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[RP] Parait qu'les chemins sont toujours aussi peu sūrs...

Akire
[Oda, terre des Lézards.]

C'était un jour quelconque. Les chemins sinueux qui liaient chaque ville s'étendaient sur des lieues, creusés par les passages et rendus boueux par les pluies. Un véritable torrent s'abattait sur l'archipel, ces dernières semaines, limitant les virées et faisant râler les péquenauds... mais sur l'un de ces sentiers, s'avançait pourtant un homme au torse nu et à la démarche vive. Les cheveux plaqués contre son visage et son dos, il ne portait que peu d'intérêt aux intempéries, ses yeux d'un noir profond intensément braqués sur l'horizon qu'il surveillait constamment. Là-bas pouvaient se profiler toute sortes d'imprévus.

Son énorme massue de bois en main, il marchait pieds-nus depuis Kiyosu, s'écorchant contre cailloux et autres saletés qui le faisaient jurer bien souvent. Il avait les traits tirés, ses paupières tressautant parfois sous la fatigue, ses lèvres retroussées en un pli fin et sec. En toute franchise, il devenait réellement laid, son expression faciale influencée par son esprit qui à chaque jour devenait un peu plus froid et fou. Cela faisait trop longtemps qu'il n'était plus allé rejoindre sa Belle pour une partie de pêche...


[Quelques heures plus tard, sous un temps plus clément.]

Clang !

Doux son du Tetsubo qui remplit son office, le bois rencontrant avec force la peau molle d'un pauvre passant au regard ahuri. Ses dents s'entrechoquent, ses yeux se ferment sous un réflexe non maîtrisé, alors que ses mains trop lentes effectuent un mouvement inutile pour se protéger du coup. Le pauv' gars fut au sol avant d'avoir réellement compris ce qui lui arrivait. C'était la première victime du jour. Jeune, faible, naïf et inconscient. Il s'était laissé avoir par Amaterasu et son joli fessier, comme bien d'autres, ignorant totalement le rustaud qui se précipitait dans son dos, un sourire mauvais étirant sa trogne. Les minutes passèrent, et le jeunot fut bien vite traîné hors de vue. Il était à poil, le benêt. Pas un rond, juste une poussière. Heureusement pour les deux brigands, d'autres minables errants s'approchaient déjà au détour d'un rocher, non loin. Akire fit un pas vers sa compagne, et lui souffla en un murmure :

"
Pas le temps de jouer de manières, cette fois. "

Avec un autre sourire, il la poussa par le cul...


15-12-2010 15:01 : Vous avez dépouillé Lang_li qui possédait 0,15 koban et des objets. Youhouuu.

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Amaterasu
Des mois qu'elle s'ennuyait. Vivant en recluse dans le fond de ces montagnes sa vie était monotone.
Les cours, les enseignements, quelques grains de riz et de long séjour au sanctuaire. La mélancolie avait gagnait ses yeux noirs et profonds.

Sa famille réduite à l'essentielle soit sa fille qui lui manquait terriblement, plus encore que celà IL lui manquait.

L'homme dont tous le daymio parlait, l'homme dont on ne connaissait que la méchanceté, la brusquerie, cet homme même qu'elle voyait tellement différemment.

Aussi elle lui avait écrit et la voilà vayante sur les chemins, en route pour une nouvelle partie de pêche à ses cotés.

Même pas le temps des retrouvailles que le pecore se pointe. Tout sourire vers elle, reluquant son déhanché, lequel ne lui était pas du tout adressé.

Elle le voit surgir dans son dos, animal, rustique, gourdin à la main et déjà le pauvre gars est à terre.

Elle le retrouve dans toute sa puissance, magnifique.

Le rustre est en action et c'est ainsi qu'elle l'aime : brutal et efficace, le pauvre gars est à terre.

D'une sourire elle acquiesse.


En route, pourvu que d'autres arrivent avec une bourse plus garni, que je retrouve enfin ton sourire...

Nouveau déhanché, elle marche vers leur futur proie.
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Akire
Ils étaient là. Presque à leur niveau. Insouciants, ils n'avaient même pas ralenti à leur approche, voyageurs trop niais pour s'imaginer qu'ils ne rencontreraient pas que des marchands. D'ailleurs, même ceux-ci évitaient de cheminer sur le territoire des reptiles... Akire se déplaçait un peu derrière sa compagne, ses mèches noires dissimulant au mieux le regard qui ne les quittait plus, fasciné par leur nonchalance et captivé par les bourses qui pendouillaient à leurs obis. Ses prunelles suivaient leur balancement, tandis qu'il maîtrisait difficilement l'impatience qui faisait trembler chaque fibre de son corps. Lorsqu'ils furent assez proches pour distinguer les dents jaunâtres du premier marcheur, son amie se figea brutalement en poussant une exclamation, sa main gauche accrochant l'épaule du freluquet qui l'imita aussitôt. Ses yeux fixaient les phalanges crispées du Rustre, qui tenait un peu trop fermement le manche de son arme impossible à camoufler. Lentement, elle passa des mains masculines au visage de la Belle, puis à celui de la raclure. Lorsqu'elle vit son atroce sourire, elle comprit.

