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[RP] L'Arbre à Mots...

Bourrike
Un long, très long moment d'hésitation chez la jolie Cyle. Aurait-elle oublié le gout du vin de messe? Pas possible!!!

Lorsque tout à coup, ah ça y est, elle a remis ses souvenirs en place.

"moi aussi je suis heureuse, Cyle, j'ai appris que tu étais repassée à Tarbes il y a un moment, mais comme je bouge pas mal moi aussi, je n'ai pas eu le plaisir de te croiser.

Alors, quoi de neuf?"


"euh, c'est peut être pas l'endroit pour des retrouvailles ici non?"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Cyleblue
Citation:
Alors, quoi de neuf?"

"euh, c'est peut être pas l'endroit pour des retrouvailles ici non?"


Cyle sourit a son amie, heureuse de sa présence, elle regarda autour d'elles et répondit :

Non en effet ce n'est pas l'endroit indiqué...mais viens allons nous balader du coter de ma demeure ! Nous prendrons de quoi nous...rafraichir le gosier et discuterons plus à l'aise ma douce...

Elle fit signe a Bourrike de la suivre....elles allaient passer beaucoup....beaucoup de temps à discuter ça c'était plus que possible....comme jadis au confessionnal...

Accompagne moi viens !
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Bourrike
Il semblerait que les bonnes habitudes ne se perdant pas. Ainsi, il y aurait de quoi boire chez Cyle? pas vraiment étonnant mais nettement réjouissant.
"je te suis ma belle, je te suis, le gobelet déjà prêt"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Pattricia
Le lac
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?

Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.

Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.

Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
Laissa tomber ces mots :

" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !

" Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.

" Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.

" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! "

Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?

Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !

Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?

Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !

Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.

Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.

Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !


A toi Fazz pour ton amour de la poésie et à toi Franck pour ton amour des mots... vous me manquez tant !


Merci à Alphonse de LAMARTINE

_________________
Tzavier
Avant de reprendre la route , Tza déposa un bout de papier sur cet arbre où elle avait gravé quelques mots sur ce parchemin avec le bout de sa plume.

Ah! Si l'amour était quelqu'un...
Il serait un dieu sûrement, il serait bon et tendre, il serait beau et grand.
Je pense qu'il aurait tes mains car il n'en existe de plus tendres que les tiennes, il n'en existe de plus belles.
Je rêve qu'il ait tes bras, j'aime tant être dans tes bras.
J'espère qu'il aurait ton torse, j'aime reposer ma tête sur lui.
Aurait-il ton cou ? Que je puisse le découvrir et couvrir de bisous...
Je crois qu'il aurait ta nuque, indomptable sensualité...
Je veux qu'il ait ta bouche, pulpeuse et bien dessinée, que je saurai embrasser et ce sourire que je saurai comtempler.
J'exige qu'il ait ton nez, fin, droit et un peu rosé comme quand il fait froid.
Possèderait-il tes cheveux, épais, à leur douce odeur et tes yeux, ce regard, avec toujours cette expression, cette attention que je ne saurai déchiffrer ?
Aurait-il aussi tes grains de beauté ?
Un dans la main, un dans le cou et quelques autres ailleurs...
Et ton caractère ? Ce caractère qui m'exaspère.
Tu es lunatique, têtu, fier et pourtant combien je t'aime.
Et tes sentiments ? Mais quels sentiments ? Trop d'orgueil pour les avouer, tu préfères les cacher, je ne fais que les croire, je ne fais que les espérer...
Oh! Il aurait certainement tes taches de naissance, tes cicatrices, tes blessures, tes défauts...
Mais si l'Amour était quelqu'un et s'il était le mien ; Il serait Toi.
Virginia_
Vinou eu envie d'accrocher un mot à une des branches du grand arbre de la place de Sarlat. Un message, une pensée, un appel ...

Citation:
Besoin

De tes câlins ...
Des tes baisers ...
De ton cœur ...
De ta chaleur ...
De ta douceur ...
De tes mots doux ...
De ton amour ...
Besoin de toi ... tout simplement !

