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[RP] Primatiale de Bretagne

Nanou7740
La blondinette de Nanou avait appris tardivement le mariage de son amie Meil!!!
Elle avait sauté le plus rapidement possible dans une robe potable et courrut jusqu"à la primatiale !
Elle arriva tout essoufflée sur le parvis et l'aperçut dans sa magnifique robe de mariée , elle sourit en essayant de s'approcher !





Elle l'admira , la serra très fort dans ses bras et la bisouilla de toutes ses forces

Tu es magnifique, splendide, rayonnante, toutes mes felicitations à vous deux et meilleurs voeux de bonheur

Tient voici notre petit cadeau de mariage de Gavial et de moi !



_________________
Maelfea
Son tour était arrivé, grands ses bras s'étaient ouvert pour serrer contre elle sa marraine sans abimer la magnifique tenue et lui sussurer les félicitations sincères qui lui brulaient les levres.

- Toutes mes félicitations, que ce premier jour de ta nouvelle vie soit la promesse de lendemains plus heureux les uns que les autres, nous ne sommes pas fais pour rester seul et aujoud'hui Ankou a promis d'y veiller et moi, je le garde à l'oeil.

Se retournant vers le marié souriante :

- Tous mes voeux de bonheur et gard à vous si le visage de ma marraine venait à se teinter de votre faute!

La brune lui sourit, s'assurant que sa taquinerie est bien prise comme telle. Rassurée, elle laisse sa place, beaucoup encore attendent derrière elle.
Se hissant sur la pointe des pieds, elle cherche alors ce visage familier qui lui a fait défaut jusque là, aurait il manqué à sa parole?
Sixsous
Croise enfin le regard de biche de sa brune endimanchée, lui dirige un léger sourire; avant de continuer à discuter avec de charmantes damoiselles toutes aussi charmantes les unes que les autres, tout en la toisant du regard....

...juste pour la faire bisquer ....juste pour rajouter un peu plus de couleurs, encore, à ses joues.

Espère qu'elle viendra vers lui, se demande si elle le fera... trépigne ne la voyant pas bouger.

Gromèle dans sa barbe... prétexte d'aller saluer les mariés pour se diriger vers elle.

Se retrouve devant son croque mort préféré tout en lui souriant:
Mes félicitations toi!!!!!!! Tu sais que tu es magnifique!!!!

Se retourne vers son "maintenant mari": Tous mes voeux de bonheur, à vous deux^^Qu'il dure le plus longtemps possible.
Poursuit plus bas, juste pour l'homme, tout en lui claquant un clin d'oeil: Accrochez vous messire... J 'suis de tout coeur avec vous^^

Bise tendrement la dame en blanc et serre fermement la paluche de l'heureux élu, avant de se retourner, de saisir Mael par le bras et de l'emmener loin de l'effervescence avoisinant les jeunes mariés.

Lui montre tout fier ses bottes noires assorties à ses braies: Ca va, j'suis présentable là???
Dom_courtin
Citation:


PRIMATIE DE BRETAGNE


Décès de Monseigneur Arzhel


Moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, Cardinal Chancelier de la Congrégation de la Saincte Inquisition, Primat de Bretagne, Cardinal-archevêque de Tours, Duc de Montforzh, par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,

Annonce, officiellement, le décès de Monseigneur Arzhel archevêque suffragant de Rennes.
Qui nous a quitté cette nuit.
Aucune annonce n’est faite sur les raisons du décès.

Ses obsèques seront célébrées en la Primatiale à de Bretagne et débuteront ce dimanche.

Les fidèles pourront se recueillir devant le cercueil du jeudi soir au dimanche matin, jours qui précéderont la cérémonie.

Fait le VIII du mois de Mars de l'an MCDLX de la Saincte Eglise aristotélicienne.


Dom_courtin
Le cercueil avait été placé devant le chœur, au beau milieu de la croisée de transept. Comme il sied à ce genre de cérémonie celui-ci était ouvert.
Monseigneur Arzhel , était décédé dans le plus profond silence, discrètement comme il avait vécu.
Dans la journée ses gens viendraient déposer auprès du cercueil le blason de celui-ci.
La primatiale resterait gardée et ouverte jour et nuit afin que les fidèles de Bretagne puissent se recueillir devant la dépouille de l’archevêque suffragant de Rennes.
Camille.
Camille était allée signer le livre de recueillement avant de se rendre à la Primatiale pour veiller la dépouille de l'archevêque. En silence, elle passa les linteaux ouverts et s'avança dans les lieux encore vides. Elle appréciait ces moments de calme et de silence où la méditation et les prières se faisaient plus profonds. Elle alla tout d'abord s'agenouiller devant la dépouille.