Le brigand s'élança en un bond.

Son cri rauque hérissa les deux trotteurs, et la femme leva son bâton pour faire face au furieux qui dépassait déjà Amaterasu. Le Lézard abattit son gourdin entre eux, les séparant par la même occasion, et le releva en un mouvement croisé vers L'homme qui se baissa assez vite pour éviter d'avoir l'épaule broyée. La brute avançait, lui dut reculer pour échapper à une autre attaque horizontale, puis une autre qui tenta de lui faucher les jambes. Derrière eux, les donzelles se battaient aussi, katana contre manche, hargneuses et décidées à tenir jusqu'au bout. Akire fit enfin mouche, son arme percutant de plein fouet la hanche du pauvre gars qui s'écrasa dans la boue. Avec un plaisir évident, il lâcha son outil de prédilection, et releva le visage ennemi en l'attrapant par la tignasse. La douleur était telle que le bougre en avait les larmes aux yeux.

"
Nul n'échappe à l'Impôt ! " Lui postillonna-t-il à la tronche.

Un coup de poing, et la face maculée de saletés revint saluer la terre humide. Le scélérat n'en resta pourtant pas là. Il le rossa longuement, riant de sa faiblesse, incroyablement violent contre celui qui avait osé tenter de défendre ses biens. Lorsqu'enfin il s'écarta pour reprendre son souffle, il reprit sa masse et se tourna vers l'autre duel qui se déroulait à quelques pas de là...


16-12-2010 15:02 : Vous avez dépouillé un groupe composé de Liuky et de Dokomo_anjin qui possédait 682,76 koban et des objets.
16-12-2010 15:02 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Liuky et de Dokomo_anjin (coefficient de combat 6), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

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Amaterasu
[Quelques semaines plus tard, retour de Gifu]

Reprenant son rôle officiel, la belle était parti au chevet de sa fille mourante. Malgré de nombreuses prières aux Kamis, ceux-ci n'avaient pu la sortir de sa torpeur et c'est donc la haine au fond du coeur qu'elle avait prit la route du retour.

Nulle tristesse dans ses yeux, juste un regard plus froid encore, plus mauvais.

Elle ne s'attarde pas en chemin, les promeneurs sont prévenus, du moins ils devraient l'être car la belle n'a pas le coeur à la pitié, elle a le coeur à la vengeance, au crime en toute impunité.

Au loin un corps mulclé, grand, mauvais réhaussé de longs cheveux noirs crasseux.... Elle retrouve le sourire en cette rencontre fortuite avec le rustre.

Son coeur bat dans sa poitrine en le retrouvant. Déjà elle imagine le sourire mauvais sur son visage lorsqu'il frappe violemment la pauvre femme qui passait par là.


Tant pis pour elle, elle ne possède presque rien mais ça me fait plaisir que tu l'ai cognée ainsi.

Elle prend rapidement la petite part de udon et les quelques Kobans qu'elle possède, et rit en la voyant fuire. Pas le temps de la rattraper pour qu'elle se taise à jamais, déjà deux autres malheureux approchent....

La belle est à nouveau joyeuse en retrouvant la seule acivité qui peut lui donner un peu de baume au coeur.

Frapper, dépouiller, tuer, seule la violence l'anime encore et peut guérir son âme meurtri par la mort de sa fille.
Ce qu'elle aime par dessus tout c'est observer le rustre de son coeur déployer sa haute stature pour cogner, cogner et cogner encore jusqu'au dernier souffle de ses victimes agonisantes.


Viens, ces deux là, je veux les voir gissant à mes pieds!dit-elle en montrant du doigt deux clampins qui manifestement étaient présent pour se faire de l'argent facile.

Le sourire mauvais qu'elle lu sur le visage de la brute lui donna un regain d'énergie, lorsqu'elle se dirigea vers eux.


05-01-2011 15:02 : Vous avez dépouillé Amia qui possédait 13,80 koban et des objets.

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Junishiro
L'albinos avait accompagné les deux tourtereaux un peu par ennui et un peu par nostalgie de ses années de jeunesse sur les routes.
La première des victimes il ne s'était même pas levé pour aller donner un coup de main, à peine avait il vaguement surveillé les arrières de ses comparses.
Par contre le lendemain, une lueur d'intérêt et de méchanceté brilla dans ses yeux pâles lorsqu'il reconnu le visage de l'un des voyageurs. Enfilant son tout nouveau masque, l'albinos ricana en pensant que la pauvre allait tomber une deuxième fois dans ses griffes.... Ca lui apprendrait à fricotter avec le général en tongue...


