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[RP] « Les Mures… »

Argawaen
Pour être gourmand, il l'était ! Le vieil homme avait de l'énergie à revendre et beaucoup trop de frustrations à faire évacuer, et il n'y avait qu'un seul moyen pour ça, passer du temps avec son épouse, pas forcément des ébats amoureux, mais simplement être avec elle.

Alors que les deux amants se retrouvent dans une situation de délices une voix connue se fit entendre.
Argawaen se mit à grogner doucement puis souriait à la question de son épouse.


Aarhon ou Souffre iront ouvrir, évitons de tuer ma future fille adoptive...

Et sans dire un mot de plus il se glissa derrière son épouse, la souleva par le bassin, lui laissant le soin de sentir son désir...
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Plumenoire_
Personne ne venait ouvrir a la pauvre brune qui commençait à s'impatienter ...

Grrrrrrrr ils pourraient m'ouvrir hein ...

Evil jappa joyeusement et la brune prit un caillou et le lança en l'air pour le rattraper.

Je lance ...?

le loup ne répondant pas, la brune sourit amusée et retourna a la porte.

Hé hoooooooooooooooooooooooooooo y a quelqu'un ?!
Ouvreeeeeeez !!!


La brune se mit a tambouriner sur la porte tandis qu'Evil la regardait sagement. Peut être se disait il qu'elle allait se faire enguirlander ?
--Souffredoul
Les travaux avançaient bien aux Mûres, bien des choses étaient restées en suspend suite au départ précipité de la tribu. Mélie était alitée en BA, ils l'avaient abandonnée la mort dans l'âme, mais les Malemort attendaient en Dauphiné pour la réunion familiale, sans compter le mariage de la cousine de l'ours...

Quand ils se décideraient enfin à rentrer en PA, la modeste demeure serait devenue une belle maison bourgeoise, agrandie afin que toute la maisonnée puisse enfin vivre confortablement, surtout les hommes de la garde.

Cela sciait, grattait, martelait, la poussière voletait dans tous les sens. Les artisans de tout poil arrivaient et repartaient sans discontinuer. Les terrains et maisons autour avaient été rachetés, il y avait belle lurette que ces masures finissaient par tomber en ruine à force de rester vides année après année. La première maison habitée, enfin façon de parler, était les Glycines de Mari et Zeline. Du coup, après tous ces changements, ils seraient enfin voisins.
Argawaen
[Le retour à Sarlat, les mûres]

La tribu était de retour depuis quelques jours déjà, en Périgord du moins, entre temps ils avaient raccompagnés la filleule de la rousse.
Au petit matin le vieil homme rejoignit son bureau afin de commencer plusieurs paperasses pour Cosnac et Lugan.


Citation:
A vous habitants de Lugan et de Cosnac,

Les meilleurs d'entre vous vont être choisis pour partir en Lyonnais et Dauphiné.
Votre but sera de remettre sur pied mon vieux manoir familial, de l'agrandir et de le rendre plus florissant qu'autre fois.
Le travail estimé sera d'un bon mois environ, votre salaire sera payé double, et vos familles auront double ration de nourritures pour l'hiver.

Un messager viendra chez les personnes concernées afin de les convoquer et de les escorter jusqu'en Lyonnais et Dalphiné.
Je serais aussi présent que possible, par l'intermédiaire d'Aarhon et de lettres.

Argawaen Dehuit de Malemort


Il fit envoyer les missives puis quitta son bureau afin d'aller prendre un peu l'air.
Le vétéran prit la direction des jardins et profita d'un peu de calme avant le réveil des enfants, une fois qu'ils seront tous debout le rythme serait bien plus mouvementé. Le Dehuit de Malemort alla s'asseoir sur un banc, croisa les mains et ferma les yeux un instant, il soupira de bien être et resta quelques instants ainsi avant de regarder la ville se réveiller petit à petit.

_________________
Argawaen
[Le retour de la taverne]

- 'Tain Aarhon tu pourrais être plus délicat !
- Excuse moi ! Mais quelle idée d'écouter un médicastre !
- C'est pour mon bien !
- Ouais ils disent tous ça...
- Oui mais là c'est important, faut pas que Patt s'inquiète, ce n'est que passager !
- Si ça fait comme la dernière fois bonjorn les dégâts...
- Roo la ferme, et aide moi !
- Je fais que ça, tu n'as pas intérêt à me claquer entre les doigts !
- Mais bon sang je vais bien !
- Ouais ouais il parait...
- Tu me gonfles...

