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[RP] Primatiale de Bretagne

Clodeweck
Ravi, Clodeweck salua comme il se doit Mgrs Arzhel et Tadeus,Mgr Hugo qui avec Son Eminence verty l'accompagnait furent gratifiés d'un sourire ainmable.Puis, le père se leva et alla vers l'assemblée.

In nomine Dominus, Aristote et Christos

Il attendit que l'assemblée réponde

Qu’il en soit ainsi

Bonjour à tous !

Messire Dug, Messeigneurs, Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.

Il m’est donné l’honneur de célébrer devant vous cet office, j’en remercie le Très Haut


Après cette introduction il s'approche de la lice et s'adresse de nouveau aux fidèles présents.

Mais avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.
Oremus :


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.

_________________
Deux églises s'affrontent, celle du pouvoir, celle du pardon, faite comme moi soyez de la deuxième.

Missanges
Une impression de le suivre…

Le dernier tintement de la langue contre la cloche résonnant comme un écho, mourrant doucement dans l’air. Le son se répercutant dans la ville afin d’appeler les fidèles. Dernière note chevrotante se voulant à rassembler les Bretons !

Une messe !

La porte grande ouverte, les rayons de soleil nimbent déjà la nef dévoilée. Lumière douce et divine.
Nos pieds se posent sur le dallage, et lentement nous avançons. La main de mon mari exerce une douce pression sur la mienne. Dans un coin les chandelles vacillent, une odeur de mélange de résine se consumant titille mes narines.
Nous remontons l’allée jusqu’à prendre place auprès de Mikaphile en saluant de la tête tous les présents.

_________________
Hugo.
Ecoutant le Cardinal il fit un petit signe de tête à Missange avant de demander pardon.

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.

_________________
Naudeas
Naud vit que la primatiale se remplissait doucement. Elle écouta donc son Primeur et répéta après lui.

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.

_________________

Ne vous posez pas la question de qui elle est, mais plutôt de ce qu'elle fait !
Arzhel
Le prélat de murmurer distinctement le confiteor.

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.
Tadeus94
A la suite Tadeus récita le confiteor.

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.

_________________
Melyane_
Je prenais place en tant que Diacre depuis longtemps pour notre église, en tant que combattante pour elle à Genève durant deux mois.
Fermant les yeux je récitais.


- Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.

_________________
Viken
Ils étaient entrés ensemble, unis comme au premier jour, saluant chacun des présents d'un signe de tête ou d'un sourire. Une lègère inclinaison en signe de déférence au maître de cette cérémonie religieuse et ils s'installèrent aux côtés de leur amie Mika.
L'atmosphère était empreinte de solennité et la voix de Clodeweck résonna sur les hauts murs de la Primatiale.

Chacun l'écouta en silence avant de reprendre ses mots.


Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.
Clodeweck
Le père s'approche de la lice et s'adresse à l'Eglise.

Mes frères, mes sœurs,

C'est avec une certaine tristesse que je m'adresse à vous.
Les candidats au trône de France, font campagne. Parmi eux, certains ont déclaré que la France était « fille ainée  de l'Eglise ».
Cela ne vous dit peut être rien, mais ce titre fut longtemps celui de la Bretagne.
Bien sur cela ne vous touche peut être que très peu, mais voilà encore une chose que la Bretagne se laisse voler sans bouger.
Encore une !
La Bretagne de 1459
Que reste t il de la Foy de la Bretagne ?
Où êtes vous bretons...
J'ai vu quelques druides autoproclamés et illégitime essayer de rassemblait un semblant de foule.
Même le comique ne vous attire plus.

Vous qui êtes ici ce soir, m'entendez, mais je vais m'adresser aux absents. Je suis sur que malgré leur absence ils m'entendront.
A tous ceux qui ne sont pas là où ils devraient être, c'est à dire ici.
A tous ceux qui ne savent plus où ils vivent, où ils sont et ce qu'ils sont.

