Lilith_de_kerdren
Jétais hypnotisée par Peter, rien naurait pu perturber le tête-à-tête que nous nous accordions en cet instant. Mes yeux azurs ne pouvaient quitter ceux de cet Homme que je voulais faire mien, aucune paroles entre nous nétait nécessaire pour nous comprendre. Merveilleux ...
Malgré létat de douce rêverie dans lequel jétais délicieusement plongée, il men sortit en se penchant vers moi et se tournant vers la jolie fée. Que jaimais leur complicité, si touchante
Je profitai de ce moment pour jeter un regard attentif sur les invités, chose que je navais pu faire depuis mon entrée.
Tout dabord, j'aperçue ma sur Secate, puis Godefroi, et Romu deux de mes frères il ne manquait plus que Thomas (toujours en retard celui là !!!!)
Mon regard se posa également sur une personne que la toilette rendait immanquable : en effet, une tenue aussi éclatante ne pouvait quattirer les regards les plus intéressés !
Quelle ne fut pas ma surprise quand je reconnus Mimilia. Mon Dieu, elle était donc présente ! Nous nous étions pourtant si fortement disputé que je pensais ne plus jamais la revoir. Et pourtant ...
Nous étions si complices par le passé: Mimi avait assisté a bon nombre dévènements personnels et dimportance de ma vie, pour ne pas dire tous.
Nous eûmes pu (je parle bien des fois), elle et moi, recevoir la distinction de «plus grands piliers de comptoir jamais observé» tout comme le premier prix de plus grand nombre de *hips* dans une même phrase. Cest vous dire
Cest elle encore qui mavait souvent consolée, séché mes larmes (dont je nierai, bien entendu, officiellement même jusquà lexistence, ne mépanchant jamais comme toout le monde le sait) alors que moi, je navais même pas été un minimum présente lorsquelle connut sa plus grande peine .
A tout bien considérer, jai même été odieuse avec elle il y a quelques jours, lui reprochant de ne pas être venue à mon chevet quelques semaines auparavant mon cur se noua jaurais tellement aimé la prendre dans mes bras mais ce nétait définitivement pas le moment. Je lui fis néanmoins un léger signe de tête, espérant quelle comprenne que javais remarqué sa présence et que cela me touchait fortement.
Cest avec ces images en mémoire et baignée dune douce torpeur que je sentais la main de mon ange serrer un tantinet plus encore la mienne au creux de la sienne et me tournai vers lui ...
Ensuite, cest dune oreille attentive que je me suspendis aux paroles de lArchevêque.
Nous savions tous deux que le mariage nallait pas se résumer à une mer dhuile pour avoir été mariés auparavant et connaissions, de fait, les aléas «des couples».
En lécoutant, une phrase me restait en tête : celle qui dit que lon sunit pour le meilleur et pour le pire, comme le dit lexpression consacrée. Cest à ce moment que jesquissai un sourire presque amusé: nous avions déjà vécu le pire ! Il ne nous restait, en toute logique, que le meilleur à rencontrer ...
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Malgré létat de douce rêverie dans lequel jétais délicieusement plongée, il men sortit en se penchant vers moi et se tournant vers la jolie fée. Que jaimais leur complicité, si touchante
Je profitai de ce moment pour jeter un regard attentif sur les invités, chose que je navais pu faire depuis mon entrée.
Tout dabord, j'aperçue ma sur Secate, puis Godefroi, et Romu deux de mes frères il ne manquait plus que Thomas (toujours en retard celui là !!!!)
Mon regard se posa également sur une personne que la toilette rendait immanquable : en effet, une tenue aussi éclatante ne pouvait quattirer les regards les plus intéressés !
Quelle ne fut pas ma surprise quand je reconnus Mimilia. Mon Dieu, elle était donc présente ! Nous nous étions pourtant si fortement disputé que je pensais ne plus jamais la revoir. Et pourtant ...
Nous étions si complices par le passé: Mimi avait assisté a bon nombre dévènements personnels et dimportance de ma vie, pour ne pas dire tous.
Nous eûmes pu (je parle bien des fois), elle et moi, recevoir la distinction de «plus grands piliers de comptoir jamais observé» tout comme le premier prix de plus grand nombre de *hips* dans une même phrase. Cest vous dire
Cest elle encore qui mavait souvent consolée, séché mes larmes (dont je nierai, bien entendu, officiellement même jusquà lexistence, ne mépanchant jamais comme toout le monde le sait) alors que moi, je navais même pas été un minimum présente lorsquelle connut sa plus grande peine .
A tout bien considérer, jai même été odieuse avec elle il y a quelques jours, lui reprochant de ne pas être venue à mon chevet quelques semaines auparavant mon cur se noua jaurais tellement aimé la prendre dans mes bras mais ce nétait définitivement pas le moment. Je lui fis néanmoins un léger signe de tête, espérant quelle comprenne que javais remarqué sa présence et que cela me touchait fortement.
Cest avec ces images en mémoire et baignée dune douce torpeur que je sentais la main de mon ange serrer un tantinet plus encore la mienne au creux de la sienne et me tournai vers lui ...
Ensuite, cest dune oreille attentive que je me suspendis aux paroles de lArchevêque.
Nous savions tous deux que le mariage nallait pas se résumer à une mer dhuile pour avoir été mariés auparavant et connaissions, de fait, les aléas «des couples».
En lécoutant, une phrase me restait en tête : celle qui dit que lon sunit pour le meilleur et pour le pire, comme le dit lexpression consacrée. Cest à ce moment que jesquissai un sourire presque amusé: nous avions déjà vécu le pire ! Il ne nous restait, en toute logique, que le meilleur à rencontrer ...
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