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[RP] A la guerre comme à la guerre

--Fredo_la_main_froide


Paranorak, c'est ainsi qu'on appelait les gens comme Fredo... ceux qui se méfient de tout et de tous... Il l'avait appris en voyageant avec un clerc de médecin qui apprenait les maladies de l'âme.

- Tu vois Fred, qu'il disait le futur tueur en série médical, les paranoraks eh, bien...;font rien comme les autres... zont peur de se faire voler ce qu'ils n'ont pas, d'attraper les maladies qui n'existent pas et ils sautent sur tout ce qui bouge parce que tout ce qui bouge leur en veut à mort.
Des clients difficiles, chte dis pas ....


Et voyant que le Fredo le regardait du coin de l'oeil sans rire... Il lui avait dit :
- T'serais pas un peu paranorak par hasard ?

Parce que ce jour là Fredo faisait une crise d'humour, il lui trancha la gorge d'une oreille à l'autre et il lui planta son livre de médecine dans la plaie.
- Chuis pas paranokékchose, chuis suskeptible,ducon!

Puis il l'avait posté là, adossé à un arbre avec un écriteau :
Citation:
condamné pour exercice illégal de la médecine.

L'avait le sens de l'humour Fredo-la-main-froide.

Là voyant l'autre peigne-cul sans chemise lui tendre une échelle, il se demanda s'il ne referait pas une crise d'humour.


Citation:
Tiens c’est vous, …pardon… Je n’ai pas vu Capucine… heu … de fruits…ici …vous cherchez…je veux dire vous avez besoin…d’une aide ? Je suis conseiller mais pour le fruit…je … il n’y a plus d’échelle, si vous voulez je vous prête la mienne?


Mais il se calma, respira très fort, il avait une quête, le héros.... retrouver son gagne pain.
- J'ai pas besoin de ton échelle, p'tit con, et ta capucine... je te la laisse dans ton parterre.... Je cherche Agenor.... La jolie rousse que j'ai adoptée... Tu l'as pas vue ?

Et comme il ne pouvait pas s'en empêcher, il jouait à lancer son couteau et à le rattraper, en général ça suffisait pour effrayer les paysans et celui-ci, visiblement, faisait déjà dans ses chausses.
Dorzato
--Fredo_la_main_froide a écrit:
Je cherche Agenor.... La jolie rousse que j'ai adoptée... Tu l'as pas vue ?


Agenor ? C’était déjà la confusion dans l’esprit de Dorzato mais là il n’y comprit plus rien.

Pendant ce temps, Fredo jonglait avec son couteau. Il avait l’air amusé et c’était effrayant


Je,…non, je n’ai rien vu m’sieur Fredo.
_________________
Dorzato, Cultivateur de Maïs de Chambéry.

Conseiller municipal de Chambéry.
--La_fauvette


Elle était là, assise au loin à l’ombre des arbres au soleil couchant. Elle regardait au-delà de ce qu’elle voyait et murmurait :

Engeance du sans nom, vilain et mauvais tu vas encore te corrompre dans la souillure. Pour l’idiot et la sotte deux destins différents. Un prix sur une vie et le courage pour la payer.


--Fredo_la_main_froide


Paranorak... l'était paranorak le Fredo.
Il contourna le paysan et essaya d'ouvrir la porte.
Elle était fermée à clé.

Il se tourna vers le porteur d'échelle.

- Pourquoi tu l'as fermée à clé cette cahutte ? T'as quelque chose à cacher ?

Il le bouscula et l'envoya par terre. Il lui prit l'échelle des mains et enfonça la porte...

crrrrrrrrrrrrrak

Il entra, renversa l'établi devant lui et trouva...

- Tiens tiens ... qui voilà ? Tu cueilles des fraises ?

Il l'attrapa par les cheveux et la fit venir à lui.
Il tenait sa chevelure d'une poigne de fer et n'eut aucun mal à la faire tenir tranquille. La fille était tétanisée de peur.

