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[RP] « Les Mures… »

--Souffredoul
Il était pas du genre à se laisser intimider par la mioche, et encore moins à répondre quand elle grogne qu'il ne réponde pas à ses questions, il est pas d'humeur, point ! Pendant que la rousse grommelante rentre dans la maison et, tiens tiens, tourne à gauche, Souffre indique à Pout le chemin de la cuisine, c'est-à-dire à droite, l'avait pas de cadeaux à planquer lui au moins...

Impassible, une fois le jeune homme disparu dans le vestibule, le soldat reste dehors, plutôt n'importe quoi que de faire face à Mélie une fois de plus aujourd'hui...
Pattricia
Avec Lucie, elles ne pipaient mots, se contentant de demander des instructions quand une première tâche était terminée. Floris et Cantor avaient rappliqué quand leur sœur était allée les chercher à l'écurie où ils s'occupaient des bêtes, mais leur retour avait été rapide et Patt n'avait pas osé aborder Mélie, enfin elle avait surtout pas encore trouvé le bon angle...

Quand elle avait entendu des échos de conversations à l'extérieur, elle s'était même abstenue d'aller voir, laissant Souffre faire l'accueil. Les garçons commençaient à avoir des regards complices et ça sentait le chahut en préparation, comme ils étaient en train de verser de la farine dans un récipient à la demande de Mélie, la rousse commence à se crisper. C'est alors que Roussette fait son entrée...


Bonjour toi !
Tu tombes à pique, nous avons les treize desserts provençaux à cuisiner, tu nous aides ?

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Oxyane
Mélie était là...j'avais oubliée ses cadeaux. Je m'inclinais devant elle, puis me relevais pour sortir une excuse :

J'ai oubliée des affaires pour Milo, dans ma cave, je reviens...

Je sortis en courant, refis un bisous a Souffre qui était posé dehors, sautais sur Milo, le lançait au galop, rentrais en ville, allait a ma cave, prit les tisanes et les herbes parfumés pour Mélie, ainsi que des savons a la framboise, puisque j'adorais la framboise, refermait ma porte, remontais sur Milo, retournais aux mures, refit un quatrième ou cinquième bisous a Souffre qui devait se demander, mis les cadeaux de Mélie avec les autres, et revint près de la tribu, rouge, tentant un air naturel :

Bien sur que je vous aides, je fais quoi ?
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"Tomber est permis, se relever est ordonné"
--_lucie
C'était bizarre l'ambiance... C'est qu'elle attendait tata Mari et surtout Zéline la Lucie. Y'avait eu la dispute, puis les membres de la tribu éparpillés un peu partout comme par enchantement et la petite s'était retrouvée seule avec une Mélie toute renfrognée. Elle lui avait fait un câlin car, sauf quand l'un d'eux faisaient une bêtise, jamais Mélie n'était comme ça. Elle n'était qu'amour et compréhension, surtout par rapport à Maman et toutes ses règles... Mais, au bout d'une heure à l'aider en cuisine, la petite commençait à rechigner et sa nounou d'amour l'avait rabrouée.

Ensuite il y avait eu la scène avec Lu et la fin de non recevoir adressée à Maman... Lucie ne comprenait pas ce qui se passait, mais jamais elle n'avait vu Mélie ainsi. Alors quand la mère et la fille avaient rejoint la Narbonnaise dans la cuisine pour l'aider à préparer, la petite fille était restée collée à sa mère, lui jetant des regards un peu perdus de temps à autres.

Ses frères, eux par contre, avaient une propension à ne rien remarquer et à de toutes manières préparer des mauvais coups. Bon d'accord, elle aussi en général, mais pas cette fois. C'est avec un sourire qu'elle accueille donc l'arrivée, puis le départ et le retour de la filleule de Maman, Oxyane...


J'crois que mes frères s'en sortent pas avec la farine tata Oxy... Oups ! Je peux t'appeler tata Oxy dit ?

La petite se demandait soudain si elle n'avait pas fait une gaffe...
Pout
Oxyane avait prit une bonne avance, elle connaissait bien les lieux cela se voyait. Souffre lui avait montré la direction a prendre mais resta dehors avec une mine plutôt triste.

Merci beaucoup Messire Souffre et peu être a tout à l'heure.

