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[RP] « Les Mures… »

Pattricia
Alors que le convoi des futurs époux, enfin entrés ensemble à Sarlat, arrivait près des Mures, la rousse repère une silhouette bien connue.

Mon amour tu vas être content, je crois bien que Zeline attend à la porte, tu crois qu'elle savait que tu arrivais ?

Patt saute de sa monture s'approche de sa nièce d'amour, et s'accroupie devant elle.

Bonjour jeune fille, vous cherchez quelqu'un ?

La Sarladaise s'empresse de sourire pour pas que la petite se mette à croire que soudain elle la snobe.
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Argawaen
Le couple était enfin arrivé à Sarlat, plus précisément aux mûres.
Le vieil homme essayait d'analyser l'endroit, seul son homme de main l'avit vu, et lui, il découvrait...
Quelque part cet endroit lui rappelait des mauvais souvenirs, enfin, un certain passage qui ne fut pas des plus joyeux. Mais la page était tournée et il fallait faire comme ci de rien était.


Aucune idée, je lui manquais tant que ça ?

Puis il descendit de sa monture à son tour et resta en arrière, il avait hâte de voir comment allait réagir la petite Zeline...
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Ugo_
Cela faisait une éternité qu 'elle attendait le retour du couple, les voyant arriver au loin elle commença à sautiller sur place, puis à frapper dans se mains lors de leur approche.

- Hééééé.....ohhhhhhhh....J'suis là moi, heureuse de vous revoir !!!!

Sans plus attendre elle se jette dans les bras de Patt, puis l 'embrasse fortement en la serrant contre elle, puis le tour d' Arga, elle l 'enserre dans ses bras de mioche et le baise sur les joues sans prendre le temps de respirer.

Bien entendu arriva ce qu 'il devait arriver, rouge écarlate au bord de l 'étouffement, elle inspira pour ne pas finir évanouie, à se faire éventer par un ours.


- J 'suis heureuse d'pouvoir vous embrasser avant l' départ, car mère l 'est fatiguée, elle doit aller se reposer loin d 'ici !!!


D 'un air affirmatif elle montre le nord de son doigt.

- On va là bas chez les Normands, il paraît qu 'ils boivent plein de calva frelatré, huMMMMM......j'vais en boire plein moi , comme l'grands !
Argawaen
Tel un père retrouvant sa fille le vieil homme la serra contre lui et souriait en sentant les baisers de la mini rouquine.
Argawaen fit une légère en l'entendant dire que Mari et elle allaient partir. Il était cependant heureux de savoir qu'elle était venue les voir avant leur départ.


Ne bois pas trop Zeline, après on se met à chanter, à faire n'importe quoi et le pire... Ce sont les jeux de mots...

Il souriait doucement avant de venir glisser sa main dans celle de Patt.
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Pattricia
La petite les avait quittés sur le pas de la porte afin de rejoindre sa mère et les grands préparatifs du départ. Patt n'est pas inquiète, elle sait qu'il reverront les rouquines en taverne afin de se dire au revoir, de se souhaiter bon voyage et bonne installation, mais le plus "difficile" restait à faire, la confrontation finale.

Pas qu'elle soit inquiète, la dernière conversation avec son fils l'avait rassurée, et avait remis les choses à leur place. Les enfants s'étaient fait une raison, les péripéties parisiennes ou encore de Cosnac étaient derrière eux, c'est donc confiante quelle serre la main de l'homme qu'elle aime, pousse la grande porte d'entrée et pénètre dans le vestibule.


Youhouuuuu !!!!
Nous sommes là !!!!


Remue ménage, chuchotements, cavalcades dans les escaliers, Cantor et Lucie essoufflés, un air coupable plaqué sur leur frimousses, Mélie qui arrive du fond du couloir, échevelée et essoufflée, la mine gênée. La chef de la tribu fronce les sourcils, il est évident qu'il se passe quelque chose...

Bonjour mes amours !!!

Les enfants se précipitent dans ses bras, la mère et la fratrie présente se câlinent, se bisouillent et se serrent fort. Très vite Patt pousse le frère et la soeur en direction de l'ours et les jades se plantent sur Mélie, les sourcils à nouveau froncés.

- Où est Floris ?
- Heu... on vous attendait pas si tôt...
- Mélie !!!
- Il est parti au bal alors que Mélie nous l'avait interdit !!!
Pourquoi lui il y est et pas nous hein ?