Nous sommes tous, hommes et femme des 1459, des créatures du Très Haut, et ce repas pris symboliquement en commun, que l'on nomme « messe » ou « partage du pain », doit être l'instant de nous rappeler que nous partageons la même, terre, un seul soleil, et le même Dieu. Unique, créateur du ciel et des enfers, de la terre, de l'univers visible et invisible. Qu'enfin nous partageons la même foy.
Cette foy qui nous donne la force de supporter, de tolérer, la vie qui nous est imposée en cette vallée de larmes.
Les guerres, les abus des petits tyrans, les tricheries des politiques, les famines, l'infamie, les impôts qui nous privent du fruits de notre labeur, les épidémie, la peste le choléra et les benêts...
Comment supporter cet enfer que les hommes et les femmes vivent tous les jours sur terre sans l'espoir de cette vie meilleur et promise au gens vertueux ?
Si nous supprimions la foy ou la religion de notre vie, que resterait-il ?
Que ferions nous ?
Que vivrions nous ?
Nous serions tels des légumes au soleil, à nous nourrir et grossir oisivement avec autant d'esprit et de spiritualité que les dicts légumes !
Nous ferions des guerres, des guerres sans mort, Aristote renvoie les soldats sur terre, il n'en veut pas, sans but et sans victoire, les deux camps s'auto-proclamant vainqueurs et les militaires s’auto-déclarant héros ! Cela peut être amusant un moment.
Nous ferions de la politique partisane, traitant nos adversaires d'incapables tous les deux mois, les insultant, leur faisant porter le poids de tous les échecs passés...Puis prendrions le pouvoir pour deux mois, pour ne rien changer.
Les fleuves couleraient toujours vers la mer, le soleil se lèverait à l'Est, un jour chasserait le précédent et une génération chasserait l'autre...Et le discours politique serait encore et encore le même.
Alors...
Alors que les absents refusent le partage, refuse la spiritualité !
Dans le même temps ils réclament les curés, qui devraient être à leur disposition en cas de besoin nuptial !
Eux ne sont pas là quand les curés sont là.
J'en conclurais en disant haut et fort ceci.
Méritez vos prêtres et vous en aurez.
Agissez en nobles et vos titres auront de la valeur, ou n'en auront pas.
Soyez des hommes et des femmes de 1459 sinon crédibles, du moins plausibles.

Et si vous n'êtes pas ici, c'est que vous ne valez pas , aujourd'hui ce que vous croyez valoir.

A force de ne croire en rien, vous n'êtes rien.

Longtemps les gens rêvaient de venir vivre en Bretagne
Longtemps les clercs rêvaient d'y servir.
Aujourd'hui lorsque je parle à quelqu'un de venir en Bretagne, ça le fait rire, il n'y vient pas.

Je vous laisse méditer.

_________________
Deux églises s'affrontent, celle du pouvoir, celle du pardon, faite comme moi soyez de la deuxième.

Naudeas
Naud avait baissé la tête à mesure que Clodeweck parlait, elle savait ses sermons n'arrivaient à dépasser nul autre, toujours plein de sagesse, mais d'une longue et grande morale. Il est vrai qu'elle l'avait suivi de longs mois, l'écoutant toujours avec tant d'admiration quand il parlait. Sa voix était claire et audible de tous. Mais peu de fidèles sauf les clercs, ce qui était fort dommage, mais ça ne changeait guère, dirions-nous.

Elle l'écoutait toujours avec une attention particulière, mêlée d'admiration, le plus beau sermon qu'elle ait écouté, était celui dit aux angevins en octobre. Elle avait ri après, eux beaucoup moins. Cette vérité cachée qui faisait que Clodeweck était Clodeweck.

Après, elle ne pouvait pas encore trop comprendre cette espèce de défi breton, elle était française, elle le resterait comme si cette origine était marquée sur son front. Mais bretonne, elle peinait encore à s'y sentir, après tout, elle restait une étrangère. Le chauvinisme se faisait ressentir, malheureusement. Ce qui était dommage, même avec la meilleure volonté du monde, le nom étranger serait là à jamais.

Ses pensées continuèrent de s'envoler dans ce que venait de dire le Camerlingue...

