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[RP] Agence locale de l'Agence Acilion Presse

Cyann


15-02-2010 : Décès de Louis-Hubert d'Harlegnan

BRUGES (AAP) - Le corps du Vicomte de Lannoy, de la Motte-au-Bois et de Poperinge, Louis-Hubert d'Harlegnan, dit le Cerf, a été découvert ce matin dans son bureau de l'hostel d'Harlegnan situé à Bruges. Le décès fut constaté par les gens de la maisonnée. Il ne serait pas d'ordre criminel; l'alcool serait plutôt mis en cause. Rappelons que Louis-Hubert d'Harlegnan fut conseiller comtal des Flandres à plusieurs reprises, Comte des Flandres et Chancelier de France.
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Cyann
15-02-2010 : Position française : "La Provence est terre d'Empire"

Aix la Chapelle (AAP) - Le Samedi 13 février s’est tenu une entrevue entre la Princesse Armoria et un émissaire du Chancelier Impérial, SebastienPirlet de Belrupt. La rencontre s’est déroulée au camp de la Princesse, en Béarn où celle-ci se trouve depuis plusieurs jours avec sa garde.
Nous avons rencontré l’émissaire du Chancelier Impérial qui nous déclaré qu’il représentait ce dernier dans une discussion relative à la situation actuelle en Provence et l’intervention armée de la France.

L’émissaire, George St-Allan, s’en allait rendre compte de la discussion à son Excellence SebastienPirlet. Celui-ci souhaitait en effet obtenir une réaffirmation que la France ne souhaitait exercer aucune tutelle ni prendre le contrôle sur la Provence, qui a vocation à retourner dans le giron impérial. En effet, plusieurs voix s’élevaient dans le Cercle francophone, notamment en Franche Comté, pour accuser la France de vouloir prendre le contrôle de la Provence au détriment de l’Empire.
C’est, selon l’émissaire, pour ôter tout doute et ainsi rétablir la confiance entre le Saint-Empire et le Royaume de France que cette démarche a été entreprise.

La Princesse Armoria a ainsi déclaré au cours de l’entrevue : « Eh bien, je le puis confirmer sans la moindre hésitation : la Provence est terre d'Empire.
L'Empereur étant cousin de notre Roy, celui-ci ne cherche point à lui nuire.
(…) Nos intentions ne sont donc que faire en sorte, en aidant l'Empire à réaffirmer son autorité légitime, que la Provence redevienne ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être. Nous avons à coeur qu'elle reconnaisse l'autorité de son souverain, et qu'elle ne persiste point dans ses errances - comme de faire asile pour les brigands et pillards venus agir en le Royaume, par exemple »

Ainsi, l’émissaire se dit confiant sur les intentions de la France est espère que cette entrevue permettra de rétablir la sérénité et la confiance entre la France et toutes les provinces du Saint-Empire.

Le 15 février, un correspondant lorrain AAP a interrogé par missive le Chancelier Impérial, SebastienPirlet de Belrupt, qui a répondu par ce communiqué :

« J’ai bien envoyé un émissaire rencontrer la Princesse Armoria, ne pouvant quitter moi-même l’Empire pour le moment, afin d’éclaircir la situation et de rendre clairs les objectifs du Royaume de France. (…) Je suis convaincu que nous avons aujourd’hui la possibilité de reconstituer l’unité de l’Empire et du Cercle francophone en ramenant toutes les provinces de l’Empereur dans sur le chemin de la légalité et de la légitimité.
L’aide du Royaume de France est un précieux atout, mais toute action doit se faire dans le respect du peuple provençal.
(…) Il appartient aux provinces de l’Empire de choisir la manière avec laquelle chacune interviendra, soit militaire soit diplomatiquement, mais je pense que nous avons davantage à y gagner en choisissant une option commune.

La France et les loyalistes provençaux travaillent déjà de concert, à nous de franchir le cap à présent et de prendre le destin de notre Empire en main en profitant de l’aide du cousin de l’Empereur et de la motivation des loyalistes provençaux. »

Pour l’AAP
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Cyann
15-02-2010 : Des navires irlandais accostent à Vannes

Rennes (AAP) – Le 10 février deux navires irlandais ont accosté à Vannes. Ce sont les premiers bateaux à venir visiter les ports bretons, avant même que le premier bateau breton ne soit encore construit. Les vannetais ont ainsi le plaisir de voir, sur les quais de leur ville, le Feddw Ddraenog, appartenant au capitaine Harpege, et le Waffle du capitaine Foxfire. Cet accostage a été accueilli par la liesse de la population.

Les marins irlandais sont vraisemblablement en route pour la Rochelle, les deux navires faisant la course. Leur halte à Vannes serait motivée par la nécessité pour les équipages de réparer leurs embarcations, malmenées sur l’Atlantique, et remplir les cales de nourriture pour continuer leur périple. Il s’avèrerait également, sans que cela ne soit vérifié, que les irlandais auraient également livré du fer pour le duché et pour le duc Milouse de Cholet.

Cet évènement est symbolique est plusieurs titres. D’une part car il tend à confirmer que la Bretagne constituera une zone d’étape pour les grands trajets en mer. D’autre part il illustre les possibilités commerciales importantes de la navigation, permettant de joindre efficacement des pays éloignés.

