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[RP] L'Arbre à Mots...

Tom45
Chaque jour je pense à toi
Chaque moment de la journée je pense à toi
Chaque moment tu me hante la tête

J'ai tellement envie de te revoir
J'ai qu'une seul idée c'est de te prendre dans mes bras
J'ai envie d'être heureux, mais loin de toi je ne peux l'être

Quand je regarde le ciel je vois tes yeux
Quand je suis seul, je te vois
Quand je suis dans les nuages je te sens

Je voudrai que tu me donne tes je t'aime
Je voudrai que tu pense à moi comme je pense a toi
Je voudrai te demander ta main, mais on n'a temps

Maintenant je suis si seul, tu me manque
Maintenant je te veux pour moi et moi seul
Maintenant je pense a toi à toi seul, mon amour, ma douce, ma princesse

Je voulais te dire que je t'aime comme un fou
Pattricia
Je marchais sans but réel, juste une grande envie de rire, de sourire bêtement à tous les villageois que je croise et c'est naturellement que je me retrouve devant l'arbre à mots...

Je m'approche et en caresse le tronc, laissant courir mes mains, repensant à la veille et rougissant comme une gamine. Sans y penser, je refais les mêmes gestes, je ferme les yeux et revis ce moment intense. Reprenant mes esprits, encore plus écarlate, je me laisse glisser le long du tronc jusqu'au sol.


- C'est la première fois que je suis là parce que je suis complètement heureuse, c'est déroutant. Saurai-je écrire sur le bonheur ? Tu es mon confident depuis si longtemps, toi et le lac vous vous complétez si bien... Mais là, tout d'un coup, je me trouve en plein trouble, aurais-je perdu le gout d'écrire ? De nager ? De pleurer... oui celui là je ne veux plus jamais le retrouver, qu'il aille voir ailleurs si j'y suis !

Parlant seule comme à mon habitude, je sors mon grimoire, mon encrier, ma plume et un vélin de belle facture, une fois n'est pas coutume...



Une personne à laquelle je tenais beaucoup m'a demandé de profiter du chemin et de ne pas m'occuper de l'endroit où il menait. Cette personne nous a quitté, mais je ne l'oublierai jamais. Peut-être serions-nous ensemble si elle l'avait voulu, mais la vie en a décidé autrement. Ce poète merveilleux, a changé ma vie, il a été le début du déclic dans ma tête et dans mon cœur et ce poème lui est dédié.

Longtemps je fut cette petite bulle
Qui se brisait sur la rive et hurlait
Longtemps je fut cette somnambule
Qui errait l'âme en peine et se détruisait
Tes paroles m'ont touchée et la bulle a éclaté
Le chemin s'est dessiné mais ton regard était ailleurs
Alors timidement le chemin j'ai emprunté
Et tout doucement s'est libéré mon cœur
Peut-être un jour croiserais-je ton fantôme
Peut-être d'ailleurs l'ai-je déjà effleuré
Mais déjà disparaissent et s'effacent les hématomes
Sous les rayons d'un soleil qui s'est mis à briller
Toi qui m'a ouvert les yeux tu peux être heureux
Où que tu puisses être, où que tu puisses sévir,
Il est entré dans ma vie un être merveilleux
Qui petit à petit estompe les mauvais souvenirs
Désormais, il est sous mes pas mon chemin
Il est celui qui m'empêche de trébucher
Sans que je ne sache comment il a saisi ma main
Toutes mes chaines petit à petit il a brisées
Merci à toi mon poète crotté
Merci encore de m'avoir souri
Merci à la vie de me l'avoir donné
Heureuse à jamais de vivre près de lui...


Rien que pour toi Mef... et pour lui...


Je remballe mes affaires et me lève. J'avise une branche vide et y accroche mon parchemin, heureuse et en paix...
_________________
Michel_de_cheynac
-tiens le voila cet arbre a mots;depuis le temps que j'en entends parler
je prends quelques parchemins ,ceux qui semblent les plus récents,m'installe au pied de l'arbre..;et lit...
Ai-je envie de laisser une trace moi aussi?peut-être...cette nuit.



trois heures du mat, ma nuit finie
putain de mémoire, qui m'bouffe la vie
quatre heures du mat, fait encore nuit
encore tout seul,c'est mal parti
cinq heures du mat,le jour se pointe
y'a du brouillard,akam surgit
six heures du mat,c'est pas possible
ça va durer toute la vie...
sept heures du mat,fait grand soleil
ça fait du bien,ca donne envie
huit heures du mat,le monde se lève
ça y est je crois,c'est reparti...


je roule mon parchemin et l'attache a l'arbre;direction...la vie...
Diden
Diden après avoir parcouru les ruelles du village, tomba nez a nez avec l'arbre a mots...
Elle s'arrêta, le regarda en souriant puis s'assied a son pied contre son tronc ...
Elle sortir de sa besace sa plume et un bout de parchemin pour écrire ces quelques mots avant de l'accrocher à une de ces branches....