Il en jouissait le Fredo. La peur des autres le nourrissait.
Lui donnait une telle impression de puissance. Il se sentit excité et eut bien envie de reprendre possession de cette belle qui pensait pouvoir en faire à sa tête.
Y avait l'autre là, le larbin, derrière lui... Mais c'était une couille molle comme tous ces petits envieux qui n'avaient même pas le courage de leur misère.

Tout en tenant la fille la tête en arrière par ses cheveux, il lui mit le genou entre les jambes et ouvrit le corsage. Tout en plongeant sa paluche et en dégageant ses seins; il lui murmura à l'oreille

- Tu me la paieras cette course, petite raclure...

Puis il la tourna vers le jeune homme, à demi nue et humiliée :

- Alors petit puceau, on veut les morceaux de roi sans en avoir les moyens ? Je parie que tu meurs d'envie de ces jolis nichons.
Ils sont à vendre....
Tu paies, tu les as....
tu paies pas, tu les as pas.
C'est simple....
C'est 20 écus pour caresser les nichons.
100 pour le reste.


Il souleva la robe.
- On peut regarder mais pas toucher...

La fille pleurait, mais il n'en avait cure, au contraire, elle devait sentir dans le bas de son dos à quel point cela lui plaisait... à lui.

- T'as le blé, minable ?
Non, alors décampe avant que je ne me fâche... Je vais punir la demoiselle comme elle le mérite.
Dorzato
Ce n’était pas bon, Fredo avait l’œil mauvais et voulait rentrer. Apparemment le sort du paysan ne l’intéressait pas, c’était juste un obstacle devant une porte à ouvrir. Fredo est systématique dans sa névrose et une porte fermée c’est une porte qui le nargue !

Quand il poussa Dorzato à terre et lui prit son échelle il manqua de lui déboiter l’épaule.

Aïe, Arf, Ouille, ça fait mal, je ne sais plus bouger mon bras ! Espèce de dingue !

Mais Fredo traquait une autre proie, il était déjà à l’intérieur de la cabane et avait tôt fait de débusquer la belle.

le voilà déjà ressorti, le Fredo, tenant sa « nièce » par les cheveux. Voici qu’il l’a met à genoux et poitrine à l’air en l’humiliant. Puis devant Dorzato il lève la jupe de la demoiselle dans une complète indécence.
En même temps il aboyait comme une bête : «On peut regarder mais pas toucher... T'as le blé, minable ? Non, alors décampe…Je vais punir la demoiselle»


Trop ! C’en était trop. Dorzato était répugné par l’attitude de Fredo. Il se sentait également, et surtout, bafoué dans l’amour qu’il avait pour la belle, si catin soit-elle. Le spectacle était immonde et insupportable, on était en train de privé une âme d’humanité.

Dorzato ne sentait plus son épaule gauche pas plus que la douleur, il lui restait le droit et la rage qui l’avait submergé. Par un courage qui lui était inconnu jusqu’ici, il se relava et, dans la surprise, se précipita sur Fredo pour le rouer de coups !

Ordure !!! Prends ça !

Fredo esquiva le premier coup et aussi le deuxième. Le troisième l’effleura à peine. Entre temps Fredo avait pris ses appuis et décocha une lourde droite dans l’œil de Dorzato.
Dorzato manqua de tomber au tapis, il était sonné mais à travers les taches noires il voyait encore le sourire de Fredo. En se concentrant, Il visa, et cette fois il toucha quelque chose, une dent peut-être ; c’était dur et il s’était fait mal.

_________________
Dorzato, Cultivateur de Maïs de Chambéry.

Conseiller municipal de Chambéry.
--La_fauvette


La vieille regardait ailleurs mais murmurait toujours :

Le fruit pourris est déjà rongé par le ver mais l’autre est mûr, il va tomber.


--Paulmicheltrognon


Paul Michel Trognon était cueilleur, fils de cueilleur, frère de cueilleur et père de cueilleur. Toute une lignée de cueilleur de pommes ou de chataîgnes vivait en lui : on lui donnait le sobriquet de de Pom', comme Paul Michel, le IVème du nom. Comme les papes et les seigneurs.
Pom IV était un grand homme. Solide, bâti comme un roc et cependant doux comme un agneau.


