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[RP] « Les Mures… »

--Souffredoul
Souffre éclate de rire.

Du silence de votre part M'zelle Oxy ? C'est comme demander à Vindict de faire un câlin...
J'aime les femmes que voulez-vous, et... parfois... elles me le rendent bien. Mélie c'est pas pareil... Je crois même que parfois elle terroriserait bien un peu la patronne, mais j'en suis pas sûr...


Il aime bien la proximité de la jeune fille, c'est un peu comme avec les petits, c'est ses moments de tendresse à lui, après tout à la caserne, c'était pas vraiment le lieu pour les instants de douceurs, surtout avec la vindicative qui avait une propension à lui hurler dessus.
Il se marre intérieurement en pensant à la facette Connétable de Patt et se dit que si certains savaient comme elle peut être douce, ils penseraient qu'elle a une jumelle.
Mais comme de coutume "Roussette" continue son babillage...


Oui une belle bête que vous avez récupérée là, mais elle me semble un peu craintive, surement des mauvais traitements, faudra être très très patiente, pas comme à votre habitude...

Le soldat sourit pour adoucir ses dires et continue puisque les questions s'enchainent.

Bon... J'vous explique, mais faut suivre car j'aime pas me répéter j'vous préviens.
L'ancienne forge dont le fourneau fonctionne toujours et nous procure de l'eau chaude aux trois pompes à l'intérieur de la maison, ben moi je vis juste au-dessus voyez. Le conduit de cheminée me chauffe la chambre et la pièce de vie. De l'autre côté, y'a la même chose, 'fin pas la forge hein, c'est les écuries, sauf que l'étage est pas aménagé car on a jamais eu à y loger qui que ce soit. Actuellement, les chevaux sont plutôt logés à une température agréable car le gros mur de pierres est bien chaud, il suffira de vous faire deux pièces là-haut, de consolider les planchers, car pour le moment c'est le fourrage d'hiver pour les bêtes qui y est entreposé.
On gardera une partie de l'étage pour ça, mais on refera un autre escalier de l'autre côté, l'écurie est bien plus grande que l'ancienne forge.


Il regarde la p'tite, toujours appuyée contre lui, et attend sa réaction quand un grand "beau gosse" se pointe, semblant à son affaire. Souffre se détend quand il reconnait Boise dans la pénombre de la cour et le salue avec chaleur.

Bien le bonsoir mon gars, alors on vient voir si la petite n'a pas une fois de plus fait des siennes ? J'vous rassure, elle a tué ou blessé personne pour le moment, sauf peut-être une ou deux de mes vertèbres...

Gratifiant le bellâtre d'un sourire en coin, l'estafette de la vindicative trouve décidément cette soirée fort agréable.
Oxyane
Je l'écoutais et hochais la tête. Me renfrognait aussi légèrement :

Bien, je capte. Et franchement, je ne comprends pas, vous me voyez donc tous comme une gamine, bavarde et impatiente incapable de jugeote ou qu'en sais je...? Je ne suis pas que ça...et surtout pas avec les animaux.

Je soupirais quand je vis Boise arriver. A peine celui ci se posa que je sautais dans ses bras pour m'y réfugier. Mon géant comprit. Je m'installais confortablement et demandais a Souffre :

-Pour le coup, je vais encore faire du remue-ménage quoi.
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"Tomber est permis, se relever est ordonné"
Boisedelademada
A peine posé, ma patronne me sauta dessus et posa son regard océan sur moi. Je compris la lueur de ses yeux. Encore...pfff, j'allais encore sans doute devoir la retaper, comme d'habitude, trop fragile sans le montrer cette petite. Je souriais a Souffre et attendis qu'Oxyane finisse pour l'ouvrir :

-Non, je ne fais que mon devoir, elle a besoin de moi, je suis là, même si elle le dit pas. Et je t'avouerai que je préfère garder l'oeil sur elle, après ton dos, pourrait y avoir autre chose.

