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[RP] « Les Mures… »

Pattricia
Sa présence était réconfortante, mais mon petit doigt me disait qu'il était en fait passé me dire au revoir plutôt que bonsoir... Le regardant prendre les châtaigne et les faire sauter dans ses mains en se brûlant j'éclate de rire.

Nan mais franchement ! La dernière fois ne t'a pas servi de leçon on dirait ! Pose ça sur la petite assiette que j'ai mise à côté de l'âtre. On va les laisser se refroidir un peu, inutile de se précipiter.
Dis-moi... J'ai une question... Hmm voilà... Tu ne serais pas venu me dire que tu quittais Sarlat par hasard ?


Voyant sa tête je commence à comprendre... Ne voulant pas lui montrer comme j'étais déçue de ne pas pouvoir profiter de lui encore les deux jours qui me restaient, je fais contre mauvaise fortune bon cœur et lui souris.

Ne fais pas se regard contrit, je savais que tu avais demandé à être libéré de tes obligations et je comprends tout à fait que Castillon te manque, ainsi que tous tes amis. C'est juste que... Ben avec toi je peux être moi-même, je n'ai pas besoin de mettre ce masque de perpétuel gaîté sur mon visage. Tu vas me manquer, mais promis je te donnerai de mes nouvelles. Et toi tu as intérêt à ce que ton "doudou" ne mette pas des jours à m'amener tes missives car sinon je le mets en broche direct !

Riant de son air offensé, je nous sers un nouveau verre de Bergerac à chacun...

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Gourry
Gourry était offensé mais pas trop quand même,il en souriait.
Il prit le verre offert par Pat et riait de savoir ce qu´elle ferait de son pigeon adoré.


Va pas l´embrocher mon pigeon,il te portera des nouvelles promis et je comptes sur toi pour m´en donner aussi hein!

Finissant son verre...Il est tard,je dois partir,merci pour cette accueil,prends bien soin de toi surtout et surtout,des nouvelles!!!

Il lui fit une énorme bisouille sur la joue gauche qui lui laisssera peut être une marque.
Il en sourit et prit la direction de la porte,l´ouvra et se tourna vers Pat
.

A bientot!...Sourit et fit un grand signe de la main.
Pattricia
Appuyée sur le pas de la porte je le regarde partir... Encore un... Le verre à la main, je soupire, la lune encore haute dans le ciel me donne des envies d'écriture... J'allais disparaître et laisser Sarlat qui survivrait bien sans moi ça me déchirait, penser au village et à ce qu'il pouvait devenir alors que mes enfants seraient là sans défense... ça me donnait envie de hurler !

Prenant un châle accroché à une patère dans l'entrée, je pose mon verre sur une console attrape ma besace et file vers mon arbre à palabres, triste mais décidée à lui laisser quelques parchemins qui s'effaceront avec le temps...

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--Melie


La soirée avait été très calme, Pat et les enfants avaient joué ensemble et le dîné avait été plutôt gai.
Sensible et surtout à l'écoute de son amie, elle avait laisser la mère et les petits seuls dans la chambre. C'est alors qu'elle l'avait entendue chanter pour la première fois depuis qu'elles se connaissaient...

Mélie était trop émue, elle ne pouvait pas l'attendre, elle ne voulait pas ajouter à son chagrin en restant là dans la cuisine à larmoyer...

Le jeune femme monte l'escalier et passe la tête par l'entrebâillement de la porte, Pat avait couché les enfants dans le grand lit du fond et s'était couchée près d'eux. N'osant rompre ce moment d'intimité, elle referma la porte et alla se coucher...
A peine couchée, la chanson repris et c'est sur cette voie douce et mélancolique que Mélie s'endormit... et pleura...
Mariceleste
[ Quelque jours plus tard........]

