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[RP] « Les Mures… »

--__antawe
Alors qu’il attendait une réponse de la personne devant lui, personne qui semblait être le maire, le blondinet qu’était le visiteur en provenance de Cahors se retourna finalement lorsqu’il attendit quelques bruits derrière lui. Se retournant vers la source du bruit, il aperçut un jeune homme qui se dirigeait vers eux et qui avait semblait-il entendu leur question car il y répondait déjà.

« - Hey bien, je suis moi aussi ravi de faire votre connaissance messire et si l’objet de ma présence se révèlent vrai alors mon séjour ne pourra qu’être plaisant. »

Quand ce dernier leur proposa de les accompagner jusqu’à la maison des de La Canéda, le blondinet et sa rousse ne put que remercier ce dernier et le suivre jusqu’à la demeure de la famille. Il retint l’adresse au cas où il en aurait besoin plus tard et nota le chemin mentalement pour pouvoir le refaire en sens inverse sans se tromper de chemin.

En cours de route, il écouta les différentes histoires que l’homme leur racontait. Certaines était intéressantes et d’autres non mais par politesse il fit semblant de les trouver toutes intéressantes. Quand ils furent arrivés, l’homme le leur dit, ils eurent la vue d’une très grande maison. Beaucoup plus grande que leur simple petite chaumière de Cahors. Il y avait une petite muraille qui enveloppait la maison ainsi qu’une double porte en bois plutôt imposante. Lorsque l’homme les eu quitté, le couple s’avança vers la porte et cogna.

Quand on leur ouvrit le blondinet répondit à la personne qu’il venait voir la chef de la famille. L’homme qui semblait être un garde leur fit signe, sans dire un mot, d’entrer et de se diriger vers la maison. Ils traversèrent une cour qui était une cour mais aussi un jardin et finalement arrivèrent devant une jeune dame dont le blondinet ignorant tout de son identité lui adressa sa requête.

« - Bonjour à vous, Dame Pattricia. Je viens vous voir aujourd’hui afin de comprendre mieux certaines choses. Mes parents sont décédés il y a voilà 5 mois et j’ai reçu il y a quelques jours un paquet contenant cette douillette pour enfant et un mot qui me disait qu’ils m’avaient trouvé avec cette couverture pour enfant sur la route. Auriez-vous une idée de ce que cela peut signifier ? Ma fiancée et moi avons fait le chemin depuis Cahors afin de venir chercher des réponses alors j’espère que vous pourrez m’en donner. »

Il se tourna quelques secondes vers sa fiancée et lui fit signe de s’approcher de lui afin qu’ils soient à la même hauteur. Il reporta finalement son attention sur la dame qui lui faisait face.
--_atika
Et de l'ati qui suivait son fiancé comme une ombre, les yeux qui vagabondent par ici et par là, afin de pas se perdre au chemin du retour. Présence donner au grand portail de bois puis un garde fit son apparition, un haussement de sourcil de la rouquine qui entra tout en restant un pas en retrait du Blond. Pas rassurée et c'la été rare chez l'Ati. Des questions se posèrent dans sa tête de rousse. Comment la famille allez t elle réagir? Comment son Blond allait il réagir a son tour? Et si c’était pas c'te famille? Pourquoi c'blason sur c'te douillette? Bref, on allait bien vite savoir réponses a tout c'la.
Et les v'la qui traversèrent un jardin pour ensuite arrivés ensemble, toujours la rouquine d'un pas en arriere, face a une dona, surement la chef d'famille!
Un regard sur l'Antawe tout en l’écoutant attentivement puis quand c'lui ci lui fit signe de s'approcher, l'Ati se mit a sa hauteur, afin d’être a ses cotés, inclinant la tête envers la dona par politesse.
Étonner? Béh l'Ati savait se conduire en société malgré tout et bien plus qu'on pouvait l'penser!


-Bonjorn...
--Melie
[Quand j'bouffe, j'cause pas ! Quand j'boude j'cause pas non plus !]



Sauf quand Plume faisait un commentaire ou un autre, le silence régnait pendant le p'tit déj. La rousse et la brune restaient murées dans leur lutte invisible, pas pour le pouvoir nan, quoique... Mais pour le principe. Mélie en était malade évidemment, elle savait sur le fond que son amie avait une raison légitime d'agir comme elle le faisait, mais l'admettre c'était autre chose.

Pendant qu'elle grignote du bout des dents un morceau de pain couvert de miel, ses saphirs vont de Plume à Patt et de Patt à Plume, cherchant le moyen de relancer un semblant de communication sans avoir l'air de céder. C'est alors qu'un garde aux couleurs de La Force se pointe dans le vestibule et lui fait signe. Agacée d'être dérangée en plein "réflexionnement" pour savoir comment faire pour renouer sans en avoir l'air, la brune se lève et va le rejoindre.