Je m'étirais, et entourais ma protégée de mes bras.

-Bon, sinon, je pourrais peut-être me rendre utile et aider l'artisan aussi...
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Au service d'une flambée...

"Il y a ma vie, qui désormais joignera la tienne."

"Pile je gagne, face tu perds, avec moi ou Elle ne joue pas, ou la mort sera ton compère"
Luae
Luae allait devoir reprendre le chemin qui menait chez son amie Patt .
Elle était folle, c'était elle qui devait se déplacer pour aller récupérer son bien.
Alors que c'était Patt qui avait commis une faute.

En se trainant jusqu'aux Mures, elle râlait de devoir marcher ainsi dans le froid de l'hiver .

J'espère qu'au moins elle m'offrira un bon lait chaud à mon arrivée.
Elle a intérêt sinon elle va avoir affaire à ma colère .


Elle arrivait enfin en vue de la demeure lorsqu'il commença à floconner.
Elle accéléra le pas avant d'être enseveli sous la neige .

PAATTTTTTTT

Dépêche toi de m'ouvrir, je me les gèle dehors moi . En plus il neige .

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--Melie
[Plusieurs jour plus tard... parce que le temps passe et file vite...]


- Tu veux vraiment qu'on sorte tout ça, mais y'aura plus de place sur la table.
- Ne commence pas à chercher à resquiller jeune fille, le programme de la journée est pourtant clair, cuisine, cuisine, cuisine...
- Humphr !


A part quelques tentatives d'éviter la journée cuisine imposée à la tribu, tout semblait commencer pour le mieux ce jour là, sauf que soudain...

- PAATTTTTTTT

Dépêche toi de m'ouvrir, je me les gèle dehors moi . En plus il neige .

- Bon sang ! Mais c'est qui l’hystérique dehors ???
- C'est Lu...
- Grrrr !!!!


Mélie se précipite dans le vestibule et ouvre la porte en grand, un peu vivement sous l'effet de l'agacement.

- Qu'est-ce qui vous prend Mademoiselle Luae ? Vous avez pris un coup sur la tête à hurler comme ça ou quoi ????

Le regard de la Narbonnaise est peu aimable...
Luae
luae fit un grand sourire à Mélie.

Ne vous ai-je pas déjà dit de m'appeler Luae. Point de mademoiselle ou de madame avec moi .

Est-ce que la maitresse des lieux est présente?? Je venue chercher ma chemise car madame n'a pas voulu me l'emmener en taverne.


Luae resserra son manteau sur elle .
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--Melie
Mélie lève les yeux au ciel et toise la rebelle du coin.

Ça continuera à être Demoiselle Luae, ne vous en déplaise, sinon Patt n'est pas là, mais je vais vous la donner votre chemise, inutile de hurler comme un cochon qu'on égorge !!!

Comment ça elle était encore mal vissée la nounou de la tribu ? Ben y'avait du pain sur la planche pour le repas du lendemain, pas question de se laisser distraire par une hystérique qui était à une chemise près, si encore elle avait été en dentelle, ou brodée... Mais nan, juste un truc en serge sans aucune fioriture tss... Si c'était pas malheureux de faire suer les gens en période de fête pour une chemise même pas jolie...

Mélie, toujours avec son air très aimable, rapporte la chemise lavée et pliée à la revêche de la montage.


Voilà votre chemise Demoiselle braillarde !
Luae
Luae regarda Mélie retourner dans la maison chercher sa chemise puis lui tendit .

Merci à Vous. Mélie .
Vous pourrez dire à Patt que je suis passée la récupérer.
Je vous souhaite de passez de bonnes fêtes .


Luae la salua puis repartie dans la neige comme elle était venue
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Pattricia
Rentrant par porte de l'arrière-cour la rousse arrive dans le vestibule.

