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[RP] « Les Mures… »

Ugo_
- Ah ben si vous êtes le frère de Patt, moi je suis la fille de Lec et c 'est peu dire !

L 'adolescente toise l 'homme qui ne s'est point présenté à son arrivée avec l 'affreux, non mais ....

- Quand vous rentrez chez les gens faut dire votre nom, car moi je suis encore petite et j 'ai peur des étrangers, ils me rendent folle d 'inquiétude. Et pourquoi qu 'il voulait me tuer lui ?

L 'homme pointait du doigt était l 'affreux, debout non loin d 'elle à la regarder comme un âne regarde une carotte. Point déconfite elle ouvrit la bouche pour continuer à dire ce qu 'elle pensait aux deux hommes, au moment où Patt fit irruption dans la pièce en hurlant un :

Ça suffit !!!

Folie prenant enveloppe de son corps, quand elle entendit la voix de sa tante, comme jamais entendu, elle aussi ça la rend folle de voir des étrangers chez elle .

- Patt l 'affreux à voulu me trancher la tête, m 'assommer au préalable, pour profiter de ma virginité et après ....je sais pas ...moi.... c'est un méchant c 'est tout ce que je sais ! Et pis l 'autre qui dis être ton frère, je l 'ai jamais vu lui....t 'es sûre que vous sortez du même trou ?


Point rassurée à demie cachée derrière un fauteuil sa main posée sur sa rapière de maréchal. Durant les années d 'entraînement, elle avait acquis une certaine assurance dans le maniement de l 'épée. Elève assidue elle assurée une souplesse hors paire, puis visait droit au cœur en cas d 'attaque sournoise. Deux fois sur trois elle pointait ses adversaires du bout de sa lame acérée. Dès à présent elle se promènerait avec sa rapière et un arc, afin d 'avoir une visée doublement efficace.
Odalric..


Erf on oublie celui la^^
--Kornychor
Korny se mit à rire timidement quand Patt arriva.

Maitre, vous croyez que votre sœur est mariée ? Car moi, j'adore les femmes avec de la poigne.

Ni un ni deux , il se mit à genoux devant patt très sérieusement.

Dame Patt sœur de mon maitre, voulez-vous m'épouser?
Odalric..
Citation:
Ah ben si vous êtes le frère de Patt, moi je suis la fille de Lec et c 'est peu dire !


C'est quoi lec ? Un gâteau ?.

Thral éclata de rire devant la petite

Citation:
Quand vous rentrez chez les gens faut dire votre nom, car moi je suis encore petite et j 'ai peur des étrangers, ils me rendent folle d 'inquiétude. Et pourquoi qu 'il voulait me tuer lui ?


Thral regarda la regarda sérieusement

Alors de une il voulait te tuer car comment dire..... Il adore ça. De deux on garde les porter fermer , quand elle sont ouverte cela veut dire journée maison ouverte. Et pour finir , tu ne dois pas avoir peur faut t'endurcir non mais !

Thral regarda sa sœur arrivé comme une furie

Coucou soeurette , tu va bien? faut pas crier comme cela hein, on ne fait que jouer un petit jeux

Malheureusement, ce qui devait arriver arriva son serviteur avait déjà des sentiments pour sa sœur. Il le regarda se mettre à genoux et la il ne pus se retenir , il éclata de rire et se mis a se rouler a terre comme un enfant hystérique
Argawaen.
Comment ça un doublon ? Mouarf ! Touriste !!!
Argawaen.
Alors que les enfants étaient en train de semer la zizanie depuis l'arrivée du frère de la rousse le vétéran observait la scène et souriait doucement en entendant la vindicative beugler là-dedans.
Cependant son regard s'assombrit lorsqu'il vit le garde de l'arriviste poser genou à terre face à son épouse. Ni une, ni deux le Dehuit de Malemort se leva, tira sa dague, s'approcha de l'homme, l'attrapa par le col et posa la pointe de son arme sur le flanc de son adversaire... Son regard se faisait aussi noir que lorsqu'il servait au sein du Masque.

Sa poigne se faisait forte, ses crocs étaient sortis, l'arme commençait à pénétrer dans la chair de l'homme, d'une voix rauque et agressive il prit la parole.


Approche encore une fois mon épouse, et je jure de te faire bouffer ce qui fait de toi un homme.

Le vétéran projeta le serviteur de Thral sans aucune retenue et resta près de son épouse. Son regard ne quittait pas l'homme en face de lui, qu'il essaie de faire quelque chose, et il le paierait de sa vie...
Puis dans un élan de colère il se mit à hausser le ton.


PAS DE DISCUSSION POSSIBLE LES MOMES ! FAITE CE QUE DIT VOTRE MERE ! ET DE MEME POUR TOI ZELINE !

Le Dehuit de Malemort se mit à grogner, le côté ours refaisait surface et sa patience venait d'atteindre ses limites.
--Melie
Quand l'ours se lève malgré la demande patochienne, la brune file à son tour remplir un seau d'eau, persuadée de trouver une victime à calmer. C'est que Mélie, pas bien grande et pas bien large d'épaules, est comme son amie, toute en muscles déliés à force de travaux en tous genres et combats en tous genres. C'est qu'on a l'âme guerrière au sein de la tribu, quel qu'en soit le membre.