- Hum ?
- M'zelle Mélie... J'vous dérange ?
- Nan j'brasse de l'air là ça s'voit pas ?
- ...


La nounou intendante roule des yeux agacée par l'attitude du garde et lui file une tape sur l'épaule.

- C'est pour aujourd'hui ou pour demain ?????
- S'cusez... mais des fois j'comprends pas tout s'ke vous m'dites
- Des fois ?
- Humphr...
Bon j'vous dis sinon vous allez encore m'crier dessus.
Y'a un homme blond et une femme rousse dehors, ils veulent voit la chef de famille qu'ils disent. Alors j'préfère que vous vous en occupiez, car y'a deux chefs de famille ici donc bon...


Au bord de l'étrangler, elle pousse le garde, sort à l'extérieur et se retrouve nez à nez avec le dit couple. Après les salutations de rigueur, elle n'a même pas le temps d'en placer une que le blond y va de sa tirade.

« - Bonjour à vous, Dame Pattricia. Je viens vous voir aujourd'hui afin de comprendre mieux certaines choses. Mes parents sont décédés il y a voilà 5 mois et j’ai reçu il y a quelques jours un paquet contenant cette douillette pour enfant et un mot qui me disait qu’ils m’avaient trouvé avec cette couverture pour enfant sur la route. Auriez-vous une idée de ce que cela peut signifier ? Ma fiancée et moi avons fait le chemin depuis Cahors afin de venir chercher des réponses alors j’espère que vous pourrez m’en donner. »
- Heu... Ouai... Alors celle-là... Personne ne l'avait vue venir...


Le cerveau de Mélie tourne à toute vitesse, elle tend la main pour prendre la douillette et en même temps se tourne vers l'intérieur.

- Paaaaaaaaaaaatttttttttttttttt !!!!!!!

Hystérique la brune ? Ouai grave, car là, devant elle, y'a comme qui dirait le frère de Patt, le plus jeune, le disparu, celui dont l'identité a été volée par un quidam que Patt va exécuter, pas moins, d'ici quelques heures.

- Aheum... Désolée... l'émotion vous comprenez...
Je me présente, je suis Mélie, nounou intendante et amie de la chef de la tribu, Pattricia La Canéda Dehuit de Malemort.


Les saphir grands ouverts comme des soucoupes, la brune les regarde comme si ils arrivaient d'une autre planète.

- Veuillez excuser mon impolitesse, suivez-moi s'il vous plait.

La couverture toujours à la main, Mélie rentre dans le vestibule et tourne sur la droite vers la cuisine. Mais déjà on entend toute une série de pas venant du salon et le bruit d'une chaise renversée venant de la cuisine.
Argawaen
Laissant l'épouse et la fille adoptive se rendre aux cuisines, lui se rendit au salon avec la majeure partie de la tribu mâle, Lucie étant une jeune demoiselle évidemment, et alla s'installer dans le salon. Les enfants avaient été satisfaits de leur cadeau et cela lui faisait plaisir. Cependant il ne savait pas comment réagir avec Plume. Il avait envie de l'étrangler, de la renier, de l'enfermer, mais il ne pouvait pas, il n'en avait pas le courage. C'était sa fille après tout... Et il ne pouvait pas agir de la sorte.
Beaucoup de choses lui échappaient, il espérait remettre rapidement de l'ordre dans sa tête. Il devenait pire qu'un lion en cage, il avait besoin d'exploser, il avait besoin de se sentir vivant...

Il était sur le point d'ouvrir une bouteille de Bourgogne lorsque des cris se firent entendre. Se levant du fauteuil le vétéran se demandait ce que c'était encore...
Le Dehuit de Malemort ouvrit la porte du salon en bourrin et se mit à beugler à son tour.


C'EST QUOI ENCORE CE BORDEL ?!!

L'ancien soldat se dirigea vers un garde, tira l'épée du fourreau de ce dernier et se rendit sur les lieux.
Penchant sa tête sur le côté en voyant un couple suivre Mélie le Dehuit de Malemort se demandait qui cela pouvait être. La pointe de l'arme se posa sur le sol, la paume de sa main se posa sur le pommeau de cette dernière et son regard se planta dans ceux du couple.


Argawaen Dehuit de Malemort, puis-je vous aider ?

Puis regardant Mélie.