Je t'aime.

V.

_________________
Daiva
Quand elle était au couvent, l’une de sœur nourricier qui s’occupait des enfants à l’orphelinat racontait une histoire avant que tout le monde aillent se coucher…

Voici son petit conte que Inmakh accrochait sur l’une de branche d’arbre à mots et que le vent portera son histoire aussi loin possible à travers les lieux et du temps….




Partout sur la terre voyageait un couple mystérieux :
Lui, se nomme Amour et Elle, Tendresse.

Elle passe son temps à le nourrir pendant que lui emporte les palmes du succès !
Elle est, semble-t-il, plus naturelle...
Une drôle de petite chaumière les abrite, elle a nom "coeur" ou "esprit" selon les êtres.
A l'aube de leur vie, Elle est déjà plus forte que Lui, plus présente peut être ;
Lui, semble-t-il ose moins se dire et parfois l'empêche, Elle, de s'exprimer.
Plus pudique ou plus méfiant ? nul ne le sait.
Bien souvent, on l'invite Lui à venir réchauffer notre chaumière
mais souvent on oublie que Elle, si elle se donne, Elle a aussi et souvent besoin de se ressourcer, de recevoir.
Si vous ne savez par leur donner un cocon pour les y loger,
ils s'amenuisent et meurent dans l'indifférence,
mais pour qui sait les regarder et les abreuver,
Ils seront son bâton de vieillesse, et de pélerin.
Ils se soutiennent, sont indissociables. On eut crû un moment qu'Ils n'étaient qu'un, mais d'aucuns ont osé s'en jouer et maintenant,
il n'appartient qu'à de rares élus de les abriter tous les deux ensemble...

....Et n'a-t-on jamais vu sur un vieux banc de bois,
sourire sous la neige de leur cheveux,
Monsieur Amour et Madame Tendresse, tout au bout de leur route à deux ?
Poulpisator
Poulpi prit le temps de trainailler dans la ville, flaner , sentir l'ambiance s'en impregner. Devant cet arbres à mots , il sortit sa plume et y laissa son empreinte ecrite. C'est bien la premiere fois qu'il s'essaya à écrire un poème.....
poussez vers de nouveaux horizons
je suis arrivé ici sur les talons
j'y ai rencontré de joyeux lurons
et pendant que nous nous saoulions
je t'ai vu , toi , il n'y avait plus rien autour
plus rien , juste l'amour
enfin je crois ,je ne le connaissais pas jusqu'a ton petit tour
alors soyons fou d'amour
et cueillons dès aujourd'hui les roses de la vie, pour toujours.
La fin sa doit etre du pipo
alors disons que ma mere m'a fait des fayots
et que ca me fait faire des pffff pfffff
dans l'bas du dos
.
Jyjy


pris le temps de lire l'arbre à mots....et le dernier laissé la boulversa qu'elle ne put qu'y répondre


Toi l'inconnu
Moi nouvelle venue
Tu m'as emmener sur des sentiers
Je t'ai suivie sans me faire prier
Toi l'homme qui a su me faire rire
Moi qui n'était que là pour survivre
Tu m'as donné l'espoir d'un amour sans faille
Je te donne a jamais mes entrailles....
pnj
Citation:
Je me croyais en vacances
Je disais que c'est une chance
De partir de Bergerac
avec tout plein de beaux sacs
Avec des écus en or
Gagnés au ramponneau , fort !
--Dove


Dove, la colombe d'Inmakh laissa accroché un parchemin que sa maitresse lui avait confié, sur l'une de branches encore libre d'arbre à mots. Sa mission fût accomplie, elle revient dans son pigeonnier pour reprendre sa sieste...