- C'est quoi cette conn... aheum... cette histoire ???
- Peuh ! Il s'est amouraché de quelqu'un ! Et il a appris qu'elle serait au bal.
- Ah ? Et qui ça ?
- Tu vas pas le croire...
- Dit toujours !
- Eni...
- Ma filleule ?????
- Oui... Il a échappé à ma vigilance, je suis désolée...
- Humphr !
Cette fois s'en est trop !
- Souffre va aller le chercher si tu veux.
- Non non, nous devons justement y aller avec Argawaen. Tu veux bien m'aider à préparer un bain s'il te plait ? Nous allons nous faire beaux, et après je l'étrangle en public !
- Patt attend... il est juste amoureux... si il est comme son p... aheum... 'fin tu sais bien... le contrôle de soit c'est pas toujours inné...


Mais déjà la rousse récupère Lucie et Cantor afin de les entrainer dans la cuisine.

Pendant que l'eau du bain chauffe, nous allons manger tous ensemble, mais déjà on se lave les mains hop hop hop !!!

La vindicative regarde son homme et s'approche de lui, le temps que les gamins s'activent, et se pend à son cou.

Je crois que la soirée calme, en amoureux, blottis sous la courtepointe, c'est pas encore pour aujourd'hui mon amour...
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Argawaen
Tel un ouragan les enfants de la vindicative arrivaient en trombe afin de se jeter dans ses bras. Souriant en voyant la scène le Dehuit de Malemort les laissaient se retrouver et son sourire s'agrandissait lorsque sa douce poussa gentiment ses enfants en sa direction.
L'homme se mit à leur hauteur et les embrassa avec toute l'affection possible. Après tout, il était père, et le fait d'être si loin de ses enfants pouvait l'affecter parfois.

Sans s'en rendre compte il avait serré Cantor et Lucie dans ses bras, toussotant il les libéra et se redressa.


Pardon les enfants... L'émotion...

Admirant sa rousse discuter avec Mélie, donner des ordres à ses enfants il ne peut s'empêcher de rire doucement. Cela ne rigolait pas avec la vindicative... En parlant de rousse, voilà qu'elle venait se pendre à son cou, machinalement ses bras vinrent s'enrouler autour de sa taille et son regard vint rencontrer le sien.

Je ferais montre de patience ma bien aimée...
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Pattricia
Rassurée par son regard, et le ton de sa voix, elle lui prend la main avec un petit sourire malicieux et l'entraine sur la gauche, à l'opposé de la cuisine. Elle lui présente le salon, avec ce que nous appellerions de nos jours un canapé entouré de deux guéridons chargés de bouteilles d'alcool, de verres et de candélabres, le tout collé sur le mur opposé à la cheminée, du côté de cette dernière justement, les deux grands fauteuils de velours et de soie, couleur framboise écrasée, elle s'arrête un temps et le regarde.

Ces deux fauteuils ont une histoires, ils appartenaient aux Poneys Roses, lors de leur première campagne pour les Comtales, ils étaient sur leur estrade. Un jour, Bryn m'a chicanée sur une broutille et je me suis vengée en leur piquant ces deux là. Ils sont beaux, confortables, bien larges et de très bonne facture, évidemment la couleur peut surprendre, mais j'adore m'y blottir.

Au fond de la pièce, juste devant deux grandes ouvertures donnant sur le jardin, se trouve une grande table, moins massive que celle de la cuisine, un peu plus travaillée, et entourée de nombreuses chaises.
Et de chaque côté de la cheminée, se trouvent deux portes.


La porte côté chemin donne sur une chambre d'ami, et celle côté jardin est celle de notre chambre, tu verras, pour une demeure à peine bourgeoise, elle est assez vaste et a son propre cabinet de toilette.

Elle fait un peu la visite guidée, mais ça lui laisse le temps de calmer sa colère contre Mélie et Souffre, et en même temps leur permet de voler un peu de temps à cette maisonnée chronophage.

Viens...

Elle l’entraîne dans la pièce qui allait abriter leur intimité à tous les deux désormais et referme la porte derrière eux.

Il y a néanmoins un péage pour avoir droit de résidence dans ma tanière, un baiser... au moins...

La bouche sourit, mais les jades eux sont fiévreux et impatients...
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Argawaen
Lentement l'homme se laissait entraîner par la maîtresse des lieux, elle se faisait une joie de lui faire visiter les mûres, et il n'en était que plus rassuré.
Le Dehuit de Malemort avait tout quitté pour elle, le Limousin, ce Comté qui l'avait accueilli, rejeté, puis une nouvelle confiance était revenue...
C'était sans peine qu'il avait quitté Ventadour, ce qui avait été le plus difficile, c'est qu'il ne savait pas ce qui l'attendrait à Sarlat, il avait été déçu au départ, mais il commençait à y prendre goût. Bien que le fait de devenir sédentaire ne lui plaisait pas trop il aspirait à un peu plus de tranquillité.