Pom IV, donc, avait fait quelques heures supplémentaires dans le verger. il était recru mais sur le chemin du retour, les paniers remplis dans sa charrette.
Il avait un contrat qui courait depuis des années avec la cidrerie ducale et soupesait au bout de ses bras le poids et ce que cela allait lui rapporter.

Soudain, il entendait des éclats de voix...
Mais que se passe-t-il donc ? D''ordinaire à cette heure, ceux qui restaient étaient plutôt discrets : amoureux qui se cachent, petits brigands qui se partagent leur butin, gamins à le recherche d'un canular.... Pom ne les craignait pas.

Il s'approcha avec une certaine prudence tout de même...
Oh, il n'aimait pas cela :

Un sournois qui joue du couteau...
Un imbécile qui s'y attaque comme le bénêt qu'il est....
et surtout une fille... superbe... qui pleure à chaudes larmes... humiliée et dévêtue devant ces hommes...
Le tavernier qui semble se tâter avant d'entrer en action..
Une vieille ...

Pom pensa à sa fille Pépinne... son sang ne fit qu'un tour...
Mais le cidre de la prudence a plutôt coulé dans ses veines que la bière ou toutes ces boissons dangereuses.
Il ramassa la hache solide, celle qui servait à émonder les fruitiers abîmés.

Pom IVème du nom était un homme rangé.. il n'aimait pas le désordre... Et cette fille là, nue, et violentée... ça faisait désordre.
D'assez près pour être entendu et d'assez loin pour se donner un champ de réaction, il abattit sa hache contre un baliveau de gourmand de chataîgner qu'il cassa net.
Le colosse donna de la voix.


- Vous avez besoin d'aide mademoiselle ?
--Fredo_la_main_froide



Non, mais c'est que le vermiceau avait essayé de le toucher .
On aura tout vu...
Fredo avait senti comme .. un coup, allez disons-le... un coup contre ses dents.
Or, l'avait la dent dure, l'homme, depuis qu'il mangeait le pain noir de la misère, puis le cuir des malfaisants, il avait un ratelier terriblement solide...
'Fin sensible aussi.

- Aîeuuuuuuu...mes ratiches !
IL s'apprêtait à découper l'auteur de ce crime en rondelles quand il entendit une voix placide ponctuée d'un coup de hache :

Citation:
- Vous avez besoin d'aide mademoiselle ?


Il se tourna vers le nouvel intrus... Décidément c'était l'heure de pointe... Se demandé bruèvement si c'était sa pouliche qui les attirait, alors oui, foutrecouille, ça vaudrait la peine de la garder à son service.

- T'occupes Ducon, nous avons une explication entre amis, Mademoiselle nous invitait à nous amuser un peu...
Agenor
Agenor pleurait toutes les larmes de son corps.
Elle tremblait pour elle, pour le jeune qui risquait sa vie pour elle.
Elle tremblait de froid, les épaules dénudées et la poitrine offerte aux regards et à la morsure du froid.

Soudain, la poigne de Fredo relâcha la contrainte qu'il lui imposait.

-
Citation:
Vous avez besoin d'aide ?


Elle se déroba, bouscula le Fredo soudain distrait, et s'enfuit en courant rejoindre la petite vieille.
- Au secours, sauvez-moi de ce monstre.

Elle s'appuya contre un arbre, tremblante serrant ses épaules dans son vieux châle.

- Tuez-le... tuez-moi ce porc. JE LE HAIS !!!
_________________
Dorzato
C’était bon, Dorzato avait touché le râtelier. Cependant, Fredo n’avait que juste l’air un peu plus féroce. Rien de bon finalement. Mais bon, mourir en sauvant une femme c’est mieux que de finir seul.

Et puis la vue de Dorzato se fit plus trouble. Fredo ne réagissait pas et un gars, enfin un ogre, au loin proposait son aide. Puis il entendit, dans le noir, la belle crier au secours.