Mari avait fait une promesse a Pat, celle de veiller sur les enfants et Mélie et de seconder celle ci auprès d'eux pendant sa longue absence.
Elle Passa donc ces son amie Pat pour voir si tout aller bien et pour aider Mélie, car elle avait beaucoup de travaille entre le linges, le ménage, la cuisine et les enfants, ces ptit bout t'chous si adorable et qui grandissaient très vite.
Mari arriva devant de la porte, frappa et attendit un moment que Mélie vienne l'ouvrir, comme personne ne vint elle entra toute seule
, Mélie à pas du entendre frapper a la porte, elle doit être occupée se pensa telle.

Méliiiiiiiiiiiiiiie, tu es làààààààààààà, c'est moi Mariiiiiiiiiiiiiii....... ouuuuhh ouuuuuhh !!!

Comme Mélie ne répondait pas Mari monta a l'étage ou se trouve la chambre des enfants, elle y entra doucement pour ne pas les réveiller s'il dormaient.
Et bien non ils étaient là, bien réveillés, assis sur le lit s'amusant avec Mélie, c'était une joie de les entendre tous les quatre rire aux éclats, car Mélie était profondément touchée par le départ de Pat.
Mari s'approchât embrassa très fort les enfants et Mélie qui retenait ces larmes pour ne pas effrayer les enfants


Bonjour Mélie comment vas tu aujourd'hui ? Je vois que les enfants sont content, ça fait plaisir de les voir comme ça, je suis venue passer la journée avec vous et t'aider si tu as besoin !!

Mari se joignit a eux et passa toute la journée a rires aux éclat et s'amuser.
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Mariceleste
Mari arriva très tôt chez Pat, elle avait les bras chargé de paquet et ça besace contenant ces affaires pour s'installer chez elle pendant son absence.
Elle avait reçue une missive de Zoltem la filleule de Pat lui disant quelle arrivait le jour de Noël et quelle rester quelques jours.

Mari arriva devant le perron frappa TOC TOC TOC..... puis entra sans attendre.


- Melie, Meliiiiiiee...... c'est moi Mari, vient vite m'aider j'ai les bras chargés.

Melie arriva en courant pour l'aider. voilà Mari j'arrive tout de suite et bien ils vont êtres gâtés les enfants ils seront content de voir tout ça.

Mari et Melie alla au salon déposer les paquets pour pas que les enfants ne les voient.

Aller on va cacher tout ça sur le grand meuble comme ça ils ne verront rien. Voilà qui est mieux, bon Melie je monte déposer mes affaires dans mon ancienne chambre et nous auront une invitée, elle prendra la chambre de Pat, c'est Zoltem ça filleule elle vient passer Noël avec nous et elle restera le aussi longtemps quelle le voudra.
A oui moi je m'installe ici ces pour te seconder avec les enfants ça m'évite les aller venue dans se froid.

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Zoltem
Arrivés à l'aube avec Messire Cemoi et Dame Mimi, la jeune vierge franchissait la poterne du village... Revoir Sarlat lui faisait tout drôle. Après avoir salué ses protégés, elle fait demi tour et se dirige à l'embouchure du lac et de la Dordogne.

La maison et le moulin à eau étaient là, la brume donnait une ambiance étrange à ce lieu unique entre tous. Le bruit de la roue plongeant dans le courant assez fort à cet endroit arrivait assourdi par l'épaisseur du brouillard.

La jouvencelle passe le portail laissé ouvert à son intention et descend de sa jument, une bête plutôt revêche et peu facile à approcher comme sa maitresse. L'attachant à un anneau, elle ferme le portail et y place une barre de sécurité, elle avait toujours pensé que le côté indépendant de sa marraine lui jouerait des tours un jour à toujours vouloir vivre à l'écart. Certes, la maison et le moulin formaient un lieu enchanteur, mais vivre hors des remparts du village était aussi un risque.

Après avoir mis sa bête à l'écurie et l'avoir restaurée et bouchonnée, la jeune fille se souvient qu'elle attend une visite et s'empresse de réouvrir le portail. Bon... que fait-il ?

Un bruit étouffé d'un glissement appuyé se rapprochant se fait entendre et petit à petit se distingue une silhouête plutôt imposante.



Ahhh le livreur de sapin juste à temps pour que je puisse tout installer avant que les enfants ne se réveillent.