Toutefois une ombre vient ternir le plaisir des Bretons, à savoir la découverte d’un passager clandestin, Dinodzo. Celui-ci a immédiatement acheté une propriété à Vannes, s’est présenté à la mairie avant de retirer sa candidature et a constitué une lance.

La Bretagne découvre ainsi les bons côtés du commerce maritime et les risques qui y sont liés.

Le Kozh, pour l'AAP
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Cyann
18-02-2010 : Nouveau Parlement franc-comtois à pied d’œuvre

DOLE (AAP) - Le vendredi 12 février 1458 au matin, les Franc-comtois connaissaient via l’Agence Acilion Presse le résultat de leur vote. Ainsi le « Mouvement Comtois Pour le Peuple » (MCPP), parti du Franc-comte sortant (Debenja), obtenait 48,3% des suffrages exprimés soit six sièges (Artifice, Erine, Debenja, Damegothika, Jontas et Voncarstein). Le principal concurrent, le parti « Mouvement d'avenir Comtois Diversifié et Objectif » (MACDO) dirigé par .artus., ne se voyait récompensé de leurs efforts en gargote que par quatre sièges parlementaires alloués (.artus., Katarina, Jerome, Goclad) avec 34,6% de votes franc-comtois favorables. Enfin, Epsonstylus et les VERT (« Vérité Economie Rigueur Travail ») ne gagnait que deux places avec 17,1% des suffrages, lui permettant elle et Ecaterina de siéger au Parlement.

Dès le dimanche, deux jours plus tard, les rumeurs allaient bon train quant à la possible reconnaissance de la tête de liste MCPP comme nouveau Franc-comte, le Vicomte ‘Artifice’ de Montaigu. Le lendemain matin, cela ne faisait plus de doute, il venait de faire son allégeance au Très Saint-Empereur au nom de la Franche-Comté [*]. Sont aussitôt nommés aux postes stratégiques que sont le Bailliage, la Connestablie et la Prévôté respectivement Debenja, Katarina et Jerome. L’intendance du château comtal revient à Jontas, aussi porte-parole du Parlement. Erine obtient le poste de CaC ; Goclad celui de CaM. A la Justice franc-comtoise, comme procureur .artus. et comme juge Ecaterina. Damegothika redevient vice-chancelière pour soutenir le Chancelier Fccasper ; Epsonstylus reçoit la capitainerie-générale ; enfin Voncarstein reste simple parlementaire [**].

Qu’Aristote garde la Franche-Comté.

Pons d’Agoult pour AAP

Sources :
[*] http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=46437239 ([RP] Allégeance des Comtes et Ducs envers leur Empereur, page 9).
[**] http://chateau-de-dole.forumactif.com/forum.htm
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Cyann
18-02-2010 : Hommage mutuel entre le Roi de France et le Grand Duc de Bretagne

Rennes (AAP) - L'instant fut solennel et sous tension. Le Roi de France, Lévan III de Normandie, et le Grand Duc de Bretagne, Myrlin de Pontcallec, se sont rendus un hommage mutuel au Mont Saint Michel, afin de renouveler l'engagement pour la paix entre les deux Etats.

Ce double hommage n'est pas inédit. Déjà, le prédécesseur du Grand Duc Myrlin, Amalric le XXXVIe, avait accompli cette cérémonie avec le roi Lévan III, au lendemain de la guerre très longue et très violente qui opposa le royaume de France au Grand Duché de Bretagne. Cette cérémonie constituant symboliquement la double reconnaissance des deux souverains, puisque rappelons le, les multiples conflits entre la France et la Bretagne portaient justement sur l'indépendance de cette dernière. L'autre objectif étant d'afficher, du moins officiellement, l'amitié entre les deux pays autrefois ennemis.

La cérémonie s'est déroulée, comme le prévoit le traité de paix entre la Bretagne et la France, au Mont Saint Michel, lieu sacré où les armes étaient interdites, sauf pour les deux souverains. Les délégations françaises et bretonnes furent conséquentes et rassemblèrent de nombreux nobles de chacun des deux pays. Le Grand Duc de Bretagne fit, comme le prévoyait le protocole, le premier pas, le roi de France fit alors le second, s'empara des mains de son homologue Breton et récita le premier la formule rituelle. Le prince breton la répétant immédiatement après.

Bien que brève et purement formelle, cette cérémonie revêt néanmoins une importance particulière. En effet le royaume de France et la Bretagne, bien que toujours en paix, connaissent des tensions croissantes, liées notamment au conflit en Provence. De plus le nouveau Grand Duc de Bretagne, Myrlin de Pontcallec, est connu pour avoir été l'un des plus ardents défenseurs de la cause bretonne, faisant de lui par conséquent pendant très longtemps un détracteur très virulent de la royauté française, au point qu'il fut interdit de circuler dans plusieurs provinces françaises pendant très longtemps, notamment sous peine de mort.

Néanmoins l'hommage s'est déroulé sans autre incident majeur qu'une chute accidentelle de statue sur le duc de Normandie.


Le Kozh, pour l'AAP
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Cyann
20-02-2010 : Provence: Le point.

Brignoles (AAP) - La guerre en Provence fait rage depuis maintenant un mois sans que visiblement on puisse dire qui l'emporte.
Au premier abord on aurait pu dire, en comptant les armées, que les Français sont sur la défensive, mais ce serait regarder un peu vite, car que penser de Brignoles toujours sous la domination Française et Arles, investie par les renforts de ces derniers?
Le treizième jour du mois de Février, c'est au tour de Toulon de tomber par une révolte.
Pendant ce temps, à Aix, les armées marquisales campent en dehors de la ville. L'armée Génoise, elle, accompagnée d'une autre armée marquisale, est sous les quolibets des Français retranchés dans Brignoles, qui la narguent du haut des murs de la ville.
Voilà pour la situation militaire a proprement parler.