Découvrant avec soin les pièces présentées par sa belle le vieil homme ne put que rester admiratif.
Argawaen resta un instant le regard fixe sur les fauteuils et souriait en coin, cela lui rappelait sa rencontre avec la Baronne, une poney rose elle aussi, heureusement qu'elle avait été là durant son petit séjour dans le nord, les journées étaient bien plus amusantes. Surtout lorsqu'il s'agissait de défendre la prune pour lui, et la poire pour elle.

La visite se poursuivait, il savourait la moindre chose, il était chez lui... Du moins ils étaient chez eux... Un parcours immense avait été fait avant d'en arriver enfin à ce stade. Cela valait le coup d'être patient, même si cela n'a pas toujours été facile.
Puis vint enfin la visite de la pièce la plus intéressante, la pièce conjugale. Souriant en entendant le chantage de sa rousse le Dehuit de Malemort ne se fit pas prier.

Lentement ses doigts vinrent glisser le long de ses joues, son regard se faisait intense, ses mains se posèrent enfin complètement sur la peau de la vindicative et ses lèvres se posèrent sur les siennes dans un baiser des plus tendre...


Je t'aime...
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Pattricia
Leurs regards... c'est fou comme le silence peut être bavard parfois, comme les corps savent mieux que tous les poèmes d'amour transmettre ce que les coeurs ressentent. Les iris bleus et verts se noient l'un l'autre, et les mains de son homme se posent enfin sur sa peau. Le frisson qui la parcourt, ses lèvres qui se posent sur les siennes, leurs coeurs battant au diapason, tout est dans ces multiple langages... Le baiser est tendre, complice, comme accompli. Elle a bien envie d'oublier son fils fugueur, le repas, le bal, d'envoyer paître tout ce qui s'est mis jusqu'à maintenant entre eux. "Qu'ils aillent tous au Diable !" Elle prolonge l'union de leurs lèvres, glissant ses bras autour de son cou, haussée sur la pointe des pieds. Elle sait qu'elle va devoir arrêter ce qui se dessine petit à petit "oui mais pas tout de suite !" Et puis sa voix chaude, le trouble qui l'étreint, et la sienne propre, légèrement étranglée par l'émotion

Idem...

Elle ne peut s'empêcher de le taquiner à ce moment là, c'est ainsi, tout est bien trop fort, et elle ne peut se laisser emporter, devant être raisonnable pour deux.
Et le sourire qu'elle lui adresse est charmeur et taquin.

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Argawaen
Etre raisonnable, comment l'être alors que cela fait une éternité qu'il attendait cela ? Le vieil homme était tout autre lorsqu'il était auprès d'elle.
Argawaen la regardait, souriant également, il savait que elle aussi ressentait un certain besoin, mais il fallait d'abord penser aux enfants.

Le Dehuit de Malemort glissait ses mains dans les siennes et la garda contre lui, il voulait profiter de son contact encore un peu.
L'homme lentement se détacha d'elle et prit le soin de laisser une main frôler son ventre avant de se diriger vers la sortie.


Alors ? Tu viens ?
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Pattricia
"Humprh ! C'est lui qui est sage maintenant pfff !" Bahh voui, comme toute rousse au caractère bien trempé, Patt n'aimait pas se faire couper l'herbe sous le pied, mais le visage blotti au creux de son épaule, les yeux clos, le respirant comme on retrouve petit à petit l'air qui vous a manqué, elle savoure encore un peu "oui juste un peu encore..." ce moment d'intimité si simple, se passant d'explications ou de commentaires.

Oui tu as raison, je dois torturer un enfant ce soir, je dois me préparer... On le trempe dans l'huile bouillante ou je le découpe pour le donner à manger aux cochons ?

"Ou alors je vais te ramener à coups de bottes dans le popotin Floris La Canéda, foi de vindicative !" Elle embrasse une dernière fois l'ours, et le suit puisqu'il avait décidé de prendre la tête des opérations.

Loin du regard du maisonnée habituée à un certain mode de vie, ici aux Mures, nous mangeons tous ensemble à la cuisine, mais avant tu te laveras les mains !

