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[RP] Primatiale de Bretagne

Hrolf
Marypole a écrit:
Hrolf, mon époux, retournons près de lui...je me dois de lui rendre un dernier hommage digne de lui !


Se tournant vers Mary, il déposa un baiser sur sa main puis lui dit ... Je vous suis Mary ... Je vous suis ...

Hrolf salua au passage les nouveaux venus, les chevaliers Nominoë et Firkraag. Il vit l'inclinaison appuyé de la tête de Nominoë vers Mary, cela l'amusa beaucoup ... à son tour il inclina sa tête vers ce jeune chevalier bien impétueux afin qu'il prenne bien conscience que lui aussi était là ...

Sagement Hrolf retourna avec son épouse auprès de la dépouille et attendit ...

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Coldtracker
Le colosse entra dans l’édifice et se dirigea directement vers la dépouille...

Là, il se figea et resta silencieux avant de dire au bout d'un moment et ce à voix basse:
-"Alors ainsi, tu es parti voir le grand chef hein?

Tu vas manquer....Notre famille perd un grand homme...

Bon, essaie d’intercéder auprès du chef pour moi, dis lui ne pas trop dur quand mon tour viendra...

Ton départ m’attriste, repose en paix..."

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http://www.youtube.com/watch?v=4ADh8Fs3YdU
Melyane_
J'écoute les paroles de droite de gauche, mes oreilles bourdonnent.
J'avais envie de dire mais taisez-vous, respectez sa décision, taisez-vous s'il est parti c'est qu'il avait bien des raisons et pour ses raisons taisez vous et respectez le..
Mais je baissais ma tête, je n'étais pas de famille, juste une personne qui l'aimait beaucoup. Je me sentais seule et vide, cette tristesse qui nous envahi quand on perd une personne qu'on aimait.
Encore une je me disais, encore une de plus..
Je regarde mon époux qui faisait acte de présence à mes côtés, puis je détourne mon regard vers mes bottes.

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Dom_courtin
Le secrétaire, promu maistre de cérémonie, se fit aider de quelques gardes et gentiment fit évacuer l'église.
Il ne permis qu'aux gens de la famille du défunt de rester.

Chikaka et son époux
Marypole et son époux
Clodtracker
Nominoe
Mimilia74
SE Clodeweck.
Tadeus ne devrait pas tarder.

Même les clercs qui pourtant étaient proches de feu Arzhel, durent quitter la primatiale, pour un moment d’intimité familiale.

Une fois que seule la famille fut présente dans la primatiale, le père fit signe au charpentier qui vint fermer le cercueil.
Les coups de marteau raisonnèrent dans la nef, renvoyés par les murs de l’Eglise comme un écho infini, tel un glas sinistre et contraignant qui serrait les gorges et oppressait les poitrines.
Les "Montfort" étaient silencieux et assistaient à la fermeture de la bière...

Et...Les coup de marteaux continuaient de raisonner sous la voute de l'église, plus oppressant à mesure qu'ils semblaient s'éterniser.

Puis vinrent les maçons...
S.E Clodeweck avait tenu à ce que Monseigneur Arzhel soit inhumé avec tous les honneurs dus à son rang de prélat.
C'est donc avec application que ces derniers soulevèrent l'une des lourdes dalles qui pavaient l'allée centrale de la primatiale.
Il n'était pas pensable qu'un archevêque reposât ailleurs que dans l'allée centrale de l'église !
Tradition immuable du clergé et encore plus en Bretagne qu'ailleurs.

Les coups de marteaux se turent...

Les charpentiers quittèrent le lieu

Les maçons en firent autant

Le cercueil était maintenant en présentation, peu de fleurs en cette saison , mais les clercs de Rennes feraient le maximum.
La fosse, sous la dalle, avait été recouverte de planches puis d'un tapis sombre, pour le temps de la cérémonie.

Le père Courtin s'adressa alors à la famille.


Ce soir nous ferons sonner le glas, qui marquera le début des obsèques a proprement parler.
Demain les gens seront invités à venir parler, et saluer le défunt, les prières suivront au long de cette semaine, jusqu'à la mise en terre.