Il était une fois une jeune fille, dont le Mal était tombé amoureux. Soeur de coeur du Bien, elle contenait en elle égales parties des deux frères ennemis. Puissante, le Mal la voulait pour lui seul, et ainsi, assurer la victoire de son camp. Un jour qu'elle s'était disputée avec ses amis, le Mal lui tint ses propos:

-Si tu venais avec moi, rien de pareil ne t'arriverait plus. Tu serais en mesure de les tuer sans problème.
-Jamais !
-Pourquoi ? S'ils te font souffrir, te font pleurer, te font souhaiter la mort ?
-Parce que malgré les larmes, les peines et les blessures, je les aimes !

Le Mal dut abdiquer, car l'Amour était l'allié de son jumeau, un puissant allié qui l'empêchait encore de contrôler sa dulcinée. Peu importe qu'elle pleura, qu'elle souffrit, qu'elle pensa à la mort, qu'elle voulu abandonner... Elle continua a aimer ses amis, bien qu'elle fut au bord du précipice et qu'ils la poussaient plus bas encore. Et le Mal resta là, impuissant, à voir son aimée s'anéantir d'avoir aimer.
pnj
Citation:
Qui ose dire qu'il peut m'apprendre les sentiments
De quel côté se trouvent les Bons ou les Méchants
Leur évangile ont fait de moi un non croyant
La vie ne m'apprend rien
J'amerais tellement m'accrocher prendre un chemin
Prendre un chemin , mais je ne peux pas , je ne sais pas
et je reste planté là les lois ne font plus les hommes
mais quelques hommes font la loi
Et je ne peux pas et je ne sais pas et je reste planté là
La vie ne m'apprend rien , mmmmmmm.....

La vie Ne m'apprend Rien ( Daniel Balavoine)
Pattricia
Il y a cette rumeur qui augmente de jour en jour,
Il y a cette humeur qui s'adoucie avec l'amour
Il y a ces atours dont se pare l'être aimé
Il y a ceux autour qui ne peuvent s'arrêter
Il y a les uns avec leur tristesse
Il y a les autres et leur délicatesse
Il y a vous et votre proposition
Il y a moi et mes hésitations
Il y a nous et ce que l'on partage
Il y a tout et mon petit nuage...


_________________
Daiva
Pour une si vilaine bête....une petite pensée pour aujourd'hui


Vous demandez si l'amour rend heureuse ;
Il le promet, croyez-le, fût-ce un jour.
Ah ! pour un jour d'existence amoureuse,
Qui ne mourrait ? la vie est dans l'amour.

Quand je vivais tendre et craintive amante,
Avec ses feux je peignais ses douleurs :
Sur son portrait j'ai versé tant de pleurs,
Que cette image en paraît moins charmante.

Si le sourire, éclair inattendu,
Brille parfois au milieu de mes larmes,
C'était l'amour ; c'était lui, mais sans armes ;
C'était le ciel... qu'avec lui j'ai perdu.

Sans lui, le coeur est un foyer sans flamme ;
Il brûle tout, ce doux empoisonneur.
J'ai dit bien vrai comme il déchire une âme :
Demandez-donc s'il donne le bonheur !

Vous le saurez : oui, quoi qu'il en puisse être,
De gré, de force, amour sera le maître ;
Et, dans sa fièvre alors lente à guérir,
vous souffrirez, ou vous ferez souffrir


( L'amour de Marceline Desbordes-Valmore )
Brigide


Toujours sur son brave Tonnerre qui la portait courageusement depuis Castres, elle vit un arbre où était accroché un tas de mots ... Son coeur étant en peine, elle en fit autant ... Elle prit un parchemin et une plume dans son petit sac pour écrire ses pensées ...

Heure de pensées ... Adieu Castres ... Passage part Sarlat ...
Heure de pensées ... Je t'aime mon parrain et ne t'inquiète pas ...
Heure de pensées ... Je t'aime mon Aimé, repose en paix ...
Heure de pensées ... Le voyage va être long puisque la destination n'est pas définie ...
Heure de pensées ... A ses amis qui vont lui manquer ...
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