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[RP] « Les Mures… »

--_cantor
Il est plié... Bah voui, Cantor adorait Zeline car avec elle, ça n'était qu'aventures, batailles, stratégies pour rendre à moitié dingues le reste de la fratrie. Dans la tribu, Mini-Elle était comme sa mère, toujours très proche de la fillette, ils se confiaient leurs angoisses, et chose rare chez le fils de sa mère, il n'était pas jaloux du lien très étroit qui unissait sa mère et sa cousine, lui pourtant très possessif avec sa génitrice.

Et comble de joie, la mine renfrognée de Lucie face aux débordements de Zeline rend la situation encore plus jouissive et comique. Il savait que de toute manière ça ne serait d'être que de courte durée, Lucie adorant cette cousine qui pouvait faire ce qu'elle voulait la plupart du temps, Mari l'ayant éduquée de manière bien plus libre que les enfants de Patt.

Mais pour le moment la fameuse "bienséance" à laquelle Lucie était attachée n'était pas respectée, et sa tête valait bien le détour pour Cantor toujours si heureux de voir sa sœur avec une moue de dépit.


Oh oui ! Bonne idée Floris, nous somme suspendus à tes lèvres cousine !
--.lucie.



Assise sur son tabouret, Lucie observait la scène... Fallait-il donc que Zeline fasse ainsi l'intéressante ? Après un long soupire, elle posa ses coudes sur la table et sa tête dans ses mains... Elle l'aimait, beaucoup, comme une sœur, mais là...

Posant les yeux sur ses deux frères tour à tour elle secoua le tête de dépit... Nan mais regardez moi ces deux là... Elle ne pu alors s'empêcher de répéter les paroles de Cantor, l'imitant en ronchonnant à voix bas du genre "gniagniagnia" :


- Oh oui ! Bonne idée Floris, nous somme suspendus à tes lèvres cousine !

Elle lâcha alors un nouveau soupire et une nouvelle moue.

Ugo_
Citation:
Viens près de moi Zel et raconte-nous tes aventures !


Regard porté sur ses cousins et cousine, malice chargée dans ses yeux, elle les regarda en se haussant sur la pointe de ses pieds, afin de paraitre plus grande et certainement plus intéressante, puis demanda à sa tante s 'ils pouvaient quitter la table.

- Tata pouvons nous séance tenante quitter la table que vous m 'offrez au quotidien. Par ailleurs je vous en remercie humblement de me donner ma pitance quotidienne.

Continuant à faire se faire douce et polie, elle demanda à sa tante sur un ton convivial

- J 'entends souvent le boucher dire : " Ventre creux n 'a pas d 'oreille ". Ben tu sais quand j 'ai très faim, je regarde mon ventre, mais je ne lui vois jamais pousser d 'oreilles, j 'y comprends rien moi à cette phrase.

Mini rouquine supplia sa tante du regard pour qu'elle accepte leur sortie de table. Les garçons et Lucie, attendaient ce moment pour qu 'elle les entraine dans un coin isolé de la maison, pour leur raconter son voyage chargé en histoires rocambolesques.
Pattricia
Le repas s'achevait, et comme d'habitude, ça partait dans tous les sens.

L'enthousiasme de Floris et Cantor la fait sourire. "Ça leur manque qu'il n'y ait rien à combattre, pas d'aventure. N'en déplaise à Floris, il est bien plus proche du caractère de son nouveau père qu'il ne voudra jamais l'admettre".

L'attitude de Lucie l'agace néanmoins un peu, non pas qu'elle s'en prenne à Cantor, ils ne savaient faire que ça tous les deux d'façon, mais l'attitude mélodramatique c'était son truc à elle, et sa fille avait tendance à lui rappeler ses propres petits travers.


Lucie tes coudes... Si tu crois que lorsque tu seras reyne ce genre d'attitude sera de mise, tu te fiches le doigts dans l'oeil ma fille.

Puis se tournant vers Zeline.

Si tu veux raconter tes aventures soit, mais je gage que parmi les adultes, d'autres oreilles seraient ravies de participer. Ne crois pas jeune fille que tu vas échapper à mes remarques, et tant pis si cela ternit un peu ton auréole de "grande aventurière".