Son éminence Clodeweck va maintenant s'adresser à la famille du défunt.
Missanges
Ils avaient été discrets nous intimant l'ordre de quitter la primatiale, afin que quelques formalités se fassent.
Lentement je sortis de l'édifice.

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Marypole
Les pleurs ne venaient toujours pas, comme si son père était présent en elle et lui murmurait "non Mary, tu sais que je ne le souhaite pas."
Accompagné de son époux sur qui elle s'appuyait lourdement, elle s'approcha du cercueil et assista dans cette ambiance glaciale à la fermeture du cercueil puis présentation devant la dalle.

Son père reposerait là où il avait officié tant de fois toujours digne mais souvent plein d'humour et avec tant de constance.

Elle frissonna et se se rapprocha de Hrolf pour essayer de prendre un peu de sa chaleur.


Les vrais amis de son père étaient là...ses amis aussi donc !

Chika sa sœur de cœur, Firkraag son filleul et ami , Mimilia pour qui son père et elle même portaient une affection immense , Maël toujours digne représentant des Montfort , Nominoé le chevalier dont elle était escuyer à l'Ordre des Trente et dont elle avait apprécié le salut respectueux et courtois.

Son Eminence Clodeweck suivait avec attention les différentes étapes de la mise en bière laissant officier Dom Courtin.


Tadeus, son frère, n'était pas là ...était-il souffrant ?

Elle jeta un regard empli d'émotion à son époux et serra fortement sa main dans la sienne. Mary savait que Hrolf , tant qu'il pourrait être présent, l’entourerait de son immense affection et tendresse

"Son éminence Clodeweck va maintenant s'adresser à la famille du défunt."

Elle se figea pour écouter. Mais elle avait froid, si froid.
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Mimilia74
Mimilia regarde Clodeweck. Et finalement ne prit même pas la peine de lui répondre. Un jour peut être elle ira lui parler, dans un autre moment. Elle se retourne et s'approche du cercueil. Elle passe une main sur le visage glacé. Prends la main sans vie dans la sienne.

Puis lui murmure.

Tu ne seras pas partie pour rien je te le promets... Tu sais la roue tourne. Tu mérite ce repos mon doux cousin. Profite... le très haut doit être très intéressant... Plus que ses émissaires ici bas.

Les larmes coulent enfin sur le visage de la Montfort-Laval. Qui n'est sotte que pour ceux qui se croient à l’abri de tout. Elle déposa un baiser sur la dépouille de son cousin. A jamais ce froid restera gravé sur ses lèvres.


Tu me manques déjà... nos longues discussions, nos débats animés. Et cet amour quasi-fraternel. Prends soin de toi... j'éleve ma tribu et je te rejoins. Embrasse Lelfenoir et mes enfants pour moi.
Sois paisible, tu le peux maintenant.


Elle dépose un perce neige dans le cercueil, symbole de renaissance et de pureté après le dur hiver. Puis elle se mets en retrait. S'enferme dans sa douleur, incapable d'aider Tadeus et Marypole... elle le fera plus tard. Elle regarde la bièle se fermer, être scellée. Puis avant que Clode ne prenne la parole... et ouvre les lourdes portes et s'en va. Elle saura parfaitement honorer son cousin de manière digne.

Pas un regard... elle repart sur Vannes, où elle va s'enfermer dans l'Eglise saint Patern.

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Melyane_
    Ceux qui ne faisaient pas partie de l'harmonie étaient prié de reculer jusqu'aux arbres

Je quittais la primatiale, à cet instant j'aurai aimé être une Montfort afin d'avoir la possibilité de pleurer un être Cher à mon coeur.
Je restais dehors, dos face à la porte, là sur le parvis de l'église le vent glaçait mon visage, j'attendais le visage livide, les bras croisés sur ma poitrine, mon tour afin de dire un dernier au revoir à cet Homme.
Un autre homme venait aussi de me dire au revoir, voir même adieu, cela me peinait aussi grandement mais la vie était ainsi faite. On ne retient pas un homme qui s'en va..