Après avoir réceptionné "la bête" et réglé la course, la jeune vierge entre discrètement dans la maison et entreprend de tout installer. Rhoo trop mignon ! Mélie et Mari on décoré la cheminée !



L'installation du sapin s'avèra plutôt laborieux surtout en ne faisant pas de bruit mais elle finit par arriver à ses fins.



Tout était simple, comme Pat aurait aimé le faire pour ses enfants et Il ne lui restait plus qu'à faire flamber les cheminées du rez-de-chaussée et à mettre en route un petit déjeuner dont tout le monde se souviendrait...
Mariceleste
Mari n'avait pas enttendu Zoltem arriver mais elle fut réveillé par une bonne odeur qui sortait de la cuisine, elle se leva enfilla sa robe de chambre et descendi a la cuisine quel fut pas sa surprise .......

Oooohhhhh Zoltemmmmm, toi ici, quel bonne surprise, je susi ravie de te revoir.
Hummmm ta même préparée le ptit déj, waouhhh merci, les enfants vont êtres ravie aussi !!
Ta même apportée le sapin super je vais vite mettre mes paquets pour les enfant !!


Mari et folle de joie de voir Zoltem et d'avoir de l'animation dans la maison, les enfants aller êtres content de voir se jolie sapin et tous ses paquets au pied.

[Quelques heures plus tard....]

Après avoir prit un succulent petit déjeuné, Mari monta a l'étage chercher les enfants qui c'étaient réveillés.
Elle entra dans leurs chambre les bisouilla très fort et les emmenat dans la cuisine pour le petit déjeuné.

Une fois fini , Mari les emmena dans le salon au pieds du sapin pour leur montrer les paquets qu'il avait reçue.
C'était une joie de les vboir comme ça avec de grans yeux écarquillés qui regardaient partout, la maison était remplie de joie et de bonheur !!!!

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Zoltem
Elle ne voulait rien dire, elle regardait Mari et les enfants si heureux, jouant ensemble et elle était dévastée par la douleur. Lilou s'était enfuie dans la nuit pour devenir brigande et mourir, n'arrivant plus à lutter contre cette fichue maladie qui lui avait donné un répis pour les fêtes.

Mais le drame n'était pas que là... Pat lui avait écrit et appris l'effroyable tragédie et elle ne savait que faire... Elle devait partir sur Aurillac de toute urgence essayer de retrouver les enfants au plus vite, le filleul et la nièce de sa marraine, Al et Survie étaient morts et Pat coincée à Genève était impuissante à essayer de retrouver les enfants.

Regardant Cantor, Floris et Lucie, la jeune vierge décide qu'il faut qu'elle explique à Mari pourquoi ce bref passage...
Les petits ont l'air si contents...

Mari... J'ai une nouvelle affreuse à t'annoncer et sache que Pat à plus que jamais besoin de ses amis, elle va très mal et si il n'y avait pas les enfants... Bref !

Voilà Alrahir et Survivante sont morts dans des circonstances mystérieuses et je dois filer à Aurillac où leurs enfants seraient. Il faut que je les retrouve et que je les ramène ici pour qu'ils aient une famille.

Je dois te dire autre chose, j'ai contracté la maladie de Lilou et je vais aussi m'en aller. Je sais désormais qui sont les vrais amis de ma marraine et j'espère seulement que vous saurez la raisonner. J'ai juste un mauvais préssentiment...

Je suis désolée de gâcher le premier Noël des enfants, mais si on veut que le prochain soit plus heureux, il va falloir être vigilente, je crois qu'il faudrait penser à faire de cette grande maison une sorte d'orphelinat, ou quelque chose comme ça.
murmurant pour elle-même "juste au cas où..."

Zoltem embrasse Mari et les enfants, file à l'extérieur récupérer sa monture, hésite, quitte l'écurie sans elle et se dirige vers le seul endroit qui aurait pu peut-être aider Pat si elle avait été là...
Mariceleste
Mari avait un mauvais pressentiment quand Zoltem lui annonça quelle devait lui parler, elle imaginait le pire.
Mari écouta avec attention se que Zoltem lui annonça elle avait les yeux qui commençaient a s'embuer de larmes et se laissa tomber dans le sofa complètement anéantit par la nouvelle.