Elle les adore, ils sont sa vie, mais la rousse est également la Cheffeuu de la tribu, pas de son époux s'entend, mais une partie de l'éducation et des règles en vigueur en son sein lui revenait. En l'absence de Mari, elle est également responsable de Zeline quelles que soient toutes les prouesses que la gamine a pu réaliser et aucun des loupiaux ici présents, y compris la petite Jade pas encore bien à son aise au milieu de cette volière, ne peut espérer échapper à son autorité.

Je propose donc, car comme je le dis toujours la fortune est éphémère et de toute manière nous retournerons tous à la terre un jour ou l'autre, au sens propre et au figuré, que déjà vous effectuiez les corvées propres à tout enfant lambda.

Donc on débarrasse, on aide à la vaisselle et au balayage de la cuisine, on va aider Souffre à allumer le feu dans le salon, on met de l'eau à bouillir dans l'âtre et on prépare le service à tisane et à liqueur.


Voyant déjà les mines se défaire, la vindicative en rajoute une couche avec un sourire en coin.

Jeunes nobliaux, j'ai une grande nouvelle pour vous, je vais continuer à être cette affreuse marâtre qui vous oblige à effectuer les corvées, quand nous nous trouvons aux Mûres, dévolues d'ordinaire au personnel de nos Domaines.
Demain nous pouvons tout perdre, et il n'est pas question que vous vous comportiez en petits princes de je ne sais quel royaume fantasmagorique.


La rousse marque une petite pause pour ménager son effet et faire un clin d'oeil complice à l'ours qui l'écoute en silence.

Donc... Tout le monde débarrasse, Lucie et Zeline vous vous occupez des activités dans le salon et Cantor et Floris vous vous occupez de celles de la cuisine.

Une fois n'était pas coutume, les garçons se taperaient la vaisselle et les filles le feu dans la cheminée du salon.
_________________
Argawaen.
Le vieil homme écoutait la conversation, souriant plus ou moins aux divers propos des enfants.
Lorsque son épouse prit la parole il répondit à son clin d'oeil et fit en sorte de la soutenir dans ses paroles.


C'est quand même pratique d'avoir des enfants à la maison, nous on peut profiter un peu ainsi. Pis voir Lucie faire une tête de six pieds de long c'est merveilleux.

Pouffant de rire le vieil homme prit la main de son épouse et lui sourit.

Ces moments resteront mythiques...
Odalric..
Après bien des recherches et l'aide de plume sa nièce Thral arriva enfin devant la demeure de sa sœur. Il observa quelque moment par méfiance et entra.

Il se mis à crier

Sœurette, tu es où ?
Ugo_
Fallait bien écouter ce que Patt disait, sinon son ventre n 'aura jamais d 'oreilles, enfin comme elle n 'y comprenait rien à cette phrase n elle préférait s 'exécuter de mauvaise grâce. Et pis souffre près la cheminée nous attendait Lucie et moi à préparer le feu pour faire chauffer les tisanes des vieux....Zel se demandait comment on pouvait aimer boire de l 'eau aromatisée, depuis qu 'elle buvait de la bière, qui avait une bien meilleure saveur que toutes ces plantes.

A genoux devant le feu, à essayer de comprendre comment allumer le satané feu, des éclats de rires résonnèrent dans la maison. Zeline chuchotait à Lucie qui n 'était pas la dernière à écouter ses bêtises.

- Et si on faisait pipi sur le bois, pour dire qu 'il est humide et que nous ne pouvons allumer ce feu, faut aller dehors très vite et revenir déposer le bois dans son panier.

La mioche pensait à économiser le moindre de ses mouvements, car les tâches ménagères ne faisaient pas partie de sa vie, à la maison c 'est Mariette qui faisait tout ça avec l'affreux.

T 'es cape de le faire ?

Elle regarda sa cousine, puis partit d 'un éclat de rire en prenant une bûche entre ses mains puis se dirigea vers la sortie. Au même une voix tonitruante se fit entendre, sans s 'être annoncée.

Citation:
Sœurette, tu es où ?


La réponse ne se fit pas attendre, l 'adolescente regarda l 'homme de la tête aux pieds, puis lui cria aux oreilles.

- Non mais oh vous, vous vous croyez sur un champ de foire ? Ici vous êtes chez ma tante et on frappe avant d 'entrer !

La jeune fille s 'approcha de l 'inconnu, puis laissa tomber la bûche volontairement sur les pieds de l 'homme. Puis s 'excusa narquoisement.