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Ftn_andenmarv
Le baron était là,
par respect pour cet homme qui avait voué sa vie au très haut
par respect à sa famille

n'étant pas un Montfort, c'est avec la noblesse bretonne qu'il était et qu'il suivait laissant les proches et très proches entre eux
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--Loannemontfortlaval
Larmes…

Elles n’avaient cessé de couler depuis que Roxanne lui avait annoncé. Un monde qui s’écroulait. Son monde qui basculait. Le Très Haut avait-Il décidé de tous les lui enlever, les uns après les autres, tous les hommes qui donnaient un sens à sa vie ? D’abord son Père. Puis Netaniel. Et maintenant Arzhel. Son Parrain… Devait-elle craindre pour Hadrien ? Lui aussi allait-il être rappelé bientôt, là-haut ?
Durant toute la traversée en bateau, elle ne fut qu’une ombre. Sortant à peine de sa cabine. Ses yeux ne brillaient plus que grâce aux larmes qui ne les quittaient plus. Son sourire c’était perdu, quelque part dans les plaines Irlandaises. Ses joues c’étaient creusées et son teint avait pâlit. Plus que l’ombre d’elle-même. Heureusement, son promis était là. Tous près d’elle, veillant sur ses nuits et essuyant ses larmes de ses baisers. La soutenant, autant qu’il pouvait le faire.

Mais était-ce cela grandir ? Voir une à une les personnes qui nous sont chers disparaître ? Perdre un peu plus pied chaque année, en sentant le poids du manque nous accabler ? Pleurer un peu plus à chaque fois que l’on admire la voûte céleste parce qu’une nouvelle étoile vient de naître ?

C’est au bras du prince qu’elle passa les portes de l’édifice. En voyant ce cercueil, là bas, au bout de la nef, elle sentit une larme rouler sur sa joue. Une de plus. Elle l’essuya furtivement, puis se tourna vers Hadrien.
Da Garan mon aimé…
Puis se hissa sur la pointe des pieds pour glisser un doux mais rapide baiser sur ses lèvres. Prendre un peu de sa force pour ne pas s’effondrer. Enfin, elle s’avança. Lentement. Sa marraine était là. Les yeux rougis, elle l’embrassa. Elle passa devant Chika. Ses doigts se posèrent sur sa main. Puis la boucle d’or s’approcha de Marypole et la serra dans ses bras. Elle voulu parler. Dire quelque chose. Mais en fut incapable. Une nouvelle larme roula. Mais cela n’avait pas d’importance. Sa vraie famille était là. Celle avec qui les mots ne servent à rien. Mais où les regards et les gestes ont bien plus de sens. Alors elle se contenta de déposer un baiser sur la joue de sa cousine.
Enfin elle s’arrêta devant le cercueil. Son parrain se trouvait là. Son deuxième père. Car après tout, c’était bien cela un parrain… Ses doigts, glacés, effleurèrent la joue figée. Une, deux, trois larmes roulèrent sur ses joues.


Repose en paix mon doux Parrain. Et continue à veiller sur nous de là-haut. Comme tu l’as toujours fait. Tu... Tu vas terriblement me manquer tu sais ? Mais je sais que tu seras toujours là, au près de nous, dans nos cœur.

La blondinette se mordilla les lèvres. Elle avait tellement de choses à lui dire encore… Lui dire qu’il n’avait pas le droit de les quitter comme ça. Pas le droit de leur avoir laissé un dernier moment à partager avant de partir. Qu’elle l’aimait tellement, même si elle ne lui avait jamais dit. Qu’elle perdit un nouveau repère dans sa vie…

Et profites en pour embrasser Père de ma part, tu veux bien ?

Puis ses lèvres déposèrent un dernier baiser sur son front. Ses jambes fléchirent mais elle se raccrocha à la bière avant que cela ne puisse se voir. Elle n’avait pas le droit de craquer là. Et ne devait pas. Pour Mary. Pour Arzhel. Pour mère aussi. Une mère qu’elle rejoignit et qu’elle enlaça avant qu’elle ne parte. Elle ne chercha pas à la retenir. Elle se doutait d’où elle allait.

On finit par clouer le cercueil. Chaque coup fit frissonner Loanne dont la main serrait celle d’Hadrien.


Citation:
"Son éminence Clodeweck va maintenant s'adresser à la famille du défunt."


