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[RP] Primatiale de Bretagne

Naoned_riec
Loin d'être noble, il décida tout de même de participer à l'office de la primatiale. Il était malgré tout fils de Marquis donc il devait faire honneur à son père contrairement à d'habitude.

Il entra donc dans la primatiale, et alla s'installer où il peut dans les travées.

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Margot.mlw
Et une blonde qui arrive sur le parvis de la primatiale...
Que son nom ne soit pas indiqué ne l'empêche pas d'être présente, grâce à Verhena qui s'est chargée de transmettre l'invitation pour les vannetais.
Margot sort à peine de chez elle, besoin de repos parait-il, mais ses joues ne sont plus pâles, ses azurs brillent de nouveau, et si l'on doit en croire certains, ses paroles ont repris du piquant.



Vêtue de l'une de ses dernières robes, de celle qui lui a porté malheur mais dont il faut saluer la création par Camille, elle arrive , repérant la chevelure de Miss qui s'engouffre sous les portes grandes ouvertes, et passant devant son cousin, Arzur, qui porte, lui, la tête des mauvais jours.

Une révérence, et un sourire alors qu'elle vient le saluer.

Demat mon cousin.
Ravie de te revoir, il est vrai que les circonstances ne nous amènent que peu à nous croiser.
Tu n'as pas l'air heureux pourtant, j'espère que rien de grave ne vient assombrir tes jours.

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Margot Strandhögg.

En mode Tamago jusqu'à nouvel ordre.
Arzur.
Se tournant vers Margot, vêtue comme une princesse, Arzur répondit de façon plus aimable :

Le bonjour, Margaux. Et bien vois-tu, je me demande si mon long séjour en Angleterre n'a pas fait croire à certains que j'étais mort... L'hérauderie a semble-t-il oublié de mentionner mon nom sur la liste des enfants d'Elfyn vivants. Vois cette affiche : je n'y suis point, et pourtant mon frère et ma soeur y sont.
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Mab_kasia
Mab pénétra à nouveau dans la primatiale.

Le chemin lui était connu, il était venu à l'invitation de Mgr Clodeweck pour chanter il y a peu.

Ce jour, ce dimanche, était consacré aux nobles. Il avait le droit de venir cependant.

Il repéra une place fort discrète, à droite, il se dirigea à pas comptés jusque là.

Il remarqua la présence de quelques nobles dont le grain de sel, messire Naoned de Montfort Toxandrie ... silencieux pour une fois. Il sourit.

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Maewenn
Une Guérande en Bretagne, Une Montana en Bretagne ... Armes, chevaliers, soldats, il faut l'occire, la bruler, la torturer ? Ah non ? Ce serait elle perdue ? Que nenni. La môme a au contraire enfin retrouvée ses racines après un long périple loin de sa terre. Elle était restée bien discrète depuis son retour, restant bien souvent en son domaine pour s'y ressourcer. Il faut dire qu'elle l'aurait pensé plus reposant ce retour. Mais les langues de vipères n'avaient pas quitté cette terre et déverser son fiel était devenu sport national. Pire qu'à son départ et c'était pas peu dire. Pourtant ce jour la, elle s'était rendu à l'office dominicale rendu en la primatiale. Voila des mois qu'elle n'y avait plus mis les pieds. Une angoisse l'étreignit. Il y aurait surement un monde fou et le monde, il fallait bien avouer qu'elle le supportait plutôt mal. Lentement, elle s'avança jusque sur le parvis. Elle ne put que remarquer son nom affiché à l'entrée. Qu'avait elle encore donc fait comme bêtise ? Tss, d'un mouvement de tête elle chassait ses pensées. Mais l'angoisse était bien décidé à rester présente. Sa place était elle encore ici ? Incapable de faire un pas de plus, elle reste la, silencieuse, le visage dans le vague à ne plus pouvoir avancer. De quoi avait elle dont peur ? Que risquait elle de plus que ce qu'elle avait déja subit ? Les rumeurs, les insultes, les mensonges ? Elle ne les écoutait plus. Mais voir le monde et être vu ... Ca, ca devenait plus compliqué à gérer pour elle.
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Airina
La normande espérait que son père viendrait mais elle prit les devants et arriva en charette avec Verhena qui lui avait proposé place à ses côtés pour papoter de tout et de rien.
Venant tout droit de Vannes, elles arrivèrent à la primatiale, pas mal de monde déjà présent qui intimidait la jeune ratoune.
Elle ne quitta pas d'une semelle Verhena au moins avec elle elle se sentirait moins seule.
Pourtant Verhena irait prendre place auprès des siens et la dieppoise resterait en retrait tout au fond de l'eglise, l 'endroit pour les roturiers mais aussi sa place privilégiée lors des messes dominicale.