Qu'est ce qui se trame encore ?
_________________
Plumenoire_


Les phrases de politesses … ou le …
Ouah ! C’est chaud !
De la brunette qui se brûle avec la tisane. Grignotage de tartine … La pièce est silencieuse … très .. trop … Mélie aurait-elle des envies de meurtre ? Possible … T’façon Arga devait en avoir aussi … Donc elle n’était plus à ça près. Lorsqu’un garde vient chercher Mélie, cette dernière sort de la cuisine. Plume en profite.


Des nouvelles de Souffre ?

Puis plus bas …

Tu penses qu’p’pa va me tuer ? Tu le laisseras pas faire hein ?

Pas que la brunette s’inquiète hein ! N’allez pas croire ça ! Mais c’est juste que si elle pouvait ne pas mourir si jeune, ça l’arrangerais.
Levant son bol de tisane chaude, la brunette prend une gorgée, essayant de mater la créature liquide qu’elle n’aime qu’avec plein d’alcool dedans …


- Paaaaaaaaaaaatttttttttttttttt !!!!!!!

- ‘tain !!


La tisane, créature sauvage, liquide, brulante et incontrôlable est enfin passée à l’attaque ! Jaillissant sur la lèvre supérieure et le menton de la brunette sans défense. Self-défense oblige, la louve envoi voler l’attaquant qu’est le bol et se lève avec violence repoussant le liquide l’essuyant d’un revers de manche. La chaise tombe …
Devant le regard désapprobateur de sa mère, et le bol brisé, elle sourit penaude.


C’est pas moi ! C’est elle ! Elle m’a attaqué ! pis c’est l’bol … C’est son complice …

C'EST QUOI ENCORE CE BORDEL ?!!


Bon sang de …. La brunette tourne la tête vers l’entrée. Sortant sa dague au cas où …

J’vais voir !

Et de filer en vitesse avant que Patt’ ne la gronde d’avantage. Dans son fol élan, elle se stoppe juste avant de rentrer dans l’ours qui se présente.

Plume Dehuit, sa fi…

Le regard se fige sur le blondinet. Mais … C’est …

Vous ? Ici ? Quelle surprise !

Le sourire amusé, ironique, insolent aussi … Bin voué ! Elle lui a crayonné dessus quand même ! –‘fin presque mais ça on l’dit pas elle en est bien trop fière - pis lui a grondé dessus … pis tout ça tout ça quand elle est passé à Cahors ! Alors elle va pas le manquer, surtout que … elle est ici chez elle !
Adossage en règles au mur aux côtés de l’ours. Elle est certaine qu’il ne la grondera pas devant des inconnus. Dague tranquillement dans la main, elle observe les deux arrivants, curieuse.


--_cantor
Mini-Elle avait légèrement pâli quand sa mère lui avait jeté ce drôle de regard. "Pourquoi j'sais pas faire semblant avec elle pfff !" Quand son père lui avait glisser la lame sous la chemine, il avait ressenti de la fierté, même si il savait pertinemment que personne ne le laisserait approcher de Thral, ça l'avait tout retourné que son père lui fasse confiance. Mais maintenant qu'il regardait le soleil de sa vie partir vers la cuisine avec leur grande sœur sans qu'elle lui adresse un mot ou un regard, cette fierté s'était soudain émoussée.

Ils restent donc au salon avec l'ours qui semble bien taciturne. Cantor regarde souvent en direction du couloir qui mène à la cuisine, espérant entendre la voix maternelle les appeler, mais non rien... "Il nous entraine avec lui à rester dans cette pièce, mais il reste dans ses pensées..." Mais comme tout garçon de son âge, il passe vite à autre chose et pose son bateau sur la table, ses jades pareils à sa mère admirant chaque détail. Mini-Elle imagine déjà l'avenir, le voyage en Italie, la construction du navire, la traversée de la Méditerranée et l'arrivée sur l'océan. C'est alors que...


- Paaaaaaaaaaaatttttttttttttttt !!!!!!!
- Papa c'est Mélie qui crie à l'entrée !!!


Quand l'ours se précipite en direction du vestibule, le jeune garçon lui emboite le pas, sortant instinctivement de dessous sa chemise la lame confiée par son père, prêt à en découdre avec tout ennemi en vue. Manquant de buter dans le paternel qui est arrêté face à un couple et Mélie, il voit arriver Plume dague à la main, puis sourire, et enfin se présenter comme vient de le faire Arga. Il sort donc de derrière ce dernier, bien trop frêle encore pour être visible et sourit.

- Bonjour !
Moi c'est Cantor La Canéda Dehuit.


Puis il aperçoit la couverture dans la main de Mélie.