Les yeux émeraude de la blondinette étaient perdus dans le vague. Aussi n’écouta-t-elle qu’à moitié.

Clodeweck
Bien cher tous,

Nous voilà rassemblés, et nous sommes si peu nombreux, pour rendre un dernier hommage à Arzhel. Il était un frère, un père, un cousin, certains d’entre nous étions plus proches de lui, d’autres moins peu importe il était l’un des notres.

La mort n’est pas injuste, elle est immuable, fatale inévitable, nous pouvons en chercher des raisons, nous pouvons hurler ou comprendre, rien n’y change, elle est.
Pour certains elle arrive tôt, pour d’autres tard, mais nous sommes prévenus nous ne connaîtrons jamais le moment ni l’heure.

Ce cher Arzhel a beaucoup voulu, et a beaucoup obtenu, peut être a-t-il trop voulu, nous le savions fatigué, absent, mais s’il a refusé de se reposer, c’était son choix, nul ne peut le lui reprocher.

Ce qui est entre nous le restera, j’ai connu Arzhel, qui s’appelait Arzhel, puis Arzhel de Montfort-toxandrie, puis Arzhel de Montfort-Vendôme.
Je l’ai nommé curé, puis archevêque, je l’ai vu évoluer et prendre charges après charges, maire, conseillé, archevêque, curé en sus, dignitaire de la garde épiscopale etc…Comment veut-on qu’un homme ne soit pas usé de tenter de faire tout cela, même avec des journées de vingt-cinq heures ?

Nous perdons donc un membre important de notre famille, mais nous quittons surtout quelqu’un que nous aimions. Je vais donc simplement vous demander à vous qui étiez proches de lui, d’être plus respectueux de la personne que ne l’est cette personne qui vient de quitter l’église.
La dépouille d’Arzhel n’est pas une pierre de discorde
N’est pas un prétexte à jeter son fiel
N’est pas un casus belli
C’est l’enveloppe charnelle d’un homme que nous aimions tous et seulement cela.
J’ai tenu a cette veillée familiale, parce que cet homme a œuvré beaucoup, qu’on le veuille ou non, pour la famille qui l’avait accepté.
Parce qu’il est normal que cette famille lui rende un dernier hommage.
Parce que dans une même famille nous ne pouvons tous être toujours d’accord, mais s’il est un point sur lequel nous ne pouvons transiger, c’est le respect.
Vous n’êtes qu’une poignée ici, et sincèrement que ceux des notres qui sont en Bretagne aient honte de leur absence !
S’appeler Montfort, n’est pas juste bon à se pavaner avec des armoiries de luxe, porter le nom de cette famille c’est être ce que l’on est mais être respectueux de nos morts, a minima.

Je vous prie de bien vouloir vivre cette veillée funèbre, comme un dernier rendez vous avec celui qui partagea notre vie, avec ses malheurs et ses bonheurs, dans le recueillement et la dignité.


Se retournant vers le cercueil

Merci mon frère d’avoir été ce que tu fus.

Puis aux présents.

Les obsèques débuteront demain dans la journée.
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Deux églises s'affrontent, celle du pouvoir, celle du pardon, faite comme moi soyez de la deuxième.

Chikaka10
Chika avait laissé Mary rejoindre son époux qui discutait avec Son éminence Clodeweck.

Seule à présent devant la dépouille de son cousin, ami de toujours, elle glissa une main sur la main d'Arzhel.

Cela faisait des lustres que nous nous connaissions et à chacune de nos rencontres, ce n'était que joie, rire et bonne humeur. Tu vas beaucoup me manquer Arzhel mais saches que où que tu sois, tu resteras dans nos coeurs, dans nos souvenirs. Jamais je ne t'oublierai mon très cher cousin.

Après une légère pression sur la main glacée de son cousin, elle céda la place aux autres qui voulaient également dire un dernier au revoir au défunt.

La baronne alla s'installer sur le banc le plus proche, loin de tout, choquée par cette terrible nouvelle. Un bruissement à côté d'elle lui fit comprendre que son époux l'avait rejoint. Sa main glissa alors dans celle de son époux à la recherche de sa force, de son courage.