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~Ratoune de son tad Niark ~ Normande for ever~ Cul et chemise avec sa fidèle Kristall~
Marilou
Je les avais cherchés partout. Je les avais cherchés en vain.
Pourtant j'avais besoin d'eux, comme rarement je n'en avais eu besoin auparavant.
C'était presque devenu une obsession.

J'avais pourtant d'mandé aux passants. Mais nul n'avait été capable de me dire où ils étaient planqués.

- Z 'êtes sûr qu'il n'y en a pas ici, m'ssieur ?

Et à chaque fois la même réponse : y'avait pas.

C'était la poisse, la totale poisse.
Alors j'avais deux possibilités, voire trois.
La première, c'était d'aller à l'hôtel Montfort comme il y en a un dans toutes les villes.
La deuxième, c'était de faire ça en place publique à la fontaine.
La troisième, c'était de faire ça discrètement... à l'abri des regards.

Puisqu'il n'y avait pas de bains municipaux et que je puais des pieds, ma décision était prise : j'irai me décrotter les orteils là où y'a de l'eau et loin d'éventuels témoins et de la famille : dans le bénitier d'une église !

Il flottait ce jour-là et c'était tant mieux pour ma tignasse qui s'en retrouverait ainsi dépoussiérée.
Il flottait fort ce jour-là et c'était tant mieux, parce qu'il y aurait des flaques et que j'aime les flaques.

Alors j'déboulais à la Primatiale, deuxième demeure de tonton Clode.
L'oncle étant tout le temps absent, y'avait peu de risque qu'on me surprenne les panards dans le bénitier, d'autant plus que je m'y étais pointée très tôt, à l'heure où tout le monde roupille encore.

J'étais tranquilou en train de faire ma toilette quand ça a commencé à s'agiter là-dedans.

- Tain... c'est quoi tout c'remue-ménage ?

Je vis des endimanchés rentrer dans l'édifice. Fort heureusement, tous ces gens étaient trop obnubilés à parader, à s'montrer et à s'bizouiller qu'aucun ne prêta attention à moi.

Alors j'ai sorti un bout d'savon et j'ai frotté.

Je vis mon jeune frère rentrer. Même dude... invisible la Marilou.

C'est pas mal finalement d'être invisible. D'une, ça vous permet de vous nettoyer les pieds et de deux, ça vous permet de repérer les argentés.

J'continuais donc mon p'tit récurage quand finalement, je fus interrompue par un abruti d'enfant de choeur.

- Faut pas salir l'eau du bénitier !


Alors, avec tout l'amour d'une mère que je ne serai jamais...

- Casse-toi ou j'te noie.

Suffit de pas grand chose pour se faire obéir des enfants...

J'étais finalement contente d'être allée à la Primatiale en ce dimanche. J'avais les pieds propres et j'avais terrorisé un couillon.

Ouais, moi, Marig Louise de Montfort, fille d'Elfyn, j'étais contente, très contente d'avoir trouvé mes mini-bains municipaux !

Et comme j'étais venue, j'me suis barrée, laissant les endimanchés se reluquer le tissu et s'bisouiller l'hypocrisie.

En sortant, j'ai vu une liste et j'ai ri... bien ri...
J'me marrais encore en enfourchant pynedure.

Il pleuvait encore et c'était génial. Une belle journée faite de flaques...
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Marig Louise de Montfort, Princesse Pucelle de Bretagne.
Arzur.
Sans prendre garde à la jeune femme qui était entrée à l'instant dans la primatiale, Arzur râla tout haut :

- Mais où est donc celui qui a affiché cela ?
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Verhena
Verhena, arriva devant la primatiale avec la charrette venant de Vannes.
Elle y avait fait le voyage avec la jeune Airina à ses cotés.
Peut de monde avait fait le déplacement avec elle, sans doute avaient ils prit la route plutôt !

La jeune Montfort, n’était pas pressée de rejoindre les bancs plutôt dégarnis de la noblesse.
C’est donc avec plaisir qu’elle entra au coté de sa compagne de voyage et qu’elle resta à coté d’elle.

Son père ne lui en tiendrait pas rigueurs, il savait combien elle était proche de ses ouailles.
N’aimant pas les chichis et autres froufrous, elle se sentait mieux avec eux.