- Pourquoi tu as cette couverture de quand on était petit Mélie ?
--Floris
Une fois n'est pas coutume, c'est lui le frère pénible ce matin, il s'amuse avec son beau coupe papier à soulever le collier de sa sœur qui évidemment ne se laisse pas faire. Une sorte de joute, course poursuite s'en suit dans le salon. Et une fois n'est pas coutume, leur frère ne s'en mêle pas et ne fait même pas attention à eux. D'ordinaire, l'ours les aurait peut-être rappelés à l'ordre afin qu'ils cessent tant d'agitation, mais l'homme était assis sans rien dire et semblait fort taciturne.

Entre de cris d'orfraie de Lucie et ses menaces de tortures sorties de son imagination fertile, Floris rit et la nargue en sautillant dans tous les sens à chaque fois qu'elle veut le choper. Il en était à lui dire des âneries juste pour la faire sortir encore plus de ses gonds quand plusieurs choses se passent, d'abord le cri de Mélie, puis celui de Cantor, le départ précipité de l'ours qui crie à son tour et Cantor qui le suit, pas aussi vite, taille oblige mais tout de même.


- Heyyyy !!!
Nous aussi on veut v'nir !!!


Puis se tournant vers sa sœur.

- Viens Lucie, ils vont s'amuser sans nous on dirait !

Et le voilà, prenant la tête de leur duo, sans plus s'occuper de savoir si Mini-Chieuse le suit ou pas, il fonce à son tour vers le vestibule pour y arriver au moment où son frère se présente et parle d'une couverture d'enfant.

- Bonjour Messire, Bonjour Dame, je suis Floris La Canéda Dehuit.

Il ne peut s'empêcher de se la péter un peu et joue avec son coupe papier comme si c'était une dague. Se rendant compte du ridicule de la chose, il rougit et fait disparaitre le coupe papier sous sa chemise.
--.lucie.


Lucie était contente et avait commencé cette journée dans la bonne humeur.
Tout se passait plutôt bien jusqu'à ce que Floris décide de poser ses sales pattes sur son nouveau collier. Il était hors de question qu'il y touche, hors de question ! Et pourtant, il osa...
Elle rentra alors dans une colère noire, partant à sa poursuite dans tout le salon, n'épargnant pas le fauteuil de son saut. Et plus il lui échappé quand elle voulait le saisir de sa main pour l’étriper, plus elle s'énervait, lui criant une ribambelle de vilains mots.

C'est alors que des cris se firent entendre et ils stoppèrent net leur course.


- Viens Lucie, ils vont s'amuser sans nous on dirait !

Que faire ? L'ignorer et rester ici ou lui donner raison et le suivre ? Elle n'aimait pas bien la dernière option, mais si il y avait de l'agitation quelque part, elle devait en faire partie! Sans plus attendre elle le suivit en courant pour se rapprocher du reste de la famille déjà présente sur place.

Mais qui était donc cet homme et cette femme... ? Une petite couverture... mais pourquoi ?
Poussant ses frères pour venir se placer devant et prendre toute l'attention, elle se présenta également, puisqu'il le fallait visiblement.


- Bonjour ! Moi je suis Lucie La Canéda Dehuit !

Pattricia
[Quand j'bouffe, j'cause pas ! Quand j'boude j'cause pas non plus !] Le retour...




Le déj était pas forcément un des plus agréables qu'elle ait vécu. Aussi bien Mélie qu'elle restaient sur leurs positions. Plume avait bien fait quelques tentatives pour détendre l'atmosphère, mais elle avait fini par abandonner. Puis le garde avait fait ses simagrées pour attirer Mélie dans le vestibule et Patt avait haussé les épaules. "Sans doute la missive qui arrive de la part de Souffre..." A la question de Plume

Sans doute est-ce cela qui a fait se pointer le garde, faut se dépêcher, le moment de l'exécution n'est plus loin.

Avalant un peu trop vite son breuvage, la rousse se met à tousser à en cracher un poumon, puis soudain Mélie qui l'appelle, Plume qui se brûle, la chaise qui se renverse et l'excuse de l'année qui tombe...

- C’est pas moi ! C’est elle ! Elle m’a attaqué ! pis c’est l’bol … C’est son complice …

- C'EST QUOI ENCORE CE BORDEL ?!!

- Heu... 'tain s'passe quoi encore ? Souffre n'a pas ramené l'assassin aux Mûres j'espère ! Et toi, fait gaffe avec la vaisselle, j'vais mettre à la poterie moi t'vas voir !
- J’vais voir !
- Ouai, c'est ça, défile toi...
Moi, j'finis ma tartine quand même, y'a assez de gardes dans cette maison pour que je puisse terminer de déjeuner tranquille 'tain !