- Oh ...Zut alors je vous ai fait mal...on dirait...Je suis vraiment maladroite !
Odalric..
Thral vit arriver une jeune fille et se mit a rire doucement a ces paroles


Citation:
Non mais oh vous, vous vous croyez sur un champ de foire ? Ici vous êtes chez ma tante et on frappe avant d 'entrer !


Non du tout, je me crois chez ma sœur en voilà une question.

Il se mit à crier quand il reçut la buche sur ces pieds et la regarda avec des envies de meurtre, il dégaina sa dague et son épée et rit

tu as signé ton arrêt de mort

Il se retourna vivement et regarda son serviteur

Prends mes armes et occupe toi d'elle, je n'ai point de temps à perdre, ET PAS DE SANG

Il la regarda une dernière fois et la laissa la avec son serviteur , le temps qu'il retrouve Patt
--Kornychor
Korny se mit a rire et sortit de l'ombre, il s'approcha de son maitre et hocha de la tête.

Oui Maitre , pas de sang zete sûr? Oui bien sur on veux jamais me l'laisser jouer.

Il prit la dague et l'épée qu'il déposa à côté de ces pieds. Il se mit a rire et sorti de sa besace une corde et une masse ensuite, il regarda son maitre partir et se tourna vers la petite.

J'ai deux propositions à te faire, soit je t'attache et on attend que mon maitre revient soit, je te tape sur la tête et tu dors. Je te conseille la deuxième solution, moins de temps à attendre car tu dors.

Il éclata de rire
Ugo_
Ahhhh llaaaaa j 'ai peur l 'affreux, tu crois que tu vas me faire taire comme ça toi..... ?

Tapant du pied au sol, posant ses mains sur les hanches, elle toise l 'homme de cape en pieds.

Non mais d 'où sort il ... lui ....


Et pis tes choix me plaisent pas, et pis j 'ai horreur de parler à un inconnu qui s 'est même pas présenté, alors tu as deux solutions. La première tu t 'excuses, pour m 'avoir menacée, la deuxième


Lui montre du doigt la porte

Tu sors et tu vas compter les mouches dehors, car je suis pas d 'humeur à me laisser assommer par le premier venu , et encore moins qu 'il me donne des ordres à la limite de l 'impolitesse.

Elle recule de dix pas en arrière par méfiance, puis porte sa main à sa rapière en cas d 'attaque sournoise.
--Kornychor
Citation:
Ahhhh llaaaaa j 'ai peur l 'affreux, tu crois que tu vas me faire taire comme ça toi..... ?


Korny la regarda bêtement.

Ben, oui, a toi de voir si tu veux avoir mal ou pas

Un inconnu ?ben non, mon maitre ma présenter.

Il se dressa fièrement.

Je suis le serviteur de Thral La Canéda, frère de la grande Patt'

Il se mit a rire quand elle lui parla d'excuse.

Tu rêves pour des excuses, j'ai reçu des ordres et j'applique.

Quand il aperçut la rapière, il sourit.

Attention petite fille, tu vas te faire du mal et mon maître va dire que ces ma faute
Ugo_
- Toi tu m 'approches pas ...t 'entends !!!!

Un hurlement sortit de sa bouche pour avertir son oncle qu 'un fou venait d 'entrer chez eux.

- L 'Oursssssssssss viens vite.......... un homme veut m' tuer et me faire mal et j' le connais pas .....

Toujours sa main de portée sur sa rapière elle ne le lâche pas l 'homme du regard, un sournois celui-ci, méchant comme pas deux ça se sent !

- Alors l 'affreux tu diras quoi quand mon oncle sera présent....Il est le maître des lieux, tu n 'auras pas gain de cause, tu dois respecter les règles de vie d 'une maison bien fréquentée.

Dos collé au mur , elle s 'attendait à que l 'homme s 'approche d 'elle .

- Je ne faiblirai pas face à vous sachez le plutôt mourir

Elle se retourna puis dit à Lucie :

- va chercher souffre ....Allez va vite...cours vite Lucie !
--.lucie.


Citation:
Donc... Tout le monde débarrasse, Lucie et Zeline vous vous occupez des activités dans le salon...


De tout le discours de sa mère, voici l'unique partie qu'elle avait bien voulu retenir et écouter. Pas rancunière pour un sous avec sa cousine, ni d'une ni de deux, elle sauta de son tabouret et l'attrapa par la main pour l’emmener au salon.