- C'était qui ?
- C'était Luae
- Ben elle était pressée ?
- Elle braillait, ça m'a agacée, j'ai abrégé...
- Mais enfin Mélie, elle va pas bien en ce moment, tu débloques ou quoi !!! C'est le réveillon enfin !!!
- Bon alors écoute-moi bien, on a un repas pour je ne sais combien de personne à mettre en route, une veillée avec les enfants à organiser, si tu veux faire portière ou assistante sociale, libre à toi !!!


La brune plante la rousse dans le vestibule et retourne dans la cuisine. Patt regarde Lucie, décontenancée, puis fronce les sourcils.

- Lucie des Mures tu y es pour quelque chose ?
- Mamaaaaan !!!
- Bon d'accord, excuse-moi... Mais elle a quoi ?
- J'l'ai entendue se disputer avec Souffre très tôt ce matin...
- Encore ?
- Vi...


Patt secoue la tête et soupire.

Allez ma fille, il est temps d'aller en cuisine, on en a pour la journée et autant éviter que Mélie se défoule sur nous pendant tout ce temps...

C'est ainsi que la mère et la fille commencèrent une longue journée de préparatifs pour le lendemain avec une Mélie affichant une tête d'enterrement...
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Pout
Après un petit temps passé en taverne avec Patt, il avait eu vent du repas qui allait se faire pour faire une petite fête. Et qu'il allait avoir besoin de que tout le monde y mettent du siens.

Aillant déjà raté la fête pour le retour de Mari il lui fallait faire celle la et mettre les bouchers double.

Il avait passé l'après midi dans sort atelier afin de faire les vêtement qu'on lui avait demandé au plus vite. Mais la soirée allé bientôt commencer il partit donc en direction de chez la rousse pour donné un petit coup de main. Il finirai après son travail.

Il arriva d'un pas rapide car le froid de la soirée commencé à se faire ressentir. Puis arriva enfin devant la maison il frappa à la porte puis cria pour être sur de se faire entendre:

Patt, tu es la??
--Souffredoul
Il était pas dans un bon jour le vieux soldat, la Narbonnaise et lui s'étaient pris le bec en raison de sa réputation qui commençait à transpirer jusqu'aux Mures. Il ne la comprenait pas, fichue jeune femme belle comme le jour à vous retourner le sang et qui vous descend le moral en flèche d'un seul regard... Souffre était mordu de la jolie brune, mais celle-ci semblait faite d'un moule qui ne prêtait pas au marivaudage et ça le rendait malade. Et pour finir de le rendre fou, elle lui menait la vie dure à chaque fois qu'il allait prendre du bon temps au village, allez comprendre...

Toujours est-il qu'aux Mures, contrairement au jour de liesse que cela aurait dû être, les humeurs n'étaient pas au beau fixe. L'ancien soldat était sur les marches du perron quand un jeune homme qu'il avait déjà croisé dans les ruelles du village se pointe, surement un peu myope et appelle la rousse.


Bonjour jeune Messire, je suis Souffredoul, l'homme de confiance de Dame Patt, vous venez pour aider à préparer le repas pour demain midi c'est ça ?

Laissant de côté ses soucis personnel, l'homme dans la force de l'âge fait contre mauvaise fortune bon cœur et sourit au nouveau venu.
Oxyane
Boise était parti. Je lui avait laissée des jours de congés, et j'avais du batailler pour qu'il parte un peu loin de moi. Sans nouvelles, je m'étais éveillée dans ma cave avec l'esprit peu joyeux en ce jour de noel. Voilà pas que le garnemement me manquait. Ca allait pas être possible..me manquer... Puis, j'avais sellée Milo, pris les cadeaux des jeunes et de souffre et galopais jusqu'au mures. Arrivée a vue de la maison, je m'arrêtais et regardais la demeure de la tribu. J'avais encore eu ce comportement infantile et enteté qui me caractérisait. Je soupirais. De toute façon, un monstre bai sur la neige blanche, ma monture devait se voir a mille lieux d'ici. Et Nox était déjà parti en courant voir Souffre. Je soupirais et laissais Milo avancer de son pas tranquille, glissais de son dos, et vis un homme déjà présent. Un salut bref. Je m'avançais jusque Souffre, l'étreint, lui fit une bise et lui donna son cadeau : des gants d'hivers, de l'alcool, évidemment, et une cape avec un capuchon en fourrure. Il avait l'air mal luné.
-Joyeux Noel Souffre !! Qu'est ce qui t'arrive, t'as pas vu le père noel ou quoi ?
Ils sont occupés, je repasse plus tard, ou...?