D'un coup les mots allaient de poser...une inspiration, un clin d'œil en pensant à ces sieurs qui n'ont pas toujours la joie de partager leur belle histoire....celle de l'amour.....un message à ces maris absents.....et pensées à mes amies qui le vivent ...car le cœur saura toujours parler...



La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte
Ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.....
La beauté d'une femme réside dans ses yeux.
C'est la porte d'entrée de son cœur, la place où l'amour réside.
Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son cœur
..
."

_________________
Pattricia
Tellement de choses se passaient dans le secret des chaumières, des casernes, des églises, des fourrés. Tellement de sentiments exacerbés, de passions refoulées, de vengeances inassouvies, de sourires cachés... Ma pauvre caboche avait besoin d'une pause, d'un peu de sérénité, d'un peu d'évasion et de sollitude, je devais l'avouer, ces derniers temps, j'avais dû m'adapter à trop de nouvelles situations, ma tête et mon cœur allaient finir par exploser...



Sentiments tumultueux et passions assouvies
Qui font de ma vie une chanson de gestes
Grandes peines et grandes joies à la fois réunies
Qui rarement au grand jour ne se manifestent.
Regard surpris sur les curiosités du destin
Rougeur discrète lorsque les regards se croisent
Épaule prêtée et langage des mains
sourires complices quand les autres pavoisent.
Préparatifs d'un départ trop longtemps attendu
Volonté commune de partager autre chose
Découvrir ensemble des chemins méconnus
Se prendre et se donner à la manière que d'autres n'osent...

_________________
Virginia_
Passant par là, Vinou eu envie de laisser un mot à l'arbre...



La dualité, je suis

Dame de cœur ou dame de pique
Ingénue ou coquine
Ange ou démon
Blanc ou noir
Lumière ou ténèbres
Eve ou Lilith
Sensuelle ou timide
Sucrée ou salée
Espiègle ou sage

Je suis une Femme tout simplement



Ce texte n'est pas de moi, je l'ai trouvé au détour d'une page ... je n'en connais pas l'auteur ... mais je l'apprécie beaucoup.

_________________
Gluth_vongluth
Gluth mis un petit mot, accompagné d'une rose au pied de l'arbre, avant d'aller en direction de la première taverne venu.

Au début tu n'était qu'une inconnue
Puis mon coeur a bien voulu
Que tu entre a l'intérieur
Pour contribué a mon bonheur

Maintenant il n'a plus peur
D'en perdre quelques unes, voir plusieurs
Car tu n'es pas comme celles-là,
Luz, ce n'est sans cesse que pour toi, qu'il bat

_________________
Complètement blasé
Sebdanjos
Seb tranquillou hésitez pêcher or not péché, ça le miner grave terrible. Et puis ma foi, soit ça peut pas être mauvais pour mes ptits muscles tout rabougris et ma vieille carcasse craquante. Il pris son courage à deux mains mais pas sur qu'il en aurait assez de deux, mais faut pas s'en faire, le fer je m'en vas le défaire de sa gangue de pierre, na mé oh je vas pas me laisser narguer par un cailloux.


Le courage présente sous des aspects dit vers
Quant a sa forme, à sa source matière
Celui d'esprit peut être vérité entière
L'admettre même quand elle nous déplait d'amer.

On confond souvent vérité certitude
Son besoin est d'instinct et de conservation
Persévérer dans son être juste passion
Répugnant l'aventure pensée, il est prude

Il en faut pour renoncer à sa quiétude
Chercher à savoir, comprendre sa peine de peur
Résister aux sensuelles sollicitudes

On sait mieux ne pas surprendre la porte coeur
Avec toutes ses joies et épreuves duels
Alors on bât Lot et on fini cristal sel



Allez va pas finir cristal sel quand même, on va le faire sortir de sa vieille carlingue en rosée, comme ça si je trouve une pépite je pourrais faire le dingue. Il prit sa pioche et parti creuser tranquillou, mais on ne l'y reprendrais plus, c'était plus de son âge.


Pique, pioche, creuse inlassable, mais cet état mine.
Une mine dans la mimine, on graphe vite à mine!
Et sous les fleurs rosée de ta peau, tu verras la pierre qui fulmine;
De ces éclats, jaillissent pépite d'or, muscle d'acier, nourrissant famine,
Eclairant l'ardent foyer de l'âtre, adoucissant les pas qui chemine.
Dompte le Minotaure, tel Thésée qui le termine.
Et va à la mine et tu auras bonne mine.