Son regard alla vers Marypole et son époux puis elle chercha des yeux Tadeus, mais ne le vit pas. Les jours qui suivraient allaient être pénibles pour le frère et la soeur. Mais ils seraient là pour les soutenir.

A la demande de Coubertin, les personnes autre que la famille durent quitter la Primatiale et Monseigneur Clodeweck prit la parole.

Chika l'entendait de loin, de très loin. La fermeture du cercueil avait été un moment difficile pour Chika car à présent plus jamais elle ne pourrait voir son cousin. Sa main dans celle de son époux était froide et elle tremblait de tout son corps.
Dom_courtin
La nuit avait été longue, les quelques membres de sa famille qui avaient veillé, la dépouille de Monseigneur Arzhel, semblaient fatigués.
Le secrétaire fit signe à un clerc de bien vouloir ouvrir en grand la porte centrale de la Primatiale.
La lumière s’engouffra alors dans l'édifice, sans atteindre cependant la croisée de transept où se trouvait le cercueil.

Le cercueil était entouré de quatre petites colonnes en bois sculpté sur lesquelles était posés, une panière en osier contenant un peu de terre, une vasque emplie d’eau claire, un creuset en pierre dans lequel brillaient quelques braises, et sur la dernière rien le vide, l’air.

Plus loin quatre candélabres éclairaient doucement la scène, les enfants de chœur recouvraient le cercueil d’un catafalque sombre.
Le secrétaire posa alors deux panières,; devant le cercueil, destinées à recueillir les présents de l'amitié et les missives qui ne manqueraient pas d'arriver.
Il posa, la première reçue la veille dans l'une des panières.


Citation:


Nous, Verty de Montfort-Toxandrie, vicomtesse de Bréal Montfort,
Cardinal, Archevêque métropolitain de la province de Bourges, vice chancelier de la congrégation de la Sainte Inquisition dans la Très Sainte Eglise Aristotélicienne.

Mon cher beau frère,

C’est avec grand’ peine que j’ai appris le décès de notre cousin Arzhel, suite à ton courrier.
Je viens par la présente faire par de mon affliction et présenter mes condoléances à Tadeus et Marypole.
Peut être aurais je la possibilité de me rendre à Rennes, si mes charges me le permettent, afin d’assister aux obsèques.
Sinon je te prie de bien vouloir déposer la présente missive dans la panière de l’amitié au près du cercueil.

Pace e bene.

Fait à Bourges le douze mars mille quatre cent soixante, de la Sainte Eglise Aristotélicienne.

Au nom de S.E Verty de Montfort-Toxandrie.



Puis le père Courtin, fit signe que la foule pouvait entrer.
Tadeus94
Tadeus était dans la primatiale depuis un moment, mais lui qui d'habitude aimait aller voir les gens porter la bonne parole du Très Haut, il c'était fait discret jusqu'au début de la cérémonie.

Il écouté les paroles de son Oncle le Cardinal, qui rendait hommage à son Père qui quittait ce monde aujourd'hui.

Il put voir beaucoup de personne triste, il savait son Père aimait, mais il ne pouvait se douter que sa fut à ce point.

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Clodeweck
L'entrée des gens en Primatiale allait laisser un peu de répit au père, il se retourna et s’apprêtait à gagner la sacristie lorsqu'il aperçu Tadeus.
Il avait toujours bien aimé ce jeune homme dont il se souvenait encore de l'arrivée à Rennes. Un bref sourire éclaira le visage du cardinal.
Puis il s'approcha du jeune clerc et le pris un instant dans ses bras. Le temps de lui dire à voix basse.


- Courage, la peine est pour nous, mais il est soulagé, je ne doute pas que le Très Haut veuille l'accueillir lui faisant une place à la hauteur de son mérite.
Mais nous, ici bas, avons encore bien des choses à accomplir, car même s'il nous précède aujourd'hui nous le retrouverons...
Ce jour là il faudra qu'il soit fier de toi.


Puis lâchant le jeune et changeant de sujet,

Tu ne m'avais pas dit que ta sœur voulait faire quelque chose lors de la cérémonie ?

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Deux églises s'affrontent, celle du pouvoir, celle du pardon, faite comme moi soyez de la deuxième.

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