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Margot.mlw
Elle l'écoute avec un léger sourire, hochant la tête.
Que veux tu mon cousin, la renommée est ainsi faite que certains en profitent sans l'avoir cherché, et que d'autres, qui le mériteraient, passent à côté.
Je comprends que cela puisse te blesser, mais l'essentiel est que tu sois bien vivant, et que ta famille sache te reconnaitre.
Ainsi, tu reviens d'Angleterre?


Elle le regarde s'énerver, les hommes ont toujours besoin de s'attacher à des preuves matérielles.
Je gage que celui qui a affiché ça manquait d'éléments. Ne le fais pas étriper pour ça.

Un autre sourire.
Que cela ne te gâche pas ta journée mon cher cousin. Et à plus tard, nous ne pouvons nous asseoir au même endroit.
Une révérence, et elle va prendre sa place sur un banc.
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Margot Strandhögg.

En mode Tamago jusqu'à nouvel ordre.
Tualenn
La jeune Reyne d'Armes se présenta tout de même à cette cérémonie dont elle n'avait que faire. Mais ne devait on pas faire un effort protocolaire lorsqu'on est à son poste ?

C'est donc dans un attelage aux couleurs des Maëlweg-Kerdraon qu'elle arriva. Oh pas seule cette fois-ci. C'est qu'elle en avait marre de s'ennuyer passablement lors des sermons, et donc elle avait fait venir avec elle sa moman Lallie ap Maëlweg de Kerdraon, sa marraine/tutrice/tata qu'elle adorait et en temps que cavalier son fiancé. Du haut de ses 11 ans, il était bien assez grand pour cela tout de même et puis il était de notoriété presque publique qu'elle ne se déplaçait presque plus qu'avec lui. C'est qu'il avait à se faire connaître au monde et peut etre à adoucir l'humeur de chieuse qu'elle pouvait avoir.

Elle lui tendit la main à la descente et lui adressa un de ses plus beau sourire quand il la réceptionna en bas.


Mélons nous pour une fois à la foule, chevalier. Qu'en penses tu ?

Et oui, elle n'était pas que directive, elle savait aussi proposer.
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Dom_courtin
Le père Courtin s'approcha du jeune homme qui parlait fort. Le plus aimablement du monde il lui adressa la parole en ces termes:

Hum...Jeune homme celui qui a affiché "ça", c'est moi, mais restons sur le parvis si l'on souhaite en débattre, les églises ne sont pas le lieu a faire ou dire n’importe quoi.
Quel problème y aurait-il à ce que la liste des nobles soit affichée.
Il est normal que le peuple de Bretagne les voit de temps en temps. Non ?


Chimera
[Garde tes amis près de toi....]

- Votre Grâce!!
Elle hausse les sourcils, amusée. Ifig ne s'adresse ainsi à elle que quand la rue est bondée. Cela l'amuse.
- Le bruit court en ville. Qu'une messe-pompe est en route.
- Dis donc, Ifig, entends-toi parler.
- Une liste, ma dame! Une liste de la noblesse. Affichée au devant de la primatiale! Par ordre décroissant! Et les noms des seigneurs et dames n'apparaissent pas même!
Elle en est muette de stupeur un instant. Qu'est-ce que c'est que cette mascarade? Pas d'annonce, pas de pli... étrange lubie que celle là...
- Il faut émarger, tu crois? Ou bien venir avec blason et nom tatoué sur la joue?
Le secrétaire pouffe.
- Prépare mon sceau. Je ne voudrais pas qu'on puisse douter de ma présence.
Encombré mais hilare, Ifig s'exécute. Elle patiente sereinement, donc, alors que l'iconoclaste fait couler quelques gouttes de cire sur l'affiche, avant d'y apposer son sceau en soufflant.
-Chimera de Dénéré-Malines, Duchesse de Cholet, Baronne de Bubry, présente! Je te laisse corriger les fautes, Ifig... Merci bien. Aucun mal à faire les choses quand on les fait bien et intégralement.

Elle pose les yeux sur le secrétaire discourtois, étonnée de l'agitation soudaine. En se retournant, elle tombe sur le jeune Arzur, planté là devant la Primatiale, l'air visiblement contrarié. Est-il en manque de cire? Elle scrute le nom sur la liste, et s'aperçoit, étonnée, qu'il n'y figure pas. C'est donc cela.

- Voyez donc ca, Jeune Prince…. - Quand on a aimé le père, on peut se permettre quelques écarts de protocole avec le fils- Vous avez été oublié. Tellement peu vont répondre a l’appel, nous n’allons pas nous priver d’un prince qui répond à l’appel des cloches, qu'en dites-vous? Je vois qu'en attendant vous êtes en fort charmante compagnie.