Le truc qu'est chiant quand vous êtes pas au bon endroit, c'est que vous entendez des exclamations, des phrases tronquées et que vous comprenez rien à ce qu'il se passe. Donc en résumé, ben vous vous levez pas vraiment d'humeur, vous traversez la cuisine, arrivez dans le vestibule où vous poussez votre ainée car elle bouche le passage, repérez plus ou moins la situation et plantez vos jades dans le regard d'un blond et d'une rousse. "Mais qui peut se pointer chez les gens à une heure pareille ?"
La rousse va pour leur sourire quand son regard tombe sur la couverture d'enfant.


- Mélie ? D'où sort cette couverture ? C'est pas une des enfants quand ils étaient bébés, tu m'expliques ?
- Ben ce jeune homme prétend que cette douillette lui appartient et qu'il a récupéré avec un mot dans lequel il est stipulé que les parents qui l'ont élevé n'étaient pas ses vrais parents.
- 'tain ça r'commence...


La rousse tend une main tremblante vers le couverture, se tourne en direction de la lumière du jour qui passe par la porte ouverte, passe à côté du couple sans les regarder, hypnotisée par la broderie qui se trouve sur le tissu ancien. Elle s'assied sur les marches du perron donnant sur la cour et commence à avoir la vue brouillée.

Mon ange s'il te plait...

Elle tend la main, peu importe que l'ours soit encore dans le vestibule, elle essaie juste de reprendre pied et son époux est le seul qui soit assez solide pour l'y aider.
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Argawaen
Le vétéran vit toute la tribu, Plume y comprit se joindre à lui, faire les présentations et être aux aguets. Il souriait doucement en voyant une telle complicité entre eux tous, prêts à bondir s'il le fallait.
Puis vint son épouse, il se demandait ce qui se tramait encore, voilà qu'elle était en train de perdre pied. Il lui prit la main et fit en sorte de l'appuyer contre lui comme il se devait.


On m'explique ou bien ? J'en ai plus qu'assez de jouer aux devinettes ces derniers temps. Alors mercé de faire simple et rapide !

Sa patience était à bout, et depuis quelques temps il l'était encore moins. Le vétéran voulait du concret, il en avait assez des magouilles, des mystères, des histoires qui se tramaient dans son dos. Désormais il n'avait plus envie de faire de détails.
Il fronçait les sourcils puis regardait les étrangers.


Alors ? Que venez-vous faire ici ? Faite vite !

Le Dehuit de Malemort regardait Plume, lui faisant signe d'agir si nécessaire, il savait que même si c'était tendu entre eux il pouvait se fier à elle.
Derrière lui il sentait les enfants présents, il savait qu'il ne pourrait pas agir à sa guise, il allait devoir faire preuve d'autorité et non de violence.

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--__antawe
Après s’être présenté lui et sa fiancée de rousse, le blondinet attendit une réponse de la personne qu’il prenait pour la chef de famille, il était loin de se douter qu’elle était simplement l’intendante nounou de la maison. Elle prit la parole mais le blond ne comprit pas trop ce qu’elle voulait dire par personne ne l’avait vu venir celle-là ? Il chercha à comprendre quelques instants mais finalement laissa tomber cette idée lorsque la jeune femme, qui était quand même pas mal pour son genre, se mit à crier fort, tellement fort que le couple pu entendre des bruits dans la maison comme des personnes qui se dirigeaient à la course vers eux. Le blond porta les mains à ses oreilles pour les couvrir mais finalement ses tympans en prirent pour leur grade. Il secoua la tête doucement pour reprendre ses esprits.

En un cours laps de temps, la jeune femme que l’Antawe avait prise pour Pattricia de La Canéda se présenta comme étant Mélie l’intendante de la maison et aussi amie de celle qui était la chef de la famille et s’excusa pour avoir crié mettant cela sur le coup de l’émotion.
Ouais ouais c’est ça l’émotion … mes tympans en ont quand même pris un coup.

La douillette entre les mains de la nounou, le blondinet et la rousse sur ses talons suivirent Mélie jusque dans le salon lorsqu’elle les avait invités à la suivre réalisant qu’ils étaient encore dehors. Arrivé dans la cuisine, il semblerait que toute la famille s’était donné le mot car un homme, celui qui avait surement crié peu de temps avant d’apparaître, plutôt musclée apparu dans la cuisine une épée à la main. Antawe porta la main à son épée aussi afin de pouvoir au moins défendre sa vie et celle de sa douce si jamais ce gros tas de muscles tentait de leur faire la peau mais finalement il n’eut pas besoin de défendre sa peau pour le moment car l’homme posé la pointe de l’épée sur le sol et prenant appui sur le pommeau se présenta et leur demanda ce qui se passait. Il s’adressa ensuite vraisemblement à la dame qui les avait accueilli et le blond écouta pas trop fixant l’épée … au cas où...