Après un combat bref mais sanglant, la troupe de lézards avait terrassé les deux voyageurs qui avait tenté de se défendre. Penché au dessus de la femme, l'albinos lui chuchota à l'oreille..

"Tu n'aurais pas du te gausser du lézard l'autre jour que ton copain le général en tongue était à tes cotés en taverne. Aujourd'hui il n'est pas là pour te défendre, et regarde où celà t'a mené petiote... La prochaine fois tu tiendras ta jolie langue"


L'albinos n'entendit qu'un gargouillis sortir de la jolie bouche ensanglantée...


06-01-2011 15:01 : Vous avez dépouillé un groupe composé de Rana et de Takuta qui possédait 65,69 koban et des objets.
06-01-2011 15:01 : Vous avez fait la peau à un groupe composé de Rana et de Takuta (coefficient de combat 10) qui essayait de vous résister. Vous le laissez pour mort derrière vous, pas vraiment inquiet des conséquences.

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Mieko
Depuis qu'elle avait commencé à traîner ses guêtres sur les routes poussiéreuses de Kiyosu, elle n'avait eu affaire qu'à des pleutres. Et c'était un faible mot. Des trouillards qui tombaient à genoux après avoir à peine vu l'éclat d'une lame briller au creux d'une poigne crasseuse, pas une seule âme valeureuse, prête à défendre sa vie, ou même sa bourse... Ils se rendaient tous, tremblants comme de peureuses soubrettes, allant même jusqu'à remercier qu'on les laisse en vie. Ca en devenait rageant, et la brigande sentait la soif de sang poindre de plus en plus intensément au creux de ses tripes.

Toute la nuit, elle l'avait passée, assise sur une pierre, légèrement en retrait du groupe, mais tout en restant à portée de vue, à affûter sa lame et à ressasser ses envies de meurtre, descendant à longues gorgées ses réserves de sake, la trogne mauvaise et l'oeil furieux. Les prochains qui pointeraient leur museau... z'allaient pas s'en tirer comme ça, les pioupious. A force de ruminer sa rage, le ciel finit par blanchir, apportant l'aube avec lui... Et un p'tit couple, pensant passer sans encombre à cette heure matinale.

Rien du tout! En entendant les rires insouciants (et inconscients) des deux tourtereaux, Mieko sauta sur ses pieds et attrapa son kusarigama d'un mouvement prompt, la gueule hagarde et les yeux injectés de sang. D'un bond leste et silencieux, fruit d'une longue habitude, elle partit se dissimuler dans un buisson proche, tout en s' assurant du coin de l'oeil que ses frères de lame en faisaient autant.

Les secondes défilèrent, lourdes et inexorables comme les coups d'un marteau sur le gong, dans le crâne de l'insomniaque sanguinaire. Le son de la niaiserie infantile se rapprochait, tout comme l'heure de faire couler le sang insupportablement innocent.

Ils étaient suffisamment nombreux, et l'effet de surprise eut son petit effet. Surgissant de toutes parts à la fois, les écaillés se jetèrent sur l'irritant duo, sans leur laisser aucune chance de s'en sortir. Un profond grondement sortit de la gorge de la coriace femelle, tandis qu'elle brandit son arme au-dessus de sa tête, faisant tournoyer le boulet à pics qui en garnissait la chaîne d'un air noir profondément menaçant, tout en se ruant sur les guignols. L'arme faucha la jeune garçon au rire émasculé à la tempe, tandis que Junishiro le faisait tomber à terre d'une balayette bien placée. Le doux visage commençait à saigner abondamment, et la raclure s'en rapprocha, sans cesser de grogner, allant même jusqu'à humer l'odeur du sang de sa victime d'un air sauvage, les pupilles largement dilatées par l'adrénaline et le manque de sommeil. En grommelant, elle proféra, à l'adresse des autres autant qu'à elle-même:


L'est encore vivant, c't'idiot?

D'une puissante claque, elle alla vérifier si ses dires étaient fondés. Le regard de sa pauvre victime vacilla, pour virer au blanc trépassé.

Mmh... L'a l'air crevé.