Voyons du côté diplomatique. Tout d'abord, petit rappel des forces en présences:
D'une part, le terrain des opérations, est le Comté de Provence.
D'autre part, les belligérants sont le Marquisat (Composé d'une partie de Provençaux et d'une partie de Génois, Gênes entrée de fraiche date dans le Marquisat, qui est un régime et n'est pas cantonné à la Provence), les Impériaux (Savoyards, Milanais, Vénitiens, Modénois et Provençaux loyalistes) et enfin, les Compagnies d'Ordonnance Françaises.

Le Prime Chancelier Impérial est arrivé il y a quelques temps en Provence et a organisé une rencontre entre Loyalistes et Marquisaux sous la protection de l'Ordre Teutonique. A priori, ces négociations n'avancent pas. Cependant, la donne diplomatique a sensiblement évoluée. Alors que la Bretagne, l'Artois en France, Gênes et la Franche Comté pour l'Empire semblaient soutenir le Marquisat, l'Empire, dans son ensemble vient de condamner la sécession de Gênes et rappel qu'il n'est pas question pour les provinces de l'Empire de soutenir le Marquisat. Des contingents Savoyards sont en route pour aider les Français et les Loyalistes, pendant que dans l'autre camp, des Suisses sont arrivés pour aider le Marquisat.

En Italie, si Gênes a envoyée une armée, Venise, Modène, Milan et le Temple Italien mobilisent contre la sécession de Gênes. Que restera t il alors de l'appui Gênois en Provence si leurs terres sont menacées?

En conclusion, la situation est revenue à un point critique, où une victoire décisive de l'un ou l'autre des camps, fera peser la balance distinctement en leur faveur. Pour l'heure l'initiative semble Française avec l'arrivée de renforts conséquent et de la prise d'Arles, de Toulon et le maintient de Brignoles.

A. pour l'AAP

sources:
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1209059&sid=GxfsLL0zo9aZtFcQcVdKyj51G
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1180133&sid=GxfsLL0zo9aZtFcQcVdKyj51G
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1144702&sid=GxfsLL0zo9aZtFcQcVdKyj51G
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1189841&sid=GxfsLL0zo9aZtFcQcVdKyj51G
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Cyann
21-02-2010 : Erratum : le duc de Normandie va bien
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Rennes (AAP) - Lors de la récente dépêche concernant la cérémonie de l'hommage mutuel entre le roi de France et le Grand Duc de Bretagne, qui eut lieu au Mont Saint Michel, une erreur bien malencontreuse s'est glissée.

En effet il était fait mention d'un regrettable incident que constituait la chute d'une statuette sur la tête du duc de Normandie. Nous tenons à rassurer tous les normands et les autres, le duc de Normandie, Julien Giffard, va bien et n'a été victime d'aucune rencontre crânienne avec une effigie sculptée. Le dirigeant normand n'étant même pas présent lors de cette fameuse cérémonie.

L'erreur s'avère provenir du fait que l'objet incriminé est tombé au milieu de la foule à l'endroit où s'étaient concentrés bon nombre de normands. La rumeur circula vite alors que le duc de Normandie aurait été la victime de cette oeuvre qui chût. Expédiée trop promptement, la dépêche n'avait pas fait l'objet d'une vérification solide pour ce fait relevant, par rapport au contenu de la nouvelle, de l'anecdotique.

Nous présentons ainsi nos excuses les plus sincères au duc de Normandie, pour avoir été la victime fictive d'un accident, ainsi qu'à tous ceux qui auront nourrit du mouron à son sujet. Puisse son crâne ne jamais subir les violences que nous avions rapportés et puisse sa grâce nous pardonner de cette négligence journalistique.

Le Kozh, pour l'AAP
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Cyann
21-02-2010 : Réponse de l'Alliance du Ponant aux déclarations du chambellan de Bourgogne
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Cholet (AAP) - Dans un récent entretien donné à l'AAP, le chambellan de Bourgogne avait tenu des propos concernant entre autre l'Eglise, la Guyenne et l'Alliance du Ponant qui ont provoqué une réaction de cette dernière.

Ce chambellan ayant dit entre autre que les dirigeants de la Sainte Église manquaient de sérieux, évoquant le "je-m'en-foutisme" des prélats et avouant n'avoir "plus aucune confiance, ni aucun espoir, en cette institution sensée représenter Dieu sur terre". Concernant la Guyenne il l'accusa de "s'allier aux félons et aux indépendantistes". Il critiqua le "ridicule" du référendum, tenu par la Guyenne pour choisir d'entrer dans l'alliance du Ponant en évoquant les "connaissances nulles" des votants. Référendu qui serait en outre "truqué". Il qualifia par la suite les membres de l'Alliance du Ponant de "ramassis de traîtres", la Guyenne de "félon au Roy de France" en entrant dans cette alliance. Il accusa en outre l'Anjou de nourrir de "sombres desseins".