Elle rejoignit une place discrète dans les traverses afin de réciter des prières aux morts pour guider Arzhel vers les portes du Paradis Solaire. Ses pensées allèrent aussi à la famille et elle pria pour que leurs peines se fassent plus douces, que leurs amis se révèlent des soutiens précieux et qu'ils traversent cette épreuve en étant portés par leur Foi.




"Pour consoler
dans la souffrance

Ceux qui ont la foi
en l'avenir,

Le Très Haut fit un frère
à l'espérance

Et le nomma:
Souvenir."

_________________

A Anakin
Chimera
    [Des armes, aux vives couleurs]


Elle avait quitté Vannes sans délai, sitôt l'écho des larmes et des lamentations parvenu à Vannes. La jeune Annelyse, Dénérée cousine, avait souhaité l'accompagner, elle aussi partie pour un voyage qui pourrait bien s'avérer sans retour, dans un sens à peine plus vivant que l'affaire qui amenait la duchesse ce jour.

Tristan restait rouge encore de la claque immatérielle qu'il avait reçue lorsqu'il avait risqué la morbide interrogation. Les couleurs en berne. Il en était vite revenu, et c'est d'azur et d'écarlate que la voiture déboula frappée, dans un tonnerre de sabots et de roues cerclées.

Les traits creusés par une angoisse qui depuis la veille ne l'avait pas quittée, elle descendit sur le pavé, à quelques pas des marches de la Primatiale.
Telle la mère à qui le deuil est impossible quand l'enfant disparait sans traces, elle est mue par l'irrépressible besoin plus qu'envie de savoir, voire de voir. En cela les clercs-fourmis avaient bien fait leur ouvrage, et s'étaient empressés d'exposer la dépouille encore pour elle anonyme autour de laquelle déjà quelques bretons se recueillaient, et qu'elle se refusait à considérer.
Aux oreilles de la duchesse résonnent des mots à qui elle a prêté la voix bien souvent ouïe du Primat.

"Annonce, officiellement, le décès de Monseigneur Arzhel archevêque suffragant de Rennes.
Qui nous a quitté cette nuit.
Aucune annonce n’est faite sur les raisons du décès."

L'esprit a peiné à donner l'intonation. Grave et sévère? Peinée et terne? Il se perd en d'odieuses et macabres hypothèses, parvenant à trouver entre les mots tracés l'écho vicieux d'un soulagement amusé. Il s'y perd et s'y engouffre, sourd à tout cri de la raison mesurée, et laisse la colère l'envahir, cette colère sourde qui depuis l'annonce gronde et tempête, quand réponse échappe à question furieuse: De quel droit lui s'appropriait-il le droit de mettre fin à cette vie?


- Prévenez le Primat que Cholet souhaite le voir. Séance tenante.
Et ailleurs qu'ici...


Quand. Comment. Où. Avec qui.
Elle refuserait à quiconque le droit de déclarer le repos d'Arzhel tant que ces questions n'auraient pas trouvé réponse.
Elle le refuserait tant qu'elle-même n'aurait pas trouvé le repos vers lequel on voulait si vite mener son vassal et ami...


[MP envoyé à JD Clodeweck pour discussion sur ce RP]
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Comtesse de Cholet - Baronne de Bubry
Clodeweck
Hum !
Doucement, nous sommes dans une église, il n'est pas besoin de crier, je n'étais pas loin.
Je veux bien comprendre que le décès de Monseigneur Arzhel te peine, mais personne ne peut en être tenu pour responsable.

Bonjour Chiméra, et toutes mes condoléances, je sais qui vous étiez très proches.

Que puis-je faire pour toi ? A part ressusciter ce cher Arzhel, ce dont je n'ai pas le pouvoir.


Se dirigeant vers l'une des contre allées en faisant signe à Chimera de l'accompagner.

Nous serons mieux ici, je pense que bien des gens souhaiteront lui rendre hommage, ne les gênons pas.
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Deux églises s'affrontent, celle du pouvoir, celle du pardon, faite comme moi soyez de la deuxième.