Après un dernier sourire ravageur, elle attend sagement qui continue son rôle de guide improvisé.
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Argawaen
Voilà des questions fortes intéressantes, mais n'étant pas le père des enfants il ne pouvait prendre une telle décision. Et puis il connaissait à peine les enfants de Patt, il serait malvenu qu'il décide sur tel ou tel châtiment.

Je te laisse trouver ma douce, je ne doute pas de ton imagination.

Souriant en coin le vieil homme attendit qu'elle sorte afin de la suivre et de nouveau lui passer devant.
En tout bien tout honneur sa main se laissait glisser sur le postérieur de la rousse et comme ci de rien était prit la direction des cuisines.

Essayant de se souvenir du chemin le Dehuit de Malemort parvenait malgré tout à les emmener à bon port.
Il se rendit près d'une bassine d'eau et se lava les mains avec soins, quand la maîtresse des lieux parle, il faut obéir ! Enfin pas tout le temps...


Cela te conviens chère fiancée ? Mes mains sont-elles assez propres ? Dit-il en lui agitant devant le nez.

J'ai faim...
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Pattricia
C'est donc la main de l'ours sur son popotin que la rousse traverse le salon, heureusement vide, finissant par retirer ce truc baladeur plein de doigts de là où il se trouve, c'est le visage innocent, mais à nouveau fermé, qu'elle entre dans la cuisine. Tout le monde est déjà à sa place, c'est que lorsque la vindicative est en mode "chieuse on" on ne discute pas dans la tribu.

Elle va se laver les mains en même temps que son futur mari, lui jetant un regard amusé devant ses facéties et lui montre la place restée vide à l'autre bout de la table.


C'est là désormais que tu auras tes couverts de mis. Figure-toi qu'ici nous mangeons avec fourche et cuillère, tu es tombé dans un endroit civilisé, tu en as de la chance n'est-ce pas.

Elle n'attend pas de réponse, elle s'assied en face de lui, ravie à l'avance de se douter de sa déconvenue de ne pouvoir l'atteindre puisqu'à l'autre bout de la table. Ils sont tous là, Souffre, Mélie, Aarhon, Lucie et Cantor. Quelques paroles sont prononcées pour remercier Ari des bienfaits de son repas et chacun commence en silence à se servir sans ordre de préséance.
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Argawaen
De la chance ? C'était le mot en effet, cela faisait une éternité qu'il n'avait pas bénéficié d'un moment tel que celui-ci.
Le vieux vétéran alla donc se placer en bout de table, face à la maîtresse des lieux, le voilà qu'il présidait une table, enfin en partie. Le Dehuit de Malemort ne se sentait pas à l'aise, mais il essayait de ne rien montrer.

Souriant doucement il priait en compagnie de la rousse, des enfants, de Mélie et de son homme de main. Enfin il priait... C'est un grand mot pour lui ! Disons qu'il bougeait les lèvres et croisait les doigts afin de ne pas paraitre mal élevé.
Argawaen commence donc à se servir une fois que tout le monde l'eut fait et souriait de satisfaction.


C'est délicieux... Nous avons un peu de vin avec ça ? A part du vin de la Force je veux dire. J'ai envie d'un bon Bordeaux.

Il faisait le difficile, mais lui et le vin c'était une histoire d'amour, moins qu'avec la prune, mais pas loin...
Argawaen faisait un sourire d'ange à sa rousse, qui d'ailleurs n'était pas du tout crédible et attendit sagement.

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--Melie
La Narbonnaise est dans ses petits souliers, c'est la deuxième fois que Floris échappe à sa vigilance en 6 mois, et la colère rentrée de Patt ne lui dit rien qui vaille. Le petit était amoureux d'Eni, une autre filleule de la maîtresse des lieux, sans doute en période de calme la mère aurait-elle pris cela avec humour, mais en ces moments troublés, et juste pour l'installation de l'ours, forcément la vindicative allait tomber à bras raccourcis sur son fils, surtout après ce qui s'était passé à Paris...

Quand Arga réclame un autre vin que le cru de la maison, la brune s'empresse de se lever, osant à peine sourire au nouveau maître des lieux, et file dans le cellier pour trouver un autre vin. Après avoir farfouillé quelques secondes, elle finit par mettre la main sur une bouteille de Grave à la robe rubis, et la rapporte pour la déposer près du Malemort.


Tenez, c'est un vin de Grave, j'espère qu'il vous conviendra...

Mélie retourne s’asseoir, jetant un regard à la rousse histoire de prendre la température...
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