L'Alliance du Ponant, s'estimant malmenée par ces propos, a décidé de réagir par une annonce dont voici la teneur :


"Après avoir pris connaissance des propos tenus par le chambellan de Bourgogne à l'AAP ;
L'Alliance du Ponant déclare :

Avoir été profondément choquée et outragée par l'arrogance, le mépris et l'inconséquence de tels propos infamants, mensongers et haineux ;

Qu'il est scandaleux d'insulter ainsi l'intelligence et le choix des habitants de Guyenne, de porter aussi peu de considération au principe de la consultation populaire et ainsi d'afficher son mépris des peuples, qui à en croire le chambellan de Bourgogne, seraient incapables de choisir leur destin ;

L'Alliance du Ponant rappelle qu'elle défend avec vigueur le droit de peuples et leur respect, qu'elle condamne ceux qui ont la prétention d'aliéner aux individus leur part de souveraineté ;

Qu'il est grave, injurieux et diffamatoire de considérer les membres fondateurs du Ponant comme des "félons et des indépendantistes" ;

L'Alliance du Ponant rappelle que l'indépendance bretonne a été officiellement reconnue par le roi de France lors du traité du Mont Saint Michel, que ni le Poitou ni l'Anjou ne se sont rendus coupables de félonie, que ces provinces sont parfaitement loyales à leur suzerain et que l'ensemble du Ponant s'inscrit dans la droite ligne de ce traité, dans le respect des droits du Royaume de France ;

Qu'il est inadmissible qu'un dirigeant politique puisse impunément remettre en cause les choix et le rôle de notre Sainte Mère l'Eglise pour guider la communauté des fidèles ;

L'Alliance du Ponant insiste pour cessent les tentations de se soustraire à l'autorité de la Sainte Eglise romaine, à laquelle tous les membres du Ponant vouent une fidélité sans faille ;

Qu'il serait bon que la Bourgogne clarifie sa position face aux membres du Ponant en assumant les propos de son chambellan ou en les dénonçant, afin que tout le monde sache à quoi s'en tenir pour l'avenir des relations commerciales et diplomatiques entre cette province et l'Alliance du Ponant.

Le respect d'autrui, le respect du peuple, la vérité et la moralité ne sont pas des choses que l'on peut mépriser à la légère. Que cela soit dit et su."


Le Kozh pour l'AAP
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Cyann
21-02-2010 : Un jugement aux conséquences politiques en Artois
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ARRAS (AAP) - Au sein du Haut Conseil artésien, sous des airs de tranquillité et de sérénité, des remous se font sentir. En effet, la nouvelle est tombée dans la soirée du 18 février 1458 : le haut conseiller Nicolas de Firenze a été reconnu coupable de Haute Trahison et d'abus de pouvoir par la cour de justice artésienne. Cela pourrait avoir des conséquences politiques importantes en Artois.

L'affaire remonte au 15 décembre 1457 alors que Nicolas de Firenze était Chancelier d'Artois. Le sieur de Firenze a alors envoyé à titre privé une missive au Conseil de Bourgogne afin de lui réclamer un changement de politique diplomatique envers l'Artois. Il lui demandait notamment de « ne pas cautionner la politique du pire » en « faisant le lit d'un groupe d'extrémistes xénophobes » en Artois, faisant référence au parti Valeurs Artésiennes et plus particulièrement aux nombreux Bourrins de Cambrai qui le composent.

Cette missive a réapparu au Conseil d'Artois quelques temps plus tard y jetant les bases du procès de l'ex-Chancelier artésien. Ce courrier aurait, selon le verdict du tribunal,« compromis des relations déjà fort tendues avec la Bourgogne ; qui, suite à cet évènement, [l'envoi de la lettre] a, par l'intermédiaire du Chambellan Vaxilart, annoncé cesser toute relation avec l'Artois.»

Une confusion des genres qui a fait que « sa voix [celle de Nicolas de Firenze], bien qu'il clamât ne porter qu'elle, portait également celle du comté de façon incidente autant que conséquente. » C'est donc une rupture de collégialité qui lui a été reproché.

Nicolas de Firenze a consenti de lui-même avoir « agi maladroitement et de façon irréfléchie », réfutant cependant avoir nui ou voulu nuire à l'Artois. Il a tout de même été condamné à une peine de 3 jours de prison, de 150 écus d'amende, d'une inéligibilité d'une durée de 3 mois ainsi que d'une peine de torture par chatouillis en place publique d'Arras. Au grand dam de certains de ses opposants qui réclamaient purement et simplement sa tête.

Cette affaire a des implications et conséquences politiques, puisque, selon le verdict du tribunal, Messire de Firenze aurait également «agi de façon incidente pour son propre intérêt, en tentant de discréditer aux yeux d'autorités étrangères un parti politique artésien opposé au sien.» Il est le fondateur et leader d'un jeune parti politique, la Nouvelle Union des Très Énergiques Leaders Artésiens (NUTELA), dont le leitmotiv est de s'opposer aux positionnements politiques et diplomatiques du parti Valeurs Artésiennes et des Bourrins. Ces derniers n'ont d'ailleurs pas ménagé leurs critiques envers l'ex-Chancelier artésien et rédacteur en chef de l'AAP, qui était notamment accusé d'avoir soutenu la révolte des insurgés de Calais.

De son côté, Nicolas de Firenze a souligné "la proximité entre ce procès et les élections comtales." Quoi qu'il en soit, il faudra attendre les prochains jours pour voir si le parti NUTELA se remettra de ce coup dur en proposant aux citoyens artésiens une liste aux dites élections qui approchent.