Bon pas de pépite mais oui ça dérouille bien et ce petit gout d'oxyde de fer ça vous ragaillardi et que c'est jolie toute ces étincelles sous le feu de la pioche, alors pas pépite mais bien du plaisir.


Les mots râlent parfois, à l'or! Bienvenue l'Amorale.
Echappe à toutes ses liesses, plonge dans l'hardiesse.
Et voit dans la déesse elle, comme on voit à la messe.
Enfin si l'amer ami cale, avec faim glisse sur le bleu de la mer amicale.


Allez à la mine ça décalamine!!!
Sebdanjos
Seb allait partir et ça lui déchirer le coeur, et il ne voulait pas partir sans mettre une dernière note à son festival.

Les dits vers fescennins, se fesse en un mot.
Au divers fesses, si t'y va! C'est festival d'un do.
Fée Pro de la fesse cité, ces vers se professe.
C'est là qu'on fesse, tout ce dit à la confesse.
Pattricia
Reprendre chaque geste pour retrouver ses marques. Je n'en n'avais pas l'usage, seul le plaisir de venir au pied de l'arbre à palabres m'avait amenée jusqu'ici.
En attendant le verdict des villageois pour le concours, j'avais recopié mon petit poème, plus pour mes enfants que pour l'été à vrai dire.

L'été sera chaud !

J'accroche mon parchemin à une branche et file vers le lac.



De toute ma vie, un seul été fut merveilleux
De toute mes tripes, je vous ai souhaités,
De tout mon cœur, j'ai espéré ce jour douloureux
Pour mon corps, mais tant désiré....
La journée fut excessivement chaude
Comme elles le sont surtout dans le Sud
Nous chevauchions comme en maraude
Lentement, en pleine hébétude.
Les cigales de leur chant animaient
Le chemin poussiéreux à travers la garrigue
Les chevaux devenus nerveux trébuchaient
Nos têtes au visage las dodelinaient de fatigue.
Pas un brin de vent, pas une douce brise,
Le ventre perclus de douleur par petites touches
Privée de cette liberté dont je suis éprise
Et pourtant parcourue d'une joie farouche
Prête à avancer jusqu'au bout de la nuit.
Et soudain, la danse de la lavande et du soleil
Les oliveraies descendant jusqu'aux maquis
Les chapeaux de paille qui s'agite sur la terre vermeil
J'arrête ma monture et reste là... subjuguée
Devant la vue d'un sinueux chemin topaze
Qui irrémédiablement va se jeter
Dans une étendue d'eau aux reflets turquoise.

Été où la nuit suivante vous me faisiez renaitre
Été de cris et de gémissements, de larmes de joie
Été par lequel ces trois hurlants petits êtres
Dans la vie, et dans l'amour, m'ont redonné foi...

_________________
Pattricia
Je m'étais échappée de la mine quelques heures, j'avais fait de l'œil aux gardes et surtout posé la main sur mon épée, histoire qu'ils essaient pas d'empêcher mon évasion.

Le soleil faisait quelques apparitions et ça m'avait donné une petite envie de trainer, et qui dit trainer, dit l'arbre à mots...

Parce que c'est toi, parce que c'est moi,
Parce que le soleil désormais ne se couchera plus
Parce que je suis heureuse au creux de tes bras
Parce que nous partageons un secret pour les autres inconnu.

Parce que ma vie change encore et encore,
Parce que la tienne se marie si bien à la mienne
Parce que les ennuis petit à petit s'évaporent
Parce que toi seul à su me rendre sereine.

Parce que tout est bouleversé et merveilleux
Parce que j'ai trouvé un ami, un amour... un confident
Parce que notre bonheur se lit dans nos yeux
Parce que nous t'aimons tous les deux... définitivement...

_________________
Wendoline
Wendy, Cos et leur petit Tristan étaient arrivés tôt le matin. Til les avait retrouvés comme convenu.
Les hommes occupés à diverses tâches, Wendy décida de découvrir la ville.

Elle se promena longuement, ce qu'elle découvrait lui plaisait beaucoup et surtout elle avait rencontré sa soeur Vinou

Pareil bonheur et partage la comblait, elle se promettait d'en parler sérieusement avec Cos.....

Puis elle trouva "l'arbre à mots", à Aurillac il y avait le puits aux souhaits.

Alors elle déposa pour tous ces quelques mots qu'elle appréciait ...



Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions
Je vous souhaite des silences
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil et des rires d'enfants...
Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence, aux vertus négatives de notre époque
Je vous souhaite surtout d'être Vous.