Donc fallait prendre a droite et normalement je devrai pas me perdre. Les bruits de la cuisine se faisaient entendre donc la direction était bien la bonne. Quand Pout arriva enfin à la cuisine, il n'y avait que des femmes pour le moment.

Il parait qu'il faut des bras donc je suis la comme promis.


Pout n'avait pas l'habitude de cuisiné avec du monde, mais cela pouvait être bien plus sympathique que prévu.
Mariceleste
Elle se rendit chez Patt accompagné de Zeline, Mariette et Froissard et plein de bonne chose pour le repas traditionnelle de Noël, Ils traverse la court et alla a l'arrière cuisine en croisant Souffre.

- Bonjour Souffre, comment allez ?
- Hoo bonjour m'dame Mari, quelle plaisir de vous voir parmi nous, j'en connais une qui vas sauter de joie. Bonjour Froissard et Zeline j'suis content que vous soyez venue.
- Merci Souffre, moi aussi ça me fait plaisir d'être parmi vous, ils sont tous en cuisine je suppose ? j'vais les rejoindre ne vous déranger pas je connais le chemin.
- Dite patronne j'vais rester avec Souffre, j'l'aiderai a ces taches.
- Mouai j'vais vous croire ! j'suis pas idiote heinnn ! Petit sourire en coin...Mais profitais en vous avez raison.

Continue jusqu'à l'arrière cuisine , ouvre doucement la porte pour les surprendre, mais avec tout le raffus qu'ils faisait elle n'aurait pas était entendu si elle avait fait du bruit en entrant passe la tête et cris.

- YOUUHOUUU C'EST MOI J'SUIS REVENUE !!
Puis entre comme une tornade...........

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Oxyane
Tata Oxy...Tata Oxy...je venais prendre 30 hivers dans les dents, et ça faisait très étrange. Je souriais a la princesse :

Bien sur, tu m'appelle comme bon te semble.

Je m'approchais des deux "hommes", posais un bisous sur le front de Cantor et lui ébouriffais les cheveux et saluais Floris en lui faisant une simple bise sur la joue. Voulait pas trop faire peur.

Bon, champions, je fais quoi pour vous ? paraitrait que vous avez quelques soucis au niveau de la farine.

Mari entra, je la saluais de la main en souriant.

Bonjour Mari !

Puis me retournais vers les jeunots, à l'écoute.
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"Tomber est permis, se relever est ordonné"
--Melie
Elle s'en voulait tellement...
Elle savait qu'elle se comportait mal, mais elle n'arrivait pas à se contrôler, tout était chamboulé dans sa tête. Que lui arrivait-il ? Pourquoi cette envie d'étrangler tout le monde, de... pleurer ? Oui c'était ça en fait, elle avait envie de pleurer et elle ne savait même pas pourquoi...

Mélie faisait de son mieux pour reprendre le dessus, mais elle était plutôt entière, comme le reste de la tribu, alors essayer d'avoir un air neutre alors qu'à l'intérieur c'est la tempête, elle manquait d'entrainement, forcément...

Néanmoins tout le monde arrive, et petit à petit la Narbonnaise se détend, laissant même parfois le sourire prendre le dessus. Elle arrive même à accueillir chacun avec un petit mot gentil, commençant à répartir les tâches...
Boisedelademada
Des jours de congés...cadeau de noel. Je lui en foutrais moi. J'étais revenue a Sarlat rapidement, et j'avais atterri chez sa marraine. Souffre était là. Avec sa tête de mauvais jours. Encore Mélie, sans nul doute. Je lui serrais la main, et après avoir papoter avec lui, j'entrais dans la maison, entendis des voix dans la cuisine, et me posais contre le mur, tandis que ma maitresse me tournait le dos, semblant ne pas s'etre rendue compte que j'étais là.Je m'inclinais devant Pat et l'assemblée et toussotais.

-Vous...à la cuisine...j'aurais vraiment tout vu.
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Au service d'une flambée...

"Il y a ma vie, qui désormais joignera la tienne."

"Pile je gagne, face tu perds, avec moi ou Elle ne joue pas, ou la mort sera ton compère"
Oxyane
Je cuisinais avec les deux hommes, après avoir posé une bise a Mélie qui semblait dans ses pensées. Une voix. La sienne, qui me manquait depuis des jours. Je me retournais, poussais un cri, et sautais dans les bras de mon géant. Je lui fis sans doute trente bisous. Il riait de son rire grave, et nous allions tout les deux dehors, moi dans ses bras, heureuse comme une gosse.