« - Je viens voir Dame Pattricia de La Canéda pour avoir des explications concernant cette douillette retrouvée … »

Après ce fut le tour d’une jeune femme de sortir et il porta son regard sur celle-ci. Elle lui disait quelque chose et c’est lorsqu’elle se présenta qu’il se souvint d’elle. Elle était passée à Cahors il y a quelque temps et elle avait même voulu lui dessiner sur le visage avec un bout de charbon … Elle le reconnut en même temps que lui vu sa réaction et il lui adressa la parole très rapidement.

« - Oui, moi aussi ainsi que ma fiancée petite peste. Je te surveille cette fois-ci alors pas de moustache hein ? Je suis venu voir ta mère pour une histoire de famille on dirait … »

À peine avait-il fini de parler qu’encore une fois quelqu’un d’autre se présentait. Un petit garçon se présenta et qui lui aussi se présenta. Il adressa quelques mots lui aussi à la nounou lui demandant pourquoi elle avait cette douillette de quand ils étaient petit. Était-il lui aussi membre de cette famille ? Était-ce pour ça qu’il avait cette couverture ? Il espérait le savoir bientôt avant que toute la famille débarque … Ce qui naturellement fut le cas. Un autre garçon et une autre jeune fille débarqua et tous les deux se présentèrent. Ils étaient polis dans cette famille dit donc. Lui, il s’était même pas encore présenter et il en profita pour le faire.

« - Je suis Michael de Paseron et voici ma fiancée Atika de Valentré… Est-ce que la chef des lieux va arriver bientôt ?»

Comme de fait comme, une dame rousse arriva peu de temps après la dernière qui s’était présenté sous le nom de Lucie. Le blond et la rousse, la nouvelle rousse, s’observent pendant un instants avant que le regard de cette dernière soit attirée par la couverture qui semblait si importante aux yeux de tous. Après un échange de mot entre les deux amies, le blond ne peut que comprendre qu’une situation du genre a eu lieu peu de temps avant et celle-ci ne semble pas s’être bien terminée au vu des réactions de tous.

Le blond voit la rousse passer finalement à côté de lui sans le regarde trop occuper par observer la couverture. Quand elle prit place sur les escaliers, le blondinet s’avança vers elle afin de l’aider vu qu’elle semblait perdue mais son mari, probablement, qu’elle avait appelé était arrivé avant lui. Le blond s’arrêta finalement et retourna auprès de sa rousse à lui, lui prenant la main cherchant un peu de réconfort. Il ne pensait pas que cette visite serait aussi … dure. Il répondit finalement à la question de l’homme à l’épée.


« - Écoute nous ne sommes pas venus pour avoir des problèmes ma fiancée et moi. Mes parents m’ont transmis la douillette que votre épouse tient en main en me disant que j’ai été adopté et qu’on a trouvée celle-ci avec moi. Je ne me souviens même plus de mon enfance et tout ce que je veux c’est des réponses. Je vais me marier dans peu de temps alors j’aurais aimé savoir si vous êtes ma famille ou non afin de vous inviter à mon mariage mais si je dérange je repasserais un autre jour ou pas … Alors si vous savez pourquoi j’avais cette couverture dites le moi sinon je partirais avec cette dernière et vous me reverrez plus. »

Le voilà qu’il était vindicatif le blondinet. Il n’aurait jamais cru cela de lui …
Pattricia
Toujours sur le perron appuyée contre l'ours, Patt écoute les explications du blond, ses jades allant de lui à la couverture d'enfant et vise versa. Elle serre l'avant-bras d'Arga de ses doigts tremblants pour l'apaiser et déglutit. Il était temps qu'elle réagisse.

Cette couverture vois-tu mon ange, était la mienne quand j'étais bébé et a été celle de mes frères après moi. Comme tu peux le voir, elle est blanche pour imiter l'argent du blason, mais les broderies sont d'Azur et cette Salamandre est celle des La Canéda.

Elle marque une pause, histoire que sa voix ne monte pas dans les aigus révélant qu'elle est submergée par l'émotion.

Si la lettre de vos parents est authentique, alors vous êtes mon plus jeune frère, et votre nom n'est pas Michael de Paseron, mais Michael La Canéda et je suis votre sœur, Pattricia La Canéda épouse Dehuit de Malemort.

Elle jette un coup d'œil de côté à l'ours, le sentant se crisper au fur et à mesure qu'elle parle et se jette à l'eau.

Je rêve de retrouver ma famille depuis très très longtemps, et si la situation n'était pas si dramatique, je vous aurais déjà sauté au cou, accueillis tous les deux avec enthousiasme, mais il vient de se passer un drame qui vous concerne. Je propose donc à tous le monde d'aller au salon, de nous installer, de prendre une boisson forte, et je vais tout vous expliquer.