Clochette
aussi discrétement que possible , la fée entra dans la primatiale , voici un lieu qui l'avait toujours impressionné , son propre pére etait partit dans l'ignorance la plus compléte au fond de son monastére qu'elle detestait par dessus tout , il n'avait eu aucun recueillement et elle n'avait pas pu lui dire au revoir, le toucher une derniére fois avant de le rendre au trés haut ... aujourd'hui ce n'etait pas son pére qu'elle allait voir pour une derniére fois mais l'ami de son pére , un homme bon comme kurios , elle se souvint de leur rencontre et des quelques moments passés ensemble ...

ses pas raisonnaient a peine sur le parvis , et l'angoisse au coeur elle avanca doucement devant la depouille ... un genoux a terre , un poussin tete basse a ses cotés , clo yeux fermés prit et se souvient ...les larmes arrivent bien malgré elle , mais elle n'est plus cette jeune fille qui ne sait se controler ... aujourd'hui elle ravale cette peine ...

aprés quelques minutes de priéres et de souvenirs mélés clo se reléve et regarde le pére arzhel , la main sur l'epée ... elle se souvient de cette epoque ou son pére voulait la faire entrer dans les ordres et ou arzhel voulait l'y aider ... mais clo n'etait pas faite pour cela , et c'est vers l'ost qu'elle s'etait tourné , tout deux avait respecté son choix trouvant les mots juste pour encore une fois l'encourager ... reniflant sans discretion , la gorge serrée par cette boule qui lui entravait le gosier .. clo posa sa main sur le bord du cerceuil pour lui faire un dernier signe et dans un signe de tete et un leger sourire elle le regarda une derniére fois avant de prendre congé ...

tete basse , le piou sur les talons , clo quitta la primatiale

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plaie beante au coeur .. mal ..
Marypole
Marypole dicte Mary s'avance dans l'ombre tenant dans ses bras la jeune Mathieg...
Elle a appris comme tout un chacun par une pancarte affichée à Rennes la mort de son père. Elle a alors failli s'évanouir.

Pourquoi ne l'a-t-on pas prévenu avant ? elle était à Rennes depuis la fin de la guerre et savait son père souffrant, elle avait aussi appris en sortant de sa propre retraite chez les nonnes (absence IRL ) que l'on avait déjà voulu le remplacer alors qu'il n'était point mort et là ! là !

Elle se dirige, les jambes en coton vers le corps de son père et s'agenouille devant le cercueil, confiant Mathieg à Dame Bertrande.

Une seule pensée la taraude alors elle le répète en boucle comme si son esprit ne pouvait penser autre chose :


Pourquoi partir si vite au paradis solaire Père et pourquoi sans même me dire Adieu...Je vous aimait Père...Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?

Ses yeux sont secs, elle ressent un profond chagrin mais ne comprend pas ... que s'était-il passé ? elle pourra sans doute pleurer quand elle aura un début de réponse à ce qu'elle considère comme une énigme.

Elle regarde le cercueil où git cet homme dont le principe de vie était d'être tellement HUMAIN et l'effleure de ses doigts ...

Ce n'est qu'un au revoir mon père, vous êtes et serez toujours là pour moi.
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Chimera
    [Murmures furieux-nauséeux-pas joyeux de contre-allée]


La manière dont il la tutoyait l'agaçait habituellement. Aujourd'hui, elle lui donna envie de l'étrangler. Sans prévenir ni lui avoir donné raison de croire qu'il était là, il émergea des ombres, soulageant le clerc à qui elle s'était adressé de sa pressante mission.

Il avait perçu sa demande comme un hurlement au milieu de la Primatiale. Elle n'avait pourtant pas haussé le ton plus que cela, experte qu'elle était en les choses de la voix. Force était de reconnaître toutefois que peut-être ses mots clinquants avaient, la détresse aidant, résonné au delà de son intention.
Quelques visages s'étaient tournés vers eux, auxquels elle ne prêta pas attention.

Sans ajouter le moindre mot, elle le suivit dans la contre-allée avant de s'autoriser de nouveau à murmurer, sans pour autant mâcher ses mots.
Ne pas déranger, ne pas déranger. Il faisait montre de plus d'égards envers ses précieux fidèles qu'envers ceux qui faisaient partie de l'entourage immédiat de celui qu'on pleurait aujourd'hui.


- L'heure n'est pas au paternalisme, Eminence.
Rappelée à l'ordre par la nécessité des convenances...
Demat deoc'h, oui..