Les deux soldats arrivèrent aux mûres, lui tenant debout tant bien que mal et remercia son homme de main d'un signe de tête.
Argawaen se dirigea en direction du salon afin de rejoindre la tribu et alla embrasser les enfants. Il regarda sa petite Jade et prit un air tendre envers elle, comme ci quelque chose de grave se préparait. Bien qu'il disait que tout allait bien il savait pertinemment qu'il aurait à se calmer rapidement s'il ne voulait pas que son fichu traitement perdure.

Prenant place à côté de son épouse il lui prit la main et l'embrasse sur le dos de cette dernière.
Le vétéran sentait la bonne odeur des victuailles sur la table et souriait doucement.


Ca a l'air bien bon comme toujours.

Argawaen se leva, ayant du mal à tenir en place malgré le fait que les potions étaient censés le calmer. Il rapporta une bouteille de vin qu'il posa sur la table et prit place. Il ferma les yeux un instant et prit le soin de servir les enfants. L'homme regarda son épouse et fit de même, de son côté l'homme se mit peu de nourriture dans la gamelle, il commença à manger.

Depuis que cet endroit a été agrandit, c'est splendide. J'ai pas mal d'idées du coup pour mon manoir en Dauphiné.
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Ugo_
- Je suis là !!!!!

La mioche ayant grandie de quelques centimètres, puis de quelques années, ne voulait se permettre d 'entrer chez son oncle et sa tante en continuant à faire la buse. Mais pourquoi l 'âge a t 'il une incidence sur ce que l 'on aime faire, le ridicule tuerait il à un point insoupçonné ?

Folle de liberté la privation la rendait instable, Zeline s 'offrit la folie de pousser la porte de leur demeure, extension des bras assurée, puis s 'imaginer voler dans la maison.


- Eh ouiiiii je réponds à l 'invitation de l 'ours pour apprendre à bander....heu quoi au fait ? Ahhhhh...je crois avoir trouver !

Voler à n 'en plus finir elle continuait son manège qui lui procurait sensations fortes.

- Je veux bien apprendre à tirer dans le mil, moi la Zel qui adore apprendre, apprendre et apprendre à faire bander un arc !

Reprendre le contrôle de son esprit avant de raconter n 'importe quoi. Le fauteuil lui tendait son assise brusquement elle se laissa tomber sur celui-ci, les jambes écartées, ses coudes en appui sur les bras .

- Pattt !!!! T 'es là ?
--Pattricia_
Ouai...
Y'a des jours comme ça...
D'abord, elle avait un peu dit le fond de sa pensée à des gens importants, juste un peu... "Mouarf ! Je continue à me faire des amis en PA en ce moment." Mais ça, elle ne pouvait en parler à l'ours car sinon il allait vouloir partir à bride abattue pour une autre province afin de l'empêcher de se mêler des affaires de son Comté adoré.

Ensuite, il y avait eu le retour de Zeline pour la Saint-Noël, moment de joie entre tous car faut dire qu'après tous ces deuils, c'était ce qu'il leur fallait. Elle n'avait pu s'empêcher de s'isoler un instant ce soir là et était sortie pour regarder le ciel aux nuages bas. "Mon premier hiver sans toi depuis que je me suis réveillée si jeune dans la douleur et le sang..." La perte de Truffe avait été inévitable, mais cruelle. C'était un peu comme si le grand mâle, bien trop vieux désormais, avait passé le relai à l'époux ; comme si il avait jugé qu'il était temps de retrouver ses aïeux, que la rousse avait désormais un nouveau protecteur. "J'espère qu'il ne prendra pas l'idée à Arga de m'offrir un nouveau loup, ça serait horrible. Personne ne remplacera jamais Truffe, c'est ainsi".

Et puis la gamine leur avait raconté ses aventures, "Dieu qu'elle a grandi !!!", et avait soudain affirmé vouloir devenir sculpteur. La rousse avait donc sorti la bible des artisans, fait le point de ce qu'il fallait à sa nièce pour travailler et avait décidé ce fameux voyage en Limousin pour aller chercher de la pierre. Le départ était pour le lendemain, mais si elle était inquiète ces derniers temps, c'était surtout pour la santé de son époux qui, comme la plupart des hommes, était incapable d'écouter les bons conseils et de se tenir tranquille. "Je pense qu'un jour c'est moi qui l'achèverai en fait..."