Elle entraine son époux à l'intérieur de la maison, prenant la direction du salon, notant au passage que Cantor a une dague aux armes de son mari à la main. Le moment n'était pas à la mise à jour des petites magouilles père-fils, mais ces deux là ne perdaient rien pour attendre. Elle allait devoir expliquer tout ce qui s'était passé dernièrement et ça n'était pas vraiment pour lui faire plaisir. Surtout que le jeune homme qui était arrivé avec sa fiancé, n'avait aucune idée de ce que sa sœur allait devoir faire d'ici quelques heures...

Elle pose donc son popotin dans un des deux grands fauteuils, l'autre étant pour l'ours. En face, il y a le grand sofa oriental pour les adultes présents et des poufs pour les enfants. Le grand tapis venue de Perse permet de rendre le sol moins glacial. Mélie s'occupe d'apporter les alcools et se pose dans un coin, ses fils ravivent les braises dans la cheminée et y rajoutent des buches. "Le moment est venu de tout dire... ou presque...".

_________________
--_atika
Et Paf, c’était pas la Chef de famille mais la nounou qui les avait accueillit. Il faut dire aussi que être accueillit par une chef de famille dans une famille de nobliaux était pas a la carte. Et d'un beuglement dans les oreilles du couple, plissement des yeux de la rousse d'Ati tout en serrant les crocs, remuant son museau, c’était comme ça qu'on accueillait les gens chez eux? Béh l'Ati a vue bien pire que c'la et si elle était là c’était par amour de son blondinet. Juste après le cri d'la nounou, un bruit se fit et résonna a l’intérieur d'la maison. Bordel, ils étaient combien la dedans? Toute une tribu? Si c'la était la famille du blondinet d'son coeur, la rousse allait devoir etre patiente et surtout un peu moins piquant que d'habitude. Oui, l'Ati était connue pour savoir mordre quand il le fallait et se genrai pas pour l'faire savoir. Mais avait elle l'choix? Enfin, la nounou se présente, un hochement de tete pour la rouquine tout en portant son regard sur son fiancé, entendant un homme qui hurle "C'EST QUOI ENCORE CE BORDEL ?!!"

Et v'la le couple qui répondit a l'invitation de la Melie quand tout a coup, un homme arriva une épée a la main, réflexe de la Louve, montrer les crocs et porter la main a sa dague, durant que son blond porte la main a son épée. Oui, elle ose chez les nobliaux. Pourquoi? Faut bien qu'elle se défende non?! Soit, L'Ati porta son regard sur cet homme et le dévisagea de haut en bas durant que son Blondinet disait qu'il venait voir une certaine Pattricia.

le regard de la rousse se porta sur la nouvelle arrivante, l'Ati la reconnut parfaitement. Elle était passée a Cahors, il y avait peu de temps. C'te jeune fille était accompagné d'un loup. mais qu'est ce qu'elle fessait ici? C’était sa famille? Quel coïncidence! Laissant parler son aimé, l'Ati écoutait laissant son ouïe grande ouverte. Et de la rousse qui incline la tête doucement vers la jeun e femme au Loup.


Et en v'la core un, un petiot comme la rousse appelée les enfants! Qui se présenta, l’éducation était bien faite dans c'te famille. Comme ci ils étaient pas assez nombreux, ils en fallait encore deux qui débarquent, un haussement de sourcil, les écoutant attentivement, regardant tout l'monde chacun leur tour avec le même intérêt. Perdue l'Ati? Non, surtout pas perdue mais méfiante!


- Je suis Michael de Paseron et voici ma fiancée Atika de Valentré… Est-ce que la chef des lieux va arriver bientôt ?

Et du Blond qui prit enfin la parole pour les présenter, elle aurai pas a le faire.
Une rousse arriva la dernière. Quoi une rousse? Un haussement de sourcil regardant la rousse qui était très certainement la chef de famille. Elle semblait attirée particulièrement par la douillette d'Antawe. D'ailleurs cette douillette avait fait plusieurs mains pour atterrir dans les mains de l'autre rousse qui partie s'installer sans les regarder, passant a coté d'eux. L'Ati posa ses yeux sur cette rousse qu'Antawe partie rejoindre mais pas assez vite car l' homme a l'épée avait emboiter l'pas aussi vite.
Le blond revient donc aux cotés de l'Ati qui serra sa main pour lui donner le courage qu'il avait b'soin et surtout le réconfort.