Lorsqu'elle rejoint le vestibule, son regard d'aigle note de suite les différentes interventions nécessaires. Laissant un quidam qu'elle ne connait pas s'agiter au bout de la poigne de l'ours, elle se contente de balancer son seau d'eau sur le pauvre hystérique qui semble être pris de folie à se rouler parterre en riant comme un benêt.

Puis la nounou toise les deux gamines et fronce les sourcils.


Lucie ? Zéline ? Qu'est-ce que ces deux buches humides font dans le vestibule ?

Puis se tournant vers l'intérieur de la cuisine.

Les garçons, allez donc allumer le feu réclamé par votre mère dans le salon puisque cela paraît trop difficile aux filles, elles ont de la tisane à préparer et le sol du vestibule à essuyer afin qu'il soit à nouveau sec.

Laissant Cantor, Floris et Souffre exécuter sa demande, car on ne discute pas avec Mélie, c'est fortement déconseillé, la Narbonnaise tend la main à Thral afin de l'aider à se relever.

Venez près du feu dans la cuisine mon garçon, maintenant que vous devez avoir les idées plus claires, il est temps de vous sécher, je vous apporte de quoi vous essuyer et vous habiller de vêtements secs.

La nounou regarde l'ours et sourit.

Je crois que le pauvre garçon que vous avez empoigné n'a pas toute sa tête, peut-être qu'une petite heure au pilori dans la cour devrait calmer ses ardeurs et lui rappeler qu'ici on est pas chez mémé, mais dans la résidence bourgeoise de Pattricia La Canéda Dehuit de Malemort et de son époux.

Prenant le bras de Thran, elle l'entraine dans la cuisine.

Alors comme ça, c'est vous le petit frère disparu qui fait tourner en bourrique les filles de la tribu et cette pauvre Luae ? J'vais vous servir un godet d'alcool de poire maison et l'on va faire connaissance tous les deux.
Odalric..
Thral regarde l'ours débarqué et empoigné son serviteur et il eut un petit sourire, peut être qu'il devrait lui demander un petit entrainement avec lui cela ne fait pas de mal, Malheureusement, il na pas eu le temps de faire quoi que ce soit qu'il fut déja trempé, il lance a regard sombre a Melie mais Il lui sourit doucement quand elle l'aida à se lever après tout la tribu était comme cela.

Merci dame ?

Ni une ni deux, elle l'entraina dans la cuisine ,qu'elle bout de femme !

Oui dame, je suis bien cet homme.

Il sourit fortement quand elle lui parla d'un godet d'alcool de poire maison
--.lucie.


Citation:
Ça suffit !!!

PAS DE DISCUSSION POSSIBLE LES MOMES ! FAITE CE QUE DIT VOTRE MERE ! ET DE MEME POUR TOI ZELINE !

Lucie ? Zéline ? Qu'est-ce que ces deux buches humides font dans le vestibule ?



Hum il était des moments dans la vie où il valait mieux se faire discret... CE genre de moment quoi... !
Elle recula doucement à pas de loup regardant tout autour d'elle. Avec un peu de chance, elle ne se ferait pas remarquer...

Elle observa Melie qui emmenait l'homme en cuisine... Un instant d'hésitation et elle finit par les suivre.


- Il faut de la tisane hein Melie ? C'est ça ?

Lucie ne perdait pas l'homme du regard tout en préparant ce qu'il lui fallait pour faire bouillir de l'eau...
Posant le tout sur la table, elle s’approcha de lui en lui tournant autour.


- Hum... alors c'est donc vous ? Le frère de ma mère ?

Enfonce doucement un doigts dans son bras par curiosité. L'observe de la tête au pied avant de lui passer un interrogatoire.

- Vous habitez où ? Pourquoi on ne vous a pas vu avant ? Vous avez un château ? Vous êtes riche ? Vous êtes marié ? Vous avez des enfants ?

Elle plongea alors ses mauves dans ses yeux en attendant ses réponses.

Odalric..
Une fois arriver à la cuisine. Il regarda Melie avec insistance en espérant lui faire comprendre qu'il ne pouvait pas se changer devant elle et surtout de la petite lucie et puis qu'elle idée a t'il eut de mettre une cote de maille ... Il commençait à puer la rouille.

Il observa la petite qui tournait en rond autour de lui et fut un peu mal a laisse quand elle lui posa quelque question, ne savant pas très bien ce que Patt lui avait dit , il se contenta du minimum légal.

Oui, ta mère est bien ma sœur. Je dirais que des événements, on fait que ta mère et moi avons été séparés petits et non, je ne suis pas riche, je n'ai point de château, de femme et d'enfant. Je suis un vrai solitaire pour le moment....
Ugo_
- Moi les bûches je sais pas c 'est Lucie qui voulait le feu, alors j 'ai fait comme elle, j 'ai pris la bûche et je l 'ai laissé tomber sur le pied de l 'inconnu, je crois que de peur il a dû .... enfin tout le monde sait bien que quand on a peur, on se p...se dessus !

