour que tous, ses défunts parents, son frère égoïste, le curé cupide, les pauvres, les riches, les grands, les petits, les bons, les moins bons... soient pardonnés par le Très Haut, bénis par Lui et accueillit après la mort.

Après ses prières, Arolde quitta la Cathédrale sans un mot de plus.
Charles_dubois
Depuis son retour, Charles était maintes fois passé devant l'édifice religieux. Partagé entre l'envie d'y entrer et la rancoeur qu'il gardait de l'hiver, il n'avait pas poussé le lourd vantail de bois.

Pourtant, en ce dimanche, il sentait le besoin de retrouver l'ambiance qu'il affectionnait tant.

Claudiquant, aidé par son bâton, l'ancien diacre fit grincer les gonds bien avant que la messe soit donnée.
L'église était quasiment déserte. Les ouailles n'arriveraient que dans quelques heures.

Le rouquin resta quelques instant debout, dos à la porte et contemplât l'endroit. Ses murs de pierres froides, ses plafonds célestes, ses vitraux flamboyants et son mobilier forestier. Une odeur âcre d'encens et de cire embaumait ses narines.
Charles ferma un instant les yeux et un léger sourire bienheureux s'afficha sur son visage.

L'homme de foi s'avança, faisant raisonner son bâton. Il salua les rares personnes qu'il croisa jusqu'à ce qu'il atteigne l'autel. Il posa une main et sourit avant d'aller s'asseoir sur le premier banc.

Charles posa son bâton à côté de lui et joignit les mains.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En... en.... la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Charles avait hésité à un passage. Les derniers événements qui l'avaient conduit à l'excommunication lui laissait un goût amer. La Sainte Eglise... avait-elle encore son caractère saint?

Mon Dieu,
Que faire?
Je me suis battu non contre Toi, tu le sais, mais contre des hommes sourds et aveugles.
Malheureusement, ces hommes-là sont l'Eglise... Celle qui est censée te représenter... En mon for intérieur, je ne pense pas avoir été dans l'égarement. Je reste convaincu que mes actes étaient justes.
Malheureusement, le sang a coulé et la mort a frappé... par deux fois... guidée par mes propres mains...
Oh, je sais, j'ai été puni pour cela.
Je ne parle pas de l'excommunication.
Je parle de mon agression.
Je parle de la disparition de mon aimée. Disparue sans que je puisse lui dire adieu...

Me voilà dans un beau dilemme.
Si je reste sur mes positions et que je ne demande pas pardon à l'Eglise, je ne pourrai pas rejoindre ma belle rousse à Tes côtés.
Mais si je demande de réintégrer la Communauté, je me mentirais.
En même temps, si l'Eglise se trompe, le pardon, ce n'est pas d'Elle qu'elle doit venir, mais de Toi. Et je n'ai pas de crainte en moi. Je sais que le soleil et ma tendre épouse m'attendent.

Je sais que Tu me comprends. Je sais que je n'ai pas mal agi. Sinon pourquoi serais-je toujours vivant? Et pourquoi m'aurais-tu fait rencontrer cette belle et bonne personne?
Est-ce encore une épreuve? Une tentation? Ou est-ce un réconfort?

A quoi bon rester dans le passé? Ce n'est qu'un fardeau pour le présent. Quant au futur, il n'existe pas, car demain, sera aujourd'hui quand aujourd'hui ne sera plus.

Je Te demande une chose, Veille sur mes amis qui partent défendre nos vies. Ne me l'enlève pas à nouveau...
Passant inconsciemment du pluriel au singulier, Charles fixa ses prières sur une seule personne...

Ô Seigneur, réconforte ces frères qui partent en guerre avec Ta grâce et protège la paix de tout mal. Donne leur la grâce et la pureté, qu'ils bannissent tout ce qui est indigne de Tes éloges et contraire à tes commandements. Aide-les à combattre pour qu'ils comprennent l'importance de la paix, et s'ils se laissent envahir par le mal, chasse la Créature sans Nom de leurs cœurs et freine leur colère.
Amen


Charles se surprit même à chanter.