Si prompt à se dédouaner, si prompt.
Trop prompt.
Les années passées dans les sombres couloirs du pouvoir ont entrainé malgré lui l'esprit pourtant prédisposé à la confiance au doute et à l'intrigue. Chevalier cartes sur table dans un monde d'arcanes, elle avait appris à chercher le fil que peu voyaient, quand ceux qui le voyaient s'abstenaient soigneusement de relever, trop terrifiés, trop impliqués, ou trop las, voilà. C'est le regard lourd des non-dits et de l'expérience des mésententes de ces derniers mois qu'elle poursuit:


- Comment l'avez-vous appris? Par qui?
Je veux savoir. Inutile de vous imposer ànouveau la retenue témoignée dans l'annonce publique.


Je dois.
Elle avait pris le parti d'épargner la peine de ces questions scabreuses à Tadeus et Marypole. Clodeweck devait savoir, puisqu'il avait pris l'initiative de l'annoncer. Il avait du l'apprendre, il avait du interroger le messager, lié qu'il était à l'intéressé.
Il avait du...
Dans l'attente de saréponse, les azurines sont happées par le cercueil dressé bien en évidence. Trop en évidence. Une évidence qu'elle veut nier et niera jusqu'à.... jusqu'à quoi? Encore un peu...
Pourquoi est-elle venue? Elle n'ira pas en inspecter le contenu. L'image qu'elle veut avoir de la disparition du Comte de Longeron se veut au final toute mentale, afin d'éviter toute dérive vers un voyeurisme écœurant. Elle pensait venir pour en avoir le coeur net, mais elle ne se penchera pas au dessus du funeste écrin.
Non.

Maropole entre, perdue, l'air délaissé, et la colère ducale est ravivée.

_________________
Comtesse de Cholet - Baronne de Bubry
Clodeweck
Finalement, le père aimait bien Chimera, mais cette façon qu'elle avait de dire deux phrases et de donner l'impression d'en avoir pensées un cent l'agaçait toujours.
Autre sujet d'agacement il avait l'impression qu'elle traduisait toujours ce qu'on lui disait, pour en sortir ce qu'elle voulait entendre...Ou quelque chose dans le genre. Mais que dire à quelqu'un qui ne cause pas ?


- Paternalisme ? Ce n'est pas forcément un défaut et c'est un peu le rôle des clercs que d’être paternalistes. L'heure est effectivement au recueillement.
Comment l'ai-je appris ?
Tout simplement par les courriers de l’archevêché.
Je m'explique...J'avais eu vent qu'Arzhel était souffrant, voir malade, sans plus de précision. Il avait été longuement absent et dans l'impossibilité de remplir sa fonction et j'avais failli le faire remplacer. Il m'avait assuré que cela aller mieux et qu'il était au contraire plein d'envie.
Lorsque j'ai de nouveau été sans nouvelles de lui, environ vers la mi-février, je me suis inquiété. Pensant à une rechute j'ai donc décidé de le remplacer en personne, temporairement jusqu'à ce qu'il aille mieux...
C'est donc pour lui confirmer mon arrivée que j'ai dépêché un courrier, la veille d'arriver à Fougères, à Arzhel.
Le courrier est revenu en me disant, le personnage que vous cherchez n'existe plus, ou pas ou pas encore...
Devant cette énigme je me suis renseigné plus avant, mais la réalité In Gratibus est évidente, l'âme d'Arzhel et son corps ont été séparés.
Je n'y peux rien, et je n'en sais pas plus.
J'ai essayé d'en savoir plus mais sans résultat.
J'ai donc fait annoncer ce décès, afin que ceux qui l'ont connu puissent lui rendre hommage.
Je déplore cette mort autant qu'il se peut, elle est tellement surprenante ! Mais les voies du Seigneur sont impénétrables

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Deux églises s'affrontent, celle du pouvoir, celle du pardon, faite comme moi soyez de la deuxième.

Hrolf
Hrolf avait lu l'annonce du décès de son beau-père. La première idée qui lui vint à l'esprit fut de se dire que cela n'était pas possible. Il le savait malade, très même mais il savait aussi qu'il avait été malade à plusieurs reprises et qu'à chaque fois un séjour chez les moines le remettait sur pied ...et là non ... rien ... même pas de séjour chez les moines ...