C’est à ce moment que Dorzato perdit connaissance. L’effet de la droite de Fredo se faisait seulement sentir. Il s’écroula tout simplement.

_________________
Dorzato, Cultivateur de Maïs de Chambéry.

Conseiller municipal de Chambéry.
--La_fauvette


Qui l’avait vue ? Qui la voyait ? C’est elle qui se laissait voir et La Fauvette savait se faire discrète.
On ne la rencontre pas par hasard car elle vient à votre destin. La Fauvette voit au-delà du présent et il vaut mieux la craindre.

Quand à la pauvrette, elle n’avait pas trouvé d’autre refuge qu’un arbre. Pourtant, elle devinait sa présence. La Fauvette n’était pas loin et lui dit :


Ton châle et l’ombre de l’arbre suffiront pour ta pudeur. Ton vœu sera exaucé. J’ai cueilli mon fruit et tu recevras le tien. Celui qui tient la hache est de ma lignée.

Difficile de dire si la voix venait de derrière l’arbre ou d’autre part. Il y avait soudain comme un écho dans le verger.

--Paulmicheltrognon


Pom IV était un brave homme, placide, massif... pas bavard.
Le physique d'un monstre : une petite tête deux yeux qui vont à la rencontre l'un de l'autre, des mains en forme de battoires, des fortes jambes velues...mais l'âme d'une crème renversée sur un lit de spéculoos.
Fondante, douce et sucrée. Craquante dans le fond.
C'était un BON, quoi ! Un vrai Bon de chez BON.

Et qu'avait-il sous les yeux notre Bon ?
Une petite brute puante qui joue du couteau et de l'injure

Citation:
- Ducon.

N'aimait pas ça Pom IV qu'on injurie qui on ne connait pas.
Qui on connait non plus, d'ailleurs.

Un jeune fétu remballé dans la paille d'un revers de la main et qui tombe dans les pommes.
Ca le connaît notre cidrier, les pommes... il sait bien que la plupart des gens qui tombent dedans, ne leur veulent pas de mal. Nan.. juste ils se réfugient dans les pommes quand la réalité est trop rude.... Pouvait comprendre ça : c'est doux, appétissant et sucré une belle pomme.

Pis la petiote, là, le petit chat gelé... Qui faisait semblant de sortir ses griffes :

Citation:
- Tuez-moi ce porc...
. qu'elle disait.

Pom avança sur le côté, comme pour la rejoindre.
Il n'avait pas envie de tuer, non plus.
Laissait ça pour les guerriers, les fendants de la gueule et de l'épée, engeance de feu et de sang, qu'il ne comprenait pas et préférait éviter.

Il s'approcha de la fille.
Dieu qu'elle était belle.
Ah, elle s'était rhabillée, il ne serait pas distrait, pas qu'il était libidineux comme le goret qui s'avançait toujours vers lui, le couteau à la main.
Nan, mais ces deux beaux têtons ronds comme une petite pomme reinette douce... Tout de même.... Il pensa à sa Pépine, il ferma les yeux, leva sa hache et gronda vers l'homme


- Partez l'homme au couteau, laissez la fille tranquille ou il vous en coûtera.
--Fredo_la_main_froide


Fredo se mit à rire...

Citation:
-Partez l'homme au couteau, laissez la fille tranquille ou il vous en coûtera.


Yen a qui ne doutent de rien.
Il va la laisser à d'autres le part de roy qu'il a mise au tapin ? Peut-être tiens...

- J'vas y rêver l'ami... Non mais sans rire....

Tiens dans le fond oùsk'elle est la donzelle ?
Ses yeux furetaient partout.
Par les cornes du grand Cornu, elle s'est encore taillée.
Vais l'attacher, moi la pute.... Attends....
D'abord le grand corniaud, ensuite le freluquet.
J'vais attacher leurs abattis aux arbres, et qu'on ne vienne plus m'emmerder.