Sans sourciller, elle lui planta sa lame dans le ventre, dans les côtes, puis dans le coeur, histoire de s'assurer que son diagnostic était exact. Puis, se relevant, elle décocha un lourd coup de pied dans le corps mou du pitoyable cadavre, avant de s'en détourner, les traits tirés, glacials, haineux. D'un mouvement sec et brusque du menton, elle détourna la tête pour se concentrer sur ce qui se passait à côté. Une p'tite donzelle était elle aussi en train de passer un sale quart d'heure.... A l'agonie, elle râlait, suppliait. Du sang giclait de sa gorge tranchée en cascade, gargouillant des mots de plus en plus incompréhensibles, tandis que les spasmes du corps s'affaiblissaient. D'un rire mauvais, la saloperie rejoignit ses compagnons et, enfilant une dernière rasade de sa flasque élimée, elle abattit un lourd coup imprévisible, inutile, sur le ventre du corps mourant de la jeune fille, lui crevant les entrailles, comme pour un poisson que l'on s'apprête à vider.

Le grognement perdura, encore, un certain moment. Le regard dans le vide, elle accumulait en elle toute l'énergie malsaine de ces deux morts, comme autant de ressourcement brutal, indispensable. Une bulle de vide s'établissait autour d'elle, le temps de quelques minutes... Elle se sentait un peu mieux, provisoirement. D'un coup d'oeil circulaire, elle chercha le Rustre. Un masque glacial plaqué sur le faciès, il ne valait guère mieux qu'elle-même, et un léger sourire carnassier s'empara du visage de la Sauvage, tandis qu'elle dévorait du regard celui qui saurait canaliser tout ce qui restait d'instinct terriblement animal en Mieko. Le souffle court, il était tout à l'action qui l'animait. La Lézarde sourit, d'un fin sourire aussi tendre que criminel, en contemplant celui qui la faisait vibrer autant que les transes durant lesquels elle faisait couler le sang, sans répit.


06-01-2011 15:01 : Vous avez dépouillé un groupe composé de Rana et de Takuta qui possédait 65,69 koban et des objets.
06-01-2011 15:01 : Vous avez fait la peau à un groupe composé de Rana et de Takuta (coefficient de combat 10) qui essayait de vous résister. Vous le laissez pour mort derrière vous, pas vraiment inquiet des conséquences.

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Tout le monde dort
rien entre
la lune et moi
Akire
[La croisée des chemins, où l'on prie pour ne pas avoir à s'arrêter.]

L'énorme index du Rustre était tendu vers les sentiers boueux, en bas, que les brigands dominaient par leur position. Seules quelques touffes d'arbres dissimulaient leurs silhouettes accroupies. Ils s'étaient rassemblés de nuit sur une colline quelconque, lieu qui s'était révélé bien stratégique pour zieuter les passages et effectuer leur sublime besogne... Pas un son n'était venu égayer leur groupe. Ils n'étaient pas là pour taper la discute. Non, ce qui les amenait en cet endroit précis, c'était un irrépressible désir d'asseoir leur autorité sur les chemins à coups de masses et de lames. Le robuste scélérat n'avait donc adressé qu'un geste à ses confrères silencieux, sachant pertinemment qu'ils étaient fin prêts eux aussi et n'attendaient plus que son signal. Ils avaient vu, tout comme lui. Ils avaient vu ce qui se mouvait nonchalamment sous leurs inflexibles attentions. Trois femelles à peine armées. Elles étaient sur leur territoire, et leur appartenaient donc. Tout en se relevant, Akire fit craquer sous son poids les brindilles et branches mortes sur lesquelles il s'était campé, s'emparant du gourdin qu'il avait emporté pour l'occasion.

Un instant plus tard, il dévalait la légère pente en poussant un beuglement éraillé.

Elles réagirent dès qu'elles l'entendirent, se tournant vers le furieux hurlant qui s'approchait à toute vitesse. Leurs manches s'élevèrent, maigres secours contre les raclures qui s'élançaient à sa suite. Lui avait déjà percuté la première femelle, son élan perçant leurs défenses alors qu'il renversait la malheureuse dans une flaque fangeuse. Elle lâcha son arme sous le choc en poussant un cri sourd, tandis qu'une main du salaud lui saisissait la gorge pendant qu'il matraquait ses côtes à coups de massue. Il n'entendait plus les sons familiers du combat qui se déroulait derrière lui. Seul comptait le visage boursouflé de celle qu'il étranglait avec sa poigne puissante, s'agitant faiblement sous son poids, bavant sur ses doigts et griffant ses bras. Il rit de la sentir si vulnérable. Une dernière fois, son arme s'abattit sur elle pour secouer son crâne et elle sombra dans l'inconscience... il se redressa, les muscles bandés sous l'effort, bombant le torse en se retournant vers ceux qui en avaient probablement finis avec leurs victimes.

"
Qu'ils nous craignent, nous leur prendrons tout ! Lézards, nous ne rentrerons pas avant d'avoir soumis une quinzaine d'autres galeux ! "

21-01-2011 15:01 : Vous avez dépouillé un groupe composé de KarlideKuri et de Malloan qui possédait 86,57 koban et des objets.

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