Son épouse Mary lui avait fait part de son grand étonnement, elle non plus n'avait eu aucune nouvelle ni dans un sens ni dans l'autre. Il savait Monseigneur très fière d'être le Vassal de Sa Grâce de Cholet, elle non plus n'était pas au courant ... deux personnes très chères à son coeur et aucune de prévenue ? ... non décidément il y avait baleine sous caillou ... Monseigneur ne serait jamais parti au Paradis solaire sans en avertir sa fille et /ou Cholet, impossible, Hrolf n'y croyait pas un instant ... Les neurones endomagés d'Hrolf se mirent à chauffer ... mais alors si Monseigneur n'a pas prévenu c'est qu'il ne savait pas qu'il allait partir ! et s'il ne savait pas c'est que son départ fut plus que soudain ! c'est donc qu'il a été ... Hrolf s'arrêta de penser ... non cela n'était pas possible ... Pas un Archevèque ...

A la nuité tombé Hrolf discutait de temps en temps avec lui, lui racontant des histoires de fantômes ... Arzhel se confiait, rarement mais assez pour que Hrolf comprenne les inimitiés qu'il avait envers certaines personnes et les luttes qui en découlaient.

Hrolf avait suivi la curée qui avait été organisée pour prendre sa place alors que Monseigneur était fort malade , il sorti pour lire un bout de papier, dessus un texte qu'il aimait bien ...




Les loups se battent rarement entre eux et le plus fort épargne toujours le plus faible.

Les hommes se battent souvent entre eux et les plus forts n'ont de cesse que d'avoir étripé les plus faibles jusqu'au dernier.

Les loups sont "sauvages" ... Les hommes sont "civilisés" ... Trouvez l'erreur ...


Puis il dit Les hommes se battent souvent entre eux et les plus forts n'ont de cesse que d'avoir étripé les plus faibles jusqu'au dernier ... Les hommes se battent souvent entre eux et les plus forts n'ont de cesse que d'avoir étripé les plus faibles jusqu'au dernier.... Les hommes se battent souvent entre eux et les plus forts n'ont de cesse que d'avoir étripé les plus faibles jusqu'au dernier.

les plus forts n'ont de cesse que d'avoir étripé les plus faibles jusqu'au dernier ... cette phrase revenait sans cesse ... et si ? et si l'homme ici allongé avait eu un accès de faiblesse exploité ?

Hrolf discrètement regarda le corps de Monseigneur à la recherche de marques suspectes mais ne voyait rien. Hrolf le coeur gros écoutait son épouse dire en boucle ... Pourquoi partir si vite au paradis solaire Père et pourquoi sans même me dire Adieu...Je vous aimait Père...Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?


Hrolf s'agenouilla à côté d'elle, lui pris sa main, y déposa un baiser et lui dit. Ma Douce, votre Père n'est plus et je suis d'accord avec vous, il nous faut connaitre le pourquoi. Cela nous prendra le temps que cela nous prendra mais nous le trouverons. Cela ne sera pas facile voir même difficile mais nous trouverons ... Comme vous j'ai du mal avec la version officielle, cela ne cadre pas avec le personnage qu'il fut ... Votre père ne vous aurait jamais laissé seule sans vous prévenir ... il vous aimait trop pour cela ... vous pouvez compter sur moi pour cette quête de la vérité. Mais maintenant l'heure est au recueillement, nous verrons cela ensuite si vous le voulez bien.

Hrolf resta à genou devant la dépouille et gardant la main de Mary dans la sienne il baissa la tête pour prier ...
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Chikaka10
Son cousin Tadeus était venu prévenir Chika qu'Arzhel s'était éteint... Aussitôt elle avait fait route pour se rendre à la primatiale afin d'être là, près de sa famille pour rendre un dernier hommage à cet homme qu'elle connut depuis enfant, qui avait toujours fait partie de sa vie. Aucun son n'avait pu sortir de sa bouche depuis cette triste nouvelle.

Ce fut le coeur lourd qu'elle franchit les portes de la Primatiale. Elle resta un moment debout à la porte, ne voyant que le cercueil de son cousin avec Mary agenouillée devant.

Alors elle s'approcha et sans un mot, prit sa soeur de coeur dans ses bras. Arzhel semblait dormir comme un bien heureux. Aucune larme, aucun mot ne pouvaient sortir. Ils étaient tous sous le choc...
Clodeweck
Hrolf !


Le cardinal attrapa l'homme au sortir de sa révérence funébre,

Pourquoi cette phrase ?

Les hommes se battent etc...Quel rapport avec l'homme qui justement chercha la paix toute sa vie ?

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Deux églises s'affrontent, celle du pouvoir, celle du pardon, faite comme moi soyez de la deuxième.

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