C'est pas possible que c'est-il passé ? et Pat, qu evas t'elle devenir sans son frère adoré ? Et les enfants faut les retrouver et que vont il devenir ?
Rhoooooolala quelle térrible nouvelle !!

Mari éclata en sanglots dans les bras de Zoltem et pensat aussitôt a Pat,elle qui était loin et qui adorait son frère et ça belle soeur.
Mari regardat Zoltem s'éloigner et puis sortir, mais elle réalisa pas bien se que faisait Zoltem,puis soudain elle se releva et se précipitat dehor..


Elle se mit a crier : Zoltemmmm attennnnnnd reviennnnnnnnnt ne part pas comme ça !

Zoltem arreta net son cheval et se retournat,puis revient vers Mari et se jetta dans ces bras en sanglots.
Elle remontat sur son cheval et partit au trot en faisant au revoir avec la main sans se retourner.

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Zoltem
8 jours plus tard...

Le voyage c'était bien passé, un ami cher de sa marraine, que la jeune vierge avait pu aider en son temps, était venu les chercher à Cahors elle et les enfants. Maintenant tout le monde était en sécurité, et les petits d'Al et Survi dormaient avec les enfants de Pat de quelques mois leurs ainés.

Mélie c'était occupé de tout comme toujours, égale à elle-même de douceur et de patience, la maison en fin de matinée ressemblait à un champ de bataille, même Iris et The Cat avaient fini par se réfugier sur le dessus du bahut afin d'échapper aux différents raz de marrée et autre cyclone provoqués par les enfants.

Après s'être barbouillé la figure et les mains de miel, ils n'avaient rien trouvé de mieux que de s'essuyer à force de câlins sur le pelage des deux chats qui avaient marqué leur mécontentement en se perchant au plus haut.

Mélie et Zol, légèrement dépassées par les évènements, avaient tant bien que mal tenté de discipliner cette colonie de fauves quand la jeune cousine eu une idée.

Puisque c'est ainsi, je crois qu'il est temps que ces cinq fripouilles apprennent à faire de la confiote ! Enfin, de la crème de marron qu'en penses-tu Mélie ?

Au mot marron il y en avait une en tout cas qui avait tout compris. Pourtant bien jeune encore, Lucie avait une véritable passion pour la crème de marron depuis que Mathéa, la petite de Vinou lui en avait barbouillé la figure.

Éclatant de rire, Mélie installe les bambins pendant que Zol ramène un plein panier de châtaignes du cellier. L'après-midi fut haut en couleur et en éclat de rire, et cela permis surtout de coucher toute la marmaille de bonne heure, laissant deux jeune femme complètement épuisées et une cuisine dévastée.

Le silence se fit devant une tisane, Mélie ne sachant que dire et Zol ne voulant ouvrir la bouche de peur de laisser couler un flot de paroles qui les laisserait toutes les deux en larmes.

Je vais t'aider à ranger, ensuite j'irai faire un tour. Je ne pense pas dire que je m'en vais, ça n'est pas nécessaire et comme j'ai promis de rester jusqu'à demain... Ne m'attends pas, je dormirai dans la chambre de Pat.

Après une bonne heure à ranger, nettoyer et rendre un aspect digne de ce nom à la cuisine, la jeune vierge murmure Bonne nuit Mélie...

N'osant la regarder en face, Zoltem quitte la cuisine et sort se perdre dans les méandres des ruelles de Sarlat.
Zoltem
Le surlendemain...

Le médecin était venu et avait décrété que les enfants avaient de gros problèmes respiratoires et qu'ils devaient partir vers les montagnes, les Alpes, ou du moins au plus près.

Mélie avait pâli et c'était retournée vers Zoltem, un air bien décidé plaqué sur le visage. Nous partirons tous ensemble, nous irons dans les Alpes et je vais prévenir Pat, elle doit comprendre que c'est vital pour les enfants.