La mioche ne voulant pas en rajouter trois couches, car l'émeute à calmer était à son apogée. Puis la grosse voix de l 'ours lui faisait peur, en fin de compte lui seul avait une certaine influence, afin de lui faire modifier son comportement tout en lui faisant courber le dos, car bonne enfant elle disait toujours oui à tout le monde, mais n 'en faisait qu 'à sa tête.

En période crise existentielle, elle disait, faisait et colportait des histoires à dormir debout. Qui pourrait lui en vouloir ? Sa mère loin d 'elle, son père certainement à la recherche d 'un jupon parfumé, la Jeune adolescente était livrée à son cruel destin.

Et maintenant une pièce du puzzle s 'ajoutait à la famille, un frère...et l 'autre affreux qui voulait la tuer . Les histoires ne faisaient que commencer.
--Melie
Regardant le jeune homme plus jeune d'environ une dizaine d'années, Mélie retrouve les traits de l'autre frère, Alrahir, celui dont elle avait commencé à élever les petits et qui avait disparu un matin en emportant ses enfants. "C'est drôle tout de même, les fils ressemblent à leur père, alors que Patt a la rousseur de sa mère".

- Dites-moi Thral, vous allez rester dans cette tenue dégoulinante encore longtemps ? Vous savez, j'en ai vu de plus beaux, et de plus laids que vous en tenue d'Adam bien avant de vous connaître.

Mais Lucie avait à priori l'intention de ne pas lacher l'affaire et la tonne de questions sous lesquelles elle semblait vouloir noyer son oncle, menaçait de s'alourdir à l'infini.

- Ma chérie, va donc dans ma chambre et récupère une chemise et des braies de feu ton père dans le coffre sous la fenêtre, et rapporte-les ici afin que ton oncle cesse de grelotter de froid.

Quand Mélie disait "feu ton père", elle ne parlait évidemment pas de leur géniteur. Ce dernier avait perdu le droit d'être appelé ainsi quasiment dès leur naissance. Elle parlait de Michel, le compagnon décédé de la rousse, qui les avait élevés quelques temps et que la fratrie avait choisi comme père alors que les enfants avaient à peine 6 ans.
Puis regardant la porte avec agacement.


- Zeline ! Je t'attends dans la cuisine ! Tu comptes me mettre en rogne ???

Attendant que la révoltée du jour se pointe, la brune sort de quoi essuyer le sol du vestibule et fixe de ses pervenches sur l'ouverture sur le vestibule par laquelle Mini-rouquine ferait bien d'apparaître rapidement.
Odalric..
Thral l'observa en rougissant un peu, mais exécuta son ordre, il prit soin de placer ses armes et la cote de maille hors de porter des enfants.
--.lucie.


--Melie a écrit:

- Ma chérie, va donc dans ma chambre et récupère une chemise et des braies de feu ton père dans le coffre sous la fenêtre, et rapporte-les ici afin que ton oncle cesse de grelotter de froid.


Lucie regarda Mélie en faisant une moue. En temps normal, elle aurait râlait, mais ce fameux frère l'intriguait et elle voulait en savoir plus.
Et la seule manière d'en savoir plus pour elle, c'était d'accepter de coopérer.


- Oui Mélie, j'y vais.

Sans plus attendre, elle prit la direction de la chambre de sa nounou pour fouiller dans le coffre. Elle sortit d'abord une chemise, puis des braies, mais comment savoir si la taille était la bonne ? Elle déplia alors le tout en se plaçant une fois derrière la chemise et une fois derrière les braies. Visiblement tout était bien trop grand pour elle et ferait donc sans doute l'affaire. Elle serra le tout dans ses bras, prenant soin de ne pas les laisser traîner par terre et rejoignit la cuisine.

Lucie s'approcha alors de Thral et lui tendit les vêtements avec un sourire plutôt sincère.


- Vous êtes donc mon oncle... vous aimez les enfants ?

Pattricia
Lucie n'a pas le temps d'entendre la réponse car Patt se pointe dans la cuisine et embrasse d'un regard la situation, notant ça et là les différentes cicatrices sur le corps de son frère.

Ma Chérie, il se fait tard, je pense que toi et Zeline devriez aller dormir. Propose à Zeline de dormir chez nous si elle le souhaite, mais qu'elle prévienne Mariette qu'elle ne rentre pas dans ce cas. Je ne voudrais pas que cette bonne femme s'inquiète pour la petite.
Allez, embrasse ton oncle et file. J'ai déjà prévenu tes frères.


La rousse dit bonne nuit à sa fille et entreprend de mettre tasses, pichet, pot de lait sur un plateau. Puis jetant un regard de biais à son frère qui se rhabille, elle va dans le cellier pour chercher une bouteille d'alcool de poire.

Dès que tu es prêt tu nous rejoins au salon ? T'inquiète, tu ne seras pas obligé de boire de la tisane tss...

Après un sourire tendre en direction de ce frère enfin retrouvé, la vindicative part avec son plateau rejoindre les hommes de la tribu pour passer une soirée agréable entre adultes...
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