Le feu, elle adorait ça ! Alors qu'elle était entrain d'empiler quelques bûches dans la cheminée, une idée de génie sortie de la bouche de Zeline.


- Et si on faisait pipi sur le bois, pour dire qu 'il est humide et que nous ne pouvons allumer ce feu, faut aller dehors très vite et revenir déposer le bois dans son panier.

Le quota de bêtises n'étant pas encore rempli pour la journée, elle lui fit alors un grand sourire, tapant dans ses mains !

- T 'es cape de le faire ?
- Nan mais tu me prends pour qui ?

Sans attendre plus longtemps, elle prit une bûche dans ses bras et partit en courant en suivant sa cousine. Mais là, OUPS ! Quelqu'un se tenait devant la porte. Elle profita que cette dernière lui fit tomber sa bûche sur le pied pour passer en douce à côté. Lucie se mit alors à courir plus loin dans le jardin pour y réaliser son affaire avant de revenir en courant. Sauf que là, elle ne pourrait pas échapper aux présentations...

Un rapide clin d’œil à sa cousine, lui indiquant que la mission était effectuée et elle commença à s'adresser aux deux hommes


- Moi c'est Lucie ! La fille de ma mère ! Vous êtes qui vous ?

C'est alors qu'un appelle au secours se fit entendre

- va chercher souffre ....Allez va vite...cours vite Lucie !

Nan mais il osait s'en prendre à sa cousine ?? Elle balança alors sa bûche sur les pieds de l'homme à l'épée et partit en courant chercher de l'aide à l'intérieur. Sans prendre le temps de parler, elle agrippa la main d'Argawaen en le tirant vers la porte d'entrée.

- VITEEEEEEE


Odalric..
À peine avoir quelque pas Thral se tourna et observa la conversation, les petites filles têtues, il aimait sa surtout quand cela restait dans la famille. Il sourit doucement et s'approcha, il commençait a bien aimer cette petite, mais pas comme plume la meilleure. Il se plaça entre sont serviteur et la petite.

Bon cette fois ses assez, je ne veux pas pour voir vous tuer.... Pas tout de suite du moins.

Il se tourna vers Zeline.

Attention a ton jouet petite. J'aime ta façon de faire, je trouve cela amusant, mais tu ne peux rien faire contre mon serviteur.

Il souri doucement

Ho et j'ai oublié de te dire, je suis aussi ton oncle, le frère de Patt'

Il se tourna vers la nouvelles arrivante

Bonjour Lucie, je suis le frère de ta mère.

Il éclata de rire quand lucie lança la buche. Petite, mais déjà du répondant tout ce que Thral aimes
Pattricia
Une ile déserte... non elle sait, un ponton loin de l'autre côté de l'ile. Quand le n'importe quoi, côtoyait l'absurde, Patt avait tendance à ce réfugier "à l'intérieur", là où avant elle allait avec la grande, où rien d'autre n'existait que le lac et elles...

Essayons de nous y retrouver, d'abord la tête de travers des garçons qui avaient soudain perdu leur enthousiasme quand il avait été question de corvées "de filles". Avaient suivi le départ de Zéline et Lucie vers le salon pour allumer la cheminée, Souffre étant resté en retrait à fumer sa pipe. Pendant que Mélie reprend Cantor qui ne frotte pas assez et Floris qui essuie mal, la rousse a posé sa tête contre l'épaule de l'ours, profitant de ne rien faire pour une fois pendant que le reste de la tribu s'agite.

D'ailleurs en parlant d'agitation, un pseudo mélodrame commence à se jouer dans le vestibule quand Thral entre comme dans un moulin dans la maison, que des cris Zéliniens fusent, qu'une voix qu'elle n'identifie pas répond et que ça piaille de tous côtés pour demander de l'aide. Quittant à regret "le ponton", son instinct reprend le dessus. Elle pose immédiatement sa main sur l'avant-bras de son époux et le serre pour l'empêcher de se ruer à la rescousse des filles. Puis d'un regard à Souffre, elle lui intime de rester tranquille.


J'y vais...

Elle lui dépose un baiser léger, se lève dans un soupire et se prépare à remettre de l'ordre dans ce capharnaüm. Quand elle capte la scène qui se déroule dans le vestibule, la vindicative plisse ses jades et serre les lèvres avant qu'un

Ça suffit !!!

fuse...
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