-Z'avez l'air d'avoir le moral.
-Maintenant, oui. Tu me manquais...mais un tout petit peu hein...

Il souriait puis me posa à terre. Je continais.

-En plus, j'avais hâte que tu reviennes. Maintenant que tu es là, nous pouvons partir.
-Partir...? Où, et pourquoi ?
-Je m'ennuie. Et nous allons sur les routes, pour Paris, précisement.
-Pat et Lovenio ?
-Pat est assez grande et vit très bien sans moi. Je la retrouverais vite. Quand a Lovenio...

J'haussais les épaules. Il ne pipa mot, et partis préparer Milo. Je rentrais dans la cuisine à nouveau :

-Les jeunes, semblerait qu'il y ai des colis pour vous près de la cheminée.

Puis je me tournais vers ma marraine, et me réfugiais dans ses bras. Je ne pus que chuchoter :

-J'y vais...
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"Tomber est permis, se relever est ordonné"
Pattricia
Après avoir fait une séance de bisouille à chaque arrivant, la rousse jette un regard noir aux frangins qui laissent prudemment le pôle farine à la Roussette. Patt est un peu perdue au milieu de tout ce monde et laisse Mélie distribuer les rôles (choisissez ce que vous voulez ^^) le seul truc qui apporte une ombre au tableau, c'est le départ d'Oxy pour de nouvelles aventures.

Quand la gamine vient se blottir dans ses bras, elle ne peut que la serrer fort et grogner quelques conseils de prudence. Évidemment, elle ne les suivrait pas, mais ça donnait l'impression à la rousse de veiller quand même un peu sur elle... à distance... Elle l'embrasse, lui fourre dans sa besace de quoi se nourrir correctement, bref est juste pénible comme une mère juive...


Je veux des nouvelles où ça se passera très mal pour toi tu es prévenue !!!
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Oxyane
Pleure pas, pleure pas, et pleure pas. Bon dieu, me séparer de ma marraine devenait invivable, c'était quand meme pas possible. Une dernière étreinte après lui avoir promis des nouvelles, je bisouillais Mélie, les enfants, Mari, et sortis. J'étreignis Souffre longuement, lui fit un bisous, et rejoins Milo, Nox et Boise. Les yeux déjà baignés de larmes.

-Vous êtes sûre que...
-La ferme ! Et en route.
-Bien, comme il vous plaira...

Il me prit dans ses bras, essuya mes larmes, grimpa sur Milo et me tendis une main que je pris, et vint derrière lui. Les vivres de Pat, mes armes, mon chien, mon cheval, Boise et Moi. Et que vogue la galère. Sans un regards derrière, nous partimes au trot, dans la nuit noire...sur les routes.
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"Tomber est permis, se relever est ordonné"
Pattricia
[Dix jours plus tard...]

Les fêtes, que ce soit aux Mures, ou encore aux Glycines, s’étaient passées dans la joie et la bonne humeur. Chacun avait mis la main à la pâte et les 25 décembre et 1er janvier, de cette nouvelle année 1461, avaient raisonné des rires et des chants des convives présents. La Rousse avait bien effectué une échappée, en soirée, pour aller s’enivrer au lac en solitaire, personne ne l’avait remarquée, ce qui n’était pas plus mal vu son état au retour… La vindicative vivait assez mal la séparation forcée qu’ils subissaient elle et son fiancé, d’autant plus qu’elle attendait qu’il puisse se libérer et les rejoindre à Paris, afin de l’annoncer officiellement aux enfants.

Les difficultés rencontrées avec Floris étaient la raison principale de ce report d’officialisation et la jeune femme accusait le coup comme elle pouvait, c’est-à-dire de travers... Depuis les dernières péripéties Floresques, Patt était en mode « folle de rage on ! », ni les tentatives pour la raisonner de Mélie, ni les interventions de part et d’autre, n’avaient pu calmer sa colère. Jamais encore Floris n’avait vu sa mère ainsi et le petit garçon ne savait plus comme faire pour se faire pardonner. La rousse parlait même de trouver un établissement où la discipline régnait en maitre et qui ne pourrait qu’aider le jeune rebelle à rentrer dans les rangs, et surtout retrouver la sagesse dont il avait toujours fait preuve jusqu’à présent, par rapport à son frère et à sa sœur.