L'AAP reviendra sur ces évènements puisqu'un dossier a été déposé devant la Cour d'appel du Royaume par Nicolas de Firenze.

Maitresseevrard, pour l'AAP
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Cyann


21-02-2010 : Réponse de l'Alliance du Ponant aux déclarations du chambellan de Bourgogne

Cholet (AAP) - Dans un récent entretien donné à l'AAP, le chambellan de Bourgogne avait tenu des propos concernant entre autre l'Eglise, la Guyenne et l'Alliance du Ponant qui ont provoqué une réaction de cette dernière.

Ce chambellan ayant dit entre autre que les dirigeants de la Sainte Église manquaient de sérieux, évoquant le "je-m'en-foutisme" des prélats et avouant n'avoir "plus aucune confiance, ni aucun espoir, en cette institution sensée représenter Dieu sur terre". Concernant la Guyenne il l'accusa de "s'allier aux félons et aux indépendantistes". Il critiqua le "ridicule" du référendum, tenu par la Guyenne pour choisir d'entrer dans l'alliance du Ponant en évoquant les "connaissances nulles" des votants. Référendu qui serait en outre "truqué". Il qualifia par la suite les membres de l'Alliance du Ponant de "ramassis de traîtres", la Guyenne de "félon au Roy de France" en entrant dans cette alliance. Il accusa en outre l'Anjou de nourrir de "sombres desseins".


L'Alliance du Ponant, s'estimant malmenée par ces propos, a décidé de réagir par une annonce dont voici la teneur :


"Après avoir pris connaissance des propos tenus par le chambellan de Bourgogne à l'AAP ;
L'Alliance du Ponant déclare :

Avoir été profondément choquée et outragée par l'arrogance, le mépris et l'inconséquence de tels propos infamants, mensongers et haineux ;

Qu'il est scandaleux d'insulter ainsi l'intelligence et le choix des habitants de Guyenne, de porter aussi peu de considération au principe de la consultation populaire et ainsi d'afficher son mépris des peuples, qui à en croire le chambellan de Bourgogne, seraient incapables de choisir leur destin ;

L'Alliance du Ponant rappelle qu'elle défend avec vigueur le droit de peuples et leur respect, qu'elle condamne ceux qui ont la prétention d'aliéner aux individus leur part de souveraineté ;

Qu'il est grave, injurieux et diffamatoire de considérer les membres fondateurs du Ponant comme des "félons et des indépendantistes" ;

L'Alliance du Ponant rappelle que l'indépendance bretonne a été officiellement reconnue par le roi de France lors du traité du Mont Saint Michel, que ni le Poitou ni l'Anjou ne se sont rendus coupables de félonie, que ces provinces sont parfaitement loyales à leur suzerain et que l'ensemble du Ponant s'inscrit dans la droite ligne de ce traité, dans le respect des droits du Royaume de France ;

Qu'il est inadmissible qu'un dirigeant politique puisse impunément remettre en cause les choix et le rôle de notre Sainte Mère l'Eglise pour guider la communauté des fidèles ;

L'Alliance du Ponant insiste pour cessent les tentations de se soustraire à l'autorité de la Sainte Eglise romaine, à laquelle tous les membres du Ponant vouent une fidélité sans faille ;

Qu'il serait bon que la Bourgogne clarifie sa position face aux membres du Ponant en assumant les propos de son chambellan ou en les dénonçant, afin que tout le monde sache à quoi s'en tenir pour l'avenir des relations commerciales et diplomatiques entre cette province et l'Alliance du Ponant.

Le respect d'autrui, le respect du peuple, la vérité et la moralité ne sont pas des choses que l'on peut mépriser à la légère. Que cela soit dit et su."


Le Kozh, pour l'AAP
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Cyann


23-02-2010 : Fermeture des frontières en Alençon


Alençon (AAP) - Ce ving-deuxième jour de l'An de Grasce 1458, en les terres d'Alençon faisant parties du Domaine Royal de Sa Majesté Levan III de Normandie, la fermeture des frontières a été officiellement décrété par la Duchesse d'Alençon Sa Grasce Rose du Ried, dicte MissRose, évoquant principalement les évènements qui ont troublé le Royaume ces derniers temps.

Voici le texte décrétant cette fermeture des frontières dont les voyageurs doivent prendre connaissance :

" Nous Rose du Ried dicte MissRose Duchesse d'Alençon, décrétons ce jour, et suite aux différents évènements s'étant produit dans le royaume ces derniers temps, tels que prise de mairies et de châteaux, la fermeture des frontières du Duché d'Alençon. En effet, en tant qu'élément constituant du Domaine Royal, la sécurité de nos mairies et de notre château ducal est menacée.

En conséquence, et a partir de ce jour 22e, du mois de Février de l'An de Grâce 1458, annonçons que:

* Tout voyageur devra être muni d'un laisser passer pour entrer en notre Duché.
* Un laisser passer est aussi nécessaire pour traverser notre Duché.
* Tout ressortissant étranger au Domaine Royal devra fournir le nom d'un garant alençonnais pour pouvoir séjourner en nos terres. La Duchesse et le conseil se réserve le droit de refuser ce séjour.
* L'entrée de notre capitale Alençon est interdite a tout étranger au Domaine Royal.