Donner sa vie pour faire grandir et fleurir
Voir en tout homme un visage à aimer
Chanter sa joie d'être au Très Haut et rien qu'à Lui
Etre porteur d'une parole à partager

Donner sa vie, accepter de tout quitter
A laisser le Très Haut mener notre destin
Prendre le temps, se laisser apprivoiser
Le découvrir nous précédant sur nos chemins

Donner sa vie, accepter de tout quitter,
Sortir du port pour affronter le vent,
Abandonner ce qui pourtant nous rassure,
Mourir à l'hiver pour regermer au printemps

Donner sa vie quand on vient de trébucher
Saisir la main qui nous remet debout
Croire que l'Amour est plus fort que la mort
Et reconnaitre qu'il est présent parmi nous

Donner sa vie même quand on doute de tout
Quand plus personne n'éclaire notre nuit.
Prendre le risque d'avancer sans tout comprendre
Faire confiance à ce Dieu qui seul nous conduit

Donner sa vie quand tout pousse à la garder
Se mettre au service du plus petit
Pour faire grandir le Royaume du Très Haut sur terre
Permettre à tout homme de donner sens à sa vie.
Fougerit
Fougérit connaissait bien la cathédrale, pour avoir travaillé au cotés du "Grandalsacien" à sa reconstruction après l'incendie qui la ravagea. Des moments gravés dans sa mémoire pour le charisme de ces hommes et leurs intelligence sans limites.

Alors lors de son passage a Nevers, il ne pouvait qu'aller prier pour sa fidèle compagne resté au village. Il monta les marches de cet édifice majestueux.
A l'entrée il décrocha son ceinturon et mis "Liberté contre la porte. Dans la maison de dieu ont est protégé de tout, il veille sur nous se dit il. . .

Il entra mis genoux a terre et se signa regardant le sol en guise de respect. Puis se relevant il avança dans l'allée centrale pour aller s'agenouiller devant l'autel. Et là il se mit à prier pour sa douce colombe, celle qu'il aime et qu'il protégera toute sa vie, sa Nun qui marche a ses cotés depuis quatre années . Il se mit a réciter le crédo tant de fois entendu par son sien de neveux lohengrin à haute voix, comme la messe a quatre mains en l'église de Montpensier, curé qui alla porter notre foi dans de nombreux pays. Foug à haute et intelligible voix se mis donc à prier

Donnez-moi, Très Haut, ce qu'on Vous a laissé
Donnez-moi ce qu’on ne Vous demande jamais.

Je ne vous demande pas le repos ni la tranquillité
Ni celle de l’âme, ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la paix ni la félicité
Ni même la santé, ni le réconfort.
Tout ça, Très Haut, on Vous l'a tant sollicité
Que vous ne devez plus en avoir.

Donnez-moi, Très Haut, ce qu'on Vous a laissé
Donnez-moi ce que les autres Vous ont refusé.

Je veux l’insécurité et l’inquiétude.
Je veux la tourmente et l'incertitude.
Et que vous me les donniez, Très Haut, définitivement.
Que je suis sûr de les avoir toujours
Car je n’aurai pas toujours le courage, constamment,
De vous les demander avec amour.

Donnez-moi, Très Haut, ce qu'on Vous a laissé.
Donnez-moi ce dont les autres ont délaissé.

Mais épargnez-moi aussi la rage,
Et le doute et le désarroi.
Mais donnez-moi aussi le courage,
Et la force et la vraie Foi.
Amen

[i]Foug sortis dans l'allée mis genoux a terre et se signa avant de repartir combattre pour cette Liberté, dont toutes et tous on besoin pour vivre en bonne intelligence. Arrivé au portail il reprit son ceinturon sortit et mis celui ci autour de sa taille et descendit les marches lentement tranquillisé par le silence de cette grande maison d'Aristote.

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Audebert
Audebert entra à la cathédrale afin de se retrouver un peu seul et de prier pour les êtres chers qui l'entourent.

Il commença par prier de longues minutes pour Colin, le petit bout de sa très chère Korma. Il n'allait pas bien, il souffrait d'un mal inconnu et sa douce se faisait beaucoup de soucis pour lui. Il espérait de tout cœur, qu'il reviendrait sain et sauf.

... Et il continua perdu dans ses pensées.

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Arka
Il lui semble que cela fait des semaines qu'elle n'était plus venue se recueillir dans ce lieu qui lui permet de se ressourcer...
Les évènements avaient pris le dessus sur ses visites dans la cathédrale et maintenant que les choses rentraient dans l'ordre, Arka se dirige vers sa place habituelle....le côté droit de l'autel. Cet endroit n'avait pas un attrait particulier mais de là, elle pouvait voir à peu près tout le monde.
Loin d'elle le souhait de colporter qui venait ou non se recueillir mais simplement peut être voir l'un ou l'autre de ses amis ou amie avec lesquels elle adore passer son temps et surtout pouvoir s'éclipser discrètement juste après l'homélie du curé.....pour aller prendre l'apéro !
En attendant, elle s'agenouille et prie pour que tout aille bien dans le meilleur des monde, enfin c'est ce qu'elle souhaite au plus profond d'elle même !
Julie
Après un instant de recueillement en la crypte Julie se dirigea en la cathédrale pour allumer un cierge