Jacques BREL
_________________
Sophie_anne
Sophie s'était enfuie de Cahors , elle avait pris la fuite sans lui laisser une chance de s'expliquer , profitant de son absence pour fuir , sans doute était ce la meilleure chose à faire pour qu'il n'ait pas à choisir entre l'amour et l'amitié .

Un soir .......
Tu es arrivé dans ma vie comme une pluie d'étoiles
Sur le sable j'avais laissé l'empreinte de mes pas
Pour que tu ne m'oublies pas une fois là bas
Unissant vos deux coeurs pour un oui sans détour
Espérant par ce serment suivre un long parcours
Grâce à toi j'ai pu survivre à mes malheurs
Etre deux enfin et entrevoir le vrai bonheur
Le destin en a décidé autrement cette fois
Dans le lointain je me suis enfuie loin de toi
A toi sans cesse mon coeur rêve et se languit
Après tant de galéres , je me sentais en vie
Mon amour , tu fais briller mon coeur
Une tendre pensée me démange de bonheur
La méchanceté des autres aura eu raison de moi
Pardonnes moi de t'avoir lachement abandonné,toi
Mon coeur saigne à présent ..........
Bubu.la.rouquine
Bubu l'avait toujours sur son coeur.
Devait -elle ici le laisser en signe d'oubli?
Oubli de ses défis...Oubli de ses réponses si attendues...
Nan, alors voyant cet arbre qui avait plus de paperasses que de feuille, Bubu se décida et sortit sa p'tite plume et un bout de parchemin jauni par le temps.
Calmement, assise au pied de cet arbre et devant son loyal destrier Blizzard qui la regardait peu intrigué, Bubu se mit à écrire un poème qu'on lui avait confié :


Citation:
Quand on voit chaque jour, un simple visage
Barré de crêpe noir, près d'un petit drapeau prés des nuages
Rappeler qu'un enfant, un frère ou un mari
Est tombé, dans l'honneur, bien loin de sa Patrie,
Des larmes de douleur jaillissent, chaque fois
Puis reviennent les doutes, et la question : Pourquoi?

C'est le temps du chagrin, le temps des souvenirs.
On entendra sa voix. On verra son sourire.
C'est un temps de regret, mais aussi de fierté
Au nom de son courage et de sa loyauté
Il savait, en parlant, quel serait son devoir
Il avait fait serment de ne pas décevoir.

Parce qu'il avait foi en la paix, la justice
Parce qu'il était prêt au dernier sacrifice,
Il a rejoint trop tôt, la Phalange de ceux
Qui ont versé leur sang, héros de notre histoire
Aux courage exemplaire, ancré dans nos mémoires.

Alors dans notre coeur, surmontant notre chagrin,
Naitra le grand espoir qu'il n'est pas mort en vain,
Que, grâce à lui aussi, des enfants, désormais,
Naîtront et grandiront, épris de Liberté,
Car si, en s'engageant, il songeait à servir,
Autant de bravoure, il parlait d'avenir.

Et demain, sur sa tombe, en déposant des fleurs,
Nous sentirons en nous un pincement au coeur,
En pensant aux parents et amis rassemblés
Venus lui témoigner amour et amitié,
En repensant aussi aux honneurs nationaux
Rendus à son cercueil recouvert d'un drapeau.

Et tous ses Frères d'Armes, respectant son courage,
Garderont sa mémoire et lui rendront hommage.
Rejoignant les héros honorés sur des stèles,
Il participe aussi à leur gloire immortelle,
Lui qui a combattu pour l'honneur et la tolérance,
Lui, qui par son regard, nous parle d'espérance.

Paul Athanase.(modifié pour le contexte du jeu)


Relisant les mots, elle pensa à son feu époux et délicatement, elle accrocha ce dernier à la première branche de l'arbre.

Pour mes frères d'armes et surtout pour tous ceux qui sont tombés loin de chez nous pour défendre la liberté...A Vous mes Amis...

_________________

Ma FC, la seule!
Sandreen
Sandreen se promenant dans la ville découvrit un arbre dont chaques branches croulaient sous les parchemins, elle en lut quelques uns et s'assit au pied de l'arbre.
Sortant de sa besace, son necessaire pour noircir de quelques lignes un velin qu'elle l'accrocherait aussi au milieu des autres.



J'aime ce hasard qui m'a mis sur ton chemin
J'aime relire tous tes parchemins
et je les laisse sur mon coeur

Je ne veux pas que tu laches ma main
Je ne veux pas savoir quand viendra la fin
et je te cache mes peurs

J'aime quand dans mes bras tu t'endors
J'aime sentir mon coeur battre plus fort
et je profite de ce bonheur
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