Voilà bien longtemps qu'elle n'a pas vu Margot si enjouée, et c'est sourire aux lèvres qu'elle offre son bras au petit héritier.

- M’offrirez vous votre bras, jeune prince ? Comme dit Margot, les places doivent être numérotées en fonction des rangs. Avec de la chance, et vu l'ordre d'apparition, nous n'aurons pas plus de 4 ou 5 sièges d'écart. Fabuleux! A moins que vous n'exigiez que votre nom figure sur cette liste, et je peux demander à Ifig de corriger ce fort malheureux oubli.

Le regard pétille, puis se fait plus dur en réponse aux mots de l'auteur du listing.

- Le fait de porter la robe ne vous autorise pas à vous montrer odieux envers la noblesse princière de Bretagne. Je vous sais rigoureux, je suis donc étonnée que vous ne cherchiez pas à faire amende honorable tant l'omission est frappante. A quoi bon honorer ainsi la noblesse si c'est pour l'insulter sur votre parvis? Pas d'excuses, soit, nul ne vous y oblige, mais je ne tolèrerai pas ces mots. Emportez vous de nouveau de la sorte en ma présence, et le Primat en sera informé.

A Arzur, douce à nouveau:

- Nous y allons?

Sourire, et les yeux avisent par dessus la tête altière mais pas encore bien haute la silhouette discrète d'une Excellence. Fort heureusement, la rousse a deux bras!

- Maewenn, te joindras-tu à nous? Tu connais le jeune Arzur, fils d'Elfyn de Montfort?
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Comtesse de Cholet - Baronne de Bubry
Tiernvael.de.kerdren
Promesse, promesse ...
Il fallait aller à la messe.

Mais qu'est une messe s'il ne s'y passe rien ?
Alors on force un peu les choses, on invite certaines personnes.
Certaines personnes qui ne doivent pas venir si souvent, sinon on n'aurait nul besoin de les inviter.

Tiernvael, lui, était loin d'être noble.
Mais la primatiale était faite de sorte qu'une occasion de s'y rendre se manquait rarement.
Sauf si justement, il ne s'y passe rien.

Le départ avait été tôt, le réveil plus tôt encore afin de s'occuper des premières affaires de la mairie de Gwened.
Une fois fait, un carosse ducal l'attendait.
D'ailleurs cela ne lui arrivait guère souvent, mais il s'était déjà juré que dans un lointain avenir, ce serait une coutume.
Mais la spécificité de ce carosse était sans doute le fait qu'il s'agissait d'un carosse doublement ducal.

Enfin peu importe : il était arrivé à l'heure dans de beaux habits de cérémonies, et donc, les incontournables collants verts familliaux.
La route s'était faite sans encombre et déjà il fallait quitter le moyen de locomotion.
Aimable, il aida les dames à sortir, faisant un sourire ravissant à sa future promise.
Il avança avec elle vers le grand édifice religieux, heureux de partager ce moment avec elle, bien qu'ils ne se quittaient plus.
Ou presque ...

Accueillant ses paroles d'un regard amusé, il se contenta de répondre :


Je suis bien désolé de devoir accepter, ma chère, tu sais bien que j'appartiens à ce rang depuis ma naissance, ne m'en déplaise, d'ailleurs.
Mais qu'importe où nous serons, si tu me fais l'honneur d'être à mes côtés, je me sentirai aussi bien qu'en ayant la première place.


Un sourire plus ou moins charmeur, en tout cas charmant, et un clin d'oeil vint mettre un terme à ses propos flatteurs.
Hé oui, quand elle savait proposer, il savait utiliser des mots encore plus touchant.

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Maewenn
On l'apostrophe. Quelqu'un connait donc encore son nom ? Quelqu'un sait encore qui elle est ? A vrai dire, bien peu la connaisse. Elle ne laisse le plus souvent entrevoir que ce que les autres souhaitent voir. Une façon de se protéger surement. Mais cette voix. Cette douceur, ce timbre. Elle la reconnaîtrait entre mille. Un sourire se dessine sur son visage alors que les yeux se posent sur la silhouette gracieusement ducale de sa rousse. Sans plus réfléchir, le bras se glisse sous celui de son amie. Puis les yeux se posent sur le jeune homme présent à ses cotés. Un sourire et une inclinaison de tête en guise de salut.

De nom juste mais j'avoue que c'est un réel plaisir de mettre enfin un visage dessus.

Un sourire amusée.

Enchantée votre Altesse.
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