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"Tomber est permis, se relever est ordonné"
Pout
Peu de temps après s'être manifesté à la porte, un homme lui ouvrit.

Enchanté Souffre, je suis Pout. Effectivement je suis venu afin d'aider pour le repas. J'espère que je n'arrive pas trop tard.


Pout enleva la neige qu'il avais sur son manteau avant que celle ci ne fonde. Quand une femme arriva dans son dos. Elle avait l'air de connaitre l'homme qui lui avait ouvert et lui donna un présent. Mais qui était cette femme?
--Souffredoul
Ah ben voilà la gamine qui rapplique... Il sourit, ému, lorsqu'elle lui remet ses cadeaux pour la Noël et secoue la tête.

Fallait pas, j'ai pas fini les travaux encore pour votre chambre Demoiselle Oxyane...

Puis montrant le jeune homme d'un grand geste du bras.

Je vous présente Messire Pout, un ami tisserand de votre marraine. Messire Pout, je vous présente Demoiselle Oxyane, filleule flamboyante de Dame Patt...

Vous êtes tous les deux attendus en cuisine, y'a du boulot, tardez pas trop, la cuisine bourdonne déjà !!!


Souffre n'avait pas l'intention de répondre à Oxy à propos de son humeur, c'était déjà assez compliqué comme ça et il était pas du genre à s’épancher de toute manière...
Oxyane
Je fixai l'homme...j'aimais pas qu'on me regarde comme ça. Cependant, je fis un effort pour paraitre courtoise.

B'jour. Ouai, je suis Oxyane...ou Oxy faut voir.

Je regardais Souffre.

A quelle heure je dois pas ? Je fais comme bon me semble non...Si j'ai envie d'offrir des cadeaux aux gens que j'aime, je le fais. Je t'aime beaucoup, tu as tes cadeaux. Et réponds pas a mes questions, je suis blonde aussi.

D'humeur reveche la rouquine ? Non, pire : Boise me manquait, Lovenio plus encore si c'était possible. Bref, j'avais vécue de meilleures fêtes. Je lui déposais un dernier bisous sur la joue et entrais après l'homme. Je bisouillais Pat et déposais discretement les cadeaux des enfants près de la cheminée :

Pour chacun, un paquet de bonbons. Mademoiselle m'avait fait peur quand meme, avec ses airs de princesse et tout le toutim, et j'avais eu un moment l'idée de lui offrir un balai et des chiffons. Mais non, je lui avais offert une magnifique plume a écrire, et des beaux parchemins. Avec l'aiglon, tout completait, et je comptais bien veiller la jeune princesse et ses fréquentations masculines.
Cantor, petit guerrier, adorable, j'aurais pu lui offrir un portrait de Pat que sans doute il aurait été ravi, mais un bouclier adapté a sa taille me paraissait pas mal pour le guerrier de la maison. Et il y avait celui qui m'interessait le plus...Floris. Simaon m'avait dégoté un objet fort étrange, qui permettait de voir les étoiles d'un peu plus près. Et j'avais pensée a monsieur l'ourson. Mais j'avais surlevé son cadeau pour que les jeunots n'y touche pas : une épée, fine, légère. Et une cape chaude.
La distribution terminée, je m'en allais aussi discretement et retrouvais la famille. Je toussotais :

Euh, bonsoir, tout le monde...
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"Tomber est permis, se relever est ordonné"
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