Tout étranger a notre Duché présent actuellement en Alençon, a 3 jours a partir de la date de publication, pour se mettre en conformité avec ce décret, c'est a dire, soit demander un laisser passer a notre Prévôt, Amandiere, soit quitter notre duché.

Tout contrevenant ne respectant pas ce décret pourra être mis en procès pour Trouble à l'Ordre Public, pour non respect d'un décret ducal, en vertu de l'article:

" Art. 624-2b – De la violation d’un arrêté municipal ou ducal
Toute violation d’un arrêté municipal ou ducal entraînera des poursuites pour trouble à l’ordre public sauf si cela est stipulé dans le dit décret ou
arrêté. Cela ne concerne pas les cas simples de sspéculation. Les peines vont de 1 à 500 écus avec peines de prison et peines alternatives. "


Faict en le château d'Alençon, le 22e jour du mois de Février 1458

Rose du Ried, dicte MissRose
Duchesse d'Alençon "


Eoghan de Dénéré-Dongenan, pour l'AAP.

Sources :
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=46793430& (La gargote Alençonnaise ; [RP] Annonces officielles du Conseil )
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Cyann


23-02-2010 : Entrevue avec la nouvelle rectrice du Collège Saint Louis.


Paris (AAP)- Il y a peu, Sa Grasce Nennya Desbois Blackney, Duchesse de Mortain, a été nommée Rectrice du Collège Saint Louis. nous avons sollicité un entretient avec elle afin d'en apprendre plus sur cette nouvelle structure et sur cette Dame:

AAP- Vostre Grasce, bonjour et merci d'accepter à répondre à nos questions. Premièrement allez vous bien?

Sa Grasce Nennya Desbois Blackney, Duchesse de Mortain-
Bonjour, en effet, ma tête va pour le mieux, débordante d'idées mais toujours en place.

AAP- Vous avez récement été nommée, rectrice du Collège Saint Louis, pouvez vous nous expliquer d'abord qu'elle est cette institution?

SGNDB- Tout à fait, le Collège Saint Louis est une institution royale chargée de donner un enseignement pluriel à des enfants nobles allant de l'âge de 8 ans à 15 ans, damoiselles comme damoiseaux. L'objectif de ce collège est d'inculquer des valeurs nobles et aristotéliciennes à ces enfants. Les disciplines enseignées sont diverses, de la littérature à l'équitation.

AAP- Est-ce parce que le constat a été fait que la jeunesse dorée de France était mal éduquée que cette idée est née? Ou bien est ce parce que Paris souhaiterai voir ces enfants plus "rattachés" à la Capitale et au Royaume?

SGNDB- Je dirais aucun des deux, il est intéressant intellectuellement, mais aussi pour tisser des relations sociales de mettre en contact ces enfants, en leur donnant une éducation des plus complète. Je ne dis pas que l'utilité d'un précepteur privé est totalement inutile, mais il faut que ces jeunes gens se rendent compte de la réalité extérieure, et certainement du grand destin qui peuvent les attendre. Ces enfants sont trop coupés de la réalité à mon sens.

AAP- Quelles sont les matières enseignées à l'heure actuelle?

SGNDB- Il y a trois cycles enseignés, le primus trivum avec de l'équitation, une initiation à la chasse et aux joutes, le secundus trivum qui comprend le fonctionnement de nos institutions royales, l'étiquette et les règles de vie en société, l'histoire. Et enfin, le tertius tritium qui enseigne les principes aristotéliques, la rhétorique et la dialectique. Actuellement, nous cherchons encore des enseignants concernant le tertius tritium.

AAP- Pouvez vous nous expliquer en quelques mots, pourquoi vous avez été nommée?

SGNDB- En quelques mots, j'ai été nommé suite au désistement de Dame Altania, qui avait déjà fait un travail formidable sur le projet du Collège, je m'étais mis dans la tête au départ d'aider sur la base du volontariat, ayant peur de ne pas pouvoir assurer mon autre charge, et au final, aimant particulièrement les défis, et le Grand Chambellan me faisant confiance, j'ai été nommé. *dit-elle en riant*

AAP- Vous êtes aussi Rectrice de l'Hotel Dieu depuis longtemps maintenant. Pouvez vous éclairez nos lecteurs sur cette institution?

SGNDB- L'Hôtel Dieu de Paris est un établissement gracieux, qui accueille les malades, les pauvres, et les plus démunis. J'ai mis en place également un système de formation pour ceux qui souhaitent devenir médecin, actuellement, nous sommes un peu moins d'une vingtaine. Je suis constamment à la recherche de ceux qui souhaitent apprendre la médecine.

AAP- Il existe d'autre institutions qui proposent d'enseigner l'art médical, avez vous des discussions avec eux, notamment des controverses sur l'art en lui même?

SGNDB- Oui il en existe notamment l'Ordre Lescurien qui propose un excellent séminaire médical que j'ai suivi en son intégralité, il est tout à fait gratifiant de parler des débats sur l'art médical qui nous anime. Évidemment, nos débats ne sont jamais roses, mais nous arrivons à échanger c'est le principal pour l'avancer de nos travaux respectifs.

AAP- Vous avez la réputation de ne pas apprécier le cumul des charges. Pourtant, vous voilà désormais rectrice de deux institutions, comment l'expliquez vous?