L'endroit était plus semblable à la cathédrale de Besançon qu'à la petite et intime église luxovienne bien entendu, mais un lieu de culte n'en restait pas moins pareil imposant, résonnant et mystérieusement apaisant

Après avoir déposé quelques écus dans le panier destiné à cet effet la jeune femme alluma un cierge toute à ses pensées car si ce voyage prévu lui apportait bien plus de découvertes qu'elle ne l'aurait imaginé à la base ses tourments étaient toujours bien présents

La flamme du cierge brillait de mille feux et tout en secouant ses boucles d'ébène comme à son habitude quand elle était songeuse, Julie se dirigea vers un prie-Dieu, s'y agenouilla la tête penchée sur ses mains jointes

Elle priait rarement pour elle-même car inévitablement en fermant les yeux un visage se dessinait, "lui" encore et toujours "lui" ce qui la ramenait à ses inquiétudes les plus secrètes ...

Bien peu de monde connaissait ses passions et leurs violences qu'elle avait soin de cacher sous une façade guillerette mais là à quelques jours de retrouver ses amis elle devait se reprendre et ne rien montrer de ce qui l'animait

Tous les projets, le bateau, l'avenir ... elle le leur avait promis elle se devait de respecter ce serment car l'amitié est chose essentielle

Un léger soupir s'échappa de ses lèvres et elle se mit à prier longuement Aristote ....

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Arka
Voilà plus d'un mois que le curé du village s'était fait discret, ou qu'Arka elle même l'était, allez savoir lequel des deux avait le pompon .....
Toujours est-il que la messe était un moment apprécié pour se ressourcer et se poser un peu. Les tracas du moment étaient propice au recueillement pour Arka et en entrant elle dépose son épée en essayant de ne pas faire cliqueter ce lourd attirail et va s'installer sur le banc qu'elle a l'habitude de mobiliser en veillant bien de ne déranger personne, elle fait son signe de croix et s'agenouille pour murmurer sa prière :



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
Odo_de_montforzh
Le père Waleran était enfin "guéri", quarante cinq jours pour avoir croisé un vulgaire ladre c'était beaucoup.
Il s'en vint à la cathédrale pour y préparer un office.

En ce dimanche sept du mois de Juillet, bien des gens étaient occupés aux champs ou à chercher le soleil, mais il se pourrait que le soleil soit plus brillant encore dans le cœur des gens.

Avisant le bedeau il lui fit donner les cloches.



Bong....

Voilà un bruit qui réchauffe le coeur, le moment du partage était venu.
_________________
Arka
Tout en priant, elle sourit à l'arrivée du Père Waleran .

C'était important dans un village , un curé........certains auraient d'ailleurs bien besoin de se confesser.
Les Curés avaient le don d'amadouer les plus dissipés et il était temps de remettre les "sabliers" à l'heure....enfin c'est ce qu'Arka trouvait et elle écouta le sermon
..........
Nrv
Il avait vu du monde entrer dans l'église, il a pressé le pas, poussé la lourde porte COUIIIIIIIIICCCCKKKKKKKKK
Hummm ça manque d'huile ici!

la cathédrale est vide sauf le père Walleron s'occupait autour de l'autel, et Arka la pieuse faisait une prière.

Se met à genous et récite aussi une prière, enfin des mots entendus quand il était plus jeune, marmonne des sons inaudibles.

Notre mère .....................
Notre père .......................
gann gnannnn gnannnn

amen
, avait envie de finir sa phrase, améne ta semaine avec la mienne on va faire une bonne quinzaineeeeeeuuuuuuuuu, se retient et se dirige vers le représentant du très haut.

Pardon, mon père ma mère mes frères et mes soeurs

Je voudrai faire ma pastorale, et faire celle de ma fille aussi, oui comme vous venez de comprendre, j'ai pêché contre la volonté du très grand, quelles démarches dois je entreprendre?
_________________
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Amalya27
Ce matin Amalya se dirige vers la cathédrale pour prier et assister à la messe du dimanche, elle espére que le Pére Walleron sera en forme pour la dire.
Elle arrive sur le parvis et pousse la lourde porte, elle entre mais il n'y a pas âme qui vive dans la nef.
Elle s'assoie sur un banc et commence à réciter ses priéres .

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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