Il s'avança vers le géant, prudemment, tout de même.
L'avait l'air costaud, mais un brin lent du cervelas.
Fredo voulut tourner autour du grand Bon, pour le fatiguer, rompu qu'il était aux ruses des garçons des rues.

Dommage pour lui, l 'était pas dans la rue.
Il buta contre une souche et faillit tomber à la renverse.
Il dut courir quelques pas et lever les deux bras pour ne pas se fracasser la tête contre le tronc d'un arbre.
Il sentit qu'on le frappait par derrière.

Il vit rouge et se retourna, le couteau à la main.
Personne.
Tsss... il s'engagea plus près du colosse avec sa hache , suivant tous ses gestes pour ne pas se faire surprendre. Le coup ne pouvait venir de lui... pas possible, le gros était trop loin, trop lent.
Il avança, lança son couteau qui atteignit le gras du bras du gros ceuilleur
Agenor
Agenor était contente, elle avait réussi à berner le rat.
Toute fine, comme elle l'était et étrangement ragaillardie par la petite vieille, elle avait empoigné un solide bâton et s'apprêtait à aider ses sauveurs.
'Fin le denier venu, les autres avaient disparu ou comptaient les étoiles.
Elle était costaude et depuis qu'elle mangeait à sa faim, elle se sentait beaucoup plus forte.

- Han, un grand coup de bâton dans les reins du Fredo et puis on se sauve....
On se cache....

-Attends mon bonhomme, je vais te faire recracher toutes tes injures, une par une que tu vas les bouffer... ET yen aura d'autres...

Elle se cacha soigneusement, mais de toutes façons il était accaparé par l'autre.
Lequel gronda quand il fut blessé.
Elle le vit bien la rouquine.
Le Bon cueilleur dodelinait de la tête comme l'ours furieux qu'elle avait vu une fois dans la clairière près de chez son père.

L'homme tenait sa hache comme une épée à deux mains. Il laissait approcher le petit rat des villes.
Agenor eut peur pour lui, elle savait, elle, que les braves gens ont toujours une longueur de retard sur les petits durs...
Mais l'homme était plus aguerri qu'il n'y paraissait et soudain ce fut Fredo qui fut cueilli comme une fleurette.
Il avait bondi et la hache le faucha aux genoux.
On entendit un


Crakkk,
sinistre et Fredo retomba en hurlant à terre se tenant les genoux.

L'homme s'approcha de lui prudemment.
Agenor aussi.
Fredo était immobilisé, il essaya de fuir, mais ses deux genoux fracassés le paralysaient.
Agenor dit durement à l'homme :

- Tuez-le...

Il dodelinait de la tête. Il la regardait en haussant les épaules.
- Tuez-le, vous dis-je... C'est une bête malfaisante.

L'homme ne bougeait pas.

Agenor croisa alors le regard de Fredo qui la regardait, une lueur soudain humble, il essaya de l'attendrir.

Alors, froidement, sans hésiter, elle ramassa le couteau que le bon cueilleur avait jeté un peu plus loin.
Elle vint au dessus du maquereau, le regarda bien dans les yeux, lui cracha au visage et d'un geste sec, bien ajusté, comme si elle avait fait ça toute sa vie, elle lui trancha la gorge.

Fredo la regarda, étonné, il mit ses mains pour empêcher le sang de gicler, mais ne put le faire.
Agenor le regardait, glacée, mais sans aucun sentiment.
Les yeux du rat se voilèrent.
Il eut un sursaut.
Agenor, ramassa le couteau, l'essuya sur l'herbe et dit :

- Tu as bien fait mon salaud d'aiguiser tes outils.

Puis elle alla poser un bisou sur le front de l'homme qui la regarda, bouche bée :
- Merci, messire... Vous venez de débarrasser Chambéry d'une ordure de première catégorie, personne ne vous en voudra.
Mais il vous faudra l'enterrer, il va gâcher le métier des gentils cueilleurs de pommes.


Elle rejoignit ensuite le beau Dorz qui semblait se réveiller enfin.
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