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Ne vous posez pas la question de qui elle est, mais plutôt de ce qu'elle fait !
Myrlin
Dans un coin sombre - l'ancien Grand Duc n'avait plus le droit de siéger au premier rang bien que celui-ci soit déserté depuis longtemps - écouta le sermon et pour une fois le trouva très bon.
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''C'est la morale d'un peuple qui fait le crédit public'' (Chateaubriand)
Anakin41
C’était appuyé contre le mur, au font de l'édifice religieux, qu'Anakin avait écouté le sermon. Il regardait Clodeweck et se souvint de cette époque lointaine où le jeune breton côtoyait les mêmes tavernes que lui. Que de chemin parcouru par cet homme pour en arriver à la place qu'il occupait aujourd'hui.
Ce sermon, il l'avait écouté en silence et il l'avait fait frissonner parfois, les mots étaient prononcés avec éloquence et cœur.
Un regard sur les personnes présente et sur les absents cités. Il soupira en silence.

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Blanche_
S'il avait été aisé pour Gwenn de remarquer sa Magnificence Myrlin dans un recoin sombre de la Primatiale, d'aucun n'aurait pu dire qu'il l'avait, à son tour distinguée. Elle devait-être, telle qu'elle se l'imaginait, une tâche sombre semblable aux autres dans son paysage aveugle, et bien que l'envie la traversa une seconde d'aller fléchir devant lui, elle jugea l'intervention inappropriée. Il y aurait, peut-être, une autre occasion pour présenter son respect à l'ancien Souverain d'Avalon, une autre où les murs saints et les paroles religieuses n'auraient cours.
Emplie de la satisfaction offerte par cette promesse à elle-même, elle plia genoux sur le petit coussin devant elle, et ainsi recueillie face au Seigneur, se mit à réfléchir aux paroles du Primat Clodeweck. Elle n'avait, depuis longtemps pas ouï la sainte croyance aristotélicienne dans un édifice religieux breton ; mettons que les cérémonies privées à Donges ne faisaient pas partie d'un recueillement habituel. Aussi le brusque changement dans ses habitudes la ramena à une époque où Lusiana était encore en vie, où même, la noblesse avait un semblant de mariage et de décence, et où sous l'égide d'une forte prestance elle n'était pas menée à sa perdition.
Carolum Borgia, oncle d'un ami de Castilla Leon, parlait souvent de ce qu'était la croyance et ses fondements, aussi de leur écho dans la communauté locale. Trop habituée à ce qu'étaient les gens de là-bas et du Royaume de France, Blanche avait oublié la Bretagne et ce qu'elle était devenue ; pis, elle avait oublié l'époque de Lusiana & Mirwen, les querelles d'un ancien temps, elle avait oublié le Souverain Myrlin. Désormais face à ses fautes, elle s'en repentait sincèrement.

Les genoux cuisaient. Le coussin, mal positionné, en laissait un choir presque au sol froid de la Primatiale.
Mais elle ne bougea pas. Elle profitait de ces derniers temps en Bretagne pour se demander de ce qu'elle en ferait, et si elle implorerait Astaroth pour une ultime attention.

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Douchka
Douchka se recueillait, discrète et concentrée, les mains jointes.

Le sermon, et le mot prenait tout son sens, était direct, limpide et d'une rare vérité.

Les mots faisaient mouche, les esprits réceptifs, les têtes baissées.

Partage, Fierté ...

Où tout cela était il donc passé?
Pourquoi en sommes nous là?

Les mêmes questions qu'elle s'était posé tant de fois...

Les jours étaient troubles, l'avenir incertain mais la foy et la volonté bien présente, au moins voulait elle y croire encore.

Méditation, oui, il était encore temps

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Tu me manques déjà Kyky.
Ta chipie ne sera plus la même, à présent.
Roxane2
comme d'habitude , elle était arrivée en retard la cérémonie avait déjà commencé (elle avait perdu l'habitude de s'habiller en fille et avait faillit plusieurs fois se retrouver le nez par terre ..... Sacrée robe . Les portes étant toujours ouvertes elle se signa et se faufila au dernier rang . Elle récita le confiteor

- Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.


Puis écouta le sermon du père Clodeweck méditant sur ses parles

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Citoyenne bretonne
Ex bergère , ex douanière , toujours charpentière et maintenant maçonne
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