Pensant que le Dehuit de Malemort la prenait vraiment pour une quiche, elle ne pouvait s'empêcher de détailler tous les stigmates de la fatigue et de la maladie sur son visage. Il faisait le service et elle avait juste une foutue envie de l'assommer pour qu'enfin il se repose et la laisse le soigner.


Je suis heureuse que les travaux entrepris te conviennent et t'inspirent. Mon but était d'agrandir et surtout de donner à chacun son espace, nous étions trop à l'étroit et chaque enfant a droit à sa chambre désormais.

Elle en était là de ses réflexions quand une tornade avait fait irruption dans le vestibule et s'était précipitée dans le salon, parlant toute seule. "Je me demande si elle a pas pris un coup sur la tête pendant son voyage celle-ci..."

Zel ! Cuisine !!!

Ils avaient beau péter dans la soie, tant qu'il n'y avait pas réception ou invité de marque, ça serait la vie aux Mûres et les repas dans la cuisine. Patt n'était toujours pas décidée à vivre à plein temps dans un de leurs domaines, c'était pas son truc, rien à faire.
Argawaen.
L'homme inclinait le visage doucement, les mûres étaient devenus un petit paradis pour leurs enfants, leur maisonnée, et eux-même.
Alors qu'il se préparait à répondre voilà qu'un brouhaha se fit entendre, enfin un brouhaha... Des beuglements de mini-rousse du moins...
Secouant la tête doucement le Dehuit de Malemort poursuivit à la suite de son épouse.


NON TU N'AURAS PAS A MANGER !

Le vétéran s'accouda à la table, attendant que la mini-rousse fasse une entrée des plus magnifiques dans la pièce.
--Zeline
Citation:
Zel ! Cuisine !!!


Pas moyen de se reposer, même pas le temps de récupérer son vole de large envergure. La voix de sa tant se fit entendre à ses oreilles, telle une cloche qui la rappelait à l 'ordre.

Poussive elle souleva son séant pour se diriger vers la cuisine, mais que préparait sa tante de bon à manger? Les papilles en alerte elle déglutit doucement en s 'imaginant, quelques pâtisseries pour fêter son retour.

La bonne humeur la gagnait, les bras mis de nouveau en extension, elle se dirigea vers la cuisine en poussant la porte largement afin de passer dans l 'encadrement les bras ouverts.

- Je suis là, moi la Zel, l 'ours m 'a dit de passer il doit m 'apprendre à bander un arc, je sais pas faire ça moi !


Heureuse de revoir sa tante elle se jeta dans ses bras, puis l 'embrassa sur tout le visage, pour lui prouver l 'affection qu 'elle avait pour elle.

- Tu fais quoi de bon à manger ?


La voix de l 'ours la fit sursauter en l 'entendant s 'exclamer.

Citation:
NON TU N'AURAS PAS A MANGER !


- Mais si j 'ai faim moi, regarde mon bidon il est tout plat, bientôt je vais faire triste mine en société, ma mère partie au loin , c 'est ma tante qui doit me nourrir et toi !!! Et toc !!!

L 'envie de lui tirer la langue la démangeait, mais il fallait plus donner des coups de pieds et encore moins tirer sa langue, comme elle le faisait petite.

Malicieusement d 'une petite voix, elle parla sur un ton doucereux à sa tante et son oncle.

- Je vous aime tous les deux et j 'ai dit à Patt, y 'a pas longtemps, qu 'elle était belle comme une carriole toute neuve.
























--Melie
Punaise je les collectionne ce matin pfff !
--Melie
Bon... j'vais me suicider et je reviens poster...
--Pattricia_
Elle ne peut s'empêcher de sourire à l'entrée en "mode planeur" de Mini-Rouquine plus si mini que ça. "Quel âge a-t-elle maintenant ? 13 ? 14 ? Bon sang je ne vois pas le temps passer ! Pourtant elle garde cette manière de parler de quand elle était petite, c'est si drôle..." Mais ses pensées sont vite pulvérisée par un ouragan qui se jette sur elle pour la bisouiller de partout sur le visage. "Erf !" Mais Patt sait depuis longtemps que Zeline est comme sa mère, très très affectueuse et elle ne pense même pas à stopper net cet élan d'affection, pourtant peu dans ses habitudes, ne voulant pas blesser sa nièce de coeur. Elle la serre donc fort contre elle, remarquant tout de même l'air narquois d'un de ses fils et réprobateur de sa fille, toujours prompte à rappeler les bonnes manières.