SGNDB- *Gênée de cette question, elle repris son souffle pour y répondre avec franchise*
Oui, il est vrai que je me suis bien souvent esclandrée contre le cumul des charges, toutefois, ces deux charges sont distinctes et ne gêne en rien l'une et l'autre. Le tout est de ne pas se disperser dans celles-ci, il faut savoir se diversifier.

AAP- Que pense Rome de vos travaux à l'Hostel Dieu? Avez vous de bons rapports avec eux?

SGNDB- *La Duchesse de Mortain eut une petite moue dubitative, et répondit:*
Les travaux que j'ai réalisé, ainsi que ceux des apprentis de l'Hôtel Dieu de Paris sont tout à fait cohérent avec nostre temps. N'oublions pas que l'Hôtel Dieu de Paris fait partie de la Maison Ecclésiastique du Roi sous l'égide du Grand Aumônier de France, à qui, je fais des rapports régulièrement à propos des activités pratiquées à l'institution. Je reste en accord avec la vocation première d'un Hôtel Dieu, l'accueil de tous et toutes. C'est ainsi que dernièrement nous avons organisé une soirée de la charité qui nous permettra le 26 février prochain de faire une distribution de repas aux plus pauvres et exclus de nostre Royaume.

AAP- Profitant du fait que vous êtes là, nous ne pouvons nous empêcher de vous poser la question de savoir quel est votre avis sur la Provence, sachant que vostre époux, le Duc Alcalnn Blackney de Mortain -Amiral de France- y est présent.

SGNDB- *Nennya était étonnée de la question, mais elle devait pourtant s'y attendre, évidemment que tout le monde la demandait souvent.*

Mon avis est plutôt clair, je soutiens mon époux dans sa démarche.

AAP- Merci vostre Grasce, nous vous souhaitons une bonne journée.


A. pour l'AAP
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Cyann


23-02-2010 : Chute du chateau de Dole : la noblesse comtoise perd son butin fiscal de 500 000 écus


Dole (AAP) - Gardé par un effectif incomplet constitué d'une maigre poignée de défenseurs, le château de Dole recélait un trésor fabuleux d'une valeur de près d'un demi-million d'écus quand il fut assailli et pris dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 février 1458 par une bande bigarrée venue des quatre coins des contrées francophones, parmi lesquels plusieurs enfants et aussi plusieurs membres de la famille Penthièvre, avec en tête, la duchesse Kilia de Chandos, pair de France, et Aurélien Marc-Antoine, multi-récidiviste de l'assaut de châteaux. D'après nos informations, il y aurait eut 6 défenseurs pris par surprise et rapidement débordés par 19 assaillants.

Pour couronner la chute de la noblesse comtoise dont la réputation n'est souvent plus de première blancheur, on apprenait que les locaux administratifs du château avaient été gravement endommagés quelques heures auparavant par un mystérieux sinistre survenu soudainement. Orchestration par une frange de la clique au pouvoir complice de l'assaut à venir et soucieuse de ne pas donner accès aux preuves de ses compromissions ? Ou bien acte d'un espion isolé cherchant à désorganiser un peu plus le comté à la veille de l'assaut ?

A l'étonnement de la population qu'un tel trésor eut été perdu, s'ajoutait celui qu'il eut été constitué. Pourquoi ? Comment ? Un tel trésor représente pour chaque habitant de Franche-Comté 500 écus ou 100 RMI ou 30 SMIC. Sans même dépenser un seul denier, il eut fallu la durée d'une quarantaine de saisons de blé pour collecter un tel montant avec le lourd impôt habituel de 12 000 écus levé à chacune d'entre elle sur les municipalités de Franche Comté, son millier d'habitants râlant sous le poids de l'impôt !

A peine le château pris, l'assaillante Kilia de Penthievre, pair de France, se saisit du titre de franc-comtesse et place la Franche Comté sous la couronne de France. Quelques heures après, plusieurs sources comtoises font état d'une missive de la GMF, Armoria de Mortain, qui rejette cette vassalité offerte et annonce la suspension des droits de pair et le procès à venir de Kilia. En Franche-Comté, une série de procès sont lancés, impulsés par la procureur insurrectionnelle Hanadora de Grimwald puis, par son remplaçant Léandre, un adolescent. Ces procès évoquent notamment la mort d'un dénommé Sirius.

Dans les heures qui suivirent la prise du chateau, les assaillants ont chargé avec force célérité les chevaux et voitures disponibles, emportant en l'espace d'une journée l'ensemble des écus et des marchandises à l'exception de quelques ressources nécessaires au bon fonctionnement des mines. Vidé de ses ressources et de ses nouveaux maitres, le chateau de Dole fut pris d'assaut et récupéré dans la journée de dimanche par les forces loyalistes ayant reçu des renforts des villes environnantes.

Nous avons cherché à en savoir plus sur les circonstances de cette prise. Pour cela nous avons demandé à rencontrer Calyce, la porte parole officielle des assaillants. C'est ainsi, qu'au creux d'une grotte jurassienne aux multiples ramifications, nous avons découvert assise sur un petit promontoire intérieur une enfant de 11 ans : Calyce.