Depuis, l’ambiance au sein de la tribu était des plus mauvaises. Quand ce fils en qui elle avait une totale confiance l’avait trahie, la Sarladaise avait piqué une colère digne de celles des Dieux. Aucun argument, aucune intervention, n’avait trouvé grâce à ses yeux et Floris avait commencé à avoir sérieusement peur de la furie qu’il avait devant lui. Mais cela ne pouvait en rester là, évidemment le reste de la fratrie avait tenté une montée au créneau qui s’était terminée par une fin de non recevoir. Depuis, on en était à la limite des tranchées, et au milieu de tout ça, Souffre et Mélie faisaient de leur mieux pour éviter que le bateau sombre…

_________________
--Floris
[Bien des semaines passent et les cata continuent...]


On ne peut pas dire que l'ambiance aux Mures avaient empiré, c'était juste... glacial, hivernal.. létal... Entre les histoires du Louvre, les crises sudistes, la séparation d'avec l'ours qui n'en finissait pas, les enfants qui rasaient les murs devant le regard devenu vide de leur mère, chaque habitant suffoquait, manquait d'air, se sentait oppressé.

Un messager était arrivé un matin pour Patt et depuis, tout n'était que silence, même Mélie et Souffre chuchotaient dans leur coin, interrompant leurs messes basses dès que l'un des mômes entrait dans la pièce. La fratrie avait bien tenté d'écouter aux portes, de surprendre une conversation des gardes, mais rien, ils savaient qu'un truc terrible était arrivé, que leur mère accusait mal le coup, mais impossible de savoir quoi.

Pourtant des nouvelles de l'ours arrivaient régulièrement, donc ils en avaient déduit que ça n'était pas ça, mais pas moyen de découvrir le fin mot de l'histoire. C'était d'autant plus vexant, que les frères et la sœur faisait leur possible pour qu'on les prenne désormais pour des enfants responsables qui avaient grandi et qui ne feraient plus de bêtises aussi grosses que la dernière de Floris par exemple.

Le petit garçon avait évité de justesse " l'incarcération " chez les frères de Cadouin, pire même, dans un monastère tenu par le Grand Prieur qui avait vendu l'hôtel particulier de Paris à Patt. Son allure squelettique faisait frémir les enfants quand ils l'apercevaient en conversation avec leur mère, ou encore Mélie, dans la cour de leur résidence parisienne.

Les frêles épaules de ce frère si perspicace d'ordinaire souffraient de ne plus sentir le poids de la confiance maternelle. Un truc s'était brisé quand il avait piqué sa crise parisienne, et même si les sanctions avaient fini par s'arrêter, Floris sentait bien que ses rapports avec la rousse n'étaient plus les mêmes. Elle ne lui avait pas dit, mais il avait deviné qu'il avait montré un visage qui avait rappelé de mauvais souvenirs à la môme au loup et cela avait porté un coup salutaire au petit garçon qui avait changé son comportement du tout au tout. Cet homme dont il ne savait pas le nom, qui était son géniteur, avait dû montrer à un moment le même visage et sa mère en avait sans doute souffert. Trahir la confiance de la vindicative avait toujours un prix...

Alors quand ce matin là, entre chien et loup, il surprend un peu de bruit venant du vestibule, il s'habille en silence et guette à la fenêtre de leur chambre traversante. Le bruit de la porte d'entrée se fait entendre, et les yeux si clairs voient la silhouette à la longue chevelure rousse prendre le chemin du lac. Il file sur la pointe des pieds hors de la chambre pour ne pas réveiller son frère et sa soeur, descend l'escalier avec la même discrétion, enfile des bottes fourrées et s'enveloppe dans son manteau en mouton. Une fois à l'extérieur, il suit le même chemin que sa mère, sans se presser, il savait par habitude où elle se rendait. Cette fois ils allaient parler, "que Maman le veuille ou pas !"
Ugo_
D 'un pas mal assuré Zéline se demandait si elle ne s 'était pas trompé de maison. La main tendue, sur la pointe de ses pieds, elle tira sur la chaînette de la cloche pour annoncer sa présence. Patiente les mains dans les poches, elle attendit qu'une personne lui ouvre la porte.
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