Ma puce, je ne fais pas à manger, nous sommes en train de manger, va donc te prendre une assiette et un godet dans le vaisselier.

Mais c'était sans compter sur l'ours pour mettre un peu de zizanie dans ce repas bien trop calme quelques minutes avant l'irruption de la tornade. La vindicative ne peut s'empêcher de pouffer en entendant la réponse de Zeline toujours prompte à répondre aux provocations d'Argawaen.

Ne l'écoute pas ma chérie, tu sais bien qu'il est dans la provoque là, va chercher tes couverts et tire un tabouret tss...

C'est alors que la référence à la carriole se pointe comme un cheveux sur la soupe et la rousse de rougir de gène et d'agacement.

Enfin de compte mon ange, tu as peut-être raison, nous n'aurons surement pas assez à manger pour une bouche supplémentaire...

Et de sourire de toutes ses dents à sa chipie de nièce. "Et toc !"
Argawaen
Amusé par le changement d'avis de son épouse le Dehuit de Malemort regardait la mini-rousse et lui fit signe d'approcher.
Lorsqu'elle fut proche de lui il ne put s'empêcher de la serrer dans ses bras et de lui faire un énorme bisous bruyant.


Tu ferais mieux de te faire silencieuse avant que la carriole ne s'agace... Tu vas finir toute maigre ma nièce à force de l'embêter !

Souriant doucement l'homme poursuivit.

Nous allons faire un peu de tir à l'arc, tu verras c'est pas si compliqué que ça, il faudra juste faire attention au vent, mais ça nous verrons lorsque nous y serons.

Le Dehuit de Malemort approcha son assiette et donna des couverts à sa nièce.

Allez mange va.
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Ugo_
- Ah mais moi j 'veux pas devenir toute maigre, et pis si j'veux un mari je dois être jolie avec de belles rondeurs...Là où il faut.

L 'adolescente dessine des rondeurs imaginées autour de son corps en terminant par une poitrine rebondie, en se la soutenant. L 'idée lui vient de se promener dans la cuisine, en soutenant des seins imaginaires en marchant sur la pointe de ses pieds, une joue creusée par ses dents, elle imita le parler d 'une vieille bourgeoise édentée.

- Schi je vous dis que c 'est chimportant les chiens, vous pouvezche le croire !!

D 'un éclat de rire elle regarda son oncle , puis sentit qu 'elle allait de nouveau se faire gronder. Puis sur le ton de la plaisanterie elle répondit à son oncle un rien moqueur.

- Ouiche nous allons tireche, très vite j'te l 'assurche !


Se disant que la plaisanterie a ses limites, elle prit entre ses mains l' assiette et les couverts tendus par son oncle, se mit assise rapidement sur une chaise. Droite comme un I avec l 'air sérieux, comme pas deux, elle regarda sa tante d 'un air attendrie.

- Ma tata chérie tu nous a préparé quoi de bon à manger ?
--Floris
Le sourire en coin, le "sage" de la fratrie assistait non sans un certain plaisir au joyeux bazar qu'était en train de mettre Mini-Rouquine. "Enfin mini faut voir, elle a dans les 14 ans désormais, et elle est fort jolie. Dommage qu'elle soit ma cousine tiens ! Même si on est pas du même sang, sûr que l'ours et Maman me laisseraient jamais lui conter fleurette pfff !"

Floris avait un peu retrouvé de sa joie de vivre depuis le voyage de noces, ce qui s'était passé avec l'ours à Valence, la quête, l'adoption, etc. Et maintenant le retour de la fille de Mari, tout ceci contribuait à apaiser ses veilles rancœurs... jalousies ? Il s'empressa donc de tirer un tabouret pour que cette cousine peu ordinaire veuille bien s'installer près de lui.


Viens près de moi Zel et raconte-nous tes aventures !

Les mauves, pareils à ceux de sa sœur, brillaient de malice et d'impatience.
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