Pour Calyce, entrer dans le château fut ... "un jeu d'enfants" ! Elle fait observer avec perplexité, plissant le nez et balançant énergiquement les jambes, que le chateau aurait du mieux organiser ses défenses, alors qu'on y trouvait cette nuit là plus de pyjamas que d'uniformes. Elle décrit le groupe avec lequel elle a vécu ces moments forts : des bretons, des français, des comtois, trois enfants, une grande dame de la pairie, un preneur de château jusqu'alors infortuné... La plupart sont venus pour devenir riches mais certains veulent aussi "se venger pour la mort d'un vieux messire". Elle précise que sa seule frayeur vint après la prise du château quand un homme à la peau cuivrée sorti de nulle part jaillit dans son bureau : elle crut un instant qu'il voulait la dévorer mais il semblerait que celui-ci ait plutôt envisagé de s'immoler sur son bureau, avant de s'enfuir, vraisemblablement par la fenêtre en plongeant dans les douves du château. Elle explique n'avoir appris l'assaut que trois jours auparavant. Elle a été recrutée par Aurélien de Penthievre pour qui le 19 serait un chiffre fétiche, en l'honneur de son grand père qui distribuait des pattes de fruits, idée qui émerveille Calyce. Elle aurait bien aimé rester dans le château dont elle trouve magnifique la décoration et succulentes les viandes en sauces qui y abondent mais elle sait qu'il ne faut pas abuser de l'hospitalité. Elle remercie les franc comtois de lui avoir permis de devenir riche. En tous cas cela lui change de la cabane de son papa angevin, lui aussi preneur de châteaux notamment en Touraine. Quand on lui demande si des échanges ont lieu avec les forces loyalistes portant sur d'éventuelles tractations elle fait simplement référence aux seuls échanges que constituent les chausses lancées sur les fenêtres par des loyalistes furieux plantés aux pieds des murailles. Elle aurait bien aimé prendre la couronne mais celle ci a été remise à Kilia qui est une grande dame aussi Calyce a simplement pris la parole.

Contacté par courrier, Aurélien de Penthièvre, signant du titre de Baron de Saulx, nous confirme que l'expédition n'aurait pas vu le jour sans la volonté de venger la mort de son parrain Sirius de Margny-Riddermark , " feu Vicomte de Saulx et Prime Capitaine impérial , haut dignitaire impérial et ancien Maréchal d'Armes Impérial ", ainsi que " son compagnon d'infortune Sir Eragon ". Tous deux auraient été tués en date du 19 janvier 1457 où " le Franc-Comte de l'époque ordonna à une de ses armées de réduire à néant l'armée impérial dirigé par feu mon parrain Sirius, qui lui dirigeait l'armée sur ordre du Haut Connétable Impérial de l'époque, feu sa grâce le duc Yanahor de Rubempré ". Le Franc-Compte aurait commit de ce fait " un crime envers les serviteurs les plus fidéles de l'empereur, ainsi que à un de leur noble, et ancien Franc-Comte ". L'initiative originelle de l'expédition de ce 19 février 1458 destinée à venger Sirius serait venue de sa fidèle vassale dame Hanadora de Grimwald auquel se joint bientôt Aurélien de Penthièvre. Ces deux personnages auraient alors organisé et conduit le groupe qui fut tardivement ralliés par Kilia Chandos de Penthièvre, révoltée par l'obstacle fait par la Franche Comté aux armées croisées venues assiéger Genève à la Noël 1457.

Xavdr, pour l'AAP


Sources:
- Agora du Chateau de Dole "Le Franc-Comte finit de fêter son anniversaire sous la pluie"
- Agora du Chateau de Dole "Château repris"
- Gargotte franc-comtoise "[RP] À l'assaut..."
- Notre rencontre avec Calyce
- Notre échange de courrier avec Aurélien de Penthièvre
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Cyann


24-02-2010 : [EA] Nouvelles Primatiales : Monseigneur Nufilen au poste d’Archevêque Métropolitain de Besançon


Rome (AAP) - Dans la journée du 24 février 1458, le Concile Épiscopal du Saint-Empire a attribué à Monseigneur Nufilen le poste d'Archevêque Métropolitain de Besançon.

Cette nomination fait suite à la démission de son éminence Ecaterina, Primat du Saint Empire de la tête dudit archevêché, afin de se consacrer pleinement a ses prérogatives Épiscopales.


Ludovi de Sabran, pour l'AAP

Sources:
- http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=19312
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Cyann
26-02-2010 : Elections au conseil du Comté de Provence : R - HIPS en tête, mais sans majorité


PARIS (AAP) - La liste Resistance [HIPS] est arrivée en tête lors de l'élection au conseil de Comté de Provence, mais sans obtenir de majorité absolue. Elle devra donc constituer un gouvernement de coalition.

Répartition des suffrages exprimés :

1. "Resistance [HIPS]" (R - HIPS) : 48%
2. "Provence Libre" (PL) : 27.4%
3. "Resistance [AP] " (R - AP) : 24.6%

La répartition des sièges au scrutin à la proportionnelle conduit à une nouvelle répartition des postes du conseil :

1 : Ledzeppelin (R - HIPS)
2 : Axle_x (R - HIPS)
3 : Whaou74 (R - HIPS)
4 : Bloudas (R - HIPS)
5 : Strongholdlol (R - HIPS)
6 : Miladyw (R - HIPS)
7 : Snake84 (PL)
8 : Ref1 (PL)
9 : Misslafan29 (PL)
10 : Richelieu1 (R - AP)
11 : Funnyjok (R - AP)
12 : Bertha (R - AP)

Les membres du conseil reconnaîtront le prochain Duc d'ici à deux jours. Ce dernier devra alors présenter ses hommages à son souverain, et Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæmer aux principales charges du Duché.
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