Prévenir Pat... Lui dire "les enfants vivront désormais loin de toi et tu pourras venir les voir quand tu voyageras." Zol était bien contente de n'avoir pas à prévenir Pat, elle ne savait que trop comme cette dernière pouvait être volcanique quand il s'agissait de ses enfants ou de ses amis.

Mélie, vu l'état de Floris et Lucie, je pense qu'il faudrait partir ce soir. Heu... Je te laisse le soin de l'annoncer à Mari, parce que moi... Je veux pas la voir pleurer, à chaque fois ça me fait pleurer aussi et franchement j'aime pas trop ça !

Pendant que les enfants jouaient avec les chats, Mélie et Pat s'occupent des bagages et de la roulotte...
Mariceleste
Mari avait était chercher ces affaire chez elle et revint chez Pat elle attacha sont cheval et décrovha ces bagages elle arriva devant la porte l'ouvrit et entra.

Zoltem et Mélie étaient là entrein de discuter
Coucou les filles je suis revenue, comment ça va ?

Puis Mari les regardent uen a une, elles étaient bizzare avec une triste mine. Et bien que vous arrivent il ? qu'est ce qui ce passe ?
Dite moi s'qui passe ?


Mari attendait qu'on lui réponde.......
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--Melie
Le moment critique était arrivé et cela n'allait pas être facile.

Mari, Floris et Lucie vont mal, ils doivent se rapprocher au plus près de la montagne, en cette saison, avec des enfants, je pense que nous nous arrêterons à Chalons.
Pat est prévenue, et malgré la souffrance et la culpabilité qu'elle ressent, elle m'a donné l'autorisation de prendre tous les enfants avec moi et de partir avec Zol qui nous escortera.

Écoute Mari, je sais que tu es très attachée aux enfants, à nous, mais là il y a urgence, on ne peut pas continuer comme ça et tu sais comme moi que quand Pat va rentrer, elle ne sera que l'ombre d'elle-même.

Il faut lui laisser du temps, beaucoup de temps...


Après les pleures de rigueur, Mélie met les enfants dans la roulotte et grimpe à l'intérieur avec eux, elle prend dans ses bras The Cat et le dépose au milieux des gamins en pleure.

Mari dit au revoir à tout le monde et reste plantée là, sur le bord du chemin, les regardant s'éloigner.

Mélie sent son cœur se serrer, quelque chose lui dit qu'elles ne sont pas prêtes de se revoir...
Pattricia
J'avais vraiment tourné en rond, marché, repris le chemin de la maison, m'étais arrêtée, étais repartie et enfin revenue...

Descendant de ma monture, je file à l'écurie et prends soin d'elle. La nuit disparaît peu à peu pour faire place à un ciel clair. Je me décide à traverser la cour et ouvre la porte de derrière. Le couloir est sombre... comme mon âme... Retrouvant les geste d'autre fois, je sors la tige d'amadou et allume la lampe à huile toujours posée près de la porte et j'avance, lentement...

Soudain je sursaute, quelque chose de doux, de soyeux, de vibrant se frotte contre mes jambes et je sens que je vais défaillir. Je pause mes fontes sur le sol et attrape Iris, toute en ronrons à faire trembler les murs et je continue jusqu'au vestibule.

La cuisine... Désormais si silencieuse... Mari avant de partir en urgence hier soir m'a préparer le feu dans la cheminée et je n'ai plus qu'à l'allumer, je prends une bouteille de poire maison et m'assied sur l'âtre, la bouteille d'un côté et Iris sur les genoux.

Tu vas devoir affronter le grand froid ma soyeuse car je n'ai plus personne pour s'occuper de toi. Il n'y a plus que Mari, toi et moi dans cette grande maison vide et Mari est déjà partie hier, et je dois les rejoindre ce soir, donc je t'emmène, Truffe te tiendra chaud la nuit !

Laissant mes larmes couler, je bois à même le goulot, regardant cette cuisine qui, quelques jours auparavant, devait être assourdissantes des rires des enfants, de mes neveux, de Mélie, Marie, Zoltem...

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