Et v'la que le blond avait surement puissé l'courage du Volcan pour sortir se qu'il sortit. Un haussement de sourcil de l'Ati, un sourire en coin, restant sur ses gardes malgré tout. C'est qu'elle pensait pas être accueillit comme c'la.

Le regard rivé sur l'autre rousse qui était pas très bien, l'Ati ne lâcha pas la main de son futur tout en la serrant davantage en guise de lui donner la force d'aller jusqu'au bout.
Pattricia c’était bien elle, la rousse, la soeur du Blond? Alors l'Antawe avait surement trouvé sa famille, la vraie mais...c’était encore a voir, 'fin, a entendre surtout.

laissant passer tout le monde, tenant la main de son Blond pour pas le perdre dans la foule des nobliaux, elle emboita l'pas mais pas très rassurée tout de même. C'est que la Ati était plutôt du style "sauvage" mais bon, pour faire plaisir a son futur, elle inclina la tête, suivant tout l'monde, laissant son regard bleu se porter par ici et par la. C'est toujours en tenant la main de son Blondinet que la rousse d'Ati s'installa dans le Sofa aux cotés d'Antawe, prête a écouter c'te histoire...
Argawaen
Le vieil homme écoutait avec soin les propos des uns et des autres, voilà donc qu'un frère supplémentaire venait s'ajouter à la tribu, mais il n'en restait pas moins méfiant. Lentement le vétéran cala la lame de son arme sur l'épaule et se laissait entrainer par son épouse dans le salon.
Laissant les étrangers et la rousse s'installer le vieil homme fit de même par la suite. Il prit le soin de déposer l'arme sur la table basse et croisa les doigts. Son regard faisait le tour de la pièce, pour ne pas dire des personnes et fixait ensuite cette fameuse couverture.

Le Dehuit de Malemort laissait un peu de silence dans la pièce et se décidait donc une fois de plus à ouvrir le bal.


Messer, pardonnez d'abord ma froideur et mon agressivité, mais ma patience est mise à rude épreuve ces temps-ci.

Inspirant un bon coup le vieil homme poursuivait.

Sous prétexte que vous avez cette couverture, vous seriez donc un membre de la famille de mon épouse. Pouvons-nous réellement vous faire confiance ?

Le Dehuit de Malemort regardait le couple tour à tour, puis son épouse, il n'aurait certainement pas du prendre la parole, mais il voulait savoir, il n'avait plus envie de tourner autour du pot concernant les affaires familiales, si quelconque personne avait de mauvaises attentions, elle n'aurait pas le temps de sortir d'ici...
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Plumenoire_


En entendant les paroles du blond les crocs sortent avec violence et elle gronde.

J’suis pas une peste ! Nan mais !

Puis Patt’ arrive, elle perd pied. La Louve jette un œil sur la douillette. Elle n’y connait rien aux écus, mais elle comprend immédiatement la situation. Le blond s’avance, elle bouge, Arga prend les devants. La brune salut d’un signe de tête la rousse qui lui revient elle aussi.
Le regard d’Arga ne lui échappe pas. Elle raffermie sa prise sur sa dague et se place en avant ses frères et sœur, protectrice, les laissant observer à loisir la scène tout de même.
Michael … C’est son nom, haussement de sourcil et grognement lorsqu’il tutoie son père.


S’calme oui … ?

Mais Patt’ continue et parle. Son frère ? L’oncle de la Louve qu’elle est ? Lui ? Suivant le mouvement, faisant signe aux plus jeunes de suivre, la brunette va s’adosser au mur non loin des parents, mais près des invités aussi … histoire de pouvoir agir rapidement.
Arga, en homme de la famille qu’il est, prend les choses en main. Plume grimace, se sentant légèrement, voire carrément, visée …


Sous prétexte que vous avez cette couverture, vous seriez donc un membre de la famille de mon épouse. Pouvons-nous réellement vous faire confiance ?

Elle aurait bien envi de répondre « nan ! Il m’a traité de petite peste ! ». Mais vu la tension du moment, elle préfère garder le silence, écoutant les différents intervenants en silence.
Peut-on lui faire confiance ? Elle n’en sait rien … La trahison de Thral est encore trop fraiche. Pourquoi eux et pas lui ? Un autre imposteur ?
Elle l’avait déjà croisé … Lui faire confiance ? Oui ? Non ? Qu’en pense Patt’ ? Arga ?
Elle n’aime pas le fait que Patt’ se laisse convaincre si facilement …

Pourtant, c’est elle qui a dû en souffrir le plus …
Elle les observe, méfiante, jouant avec sa dague. Certes, ce n’est pas très dissuadant, mais vu qu’elle n’a pas son épée … C’est toujours mieux que rien.
Au moindre faux pas, elle ne les laissera pas s’en sortir indemne …


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